Un mari exceptionnel 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un mari exceptionnel 3
Olivier sort sa verge de son pantalon et l'agite en serrant les dents, le branlage qu'il s'inflige est brutale, sa main frappe ses couilles fortement à chaque descente de son poignet. Il ne quitte pas des yeux le couple en salivant.
Maurice avance sa verge vers le ventre de sa tante, lui frotte un moment son gland sur le clito. La coquine se cabre, en soufflant fortement, le bougre continue de l'exciter. Il le fait glisser son cèpe entre les grandes encore ouvertes. Le fait monter et descendre pour venir l'appuyer fortement sur le clito. Le coquin renouvelle le mouvement plusieurs fois de suite. La tante pâme de bonheur, elle se demande comment un homme si jeune peut avoir autant d'expériences.
Longtemps Maurice joue avec la chatte de sa tante, sous les yeux du tonton émerveillés. Enfin, il place son engin décalotté contre la chatte qui ne cesse de suinter. La tante impatiente prend une grande aspiration et regarde son neveu en l'implorant du regard. Maurice fait durer le plaisir, il s'accroche aux hanches larges, et pousse doucement. Une fois le gland à l'intérieur de la gaine vaginale, il cesse de pousser.
La tante se sent frustrée, elle se cabre en marmonnant, c'est le moment qu'attendait Maurice pour donner un coup de reins terrible. La tante empalée jusqu'aux couilles pousse un long gémissement approbateur. Maurice ne retient plus ses coups, il défonce sa tante en poussant à chaque coup de reins un han de bucheron. La bite s'enfonce profondément à chaque fois dans le ventre de la tante, qui gémit.
Le gland large bute contre le col de l'utérus de la tante, qui sursaute en gémissant comme une bête malade à chaque coup de bélier. Olivier n'en croit pas ses yeux, il jubile, sa femme savoure avec plaisir les assauts incessants de son neveu, il faut dire qu'il y est pour quelque chose le gredin.
Le gland épais racle, à chaque aller et retour, les muqueuses sensibles de la gaine brûlante. Marion est aux anges, le cadeau que lui offre son mari est inégalable en plaisir. Elle s'accroche à son amant comme une pieuvre à son rocher. Ses râles ne sont pas simulés, la tante a les yeux embués de bonheur, plus la jouissance approche plus ses gémissements sont bruyants. Le pilonnage que lui impose son neveu est dévastateur, elle ne peut retenir ces :
-Oui, oui, mon chéri, bourre-moi bien, oh comme c'est bon !
Soudain, elle se cambre fortement et explose de jouissance, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un rictus affreux, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Le bougre de neveu continue de la défoncer en accélérant même le rythme. Marion croit mourir, elle pousse un long gémissement, lorsque son jeune amant lui remplit le ventre de sa crème onctueuse. Olivier a déchargé en regardant sa femme jouir sous les coups redoublés du neveu fougueux.
Son ventre et ses doigts sont enduits de jus blanchâtre, très visqueux. Mécaniquement, il l'étale sur son ventre en geignant faiblement. Maurice retire sa verge du ventre accueillant, incroyablement, elle est agitée par de nombreux spasmes violents, à chaque secousse, une goutte de sperme s'échappe du méat bien ouvert.
Marion halète fortement sur le lit, sa respiration est rapide, son souffle est court. Olivier reprend son souffle, il regarde ses neveux et leur dit :
Maintenant, mes chéris, pour terminer en apothéose, et pour combler totalement votre tante, ce qu'il lui faut absolument, c'est une bonne double pénétration, bousillez-la bien, éclatez là, faites-la rugir, qu'elle s'en souvienne toute sa vie, mais avant mes cochons, je vais lui travailler le cul à fond !
Olivier s'approche de sa femme, il lui demande de replier les jambes sur son ventre, comme un automate, elle obtempère. Il regarde un instant l'anus qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment, à cause des jouissances. Il salive deux de ses Doigts et les passe sur la rondelle ridé. Il pousse doucement, les doigts s'enfoncent comme aspiré voracement par l'anus. Sa femme se cabre en gémissant, le ramonage est violent, Olivier lui fouille l'anus pour le distendre au maximum.
Enfin, il présente sa queue à l'anus entrouvert, il s'accroche aux hanches de sa femme et pousse. Marion subit sa première sodomie, elle grimace en serrant les dents. L'enfoncement est suivi d'un long râle. Marion vient de se faire déflorer le cul, elle croit que son anus va se déchirer, malgré l'enculage brutal, il résiste.
Elle ne peut retenir ses gémissements qui deviennent de plus en plus bruyants.
Soudain, elle ressent comme une violente brûlure lui traverser le ventre, elle jouit du cul pour la première fois de sa vie. Marion est surprise par l'intensité de la jouissance, son mari lui donne encore quelques coups de reins violents pour enfin, lui remplir le cul de sa semence épaisse.
Il se retire et dit en riant :
-Elle est à vous mes cochons, je compte sur vous pour la faire délirer !
Maurice s'allonge sur le sol, sa queue est dressée comme un mât, Olivier, aide sa femme qui vacille tellement elle a joui, à enjamber Maurice, et l'invite à s'empaler sur sa queue. La tante saisit la queue, et descend son corps lentement. Maladroitement, elle dirige l'engin vers sa chatte gonflée. C'est en soufflant fortement que petit à petit, elle s'embroche lentement sur la queue tendue.
Olivier, appuie puissamment sur ses épaules, Marion, surprise, s'écroule sous la poussée, en s'empalant jusqu'aux couilles sur la bite de son neveu. Elle reste comme clouée sur la bite qui lui fore le ventre. Maurice la plaque contre son torse imberbe et la maintient fermement. Aron approche, il se place dernière sa tante et frotte son gland contre l'anus encore endolorit. Il s'accroche à elle et pousse doucement. Sa bite s'enfonce comme dans du beurre, le sperme de son oncle facilite la pénétration. La tante, prise en sandwich, grimace. Elle a l'impression que les deux queues sont dans le même orifice.
Les deux jeunes amants commencent à faire un va-et-vient, qu'ils réussissent à synchroniser. La cadence augmente au fil des minutes, les gémissements de la tante ressemblent à ceux d'une agonisante. Ses râles sont rauques et longs. Plus ses deux neveux la défoncent, plus elle grogne. Ses paroles sont inaudibles, elle s'agite sur les bites comme une forcenée en poussant des :
-Oui, oui, oh comme c'est bon, Olivier, regarde comme ils me prennent, mon Dieu, je vais jouir, oui, oui, oui !
Ce n'est pas un cri que pousse la tante, mais un hurlement de jouissance. Elle défaille, serre les dents tellement c'est violent. Elle reprend ses agitations en soufflant comme une bête. Une seconde jouissance la fait s'écrouler sur le torse de Maurice. C'est presque en même temps que les neveux remplissent le ventre et le cul de leur tante. Les deux échangent de place, la jouissance est aussi terrible pour la tante.
Elle se met à trembler, son corps est secoué de spasmes violents, plusieurs orgasmes la font délirer. Enfin ses deux amants la libèrent, elle reste sur le sol étendu de longues minutes avant de reprendre ses esprits. Olivier souriant lui demande :
-Alors ma chérie, comment était ton cadeau !
Entre deux respirations, Marion répond :
-Mon chéri, c'est le plus beau des cadeaux que j'ai eu, c'était divin voir fabuleux, oh mon Dieu, les jouissances que j'ai eu, je ne les oublierai jamais, merci mon chéri, merci !
Maurice avance sa verge vers le ventre de sa tante, lui frotte un moment son gland sur le clito. La coquine se cabre, en soufflant fortement, le bougre continue de l'exciter. Il le fait glisser son cèpe entre les grandes encore ouvertes. Le fait monter et descendre pour venir l'appuyer fortement sur le clito. Le coquin renouvelle le mouvement plusieurs fois de suite. La tante pâme de bonheur, elle se demande comment un homme si jeune peut avoir autant d'expériences.
Longtemps Maurice joue avec la chatte de sa tante, sous les yeux du tonton émerveillés. Enfin, il place son engin décalotté contre la chatte qui ne cesse de suinter. La tante impatiente prend une grande aspiration et regarde son neveu en l'implorant du regard. Maurice fait durer le plaisir, il s'accroche aux hanches larges, et pousse doucement. Une fois le gland à l'intérieur de la gaine vaginale, il cesse de pousser.
La tante se sent frustrée, elle se cabre en marmonnant, c'est le moment qu'attendait Maurice pour donner un coup de reins terrible. La tante empalée jusqu'aux couilles pousse un long gémissement approbateur. Maurice ne retient plus ses coups, il défonce sa tante en poussant à chaque coup de reins un han de bucheron. La bite s'enfonce profondément à chaque fois dans le ventre de la tante, qui gémit.
Le gland large bute contre le col de l'utérus de la tante, qui sursaute en gémissant comme une bête malade à chaque coup de bélier. Olivier n'en croit pas ses yeux, il jubile, sa femme savoure avec plaisir les assauts incessants de son neveu, il faut dire qu'il y est pour quelque chose le gredin.
Le gland épais racle, à chaque aller et retour, les muqueuses sensibles de la gaine brûlante. Marion est aux anges, le cadeau que lui offre son mari est inégalable en plaisir. Elle s'accroche à son amant comme une pieuvre à son rocher. Ses râles ne sont pas simulés, la tante a les yeux embués de bonheur, plus la jouissance approche plus ses gémissements sont bruyants. Le pilonnage que lui impose son neveu est dévastateur, elle ne peut retenir ces :
-Oui, oui, mon chéri, bourre-moi bien, oh comme c'est bon !
Soudain, elle se cambre fortement et explose de jouissance, ses yeux sont révulsés, sa bouche est déformée par un rictus affreux, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres. Le bougre de neveu continue de la défoncer en accélérant même le rythme. Marion croit mourir, elle pousse un long gémissement, lorsque son jeune amant lui remplit le ventre de sa crème onctueuse. Olivier a déchargé en regardant sa femme jouir sous les coups redoublés du neveu fougueux.
Son ventre et ses doigts sont enduits de jus blanchâtre, très visqueux. Mécaniquement, il l'étale sur son ventre en geignant faiblement. Maurice retire sa verge du ventre accueillant, incroyablement, elle est agitée par de nombreux spasmes violents, à chaque secousse, une goutte de sperme s'échappe du méat bien ouvert.
Marion halète fortement sur le lit, sa respiration est rapide, son souffle est court. Olivier reprend son souffle, il regarde ses neveux et leur dit :
Maintenant, mes chéris, pour terminer en apothéose, et pour combler totalement votre tante, ce qu'il lui faut absolument, c'est une bonne double pénétration, bousillez-la bien, éclatez là, faites-la rugir, qu'elle s'en souvienne toute sa vie, mais avant mes cochons, je vais lui travailler le cul à fond !
Olivier s'approche de sa femme, il lui demande de replier les jambes sur son ventre, comme un automate, elle obtempère. Il regarde un instant l'anus qui ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment, à cause des jouissances. Il salive deux de ses Doigts et les passe sur la rondelle ridé. Il pousse doucement, les doigts s'enfoncent comme aspiré voracement par l'anus. Sa femme se cabre en gémissant, le ramonage est violent, Olivier lui fouille l'anus pour le distendre au maximum.
Enfin, il présente sa queue à l'anus entrouvert, il s'accroche aux hanches de sa femme et pousse. Marion subit sa première sodomie, elle grimace en serrant les dents. L'enfoncement est suivi d'un long râle. Marion vient de se faire déflorer le cul, elle croit que son anus va se déchirer, malgré l'enculage brutal, il résiste.
Elle ne peut retenir ses gémissements qui deviennent de plus en plus bruyants.
Soudain, elle ressent comme une violente brûlure lui traverser le ventre, elle jouit du cul pour la première fois de sa vie. Marion est surprise par l'intensité de la jouissance, son mari lui donne encore quelques coups de reins violents pour enfin, lui remplir le cul de sa semence épaisse.
Il se retire et dit en riant :
-Elle est à vous mes cochons, je compte sur vous pour la faire délirer !
Maurice s'allonge sur le sol, sa queue est dressée comme un mât, Olivier, aide sa femme qui vacille tellement elle a joui, à enjamber Maurice, et l'invite à s'empaler sur sa queue. La tante saisit la queue, et descend son corps lentement. Maladroitement, elle dirige l'engin vers sa chatte gonflée. C'est en soufflant fortement que petit à petit, elle s'embroche lentement sur la queue tendue.
Olivier, appuie puissamment sur ses épaules, Marion, surprise, s'écroule sous la poussée, en s'empalant jusqu'aux couilles sur la bite de son neveu. Elle reste comme clouée sur la bite qui lui fore le ventre. Maurice la plaque contre son torse imberbe et la maintient fermement. Aron approche, il se place dernière sa tante et frotte son gland contre l'anus encore endolorit. Il s'accroche à elle et pousse doucement. Sa bite s'enfonce comme dans du beurre, le sperme de son oncle facilite la pénétration. La tante, prise en sandwich, grimace. Elle a l'impression que les deux queues sont dans le même orifice.
Les deux jeunes amants commencent à faire un va-et-vient, qu'ils réussissent à synchroniser. La cadence augmente au fil des minutes, les gémissements de la tante ressemblent à ceux d'une agonisante. Ses râles sont rauques et longs. Plus ses deux neveux la défoncent, plus elle grogne. Ses paroles sont inaudibles, elle s'agite sur les bites comme une forcenée en poussant des :
-Oui, oui, oh comme c'est bon, Olivier, regarde comme ils me prennent, mon Dieu, je vais jouir, oui, oui, oui !
Ce n'est pas un cri que pousse la tante, mais un hurlement de jouissance. Elle défaille, serre les dents tellement c'est violent. Elle reprend ses agitations en soufflant comme une bête. Une seconde jouissance la fait s'écrouler sur le torse de Maurice. C'est presque en même temps que les neveux remplissent le ventre et le cul de leur tante. Les deux échangent de place, la jouissance est aussi terrible pour la tante.
Elle se met à trembler, son corps est secoué de spasmes violents, plusieurs orgasmes la font délirer. Enfin ses deux amants la libèrent, elle reste sur le sol étendu de longues minutes avant de reprendre ses esprits. Olivier souriant lui demande :
-Alors ma chérie, comment était ton cadeau !
Entre deux respirations, Marion répond :
-Mon chéri, c'est le plus beau des cadeaux que j'ai eu, c'était divin voir fabuleux, oh mon Dieu, les jouissances que j'ai eu, je ne les oublierai jamais, merci mon chéri, merci !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merveilleux, c'est le mot exact, merci linsee pour tes récits.
Sofiane et Luc
Sofiane et Luc
Merci à vous pour vos commentaires
Une belle histoire et un beau cadeau
On rêve d etre a sa place
C’était sublime bravo
C’était sublime bravo
C'est merveilleux!