Un mari complaisant
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un mari complaisant
Un mari complaisant.
Je suis allongée, étendue sur le dos, dans la pénombre, je ferme les yeux pour me concentrer sur les sensations que me procure Djibril, mon amant du moment.
J'ai les jambes sur ses épaules, il est debout son sexe bute régulièrement sur le col de mon utérus. Cela fait plusieurs minutes qu'il me laboure tel un métronome.
Mes seins lourds battent la mesure, je les prends à pleine main pour les soulager. Mes tétons sont turgescents d'avoir été maltraités. De temps à autre une claque s'abat sur ma fesse gauche. J'aime cette sensation d'être sa chose, de lui appartenir, cela m'excite, le bruit aussi, je suis une putain.
La chaleur sur ma fesse n'est rien comparée à celle que je ressens sur mes joues, je brûle, on entend le clapotis obscène produit par notre accouplement. Mon plaisir monte, encore quelques claques et il accélère, son souffle aussi, je geins, que dis je, je gémis et soudain j'explose dans orgasme dévastateur . Mon amant se retire, il n'a pas joui, il n'est pas là pour ça, il est payé pour son physique et sa prestation.
Il m'a d'abord massé de façon professionnelle. Il a commencé par les pieds, les chevilles puis il est remonté sur une jambe, ses doigts pinçant le mollet puis l'étirant tandis que ses paumes effectuaient des mouvements circulaires mais fermes. Il fit la même chose à ma cuisse puis à l'autre jambe. Une bougie odorante chatouillait mes narines. Ses doigts frôlaient mes grandes lèvres puis revenaient autour de mes cuisses. Il me fit mettre sur le ventre, la tête dans les bras il s'attaqua à mon dos puis mes fesses qu'il pétrît écartant et rapprochant les deux globes. Il remît de l'huile et refit les mêmes mouvements, ses doigts s'immisçant plus loin, effleurant mon anus, jouant avec, glissant l'index en son centre comme pour en éprouver sa souplesse puis son pouce a caressé mon périnée pour se loger à l'entrée de mon vagin.
Pris en tenaille, je commençais à couler. Ses doigts continuèrent à bouger alternativement dans mes orifices. Il me fit alors retourner dans ma position initiale, sa langue cherchant mon clitoris.
De la pointe, il le fit se redresser pour ensuite mieux l'aspirer puis sa langue lapait mon jus , appuyant dessus.
Il entreprit ensuite un pelotage en règle de ma poitrine, remontant mes seins, aspirant puis mordant ses pointes entre ses dents. Il les étira et les pinça.
Il finit par mes épaules.
J'étais très impatiente que l'on s'occupe de moi au départ puis complètement détendue, sont venues des sensations contradictoires entre envie et plaisir. Le désir s'est imposé.
Il est maintenant à côté de moi, nu, sa serviette a été remplacée par une verge tendue, d'un volume conséquent qui a quelques centimètres de mes lèvres, me sollicite mais je n'ai pas envie de le satisfaire maintenant, je suis sa cliente, il est à mon service et il est trop tôt pour renverser les rôles.
Ma main, instinctivement s'en empare, je soulève ses attributs, soupèse les bourses, les fait rouler entre mes doigts. Elles me promettent du bon jus.
Je teste l'élasticité de sa verge, j'appuie vers le bas et relâche ma main, elle reprend immédiatement sa position initiale, je tapote plusieurs fois, cela m'amuse . Sa libido est solide et promet.
Je relève mes jambes et lui commande de me pénétrer : « Fais moi jouir, vite ! »
Il s'exécute, il balaye de sa verge encapuchonnée de haut en bas, l'entrée de mon vagin puis s'introduit d'une traite. J'adore ressentir la progression du mandrin en moi. La sensation d’être pénétrée. Je suis pleine et je vais être rassasiée.
Je me sens réellement honorée, je suis une femme comblée. Quoique pensent les féministes, je me sens réellement femme non sujette aux hommes mais femme remplie par un homme qui va me donner du plaisir.
Je sais que mon mari attend dans la pièce à côté, qu'il n'en perd pas une miette à travers la vitre sans tain. Une caméra est dans l'axe au dessus du masseur , une autre, au niveau de ma tête. Il voit tout sur les écrans d'ordinateurs de son bureau.
C'est lui qui a choisi ce masseur un peu particulier à domicile. Il s'est entendu sur la prestation et le prix.
Lui :
Mon grand plaisir, c'est de voir ma femme prendre du plaisir. Cela fait vingt ans que cela dure. Nous allons régulièrement en club où j'ai eu ses coordonnées.
S'installer en ville, en ouvrant un cabinet de kiné est difficile financièrement surtout quand on doit aussi, rembourser un prêt étudiant.
Djibril est célibataire et libertin. Il est régulièrement invité comme performeur et dispose d'un réseau.
Nous fréquentons ce club en soirée mixte. Nous prévenons quelques jours à l'avance et nous sommes sûrs de rencontrer chaussures à nos pieds.
Ma femme est une belle femme un peu plantureuse, plus grande que la moyenne avec des seins lourds, une chevelure abondante, une peau claire, des hanches larges aussi. Un très beau sourire aux dents parfaites et des yeux magnifiques.
Une autorité naturelle émane d'elle.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions étudiants, elle en droit, moi en économie. Elle était très mutine et avait beaucoup de succès. J'étais plutôt renfermé et un peu geek avant l'heure.
Elle m'avait choisi comme confident et passions beaucoup de temps ensembles.
J'avais une voiture et j'étais devenu aussi son chauffeur. Lorsque nous allions à une soirée, je restais le plus souvent en retrait près du buffet pendant qu'elle se déhanchait sur la piste, elle aimait se trémousser en montrant son décolleté et ses formes.
C'était l'époque des mini jupes et des hauts moulants. Elle aimait plaire et elle plaisait. Souvent elle se faisait raccompagner et je rentrais seul.
Je l'accompagnais aussi en boîte, gratuite pour les filles, spéciale soirée étudiante… et il m'est arrivé de la ramener avec un ou des amis.
Une fois, elle embrassait un gars à l'arrière pendant que l'autre couple et moi faisions tapisserie.
Je m'arrangeais pour l'observer attentivement dans le rétroviseur avec un sentiment d'envie et de frustration. J’y trouvais une jouissance intérieure, cérébrale d'un plaisir qui m'étais interdit . Je voulais que la scène dure et aille plus loin. Ce que je ressens est tout sauf de la jalousie. Je suis physiquement tendu, torturé à l'idée que c'est un autre qui a le privilège de la posséder. Moi je suis le spectateur de mon impuissance. J'aime cette douleur, j'en jouis et la recherche, je jouis de ma chasteté volontaire puis cela m'excite bien plus qu'un film porno. Le réel est bien plus excitant, encore plus si celle que j'aime qui s'offre à d'autres.
Je me mis à rechercher les lieux et les moments où elle flirtait à la fac ou dans les lieux publics, je guettais les moments où elle allait retrouver son petit ami du moment . Parfois, elle me demandait de la déposer en voiture pour ensuite venir la rechercher. J'étais devenu son mentor.
Impatiente à l'aller, soucieuse de son apparence, elle était différente au retour, apaisée, détendue, heureuse. Bavarde aussi, une véritable pipelette, je la trouvais encore plus magnifique.
Ensemble, nous parlions de tout, étude, société, formation, emploi, mode, lettres et spectacles…
Elle allait régulièrement au cinéma où elle associait cinéphilie et flirt.
Elle me racontait ses frasques, m'interrogeant sur les qualités de ses amants et les plaisirs troubles qui l'agitaient. Elle se demandait si elle était nymphomane, d'où lui venait ses impulsions, si elle était exhibitionniste, si elle était normale quoi.
Régulièrement, elle avait ses périodes de dépression et je lui remontais le moral, vantant ses qualités et sa beauté. Elle était ma Maryline et elle en avait la fragilité.
A mon tour, je lui avouais mon amour éperdue , la séduction implacable qu'elle exerçait sur moi, le plaisir que je prenais de la voir ou savoir dans les bras d'un autre.
Nous avons fait l'amour divinement avec beaucoup de fougue au début et de tendresse par la suite.
Nous avons vécu ensembles et mis en place des scénarios pour notre plus grand plaisir. Ainsi, au cinéma, nous arrivions séparément et je me plaçais derrière elle, légèrement sur le coté.
J'assistais à leurs approches puis leurs effusions et je devinais ou imaginais ce qui se passait sous la ceinture. A la sortie après qu'elle est éconduit ou donner un mauvais numéro ou parfois fixer un futur rendez-vous avec son amant, nous nous précipitations l'un avec l'autre. Ma main passait sous sa jupe. Parfois, elle n'avait pas de culotte et je fouillais son sexe puis le portait à mes narines.
Je recherchais les odeurs musquées et marines de son plaisir. A mon tour, je glissais mes mains sous son pull ou dans son décolleté et pétrissait sa poitrine.
La nuit de notre mariage, quand j'ai commencé à la déshabiller, elle a pris ma main et l'a plaqué sur son sexe. Son string était gluant, mes doigts se sont alors enfoncés dans son vagin rempli de foutre.
Elle m'a avoué qu'elle venait de s'offrir à un gentil serveur qui généreusement l'a partagé avec ses collègues dans la réserve. Il n'y avait plus personne et elle en mourrait d'envie.
Nous avions évoqué ce possible fantasme quelques jours plus tôt.
Pour se faire pardonner, elle m'a gratifié d'une superbe fellation et m'a offert son pucelage anal. J'ai pris encore plus de plaisir à la déflorer ainsi après son gang bang en cuisine.
Nous avons passé un contrat : Pas de relation extraconjugale sans mon consentement et ma participation car je participe à son plaisir en tant que voyeur.
Nous menions pour notre entourage, une vie simple et rangée. Nous nous réservions pour nos escapades loin6. Cela n’arrivait qu’en voyage et en vacances. Le reste du temps, nous étions un gentil couple sage très amoureux.
C'était souvent le personnel hôtelier qui profitait de l'opportunité. Lorsque le petit déjeuner arrivait, ma femme était nue sur le lit, cuisses grandes ouvertes enveloppée dans le drap, si le garçon lui plaisait, elle se dénudais et l'invitait à la rejoindre.
J'étais dans la salle de bain attenante, porte ouverte à l'affût. En général, après quelques secondes d'hésitation, le pauvre garçon se retrouvait pantalon baissé, une bouche gourmande autour de sa verge.
Elle :
C'est un moment délicieux où je sens que j'ai pris le pouvoir, sa verge grandit dans mon palais. De la langue, je l'ai goûté, mes lèvres ont enveloppé le gland puis ma langue a titillé le méat avant de l'écraser contre la voûte de mon palais puis je coulisse en m'aidant de la main quand elle prenne une bonne dimension.
J'aime les bites circoncises, plus esthétiques et moins fragiles. Pas de frein, c'est mieux et plus hygiénique. Puis je mets le petit capuchon avec les dents.
Pas besoin de longs discours, le message est international. Je me tourne et me cambre. Je sens le serveur monter sur lit et m'embrocher. Il me lime ainsi quelques minutes puis s'abat sur mes fesses.
Je me retourne, saisit la base de sa verge et récupère le préservatif usagé. Un généreux pourboire termine l'entretien…
Il n'est pas rare qu'un autre garçon d'étage vienne récupérer le charriot. Il trouve alors mon mari qui le prend par les épaules et le guide vers mon entrejambe.
La personne comprend d’emblée à la vue du billet vert posé sur mon ventre.
Dans ces hôtels exotiques, le personnel est souvent masculin du Sud-est asiatique, jeune et en manque de femme. Mais le cunnilingus n'est pas leur tasse de thé et il faut parfois insister.
Mon mari assiste aux préliminaires et fait œuvre de pédagogie. Puis il assiste au congrès proprement dit.
Soit, il prend alors la suite, soit, il se masturbe et se repends sur mon ventre et mes seins. J'aime voir sa semence gicler alors que les autres rapports sont protégés.
Il y a aussi les rencontres improbables sur la plage, la piscine ou en boîte. Nous sommes en vacances.
Nous sommes en vacances et ma femme sait se mettre en valeur. Elle drague même effrontément pour mon plus grand plaisir.
Au début, elle chassait le beau mâle viril carré moustachu : le prof de sport, le voisin de table ou le garçon d'étage puis avec l'âge c'était plutôt le G.O des clubs med que nous avons beaucoup fréquentés.
Aujourd'hui, la quarantaine bien avancée, c'est devenu une cougar, s'attaquant aux moins de trente ans. Et elle a beaucoup de succès.
Le net a remplacé la drague directe mais je constate que beaucoup d'ados la remarque et font des commentaires dans son dos. Je marche souvent quelques mètres derrière elle et j'admire sa silhouette. Au café, il y a beaucoup d'échanges de regards et certains ont le culot de lui demander son 06. Elle rit, appréciant et le gratifie d'une caresse sur le derrière des cuisses et des fesses. Il arrive aussi qu'il s'installe à sa table et se montre très persuasif. Évidemment je suis à la table en retrait en train de lire le journal.
Quand les beaux jours arrivent, nous fréquentons quelquefois une plage coquine à une heure de voiture. Sur ces plages, il y beaucoup de promeneurs le long du rivage. Nous nous plaçons à quelques mètres en retrait sur des lits pliants. On est plutôt dans l'exhibition réciproque. Les contacts entre couples échangistes se font souvent dans l'eau : « Elle est bonne ! Hein ?
Ta femme aussi ? » Voilà pour le niveau.
Il y a les habitués, les vrais groupes naturistes mais pas aux mêmes endroits. Et puis il y a la pinède et les dunes, domaine de toutes les transgressions. Nous , nous aimons choisir.
On y voit les allumeurs qui se caressent jusqu'à attirer des dizaines de voyeurs puis qui partent en maugréant sur la fréquentation du lieux et il y a aussi de vrais candaulistes.
Généralement, la femme nue, allongée sur une natte, offant ses fesses. Plusieurs hommes se masturbent puis la pénètrent à tour de rôle. Parfois ils sont deux car elle suce le second. Il n'y a pas d'échange, c'est de l'abattage. Après une demi-heure de jeu, le couple retourne sur la plage.
Nous trouvons cela trivial, ce n'est pas ce que nous cherchons. Nous avons essayé aussi le Cap d’Agde et y avons fait des rencontres intéressantes dans des soirées privées.
Actuellement, nous privilégions les clubs. En soirée ou en après midi. Nous savons que la clientèle est sélectionnée, nous sommes en confiance.
Nous apprécions aussi la partie humide. C'est à la fois relaxant et dépaysant. Ces lieux sont aussi propices aux attouchements. Nous aimons les approches tactiles dans le jacuzzi et les caresses dans le hammam.
Nous y avons nos habitudes et nos habitués et nous sommes surtout les bienvenus. Des que ma femme a revêtu son paréo, nous nous installons au bar où nous est offert un cocktail épicé à base de champagne. Puis je m'en écarte et la laisse jouer.
Un homme s'approche il est dans la quarantaine entretenue, il la salue et demande à s'assoir. Il lui demande ce qu'elle veut boire et elle commande un second cocktail. L'alcool la désinhibe, elle en ressent rapidement les effets et la chaleur lui monte à la tête. D'un ton badin, il questionne ma bien aimée sur sa connaissance des lieux et ses motivations. Il la complimente et lui avoue son attirance. Son alliance la rassure et il file directement vers les coins câlins à l'étage. Elle choisit celui qui est plein de miroirs et possède un gloryhole qui permet à contrario de voir de l'extérieur. C'est mon lieu d'observation. Je l'y attend depuis un bon moment.
Elle enlève dans un geste théâtral son paréo qu'elle jette sur le matelas, il enlève sa serviette autour de la taille laissant apparaître un sexe normalement constitué.
Il s'embrassent et ses mains parcourent sa poitrine velue. Il s'empare de ses seins, les prends par-dessous et les malaxe. Elle aime cette sensation et l'aide en lui tournant le dos, il la couvre et l'embrasse à la base du cou, elle sent son sexe contre ses fesses. Elle se retourne, se met à genoux et s'empare de sa verge à demi molle. Elle le décalotte complètement, en vérifie la propreté avant de le prendre en bouche complètement. Elle fait de longs aller retours le long de sa hampe, tandis qu'il rampe vers son bassin. Elle ouvre ses cuisses pour lui laisser l'accès à sa fleur. Il s'en empare avec férocité et butine son pistil.
Ils se savourent mutuellement puis il se dégage de sa bouche, prend un préservatif et le déroule sur son membre en complète érection. Il vient à sa rencontre et après quelques tâtonnements la pénètre. Bien installé, il coïte.
J'aimerais être au plus près de l'action, renifler les odeurs, caresser mon épouse, sentir sa jouissance monter mais je suis prisonnier de mon vice, la cloison me condamne aux tourments de la frustration. Je ne suis même pas en érection, ma main me masturbe machinalement, espérant une éjaculation libératrice, une bouche pourrait m'y aider.
Nous avons essayé les soirées couples, bien souvent la femme cherche une relation saphique pour exciter les hommes tout en prenant du plaisir mais ce n'est pas ce qu'elle recherche. Quant à moi , je suis impuissant, seul ce qui se passe à côté de moi m'excite. Ma partenaire s'en rend vite compte et en est mortifiée.
C'est son plaisir qui m'importe, je dirais même que c'est après, le moment le plus jouissif quand elle en parle. Je revis ces moments avec délectation en images dans ma tête. C'est aussi les préliminaires à nos relations sexuelles car nous sommes un couple fusionnel, très attentionné et attaché l'un à l'autre.
L'homme quitte la pièce après avoir joui et l'établissement car marié.
Nous, nous restons. Petit tour au bar où la patronne se renseigne sur les capacités du bonhomme….
Puis nous repartons vers la zone humide, prenons une bonne douche, direction le jacuzzi occupé par deux hommes. Ils nous ont vu arriver ensemble et nous nous installons en vis à vis et nous nous laissons bercer par le bruit des bulles.
Elle :
Trois minutes tranquilles, on m'a touché le pied droit… quelques secondes plus tard, une main m'a effleuré la cuisse gauche. Je n'ai pas répondu à l'appel de mon pied droit. Je fais celle qui n'a rien senti…. La main à ma gauche revient, cette fois ci, elle caresse l'intérieur de ma cuisse gauche. J'ai les jambes écartées, les yeux mi clôts, la main se pose directement sur ma vulve. Je la retire aussitôt. Un peu plus de prévenance messieurs. S'il recommence, je serai obligée de sortir.
Pourtant l'idée de faire l'amour avec deux hommes m'émoustille, si celui de droite est un peu bedonnant celui de gauche à l'air très mignon. Peut-être un peu trop inexpérimenté ou trop impatient. Attendons de voir. Il se lève, je peux admirer sa musculature fine, ses beaux yeux et sa petite barbe de lascar. II me regarde intensément et se dirige vers le hammam. Mon voisin de droite qui a remarqué le manège me dit qu'il ne peut rivaliser. Je lui réponds que tout n'est pas uniquement une question de physique mais de séduction. Il se vante en parlant de son expérience. Je le mets au défi de me le prouver et me dirige à mon tour vers le hammam où je retrouve le gamin.
Pour moi, gamin c'est moins de trente ans…
La porte est à peine refermée que s'invite mon mature bedonnant et velu. Le jeune est assis sur une banquette carrelée, je m'y allonge et pose ma tête d'entrée sur ses cuisses. Il ne dit rien et reste immobile.
L'autre s'assoit à mes pieds et les prends dans ses mains et commence à me masser. Le jeune se tourne légèrement et prend mes seins dans ses mains. Je me tourne et j'ai le visage contre son bassin, il soulève ma tête et prend ses attributs en mains puis resserre les cuisses. Mes lèvres sont sur sa hampe, de ma langue je le lèche, sa verge juvénile s'allonge et grossit. Elle est très belle.
Je décide de la suite. Je les prends par la main, direction la douche puis le même coin câlin avec ses miroirs.
Mon mari qui est resté dans le jacuzzi nous suit.
Il va assister à la double pénétration de sa femme. J'espère que son plaisir sera décuplé….
Le jeune est sur le dos, je le suce à genoux le buste en avant bien cambré, le petit gros à son tour est couché sur le dos , sa tête sous mon bassin, la bouche collée comme une ventouse sur mon sexe.
Il me lèche et m'aspire. Effectivement, il est doué, il n'a pas menti. Les miroirs reflètent à l'infini cette scène orgiaque. Mon mari ne rate pas une miette de la partouze. Mon suceur s'attaque maintenant à ma rosette. C'est d'une grande sensualité et le coté pervers me ravit.
Maintenant, je mets un préservatif sur la verge du petit jeune et je m'empale aussitôt, il caresse mes seins qu'il soulève et laisse retomber. Pour l'instant c'est moi qui me soulève et retombe sur son braquemart. Mon lécheur a remplacé sa langue par un puis deux doigts. Il a rajouté du gel et effectue des cercles. S'il cherche ma prostate il va être déçu…
Il se relève et vient se présenter devant ma bouche, j'essaie de le prendre mais ce n'est pas facile.
Nous changeons de position. Le petit jeune me prend en levrette et je suce son acolyte qui pour le coup en profite pour baiser ma bouche. Il m'insulte le con, me traite de vieille pute, que je vais tout prendre sur la gueule, que des salopes comme moi, elles font le tapin au bois..
Le petit jeune lui aussi me laboure bien, les insultes ont l'air de le motiver encore plus. Il accélère et remplit sa capote.
Le beauf sexiste et sans doute raciste prend sa place et me besogne. Il tient bien le salaud. Sûr qu'il s'est chargé au viagra. Nous changeons à nouveau de position. En missionnaire, cette fois ci, les jambes sur ses épaules, il me pourfend, une machine à baiser et ça dure. Mon plaisir ne vient pas, le sien non plus, les miroirs renvoient l'image de deux êtres fatigués. Il débande.
Penaud, notre Don Juan file à l'anglaise, la capote collée à sa bite. Mon mari me rejoint. Il m'enveloppe dans mon paréo et ses bras. Il me chuchote : « La chair est triste sans amour. »
Nous prenons une dernière douche bien chaude et le chemin de la maison.
Le soir, nous faisons un gros câlin plein de tendresse. Notre après midi avait bien commencé.
Je suis allongée, étendue sur le dos, dans la pénombre, je ferme les yeux pour me concentrer sur les sensations que me procure Djibril, mon amant du moment.
J'ai les jambes sur ses épaules, il est debout son sexe bute régulièrement sur le col de mon utérus. Cela fait plusieurs minutes qu'il me laboure tel un métronome.
Mes seins lourds battent la mesure, je les prends à pleine main pour les soulager. Mes tétons sont turgescents d'avoir été maltraités. De temps à autre une claque s'abat sur ma fesse gauche. J'aime cette sensation d'être sa chose, de lui appartenir, cela m'excite, le bruit aussi, je suis une putain.
La chaleur sur ma fesse n'est rien comparée à celle que je ressens sur mes joues, je brûle, on entend le clapotis obscène produit par notre accouplement. Mon plaisir monte, encore quelques claques et il accélère, son souffle aussi, je geins, que dis je, je gémis et soudain j'explose dans orgasme dévastateur . Mon amant se retire, il n'a pas joui, il n'est pas là pour ça, il est payé pour son physique et sa prestation.
Il m'a d'abord massé de façon professionnelle. Il a commencé par les pieds, les chevilles puis il est remonté sur une jambe, ses doigts pinçant le mollet puis l'étirant tandis que ses paumes effectuaient des mouvements circulaires mais fermes. Il fit la même chose à ma cuisse puis à l'autre jambe. Une bougie odorante chatouillait mes narines. Ses doigts frôlaient mes grandes lèvres puis revenaient autour de mes cuisses. Il me fit mettre sur le ventre, la tête dans les bras il s'attaqua à mon dos puis mes fesses qu'il pétrît écartant et rapprochant les deux globes. Il remît de l'huile et refit les mêmes mouvements, ses doigts s'immisçant plus loin, effleurant mon anus, jouant avec, glissant l'index en son centre comme pour en éprouver sa souplesse puis son pouce a caressé mon périnée pour se loger à l'entrée de mon vagin.
Pris en tenaille, je commençais à couler. Ses doigts continuèrent à bouger alternativement dans mes orifices. Il me fit alors retourner dans ma position initiale, sa langue cherchant mon clitoris.
De la pointe, il le fit se redresser pour ensuite mieux l'aspirer puis sa langue lapait mon jus , appuyant dessus.
Il entreprit ensuite un pelotage en règle de ma poitrine, remontant mes seins, aspirant puis mordant ses pointes entre ses dents. Il les étira et les pinça.
Il finit par mes épaules.
J'étais très impatiente que l'on s'occupe de moi au départ puis complètement détendue, sont venues des sensations contradictoires entre envie et plaisir. Le désir s'est imposé.
Il est maintenant à côté de moi, nu, sa serviette a été remplacée par une verge tendue, d'un volume conséquent qui a quelques centimètres de mes lèvres, me sollicite mais je n'ai pas envie de le satisfaire maintenant, je suis sa cliente, il est à mon service et il est trop tôt pour renverser les rôles.
Ma main, instinctivement s'en empare, je soulève ses attributs, soupèse les bourses, les fait rouler entre mes doigts. Elles me promettent du bon jus.
Je teste l'élasticité de sa verge, j'appuie vers le bas et relâche ma main, elle reprend immédiatement sa position initiale, je tapote plusieurs fois, cela m'amuse . Sa libido est solide et promet.
Je relève mes jambes et lui commande de me pénétrer : « Fais moi jouir, vite ! »
Il s'exécute, il balaye de sa verge encapuchonnée de haut en bas, l'entrée de mon vagin puis s'introduit d'une traite. J'adore ressentir la progression du mandrin en moi. La sensation d’être pénétrée. Je suis pleine et je vais être rassasiée.
Je me sens réellement honorée, je suis une femme comblée. Quoique pensent les féministes, je me sens réellement femme non sujette aux hommes mais femme remplie par un homme qui va me donner du plaisir.
Je sais que mon mari attend dans la pièce à côté, qu'il n'en perd pas une miette à travers la vitre sans tain. Une caméra est dans l'axe au dessus du masseur , une autre, au niveau de ma tête. Il voit tout sur les écrans d'ordinateurs de son bureau.
C'est lui qui a choisi ce masseur un peu particulier à domicile. Il s'est entendu sur la prestation et le prix.
Lui :
Mon grand plaisir, c'est de voir ma femme prendre du plaisir. Cela fait vingt ans que cela dure. Nous allons régulièrement en club où j'ai eu ses coordonnées.
S'installer en ville, en ouvrant un cabinet de kiné est difficile financièrement surtout quand on doit aussi, rembourser un prêt étudiant.
Djibril est célibataire et libertin. Il est régulièrement invité comme performeur et dispose d'un réseau.
Nous fréquentons ce club en soirée mixte. Nous prévenons quelques jours à l'avance et nous sommes sûrs de rencontrer chaussures à nos pieds.
Ma femme est une belle femme un peu plantureuse, plus grande que la moyenne avec des seins lourds, une chevelure abondante, une peau claire, des hanches larges aussi. Un très beau sourire aux dents parfaites et des yeux magnifiques.
Une autorité naturelle émane d'elle.
Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous étions étudiants, elle en droit, moi en économie. Elle était très mutine et avait beaucoup de succès. J'étais plutôt renfermé et un peu geek avant l'heure.
Elle m'avait choisi comme confident et passions beaucoup de temps ensembles.
J'avais une voiture et j'étais devenu aussi son chauffeur. Lorsque nous allions à une soirée, je restais le plus souvent en retrait près du buffet pendant qu'elle se déhanchait sur la piste, elle aimait se trémousser en montrant son décolleté et ses formes.
C'était l'époque des mini jupes et des hauts moulants. Elle aimait plaire et elle plaisait. Souvent elle se faisait raccompagner et je rentrais seul.
Je l'accompagnais aussi en boîte, gratuite pour les filles, spéciale soirée étudiante… et il m'est arrivé de la ramener avec un ou des amis.
Une fois, elle embrassait un gars à l'arrière pendant que l'autre couple et moi faisions tapisserie.
Je m'arrangeais pour l'observer attentivement dans le rétroviseur avec un sentiment d'envie et de frustration. J’y trouvais une jouissance intérieure, cérébrale d'un plaisir qui m'étais interdit . Je voulais que la scène dure et aille plus loin. Ce que je ressens est tout sauf de la jalousie. Je suis physiquement tendu, torturé à l'idée que c'est un autre qui a le privilège de la posséder. Moi je suis le spectateur de mon impuissance. J'aime cette douleur, j'en jouis et la recherche, je jouis de ma chasteté volontaire puis cela m'excite bien plus qu'un film porno. Le réel est bien plus excitant, encore plus si celle que j'aime qui s'offre à d'autres.
Je me mis à rechercher les lieux et les moments où elle flirtait à la fac ou dans les lieux publics, je guettais les moments où elle allait retrouver son petit ami du moment . Parfois, elle me demandait de la déposer en voiture pour ensuite venir la rechercher. J'étais devenu son mentor.
Impatiente à l'aller, soucieuse de son apparence, elle était différente au retour, apaisée, détendue, heureuse. Bavarde aussi, une véritable pipelette, je la trouvais encore plus magnifique.
Ensemble, nous parlions de tout, étude, société, formation, emploi, mode, lettres et spectacles…
Elle allait régulièrement au cinéma où elle associait cinéphilie et flirt.
Elle me racontait ses frasques, m'interrogeant sur les qualités de ses amants et les plaisirs troubles qui l'agitaient. Elle se demandait si elle était nymphomane, d'où lui venait ses impulsions, si elle était exhibitionniste, si elle était normale quoi.
Régulièrement, elle avait ses périodes de dépression et je lui remontais le moral, vantant ses qualités et sa beauté. Elle était ma Maryline et elle en avait la fragilité.
A mon tour, je lui avouais mon amour éperdue , la séduction implacable qu'elle exerçait sur moi, le plaisir que je prenais de la voir ou savoir dans les bras d'un autre.
Nous avons fait l'amour divinement avec beaucoup de fougue au début et de tendresse par la suite.
Nous avons vécu ensembles et mis en place des scénarios pour notre plus grand plaisir. Ainsi, au cinéma, nous arrivions séparément et je me plaçais derrière elle, légèrement sur le coté.
J'assistais à leurs approches puis leurs effusions et je devinais ou imaginais ce qui se passait sous la ceinture. A la sortie après qu'elle est éconduit ou donner un mauvais numéro ou parfois fixer un futur rendez-vous avec son amant, nous nous précipitations l'un avec l'autre. Ma main passait sous sa jupe. Parfois, elle n'avait pas de culotte et je fouillais son sexe puis le portait à mes narines.
Je recherchais les odeurs musquées et marines de son plaisir. A mon tour, je glissais mes mains sous son pull ou dans son décolleté et pétrissait sa poitrine.
La nuit de notre mariage, quand j'ai commencé à la déshabiller, elle a pris ma main et l'a plaqué sur son sexe. Son string était gluant, mes doigts se sont alors enfoncés dans son vagin rempli de foutre.
Elle m'a avoué qu'elle venait de s'offrir à un gentil serveur qui généreusement l'a partagé avec ses collègues dans la réserve. Il n'y avait plus personne et elle en mourrait d'envie.
Nous avions évoqué ce possible fantasme quelques jours plus tôt.
Pour se faire pardonner, elle m'a gratifié d'une superbe fellation et m'a offert son pucelage anal. J'ai pris encore plus de plaisir à la déflorer ainsi après son gang bang en cuisine.
Nous avons passé un contrat : Pas de relation extraconjugale sans mon consentement et ma participation car je participe à son plaisir en tant que voyeur.
Nous menions pour notre entourage, une vie simple et rangée. Nous nous réservions pour nos escapades loin6. Cela n’arrivait qu’en voyage et en vacances. Le reste du temps, nous étions un gentil couple sage très amoureux.
C'était souvent le personnel hôtelier qui profitait de l'opportunité. Lorsque le petit déjeuner arrivait, ma femme était nue sur le lit, cuisses grandes ouvertes enveloppée dans le drap, si le garçon lui plaisait, elle se dénudais et l'invitait à la rejoindre.
J'étais dans la salle de bain attenante, porte ouverte à l'affût. En général, après quelques secondes d'hésitation, le pauvre garçon se retrouvait pantalon baissé, une bouche gourmande autour de sa verge.
Elle :
C'est un moment délicieux où je sens que j'ai pris le pouvoir, sa verge grandit dans mon palais. De la langue, je l'ai goûté, mes lèvres ont enveloppé le gland puis ma langue a titillé le méat avant de l'écraser contre la voûte de mon palais puis je coulisse en m'aidant de la main quand elle prenne une bonne dimension.
J'aime les bites circoncises, plus esthétiques et moins fragiles. Pas de frein, c'est mieux et plus hygiénique. Puis je mets le petit capuchon avec les dents.
Pas besoin de longs discours, le message est international. Je me tourne et me cambre. Je sens le serveur monter sur lit et m'embrocher. Il me lime ainsi quelques minutes puis s'abat sur mes fesses.
Je me retourne, saisit la base de sa verge et récupère le préservatif usagé. Un généreux pourboire termine l'entretien…
Il n'est pas rare qu'un autre garçon d'étage vienne récupérer le charriot. Il trouve alors mon mari qui le prend par les épaules et le guide vers mon entrejambe.
La personne comprend d’emblée à la vue du billet vert posé sur mon ventre.
Dans ces hôtels exotiques, le personnel est souvent masculin du Sud-est asiatique, jeune et en manque de femme. Mais le cunnilingus n'est pas leur tasse de thé et il faut parfois insister.
Mon mari assiste aux préliminaires et fait œuvre de pédagogie. Puis il assiste au congrès proprement dit.
Soit, il prend alors la suite, soit, il se masturbe et se repends sur mon ventre et mes seins. J'aime voir sa semence gicler alors que les autres rapports sont protégés.
Il y a aussi les rencontres improbables sur la plage, la piscine ou en boîte. Nous sommes en vacances.
Nous sommes en vacances et ma femme sait se mettre en valeur. Elle drague même effrontément pour mon plus grand plaisir.
Au début, elle chassait le beau mâle viril carré moustachu : le prof de sport, le voisin de table ou le garçon d'étage puis avec l'âge c'était plutôt le G.O des clubs med que nous avons beaucoup fréquentés.
Aujourd'hui, la quarantaine bien avancée, c'est devenu une cougar, s'attaquant aux moins de trente ans. Et elle a beaucoup de succès.
Le net a remplacé la drague directe mais je constate que beaucoup d'ados la remarque et font des commentaires dans son dos. Je marche souvent quelques mètres derrière elle et j'admire sa silhouette. Au café, il y a beaucoup d'échanges de regards et certains ont le culot de lui demander son 06. Elle rit, appréciant et le gratifie d'une caresse sur le derrière des cuisses et des fesses. Il arrive aussi qu'il s'installe à sa table et se montre très persuasif. Évidemment je suis à la table en retrait en train de lire le journal.
Quand les beaux jours arrivent, nous fréquentons quelquefois une plage coquine à une heure de voiture. Sur ces plages, il y beaucoup de promeneurs le long du rivage. Nous nous plaçons à quelques mètres en retrait sur des lits pliants. On est plutôt dans l'exhibition réciproque. Les contacts entre couples échangistes se font souvent dans l'eau : « Elle est bonne ! Hein ?
Ta femme aussi ? » Voilà pour le niveau.
Il y a les habitués, les vrais groupes naturistes mais pas aux mêmes endroits. Et puis il y a la pinède et les dunes, domaine de toutes les transgressions. Nous , nous aimons choisir.
On y voit les allumeurs qui se caressent jusqu'à attirer des dizaines de voyeurs puis qui partent en maugréant sur la fréquentation du lieux et il y a aussi de vrais candaulistes.
Généralement, la femme nue, allongée sur une natte, offant ses fesses. Plusieurs hommes se masturbent puis la pénètrent à tour de rôle. Parfois ils sont deux car elle suce le second. Il n'y a pas d'échange, c'est de l'abattage. Après une demi-heure de jeu, le couple retourne sur la plage.
Nous trouvons cela trivial, ce n'est pas ce que nous cherchons. Nous avons essayé aussi le Cap d’Agde et y avons fait des rencontres intéressantes dans des soirées privées.
Actuellement, nous privilégions les clubs. En soirée ou en après midi. Nous savons que la clientèle est sélectionnée, nous sommes en confiance.
Nous apprécions aussi la partie humide. C'est à la fois relaxant et dépaysant. Ces lieux sont aussi propices aux attouchements. Nous aimons les approches tactiles dans le jacuzzi et les caresses dans le hammam.
Nous y avons nos habitudes et nos habitués et nous sommes surtout les bienvenus. Des que ma femme a revêtu son paréo, nous nous installons au bar où nous est offert un cocktail épicé à base de champagne. Puis je m'en écarte et la laisse jouer.
Un homme s'approche il est dans la quarantaine entretenue, il la salue et demande à s'assoir. Il lui demande ce qu'elle veut boire et elle commande un second cocktail. L'alcool la désinhibe, elle en ressent rapidement les effets et la chaleur lui monte à la tête. D'un ton badin, il questionne ma bien aimée sur sa connaissance des lieux et ses motivations. Il la complimente et lui avoue son attirance. Son alliance la rassure et il file directement vers les coins câlins à l'étage. Elle choisit celui qui est plein de miroirs et possède un gloryhole qui permet à contrario de voir de l'extérieur. C'est mon lieu d'observation. Je l'y attend depuis un bon moment.
Elle enlève dans un geste théâtral son paréo qu'elle jette sur le matelas, il enlève sa serviette autour de la taille laissant apparaître un sexe normalement constitué.
Il s'embrassent et ses mains parcourent sa poitrine velue. Il s'empare de ses seins, les prends par-dessous et les malaxe. Elle aime cette sensation et l'aide en lui tournant le dos, il la couvre et l'embrasse à la base du cou, elle sent son sexe contre ses fesses. Elle se retourne, se met à genoux et s'empare de sa verge à demi molle. Elle le décalotte complètement, en vérifie la propreté avant de le prendre en bouche complètement. Elle fait de longs aller retours le long de sa hampe, tandis qu'il rampe vers son bassin. Elle ouvre ses cuisses pour lui laisser l'accès à sa fleur. Il s'en empare avec férocité et butine son pistil.
Ils se savourent mutuellement puis il se dégage de sa bouche, prend un préservatif et le déroule sur son membre en complète érection. Il vient à sa rencontre et après quelques tâtonnements la pénètre. Bien installé, il coïte.
J'aimerais être au plus près de l'action, renifler les odeurs, caresser mon épouse, sentir sa jouissance monter mais je suis prisonnier de mon vice, la cloison me condamne aux tourments de la frustration. Je ne suis même pas en érection, ma main me masturbe machinalement, espérant une éjaculation libératrice, une bouche pourrait m'y aider.
Nous avons essayé les soirées couples, bien souvent la femme cherche une relation saphique pour exciter les hommes tout en prenant du plaisir mais ce n'est pas ce qu'elle recherche. Quant à moi , je suis impuissant, seul ce qui se passe à côté de moi m'excite. Ma partenaire s'en rend vite compte et en est mortifiée.
C'est son plaisir qui m'importe, je dirais même que c'est après, le moment le plus jouissif quand elle en parle. Je revis ces moments avec délectation en images dans ma tête. C'est aussi les préliminaires à nos relations sexuelles car nous sommes un couple fusionnel, très attentionné et attaché l'un à l'autre.
L'homme quitte la pièce après avoir joui et l'établissement car marié.
Nous, nous restons. Petit tour au bar où la patronne se renseigne sur les capacités du bonhomme….
Puis nous repartons vers la zone humide, prenons une bonne douche, direction le jacuzzi occupé par deux hommes. Ils nous ont vu arriver ensemble et nous nous installons en vis à vis et nous nous laissons bercer par le bruit des bulles.
Elle :
Trois minutes tranquilles, on m'a touché le pied droit… quelques secondes plus tard, une main m'a effleuré la cuisse gauche. Je n'ai pas répondu à l'appel de mon pied droit. Je fais celle qui n'a rien senti…. La main à ma gauche revient, cette fois ci, elle caresse l'intérieur de ma cuisse gauche. J'ai les jambes écartées, les yeux mi clôts, la main se pose directement sur ma vulve. Je la retire aussitôt. Un peu plus de prévenance messieurs. S'il recommence, je serai obligée de sortir.
Pourtant l'idée de faire l'amour avec deux hommes m'émoustille, si celui de droite est un peu bedonnant celui de gauche à l'air très mignon. Peut-être un peu trop inexpérimenté ou trop impatient. Attendons de voir. Il se lève, je peux admirer sa musculature fine, ses beaux yeux et sa petite barbe de lascar. II me regarde intensément et se dirige vers le hammam. Mon voisin de droite qui a remarqué le manège me dit qu'il ne peut rivaliser. Je lui réponds que tout n'est pas uniquement une question de physique mais de séduction. Il se vante en parlant de son expérience. Je le mets au défi de me le prouver et me dirige à mon tour vers le hammam où je retrouve le gamin.
Pour moi, gamin c'est moins de trente ans…
La porte est à peine refermée que s'invite mon mature bedonnant et velu. Le jeune est assis sur une banquette carrelée, je m'y allonge et pose ma tête d'entrée sur ses cuisses. Il ne dit rien et reste immobile.
L'autre s'assoit à mes pieds et les prends dans ses mains et commence à me masser. Le jeune se tourne légèrement et prend mes seins dans ses mains. Je me tourne et j'ai le visage contre son bassin, il soulève ma tête et prend ses attributs en mains puis resserre les cuisses. Mes lèvres sont sur sa hampe, de ma langue je le lèche, sa verge juvénile s'allonge et grossit. Elle est très belle.
Je décide de la suite. Je les prends par la main, direction la douche puis le même coin câlin avec ses miroirs.
Mon mari qui est resté dans le jacuzzi nous suit.
Il va assister à la double pénétration de sa femme. J'espère que son plaisir sera décuplé….
Le jeune est sur le dos, je le suce à genoux le buste en avant bien cambré, le petit gros à son tour est couché sur le dos , sa tête sous mon bassin, la bouche collée comme une ventouse sur mon sexe.
Il me lèche et m'aspire. Effectivement, il est doué, il n'a pas menti. Les miroirs reflètent à l'infini cette scène orgiaque. Mon mari ne rate pas une miette de la partouze. Mon suceur s'attaque maintenant à ma rosette. C'est d'une grande sensualité et le coté pervers me ravit.
Maintenant, je mets un préservatif sur la verge du petit jeune et je m'empale aussitôt, il caresse mes seins qu'il soulève et laisse retomber. Pour l'instant c'est moi qui me soulève et retombe sur son braquemart. Mon lécheur a remplacé sa langue par un puis deux doigts. Il a rajouté du gel et effectue des cercles. S'il cherche ma prostate il va être déçu…
Il se relève et vient se présenter devant ma bouche, j'essaie de le prendre mais ce n'est pas facile.
Nous changeons de position. Le petit jeune me prend en levrette et je suce son acolyte qui pour le coup en profite pour baiser ma bouche. Il m'insulte le con, me traite de vieille pute, que je vais tout prendre sur la gueule, que des salopes comme moi, elles font le tapin au bois..
Le petit jeune lui aussi me laboure bien, les insultes ont l'air de le motiver encore plus. Il accélère et remplit sa capote.
Le beauf sexiste et sans doute raciste prend sa place et me besogne. Il tient bien le salaud. Sûr qu'il s'est chargé au viagra. Nous changeons à nouveau de position. En missionnaire, cette fois ci, les jambes sur ses épaules, il me pourfend, une machine à baiser et ça dure. Mon plaisir ne vient pas, le sien non plus, les miroirs renvoient l'image de deux êtres fatigués. Il débande.
Penaud, notre Don Juan file à l'anglaise, la capote collée à sa bite. Mon mari me rejoint. Il m'enveloppe dans mon paréo et ses bras. Il me chuchote : « La chair est triste sans amour. »
Nous prenons une dernière douche bien chaude et le chemin de la maison.
Le soir, nous faisons un gros câlin plein de tendresse. Notre après midi avait bien commencé.
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