Un mâle ça jute énormément
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un mâle ça jute énormément
Avant toute chose, je me dois de vous remercier pour tous vos messages et commentaires. J’ai essayé de répondre à tout le monde, car ce me fut fort agréable d’apprendre que mon histoire avait réussi son petit effet. Du coup, j’en suis encore excité au moment d’en écrire la suite.
Bref, rappel de la situation où nous sommes restés : prisonnier entre mes deux fesses, la queue de Driss n’avait pu résister à se répandre en plusieurs jets de sperme, alors même que nous étions encore habillés. C’est dire combien mon déhanché est magique mais, comme je viens de l’avouer à ce lascar, seule la danse que j’ai longtemps pratiqué en est responsable, puisque mon expérience sexuelle est proche de zéro. Malgré mes 25 ans, j’étais encore vierge de tous contacts à deux et je ne savais que m’amuser en solo.
— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.
Je ne suis pas le genre de gars, qui garde sa langue dans la poche. En clair, je suis incapable de la fermer. Mon esprit est porté à la rébellion, alors si on me dit oui, je dis non ou si on me dit noir, je dis blanc. Je ne le fais pas exprès, ça me vient le plus naturellement du monde. Comme dirait Egard Allan Poe, je suis possédé par le « Démon de la Perversité ». Je ne supporte aucune forme d’autorité, alors si quelqu’un essaye de m’enchaîner, je me débats comme un véritable animal sauvage. Pourtant, à peine ai-je composé mon visage de gamin effronté qu’il m’arrête en disant : « C’est mort, tu as perdu le droit de l’ouvrir. Tu m’en dois une maintenant. » Ce n’est pas tant que ces paroles me font peur, que j’ai vraiment envie de goûter à son essence d’homme. Je me tais et le laisse faire comme il souhaite gérer la situation.
Alors que je suis encore sur ses genoux, il me repousse afin de me laisser tomber sur le sol. Il se lève face à moi. Je me sens tellement petit à côté de lui que, pour la première fois, je comprends Jack ou le Petit Poucet devant leurs géants. Imposant est un euphémisme à côté de cette bête qui me domine par sa simple hauteur. Il retire d’abord ses sneakers, avant de faire tomber son jogging gris. En terme de vocabulaire sexuel, j’ai appris un nouveau mot « bulge » que je vais me faire un plaisir d’utiliser. En l’occurrence, son bulge me donne des envies voraces, auxquelles j’ai du mal à résister. Mes yeux doivent briller d’une lueur particulière, car Driss me dit :
— A te voir dans cet état, j’imagine que tu dois avoir faim. Le genre gourmand qui mange de tout et parfois même n’importe quoi. Tu vas déguster keum. Par contre, je veux uniquement voir ta langue pointer pour bien nettoyer ma queue ; pas question d’ouvrir ta bouche et de téter. Comme tu es un petit puceau, je vais t’apprendre à me satisfaire, mais avant je vais te rendre accro.
— Oui, bien sur. Tu ne veux pas aussi me la mettre à sec et te répandre à l’intérieur. (Quand je me mets en mode vénére, je deviens vulgaire.) Je ne sais pas où tu as foutu ta queue, alors je m’en approche pas.
— Zarma, comment tu te la joues ? Ecoute p’tit gars, j’ai fais des examens médicaux pour mon sport, il y a 15 jours. Si tu veux vérifier, les résultats sont dans mon keuss. Depuis, je n’ai pas eu de plans baises et presque pas de branles, comme tu vas le voir par la quantité que tu m’as fais juté.
Avec mépris, je me lève, ouvre son sac de sport, fouille allégrement jusqu’à trouver le papier en question et constate qu’il n’est pas du genre mytho. Autant vous dire que sur ceux, je suis conquis à ses paroles et je n’ai aucune velléité de révolte. Malgré son discours un peu brut, je remarque que ma virginité ne lui pose pas de problème. D’habitude, ce genre d’annonces à tendance à provoquer de l’incrédulité chez l’autre, qui pense qu’il s’agit uniquement d’attiser le désir. Ce n’est pas non plus qu’il voulait y croire par une sorte de fierté mal placée à vouloir m’initier, car j’ai pu lire dans ses yeux, qu’il avait confiance. En fait, j’ai appris plus tard qu’il était très fort pour sonder les âmes et savoir où se cache la vérité ; ainsi il savait déjà lire en moi.
Aussitôt que j’ai acquiescé d’un vague hochement de tête, il fait descendre son boxer le long de ses jambes, afin de me faire découvrir sa queue. Pour être en parfaite adéquation avec l’émotion que j’ai ressentis, je ne vous donnerais que peu de détail sur son morceau de viande. De toute façon, je discernais uniquement la belle proportion que son sexe entretenait avec ses cuisses. D’ailleurs, sans vraie comparaison, mon objectivité était nulle et non avenue, d’autant plus que sous le choc, je suis comme emporté dans un tourbillon de passions qui m’enlève toute réflexion. J’ai du mal à sentir mon cœur à tel point il bat vite. Je me sens limite partir dans les vapes. Heureusement que la musique continue de jouer, créant comme un hypnotique qui m’empêche de succomber.
Lui, ne dit rien, ne bouge pas. Il m’a dit ce que j’avais à faire ; je n’ai plus qu’à m’exécuter. Naïvement, je pense à toutes ses sucettes que j’ai lapées, à toutes ses glaces que j’ai léchouillées, sauf que l’extase est loin d’être la même. Lorsque ma langue touche la peau de son zob, mon corps se met à frissonner doucement. Comme dans un manège à sensation, je refuse de fermer les yeux, afin de vivre pleinement l’expérience. D’abord laborieusement, je commence mon travail, mais très vite, je me prends à le faire avec rigueur. Pas une goutte de son jus ne m’échappe, tellement que son pénis se retrouve luisant de salive. Driss a l’air content de moi avec son sourire de pervers.
— J’ai dis que tu ne devais laisser aucune goutte, me rappelle-il en me tendant son sous-vêtement.
Au lieu de me le donner, il me l’étale sur la gueule, essuyant l’intégralité de son boxer sur mon visage. Je n’en perds pas moins ma volonté, en aspirant la moindre surface mouillée pour récupérer sa semence. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je ne voulais pas lui prouver ma parfaite soumission, puisque ce n’est pas dans mon caractère comme je vous l’ai déjà dit. Son sperme avait juste un goût délicieux, qui ressemblait étrangement à l’odeur qui émanait de son sexe. Quelque chose de iodée que j’identifiais à la transpiration, avec des accords légèrement sucrés et doux, créant une association animale et miellée. Je me suis régalé aussi bien à renifler qu’à avaler ses émanations corporelles.
Lorsque Monsieur est satisfait, il reprend son boxer pour se rhabiller malgré la moiteur que ma salive a laissé sur le tissu. J’ai comme une boule au ventre, lorsque la peur me saisit les entrailles de le voir partir. Je veux qu’il reste prêt de moi, à croire que l’addiction commence à faire son effet. Contre toutes attentes, il s’écroule une nouvelle fois sur le canapé, en me demandant d’aller lui chercher une nouvelle bière. Pour accompagner ses paroles, Driss se permet de me donner une tape sur les fesses, ce qui me fait sursauter. Revenant avec deux bouteilles, mon lascar m’attire à lui comme une vulgaire poupée de chiffon, en m’installant dans la courbe de ses bras.
— J’ai remarqué un truc de ouf. Quand j’ai claqué ma main sur ton p’tit cul, tu as eu une réaction chelou. Est-ce que tu flippes ta race devant moi ?
— Non, lui répliquais-je du tac au tac, je ne m’y attendais pas en fait. Ce n’est pas comme si j’avais l’habitude que le monde pose ses mains sur mon corps. Tu peux faire trois fois ma taille et me regarder avec tes yeux féroces, je m’en fous.
— Gars, tu n’as pas ta langue dans la poche, ce qui n’est fait que confirmer mon premier avis. Dès que je t’ai capté, j’ai su que tu étais façonné pour moi. D’habitude, tout le monde préfère baisser les yeux sur mon chemin ou me jeter des regards de chiennes en chaleur. Toi, tu n’as pas hésité à me dévisager droit dans les yeux, comme un félin. Direct, tu m’as foutu le barreau. Je suis rentré chez moi pour me soulager à tel point ma teub me faisait mal. Et depuis, j’ai envie de t’avoir à moi.
— Ouais, ouais, tu peux garder tes discours de lovers pour d’autres, dis-je avec désinvolture car, même si mon cœur se réjouit d’entendre ses mots, ma tête ne pouvait croire à ce discours. Après tout, les mecs sont prêt à tout pour se taper ce qu’ils ont sous les yeux, surtout lorsque la proie est fraîche et pure.
— Putain, tu es toujours sur la défensive ou c’est juste pour me casser les couilles. Ecoutes, je ne vais pas chercher à te prouver ma sincérité. Ah ouais, ça me zehef de trop.
J’ai beau faire le malin, à l’intérieur, je me ne sens pas des plus à l’aise. Quand ce mec commence à s’énerve, il est difficile de ne pas « flipper sa race » comme il le dit. Sa peau tannée prend une carnation plus chaude, presque volcanique, et son corps se gonfle, comme s’il allait exploser sous la trop forte pression de ses muscles. Il me jette un regard d’aigle en chasse, prêt à fondre sur moi pour m’éventrer d’un coup de serres. Dans ses bras, mon corps commence à étouffer sous sa force herculéenne. Cependant, si un léger cri s’échappe d’entre mes dents, il est suivi d’un rire incontrôlable, qui a le mérite de le calmer d’un coup.
Dire pourquoi j’ai réagis ainsi m’est impossible. J’ai toujours eu des réactions différentes de celles qui sont prévues par le commun des mortels. La plupart du temps, les gens ont du mal à me faire face, parce que je suis constamment dans l’imprévisible, toujours où je ne suis pas attendu. Pourtant, Driss se jette sur mes lèvres pour arrêter mon rire par un de ses baisers, qui me font encore vaciller rien que d’y penser. Alliant la puissance et la profondeur, sa langue se déchaîne contre la mienne, comme un lion dans sa cage. Lorsqu’il se détache de mon visage, il m’attrape la mâchoire de ses mains puissantes et me dit :
— Est-ce que tu te rends compte que personne n’a jamais osé le quart de ce que tu te permets ?
— Je ne peux pas m’en empêcher, j’ai toujours été un petit con. Le pire reste que ça me fait mourir de rire…
— J’ai vu ça et je dois avouer que tu en deviens encore plus bandant.
Comment ne pas m’en rendre compte alors que dans notre étreinte, mon cul s’est encore positionné dans le parfait alignement de sa queue. A peine nos bières sont terminées que Driss me semble déjà prêt à repartir à l’attaque, prêt à conquérir cette terre sauvage et virginale qui est mon corps. De mon côté, je ne pense qu’à revoir son loup, car je suis incapable de m’en souvenir tellement j’étais concentré sur la tâche de son nettoyage. Je me promets que cette fois, mes yeux ne cilleront pas afin de capturer une image détaillée de son sexe. Contrairement à mon envie, le caïd a d’autres projets en tête qu’il ne tarde pas à me faire partager.
— Rien que ton visage suffit à me faire oublier ton audace, mais tu ne vas pas t’en sortir comme ça. A chaque fois qu’un keumé de la téci a essayé de se la jouer avec moi, je peux te dire qu’il se souvient des conséquences.
— Quoi ? Tu vas me défoncer la gueule à coup de poings ?
— Wesh, je ne veux pas t’abîmer, mec. Je te rappelle que tu m’appartiens alors je vais bien m’occuper de toi, mais tu vas devoir te faire pardonner. Je ne vois qu’une chose à faire : tu vas te mettre à oilpé. Je veux que tu sois nu devant moi, comme au jour de ta naissance.
Je deviens immédiatement rouge de honte. Le beau et sculptural Driss veut me voir en tenue d’Adam ou Eve, alors que mon corps est loin de pouvoir rivaliser avec le sien. Je me sens gêner face à ce colosse dont la confiance transpire par tous les pores de la peau. Je fais le grand devant le monde, mais lorsqu’il s’agit de rentrer dans mon intimité, je n’ai qu’une envie : m’enfoncer sous terre. D’une parole, il vient de briser mon armure de verre. Cependant, mon esprit reprend le dessus. Je refuse de laisser voir mon appréhension et en un clignement d’œil, je lui fais front avec détermination et effronterie. Je me lève, les deux pieds fixées au sol, et commence à retirer mon tee-shirt, avant que ma caillera ne claque de la langue sur son palais :
— Attends, je crois que tu n’as pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en m’exécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?
Le deuxième épisode de mes aventures prend fin ici, car il me reste encore beaucoup de choses à vous raconter, qui ne peuvent tenir en quelques lignes. Comme je l’ai déjà dis, envoyez moi des messages et des commentaires sur mon œuvre, surtout que je me fais un devoir d’assurer le service après lecture. D’ailleurs avant que je vous confesse mes imperfections physiques, j’aimerais vous poser une question histoire de donner plus d’interactivité : quelles sont les vôtres ?
A bientôt les gars, pour la suite de mes aventures.
Bref, rappel de la situation où nous sommes restés : prisonnier entre mes deux fesses, la queue de Driss n’avait pu résister à se répandre en plusieurs jets de sperme, alors même que nous étions encore habillés. C’est dire combien mon déhanché est magique mais, comme je viens de l’avouer à ce lascar, seule la danse que j’ai longtemps pratiqué en est responsable, puisque mon expérience sexuelle est proche de zéro. Malgré mes 25 ans, j’étais encore vierge de tous contacts à deux et je ne savais que m’amuser en solo.
— Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu m’appartiens.
Je ne suis pas le genre de gars, qui garde sa langue dans la poche. En clair, je suis incapable de la fermer. Mon esprit est porté à la rébellion, alors si on me dit oui, je dis non ou si on me dit noir, je dis blanc. Je ne le fais pas exprès, ça me vient le plus naturellement du monde. Comme dirait Egard Allan Poe, je suis possédé par le « Démon de la Perversité ». Je ne supporte aucune forme d’autorité, alors si quelqu’un essaye de m’enchaîner, je me débats comme un véritable animal sauvage. Pourtant, à peine ai-je composé mon visage de gamin effronté qu’il m’arrête en disant : « C’est mort, tu as perdu le droit de l’ouvrir. Tu m’en dois une maintenant. » Ce n’est pas tant que ces paroles me font peur, que j’ai vraiment envie de goûter à son essence d’homme. Je me tais et le laisse faire comme il souhaite gérer la situation.
Alors que je suis encore sur ses genoux, il me repousse afin de me laisser tomber sur le sol. Il se lève face à moi. Je me sens tellement petit à côté de lui que, pour la première fois, je comprends Jack ou le Petit Poucet devant leurs géants. Imposant est un euphémisme à côté de cette bête qui me domine par sa simple hauteur. Il retire d’abord ses sneakers, avant de faire tomber son jogging gris. En terme de vocabulaire sexuel, j’ai appris un nouveau mot « bulge » que je vais me faire un plaisir d’utiliser. En l’occurrence, son bulge me donne des envies voraces, auxquelles j’ai du mal à résister. Mes yeux doivent briller d’une lueur particulière, car Driss me dit :
— A te voir dans cet état, j’imagine que tu dois avoir faim. Le genre gourmand qui mange de tout et parfois même n’importe quoi. Tu vas déguster keum. Par contre, je veux uniquement voir ta langue pointer pour bien nettoyer ma queue ; pas question d’ouvrir ta bouche et de téter. Comme tu es un petit puceau, je vais t’apprendre à me satisfaire, mais avant je vais te rendre accro.
— Oui, bien sur. Tu ne veux pas aussi me la mettre à sec et te répandre à l’intérieur. (Quand je me mets en mode vénére, je deviens vulgaire.) Je ne sais pas où tu as foutu ta queue, alors je m’en approche pas.
— Zarma, comment tu te la joues ? Ecoute p’tit gars, j’ai fais des examens médicaux pour mon sport, il y a 15 jours. Si tu veux vérifier, les résultats sont dans mon keuss. Depuis, je n’ai pas eu de plans baises et presque pas de branles, comme tu vas le voir par la quantité que tu m’as fais juté.
Avec mépris, je me lève, ouvre son sac de sport, fouille allégrement jusqu’à trouver le papier en question et constate qu’il n’est pas du genre mytho. Autant vous dire que sur ceux, je suis conquis à ses paroles et je n’ai aucune velléité de révolte. Malgré son discours un peu brut, je remarque que ma virginité ne lui pose pas de problème. D’habitude, ce genre d’annonces à tendance à provoquer de l’incrédulité chez l’autre, qui pense qu’il s’agit uniquement d’attiser le désir. Ce n’est pas non plus qu’il voulait y croire par une sorte de fierté mal placée à vouloir m’initier, car j’ai pu lire dans ses yeux, qu’il avait confiance. En fait, j’ai appris plus tard qu’il était très fort pour sonder les âmes et savoir où se cache la vérité ; ainsi il savait déjà lire en moi.
Aussitôt que j’ai acquiescé d’un vague hochement de tête, il fait descendre son boxer le long de ses jambes, afin de me faire découvrir sa queue. Pour être en parfaite adéquation avec l’émotion que j’ai ressentis, je ne vous donnerais que peu de détail sur son morceau de viande. De toute façon, je discernais uniquement la belle proportion que son sexe entretenait avec ses cuisses. D’ailleurs, sans vraie comparaison, mon objectivité était nulle et non avenue, d’autant plus que sous le choc, je suis comme emporté dans un tourbillon de passions qui m’enlève toute réflexion. J’ai du mal à sentir mon cœur à tel point il bat vite. Je me sens limite partir dans les vapes. Heureusement que la musique continue de jouer, créant comme un hypnotique qui m’empêche de succomber.
Lui, ne dit rien, ne bouge pas. Il m’a dit ce que j’avais à faire ; je n’ai plus qu’à m’exécuter. Naïvement, je pense à toutes ses sucettes que j’ai lapées, à toutes ses glaces que j’ai léchouillées, sauf que l’extase est loin d’être la même. Lorsque ma langue touche la peau de son zob, mon corps se met à frissonner doucement. Comme dans un manège à sensation, je refuse de fermer les yeux, afin de vivre pleinement l’expérience. D’abord laborieusement, je commence mon travail, mais très vite, je me prends à le faire avec rigueur. Pas une goutte de son jus ne m’échappe, tellement que son pénis se retrouve luisant de salive. Driss a l’air content de moi avec son sourire de pervers.
— J’ai dis que tu ne devais laisser aucune goutte, me rappelle-il en me tendant son sous-vêtement.
Au lieu de me le donner, il me l’étale sur la gueule, essuyant l’intégralité de son boxer sur mon visage. Je n’en perds pas moins ma volonté, en aspirant la moindre surface mouillée pour récupérer sa semence. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, je ne voulais pas lui prouver ma parfaite soumission, puisque ce n’est pas dans mon caractère comme je vous l’ai déjà dit. Son sperme avait juste un goût délicieux, qui ressemblait étrangement à l’odeur qui émanait de son sexe. Quelque chose de iodée que j’identifiais à la transpiration, avec des accords légèrement sucrés et doux, créant une association animale et miellée. Je me suis régalé aussi bien à renifler qu’à avaler ses émanations corporelles.
Lorsque Monsieur est satisfait, il reprend son boxer pour se rhabiller malgré la moiteur que ma salive a laissé sur le tissu. J’ai comme une boule au ventre, lorsque la peur me saisit les entrailles de le voir partir. Je veux qu’il reste prêt de moi, à croire que l’addiction commence à faire son effet. Contre toutes attentes, il s’écroule une nouvelle fois sur le canapé, en me demandant d’aller lui chercher une nouvelle bière. Pour accompagner ses paroles, Driss se permet de me donner une tape sur les fesses, ce qui me fait sursauter. Revenant avec deux bouteilles, mon lascar m’attire à lui comme une vulgaire poupée de chiffon, en m’installant dans la courbe de ses bras.
— J’ai remarqué un truc de ouf. Quand j’ai claqué ma main sur ton p’tit cul, tu as eu une réaction chelou. Est-ce que tu flippes ta race devant moi ?
— Non, lui répliquais-je du tac au tac, je ne m’y attendais pas en fait. Ce n’est pas comme si j’avais l’habitude que le monde pose ses mains sur mon corps. Tu peux faire trois fois ma taille et me regarder avec tes yeux féroces, je m’en fous.
— Gars, tu n’as pas ta langue dans la poche, ce qui n’est fait que confirmer mon premier avis. Dès que je t’ai capté, j’ai su que tu étais façonné pour moi. D’habitude, tout le monde préfère baisser les yeux sur mon chemin ou me jeter des regards de chiennes en chaleur. Toi, tu n’as pas hésité à me dévisager droit dans les yeux, comme un félin. Direct, tu m’as foutu le barreau. Je suis rentré chez moi pour me soulager à tel point ma teub me faisait mal. Et depuis, j’ai envie de t’avoir à moi.
— Ouais, ouais, tu peux garder tes discours de lovers pour d’autres, dis-je avec désinvolture car, même si mon cœur se réjouit d’entendre ses mots, ma tête ne pouvait croire à ce discours. Après tout, les mecs sont prêt à tout pour se taper ce qu’ils ont sous les yeux, surtout lorsque la proie est fraîche et pure.
— Putain, tu es toujours sur la défensive ou c’est juste pour me casser les couilles. Ecoutes, je ne vais pas chercher à te prouver ma sincérité. Ah ouais, ça me zehef de trop.
J’ai beau faire le malin, à l’intérieur, je me ne sens pas des plus à l’aise. Quand ce mec commence à s’énerve, il est difficile de ne pas « flipper sa race » comme il le dit. Sa peau tannée prend une carnation plus chaude, presque volcanique, et son corps se gonfle, comme s’il allait exploser sous la trop forte pression de ses muscles. Il me jette un regard d’aigle en chasse, prêt à fondre sur moi pour m’éventrer d’un coup de serres. Dans ses bras, mon corps commence à étouffer sous sa force herculéenne. Cependant, si un léger cri s’échappe d’entre mes dents, il est suivi d’un rire incontrôlable, qui a le mérite de le calmer d’un coup.
Dire pourquoi j’ai réagis ainsi m’est impossible. J’ai toujours eu des réactions différentes de celles qui sont prévues par le commun des mortels. La plupart du temps, les gens ont du mal à me faire face, parce que je suis constamment dans l’imprévisible, toujours où je ne suis pas attendu. Pourtant, Driss se jette sur mes lèvres pour arrêter mon rire par un de ses baisers, qui me font encore vaciller rien que d’y penser. Alliant la puissance et la profondeur, sa langue se déchaîne contre la mienne, comme un lion dans sa cage. Lorsqu’il se détache de mon visage, il m’attrape la mâchoire de ses mains puissantes et me dit :
— Est-ce que tu te rends compte que personne n’a jamais osé le quart de ce que tu te permets ?
— Je ne peux pas m’en empêcher, j’ai toujours été un petit con. Le pire reste que ça me fait mourir de rire…
— J’ai vu ça et je dois avouer que tu en deviens encore plus bandant.
Comment ne pas m’en rendre compte alors que dans notre étreinte, mon cul s’est encore positionné dans le parfait alignement de sa queue. A peine nos bières sont terminées que Driss me semble déjà prêt à repartir à l’attaque, prêt à conquérir cette terre sauvage et virginale qui est mon corps. De mon côté, je ne pense qu’à revoir son loup, car je suis incapable de m’en souvenir tellement j’étais concentré sur la tâche de son nettoyage. Je me promets que cette fois, mes yeux ne cilleront pas afin de capturer une image détaillée de son sexe. Contrairement à mon envie, le caïd a d’autres projets en tête qu’il ne tarde pas à me faire partager.
— Rien que ton visage suffit à me faire oublier ton audace, mais tu ne vas pas t’en sortir comme ça. A chaque fois qu’un keumé de la téci a essayé de se la jouer avec moi, je peux te dire qu’il se souvient des conséquences.
— Quoi ? Tu vas me défoncer la gueule à coup de poings ?
— Wesh, je ne veux pas t’abîmer, mec. Je te rappelle que tu m’appartiens alors je vais bien m’occuper de toi, mais tu vas devoir te faire pardonner. Je ne vois qu’une chose à faire : tu vas te mettre à oilpé. Je veux que tu sois nu devant moi, comme au jour de ta naissance.
Je deviens immédiatement rouge de honte. Le beau et sculptural Driss veut me voir en tenue d’Adam ou Eve, alors que mon corps est loin de pouvoir rivaliser avec le sien. Je me sens gêner face à ce colosse dont la confiance transpire par tous les pores de la peau. Je fais le grand devant le monde, mais lorsqu’il s’agit de rentrer dans mon intimité, je n’ai qu’une envie : m’enfoncer sous terre. D’une parole, il vient de briser mon armure de verre. Cependant, mon esprit reprend le dessus. Je refuse de laisser voir mon appréhension et en un clignement d’œil, je lui fais front avec détermination et effronterie. Je me lève, les deux pieds fixées au sol, et commence à retirer mon tee-shirt, avant que ma caillera ne claque de la langue sur son palais :
— Attends, je crois que tu n’as pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en m’exécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?
Le deuxième épisode de mes aventures prend fin ici, car il me reste encore beaucoup de choses à vous raconter, qui ne peuvent tenir en quelques lignes. Comme je l’ai déjà dis, envoyez moi des messages et des commentaires sur mon œuvre, surtout que je me fais un devoir d’assurer le service après lecture. D’ailleurs avant que je vous confesse mes imperfections physiques, j’aimerais vous poser une question histoire de donner plus d’interactivité : quelles sont les vôtres ?
A bientôt les gars, pour la suite de mes aventures.
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