Un mois sous le soleil Chapitre I
Récit érotique écrit par Iris_nexus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un mois sous le soleil Chapitre I
( Note de l’autrice : Déjà bonjour à ceux qui me lise. Je tiens à prévenir que ce ne sont pas des histoires réelles ni à reproduire. Uniquement des fantasmes que j’avais à la fin de mon adolescence, j'ai 20 ans maintenant, que j’aime écrire sur le papier. N’hésitez pas à me faire vos retours. Bonne lecture.)
- Allez Iris, ça va bien se passer. Un mois dans un camping de luxe ça va bien le faire non ?
Qu’est-ce que Léane pouvait être convaincante quand elle le voulait. Je m’appelle Iris, j’ai 18 ans. Et je suis condamnée à passer mes vacances sur une île paradisiaque en plein cœur du Pacifique. Ma meilleure amie Léane, 19 ans, nous avait inscrites à un concours surprise pour gagner un séjour tous frais payés dans un camping cinq étoiles sur une île presque sauvage. Plage féerique, soleil scintillant et une ambiance de rêve que Léane et moi devions profiter à deux. Jusqu’à ce qu’elle tombe malade.
Je lui réponds en tapant vite sur mon clavier.
- Léane, tu sais très bien que j’ai horreur de partir seule. Ça me chauffait bien à l’idée d’y aller avec ma meilleure pote, mais là comme ça…
- Iris, tu n’allais pas manquer cette occasion. Et puis si tout se passe bien, j’arriverais une semaine après toi. Tu auras le temps de faire du repérage d’ici là. Je ne trouve presque aucune info sur l’île. Je sais juste que c’est une réserve naturelle incroyable.
- Je te dirais. Le bateau est censé arriver bientôt. Le réseau va sûrement couper le temps d’arriver au camping.
- Profite bien et envoie moi des photos. Bise.
Il n'y a pas à dire. Cette fille était un phénomène. Je range mon téléphone portable dans la poche de mon pantalon et m’essuie le front plein de sueur. Je n’avais pas prévu une telle chaleur et je m’étais habillée en mode long trajet. Un pantalon cargo beige sur des rangers noires. Un t-shirt fin orange en accord avec mes cheveux roux et par-dessus un léger sweat. Je crevais de chaud.
À l’aide d’un mouchoir, je m’essuie le visage puis je passe ma main sous mon haut pour essuyer l’humidité sous mes bras et sur ma poitrine. Vu la taille de mes seins et l’inconfort que cela me donnait, je ne mettais jamais de soutif. Je me sens plus libre comme ça.
Je me lève de ma banquette et me dirige vers l’avant du bateau. Une petite embarcation qui ressemble à un ancien bateau de pêche avec une cabine pour le capitaine. Il m’avait fallu près de huit heures d’avion pour arriver en Afrique du Sud. L’île se trouve près de la côte. Du peu que j’ai entendu, il n’y a que des Européens qui vont sur l’île. Ce qui explique pourquoi le navire soit si vide.
Je vérifie que ma valise est bien calée sous la banquette puis je me dirige vers le capitaine. Un cinquantenaire, bronzé, des bras musclés sur lesquels étaient tatoués deux cobras. Je m’approche de lui et tentant de couvrir le bruit du moteur, je lui dis d’une voix forte :
- Monsieur ! On arrive bientôt ? Je commence à me sentir mal avec cette chaleur.
Il se retourne et me jette un regard tout en souriant.
- Ne t’en fais pas ma petite. Regarde droit devant. On peut déjà apercevoir le port. Ne t’en fais pas, il n’y a pas beaucoup de monde en général sur le quai. Comme il n’y a que des riches qui vivent très souvent toute l’année ici, il reste au camping pour profiter des activités annuelles. Bref la belle vie à Atalante.
- Atalante ?
- Oui. C’est le nom de l’île, petite. Donc t’en fais pas. Sitôt arriver, tu pourras te mettre à l’aise en détente. Je pense que tu auras moins chaud.
- Très bien, merci beaucoup capitaine.
Je quitte la petite cabine de pilotage et m’assois en tailleur proche de la proue de l’embarcation. Je vois scintiller au loin une petite bande de terre où brillaient quelques pittoresques cabanes reflétées par le soleil. Le capitaine avait raison. Une fois arriver, j’allais sûrement pouvoir me désaltérer et me mettre enfin à l’aise.
Le temps file et le bateau se rapprochait très vite. Il ne fallut que quelques minutes pour que la coque de ce dernier percute en douceur les bouées du ponton. J’entends le capitaine sortir de sa cabine puis lancer une corde qui vint s’enrouler autour d’une bitte d’amarrage en acier. Une fois l’embarcation bien fixée, le capitaine se met à hurler d’une voix puissante.
- TERMINUS ! Vous êtes arrivés à Atalante. Nous vous souhaitons tous la bienvenue.
Je le vois me regarder tout en dévoilant un sourire en coin. Je lui souris en retour, l’air gênée puis je récupère ma valise afin de la sortir du bateau. L’ayant remplie d’assez de vêtements pour le mois à suivre, elle était assez lourde et j’avais du mal à la soulever. Voyant ma détresse, le capitaine approche et me l’attrape des mains pour la sortir sur le ponton. Même lui à l’air surpris par le poids.
- Et ben dis donc petite, on peut dire que tu as fait le plein. T’as ramené des lingots d’or là-dedans ?
- Et bien… J’ai gagné avec mon amie un mois de séjour à un camping qui serait sur cette île. Il fallait donc que je ramène pas mal d’affaires.
Je vois son regard étrange me regarder quelques instants puis il hausse les épaules.
- Tu vas être à la Cornière ?
- Je… Attendez, je vais vérifier que… Enfin, je vais voir le nom sur mon téléphone.
- Bon courage ma petite, à part à la Cornière, y a pas de réseau. C’est le seul camping sur l’île de toute façon. Je t’ai dit. Y a que les riches qui viennent ici, et même eux sont pas beaucoup.
Je vois le capitaine recommencer à me dévisager comme dans l’attente de quelque chose. De nouveau, j’essuie mon front en nage. Le soleil tapait beaucoup trop fort pour moi.
- Capitaine, vous m’aviez dit qu’il y aurait un moyen de boire quelque chose de frais au port non ?
- Ah non désolé ma petite. V’là longtemps que les bars ont quitté le port pour la Cornière. Après si tu as chaud, comme je t’ai dit, tu peux déjà te mettre plus à l’aise. Tu es tellement couverte. Tu vas fondre à cette allure.
Je me mets à réfléchir un instant. C’est vrai que le sweat était de trop sur cette île tropicale. Je l’enlève alors et l’attache autour de ma taille.
- C’est vrai que c’est un petit peu mieux. Merci. En revanche, je ne sais pas comment rejoindre le camping. Vous saurez m’y emmener ?
Je vois le capitaine paraître légèrement déçu, comme s’il s’attendait à quelque chose. Il reprend vite ses esprits puis me dit.
- Je peux t’y accompagner si tu veux. J’ai mon pick-up garé au bout du ponton. Et comme je vois que tu préfères attendre d’être arrivée à la Cornière pour te mettre en tenue de vacance si je peux dire, alors je vais faire en sorte que tu puisses y arriver en vitesse. Faudrait pas quelqu’un te voit comme ça si tu vois ce que je veux dire.
Je ne voyais pas du tout ce que le capitaine voulait dire, mais je fis mine d’être d’accord avec lui. Peut-être que mon accoutrement peut s’avérer vexant ici.
- Désolé… S’il faut, je me changerai une fois arrivée dans ce cas-là.
Le capitaine hausse les épaules puis soulève ma valise pour la mettre dans le coffre du véhicule tout-terrain. Il m’ouvre alors la porte côté passager pour me laisser monter. Le pick-up est haut et j’ai du mal à me hisser sur le marchepied. Je sens alors une main se poser sur mes fesses et m’agripper en me poussant. Je rougis, mais n’ose rien dire.
- C’est bon bien installé ? Allez, j’arrive. Je vais juste me changer, je reviens.
Je vois le capitaine entrer dans un petit cabanon en bois. Peut-être n’est-il pas à l’aise en uniforme de marin. Je me désintéresse de lui et sors mon téléphone. En effet, impossible de capter le moindre réseau. Je vois néanmoins que Léane avait pu envoyer un message avant que le signal ne saute. J’ouvre et je lis l’air inquiète.
« Iris, j’ai enfin trouvé des infos sur l’île. Elle s’appelle Atalante. Comme je te l’ai dit, c’est une réserve naturelle, mais pas que. Il n’y a que les riches qui y vont, mais pas n’importe lesquelles. Ça ne va pas te plaire. Tu veux que je te dise ou je te laisse la surprise ? »
Je relis plusieurs fois le message. Je ne comprenais pas ce que voulait me dire Léane. Ok, la chaleur est suffocante, mais ce n’est pas non plus la mort. Et pas grave s’il n'y aura que des bourgeois qui me regarderont de haut. Une fois que Léane sera là, on s’amusera comme jamais.
J’ai la tête dans mes pensées quand soudain, j’entends la portière conducteur claquée. C’est vrai que le capitaine devait se changer. Je le regarde pour le remercier une nouvelle fois de m’accompagner quand soudain, je lâche un cri de surprise. Il me regarde alors l’air inquiet.
- Et ben ma petite, qu’est-ce que tu as ?
- Mais je… Mais pourquoi vous… ? Je… Je… Désolé, mais…
- Du calme petite. Respire et parle.
Comment je pouvais parler. À peine je l’avais regardé que j’avais aperçu qu’il était entièrement nu. Son torse était aussi bronzé que ses bras et les deux serpents qu’il avait tatoué s’entrecroisaient sur ses abdos pour descendre jusqu’à l’aine. Je tentais de ne pas m’attarder plus bas, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.
Son sexe était en érection et du liquide transparent gouttait au bout. Au repos, il ne devait pas être si grand, mais comme ça, il me paraissait imposant.
- Je peux savoir pourquoi vous êtes totalement à poil ?
- Ouf, c’est juste ça ? Sérieux petite, tu n’as jamais vu de queue de ta vie ?
J’avais déjà vu un garçon nu, mais ce n’est jamais monté jusqu’au rapport. J’étais tellement pudique qu’il a préféré me larguer le lendemain. C’est comme ça que j’ai compris que mon attirance ne s’arrêterait pas aux garçons.
- Mais ce n'est pas la question ! Rhabillez-vous !
- Je crois que tu n’as pas compris où tu te trouvais ma petite. Ici, c’est naturiste et libertin. On est à Atalante. C'est pas parce que toi, tu veux attendre d’être à la Cornière pour te dessaper que moi, je vais faire de même.
- Comment ça ? Je suis désolé d’avoir crié, j’étais juste surprise. Je respecte le fait que vous soyez naturiste, mais il est hors de question que je me mette toute nue.
- Bah, pourtant, c’est l’une des règles d’ici. En plus, tu m’as dit que tu as gagné le concours de la Cornière non ? Donc t’es la VIP de cet été.
- Mais je…
- Allez te fait pas de bile. À part les quelques obligations que tu vas avoir, tu vas adorer l’île. De toute façon, tu dois rester un bon moment ici non ?
Je n’osais même pas parler. On m’obligeait à passer mes vacances à poil ? Je suis trop pudique pour ça ! Même Léane le dit lorsqu’elle veut qu’on prenne un bain à deux. Et même elle ne serait pas dingue pour une aventure pareille. Comment j’étais arrivée là.
La voix du capitaine brisa le silence.
- Hey ma petite, on a un bon quart d’heure avant d’arriver à la Cornière. Maintenant qu’on est sur l’île, je peux déjà te le demander d’après le directeur. Tu peux me branler un bon coup ?
- Vous branlez ? Mais vous êtes malade par contre.
- Ouai… Le directeur va devoir te faire un récap’ des règles d’Atalante. Tu étais pas censé avoir des instructions avec la lettre du concours ? C’est moi qui m’occupe du courrier sur Atalante et je suis sûr que l’enveloppe était complète.
Le long feuillet, merde ! Quand on avait reçu la lettre qui nous annonçait notre victoire à Léane et moi, on était tellement heureuse qu’on avait oublié de lire tout le reste. Quelles imbéciles, putain.
- Allez, je te demande pas la lune non plus ma petite. En plus, je t’aide à aller au camping. Tu peux bien me rendre ce service.
- Mais je ne vais pas vous br-…
Je n’avais même pas le temps de finir ma phrase que d’une main-forte, il attrape la mienne et me fit attraper sa queue. Avec une poigne ferme, il me fit faire des mouvements de hauts en bas.
- Voilà, faut se lancer ma petite. Ta main est toute chaude en plus, c’est agréable. Allez, accélère un peu le rythme. Et laisse toi faire.
- Je… Non, il faut que… D’accord, mais ne me touchez pas.
- Pas de soucis ma petite. Mais tu feras tout ce que je te dis, c’est d’accord ? En quinze minutes, ça doit être rapide.
Il desserre sa main et me laisse le masturber. Même lorsqu’il l’enlève entièrement, je ne peux m’empêcher de continuer comme hypnotiser. Son membre est chaud au creux de ma main et palpite. J’affirme un peu ma prise dessus et accélère. Même s’il conduit, je vois dans ses yeux qu’il adore le moment.
Pourquoi je fais ça moi ? Bon d’accord, je veux bien le remercier et en vrai ce n’est pas la première branlette que je donne. Quoi que... À quelqu’un d’aussi vieux peut-être. J’avoue que je pourrais faire beaucoup de choses tant qu’il ne me demande pas de me voir plus en profondeur.
- Oh, tu t’es arrêté ma petite. Il faut pas s’interrompre.
- Oh pardon désolé. Je reprends de suite.
- Non, laisse. Oublie ta main, il faut trouver autre chose. On arrive dans quelques minutes et à cette allure, je n'aurais pas vidé mes couilles.
- Mais comment je peux faire ? Je ne vais pas non plus vou-…
Je compris très vite ce qu’il me demandait. Mais il était hors de question que je suce ce type. Je secoue la tête pour le lui faire comprendre.
- Bon bah peut-être alors qu’en allant caresser ta poitrine, ça me donnera plus d’envie, tu crois pas ?
- Non ! Je vous avais dit que je ne voulais pas me faire toucher ou voir.
- Alors obéis et suce. Allez une pipe ça va pas te tuer. Je vais t’aider ma petite.
Je sens sa main m’attraper l’arrière de ma tête et fermement me la baisser en direction de sa queue. Je tente de résister, mais sans faire preuve de violence, il maintient sa position et je vois s’approcher de mes lèvres sa verge trempée de mouille. Je tente de hurler.
- Je vous ai dit que je ne voulais pas ! Vous n’allez pas m’obli-…
Je me fais interrompre. Voyant que je m’apprêtais à parler, il lève d’un coup son bassin et baisse ma tête afin d’y introduire sa bite. Quelle conne je suis. Il maintient sa prise pour m’empêcher de la retirer et fait une sorte de va-et-vient du bassin pour me limer l’intérieur de la bouche.
- Allez ma petite. Promis je ne te toucherais pas. Par contre si tu mets les dents, je risque de ne pas être content. Alors applique-toi, détends toi et fais de ton mieux pour me faire jouir rapidement. Est-ce que je peux te laisser faire sans te tenir ?
La prise est désagréable et tout en coulant une larme, je lui fais un oui de la tête. Il me relâche alors, non sans une caresse délicate sur mes cheveux embrasés. Plus à l’aise, je me redresse un instant pour mettre mes mèches rebelles en arrière puis je m’applique à faire ce qu’il me demande.
Je lèche d’abord le long de la verge. Étrangement, l’odeur n’est pas désagréable. Au moins, il a une bonne hygiène. Je continue de lécher comme une glace toute la longueur de son membre puis je m’occupe du bout. Je passe mes lèvres autour de son gland puis tourne ma langue dessus. Je sens le goût de sa mouille, assez salée.
D’une légère pression sur la tête, il me fait comprendre que je dois aller plus loin. Je rentre sa bite plus profondément dans ma bouche puis continue à le sucer en allant et venant. Je le vois se concentrer sur la route, mais son souffle était irrégulier signe que je me débrouillais comme il fallait.
Je creuse mes joues pour intensifier l’effet de succion et faire plus d’effet. Je suis pudique ouai, mais je sais tailler une pipe quand même.
Je l’entends dire quelque chose tout bas. Je n’entends pas très bien à cause de sa respiration. Peut-être qu’il veut enfin que j’arrête. J’avoue que ce n’est pas ce genre de chose qui va me faire mouiller énormément. J’arrête ma fellation, mais je l’entends alors dire.
- Non, continue ! Tu arrives au bout là et je veux me lâcher dans ta bouche.
Je tente de protester, mais il me fait comprendre que je n’ai pas le choix en maintenant une prise légère sur ma tête. Je le sens alors ce tendre et je sens sa semence garnir l’entièreté de ma bouche. De gros jets m’arrivent dans le gosier. J’avale avec difficulté ce liquide peu ragoûtant. Croyant que c’était fini, je me redresse mais il maintient sa prise.
- Quand on commence une pipe ma petite, on la termine. Alors tu me nettoies ma queue s’il te plaît. Après, je te sors ta valise. On est arrivé à la Cornière.
Sans bonne volonté, je m’applique à lui nettoyer son membre désormais flasque et enlève la moindre goutte de semence qui y restait avant de l’avaler. Une fois terminer, je peux enfin me redresser, les joues toutes rouges. Je suis mécontente et lui fait comprendre.
- Ce n’est pas gentil. Vous avez fait en sorte que j’accepte bien que vous ne m’ayez pas laissée le choix. Même si je suis à peine majeure. Vous le savez ?
- Évidemment que je sais. C’est d’ailleurs ça qui est top. Une jeune fille sans trop d’expérience pour me sucer. C’est le pied. Mais ne va pas croire que tu pourras porter plainte ou ce genre de chose. Tu es censée avoir accepté les règles en arrivant sur Atalante et donc tu étais d’accord de tout ça en venant sur l’île. J’ai hâte de te voir toute nue que tu le veuilles ou non ma petite. Bref. Bienvenue au camping de la Cornière.
à suivre...
- Allez Iris, ça va bien se passer. Un mois dans un camping de luxe ça va bien le faire non ?
Qu’est-ce que Léane pouvait être convaincante quand elle le voulait. Je m’appelle Iris, j’ai 18 ans. Et je suis condamnée à passer mes vacances sur une île paradisiaque en plein cœur du Pacifique. Ma meilleure amie Léane, 19 ans, nous avait inscrites à un concours surprise pour gagner un séjour tous frais payés dans un camping cinq étoiles sur une île presque sauvage. Plage féerique, soleil scintillant et une ambiance de rêve que Léane et moi devions profiter à deux. Jusqu’à ce qu’elle tombe malade.
Je lui réponds en tapant vite sur mon clavier.
- Léane, tu sais très bien que j’ai horreur de partir seule. Ça me chauffait bien à l’idée d’y aller avec ma meilleure pote, mais là comme ça…
- Iris, tu n’allais pas manquer cette occasion. Et puis si tout se passe bien, j’arriverais une semaine après toi. Tu auras le temps de faire du repérage d’ici là. Je ne trouve presque aucune info sur l’île. Je sais juste que c’est une réserve naturelle incroyable.
- Je te dirais. Le bateau est censé arriver bientôt. Le réseau va sûrement couper le temps d’arriver au camping.
- Profite bien et envoie moi des photos. Bise.
Il n'y a pas à dire. Cette fille était un phénomène. Je range mon téléphone portable dans la poche de mon pantalon et m’essuie le front plein de sueur. Je n’avais pas prévu une telle chaleur et je m’étais habillée en mode long trajet. Un pantalon cargo beige sur des rangers noires. Un t-shirt fin orange en accord avec mes cheveux roux et par-dessus un léger sweat. Je crevais de chaud.
À l’aide d’un mouchoir, je m’essuie le visage puis je passe ma main sous mon haut pour essuyer l’humidité sous mes bras et sur ma poitrine. Vu la taille de mes seins et l’inconfort que cela me donnait, je ne mettais jamais de soutif. Je me sens plus libre comme ça.
Je me lève de ma banquette et me dirige vers l’avant du bateau. Une petite embarcation qui ressemble à un ancien bateau de pêche avec une cabine pour le capitaine. Il m’avait fallu près de huit heures d’avion pour arriver en Afrique du Sud. L’île se trouve près de la côte. Du peu que j’ai entendu, il n’y a que des Européens qui vont sur l’île. Ce qui explique pourquoi le navire soit si vide.
Je vérifie que ma valise est bien calée sous la banquette puis je me dirige vers le capitaine. Un cinquantenaire, bronzé, des bras musclés sur lesquels étaient tatoués deux cobras. Je m’approche de lui et tentant de couvrir le bruit du moteur, je lui dis d’une voix forte :
- Monsieur ! On arrive bientôt ? Je commence à me sentir mal avec cette chaleur.
Il se retourne et me jette un regard tout en souriant.
- Ne t’en fais pas ma petite. Regarde droit devant. On peut déjà apercevoir le port. Ne t’en fais pas, il n’y a pas beaucoup de monde en général sur le quai. Comme il n’y a que des riches qui vivent très souvent toute l’année ici, il reste au camping pour profiter des activités annuelles. Bref la belle vie à Atalante.
- Atalante ?
- Oui. C’est le nom de l’île, petite. Donc t’en fais pas. Sitôt arriver, tu pourras te mettre à l’aise en détente. Je pense que tu auras moins chaud.
- Très bien, merci beaucoup capitaine.
Je quitte la petite cabine de pilotage et m’assois en tailleur proche de la proue de l’embarcation. Je vois scintiller au loin une petite bande de terre où brillaient quelques pittoresques cabanes reflétées par le soleil. Le capitaine avait raison. Une fois arriver, j’allais sûrement pouvoir me désaltérer et me mettre enfin à l’aise.
Le temps file et le bateau se rapprochait très vite. Il ne fallut que quelques minutes pour que la coque de ce dernier percute en douceur les bouées du ponton. J’entends le capitaine sortir de sa cabine puis lancer une corde qui vint s’enrouler autour d’une bitte d’amarrage en acier. Une fois l’embarcation bien fixée, le capitaine se met à hurler d’une voix puissante.
- TERMINUS ! Vous êtes arrivés à Atalante. Nous vous souhaitons tous la bienvenue.
Je le vois me regarder tout en dévoilant un sourire en coin. Je lui souris en retour, l’air gênée puis je récupère ma valise afin de la sortir du bateau. L’ayant remplie d’assez de vêtements pour le mois à suivre, elle était assez lourde et j’avais du mal à la soulever. Voyant ma détresse, le capitaine approche et me l’attrape des mains pour la sortir sur le ponton. Même lui à l’air surpris par le poids.
- Et ben dis donc petite, on peut dire que tu as fait le plein. T’as ramené des lingots d’or là-dedans ?
- Et bien… J’ai gagné avec mon amie un mois de séjour à un camping qui serait sur cette île. Il fallait donc que je ramène pas mal d’affaires.
Je vois son regard étrange me regarder quelques instants puis il hausse les épaules.
- Tu vas être à la Cornière ?
- Je… Attendez, je vais vérifier que… Enfin, je vais voir le nom sur mon téléphone.
- Bon courage ma petite, à part à la Cornière, y a pas de réseau. C’est le seul camping sur l’île de toute façon. Je t’ai dit. Y a que les riches qui viennent ici, et même eux sont pas beaucoup.
Je vois le capitaine recommencer à me dévisager comme dans l’attente de quelque chose. De nouveau, j’essuie mon front en nage. Le soleil tapait beaucoup trop fort pour moi.
- Capitaine, vous m’aviez dit qu’il y aurait un moyen de boire quelque chose de frais au port non ?
- Ah non désolé ma petite. V’là longtemps que les bars ont quitté le port pour la Cornière. Après si tu as chaud, comme je t’ai dit, tu peux déjà te mettre plus à l’aise. Tu es tellement couverte. Tu vas fondre à cette allure.
Je me mets à réfléchir un instant. C’est vrai que le sweat était de trop sur cette île tropicale. Je l’enlève alors et l’attache autour de ma taille.
- C’est vrai que c’est un petit peu mieux. Merci. En revanche, je ne sais pas comment rejoindre le camping. Vous saurez m’y emmener ?
Je vois le capitaine paraître légèrement déçu, comme s’il s’attendait à quelque chose. Il reprend vite ses esprits puis me dit.
- Je peux t’y accompagner si tu veux. J’ai mon pick-up garé au bout du ponton. Et comme je vois que tu préfères attendre d’être arrivée à la Cornière pour te mettre en tenue de vacance si je peux dire, alors je vais faire en sorte que tu puisses y arriver en vitesse. Faudrait pas quelqu’un te voit comme ça si tu vois ce que je veux dire.
Je ne voyais pas du tout ce que le capitaine voulait dire, mais je fis mine d’être d’accord avec lui. Peut-être que mon accoutrement peut s’avérer vexant ici.
- Désolé… S’il faut, je me changerai une fois arrivée dans ce cas-là.
Le capitaine hausse les épaules puis soulève ma valise pour la mettre dans le coffre du véhicule tout-terrain. Il m’ouvre alors la porte côté passager pour me laisser monter. Le pick-up est haut et j’ai du mal à me hisser sur le marchepied. Je sens alors une main se poser sur mes fesses et m’agripper en me poussant. Je rougis, mais n’ose rien dire.
- C’est bon bien installé ? Allez, j’arrive. Je vais juste me changer, je reviens.
Je vois le capitaine entrer dans un petit cabanon en bois. Peut-être n’est-il pas à l’aise en uniforme de marin. Je me désintéresse de lui et sors mon téléphone. En effet, impossible de capter le moindre réseau. Je vois néanmoins que Léane avait pu envoyer un message avant que le signal ne saute. J’ouvre et je lis l’air inquiète.
« Iris, j’ai enfin trouvé des infos sur l’île. Elle s’appelle Atalante. Comme je te l’ai dit, c’est une réserve naturelle, mais pas que. Il n’y a que les riches qui y vont, mais pas n’importe lesquelles. Ça ne va pas te plaire. Tu veux que je te dise ou je te laisse la surprise ? »
Je relis plusieurs fois le message. Je ne comprenais pas ce que voulait me dire Léane. Ok, la chaleur est suffocante, mais ce n’est pas non plus la mort. Et pas grave s’il n'y aura que des bourgeois qui me regarderont de haut. Une fois que Léane sera là, on s’amusera comme jamais.
J’ai la tête dans mes pensées quand soudain, j’entends la portière conducteur claquée. C’est vrai que le capitaine devait se changer. Je le regarde pour le remercier une nouvelle fois de m’accompagner quand soudain, je lâche un cri de surprise. Il me regarde alors l’air inquiet.
- Et ben ma petite, qu’est-ce que tu as ?
- Mais je… Mais pourquoi vous… ? Je… Je… Désolé, mais…
- Du calme petite. Respire et parle.
Comment je pouvais parler. À peine je l’avais regardé que j’avais aperçu qu’il était entièrement nu. Son torse était aussi bronzé que ses bras et les deux serpents qu’il avait tatoué s’entrecroisaient sur ses abdos pour descendre jusqu’à l’aine. Je tentais de ne pas m’attarder plus bas, mais je ne pouvais pas m’en empêcher.
Son sexe était en érection et du liquide transparent gouttait au bout. Au repos, il ne devait pas être si grand, mais comme ça, il me paraissait imposant.
- Je peux savoir pourquoi vous êtes totalement à poil ?
- Ouf, c’est juste ça ? Sérieux petite, tu n’as jamais vu de queue de ta vie ?
J’avais déjà vu un garçon nu, mais ce n’est jamais monté jusqu’au rapport. J’étais tellement pudique qu’il a préféré me larguer le lendemain. C’est comme ça que j’ai compris que mon attirance ne s’arrêterait pas aux garçons.
- Mais ce n'est pas la question ! Rhabillez-vous !
- Je crois que tu n’as pas compris où tu te trouvais ma petite. Ici, c’est naturiste et libertin. On est à Atalante. C'est pas parce que toi, tu veux attendre d’être à la Cornière pour te dessaper que moi, je vais faire de même.
- Comment ça ? Je suis désolé d’avoir crié, j’étais juste surprise. Je respecte le fait que vous soyez naturiste, mais il est hors de question que je me mette toute nue.
- Bah, pourtant, c’est l’une des règles d’ici. En plus, tu m’as dit que tu as gagné le concours de la Cornière non ? Donc t’es la VIP de cet été.
- Mais je…
- Allez te fait pas de bile. À part les quelques obligations que tu vas avoir, tu vas adorer l’île. De toute façon, tu dois rester un bon moment ici non ?
Je n’osais même pas parler. On m’obligeait à passer mes vacances à poil ? Je suis trop pudique pour ça ! Même Léane le dit lorsqu’elle veut qu’on prenne un bain à deux. Et même elle ne serait pas dingue pour une aventure pareille. Comment j’étais arrivée là.
La voix du capitaine brisa le silence.
- Hey ma petite, on a un bon quart d’heure avant d’arriver à la Cornière. Maintenant qu’on est sur l’île, je peux déjà te le demander d’après le directeur. Tu peux me branler un bon coup ?
- Vous branlez ? Mais vous êtes malade par contre.
- Ouai… Le directeur va devoir te faire un récap’ des règles d’Atalante. Tu étais pas censé avoir des instructions avec la lettre du concours ? C’est moi qui m’occupe du courrier sur Atalante et je suis sûr que l’enveloppe était complète.
Le long feuillet, merde ! Quand on avait reçu la lettre qui nous annonçait notre victoire à Léane et moi, on était tellement heureuse qu’on avait oublié de lire tout le reste. Quelles imbéciles, putain.
- Allez, je te demande pas la lune non plus ma petite. En plus, je t’aide à aller au camping. Tu peux bien me rendre ce service.
- Mais je ne vais pas vous br-…
Je n’avais même pas le temps de finir ma phrase que d’une main-forte, il attrape la mienne et me fit attraper sa queue. Avec une poigne ferme, il me fit faire des mouvements de hauts en bas.
- Voilà, faut se lancer ma petite. Ta main est toute chaude en plus, c’est agréable. Allez, accélère un peu le rythme. Et laisse toi faire.
- Je… Non, il faut que… D’accord, mais ne me touchez pas.
- Pas de soucis ma petite. Mais tu feras tout ce que je te dis, c’est d’accord ? En quinze minutes, ça doit être rapide.
Il desserre sa main et me laisse le masturber. Même lorsqu’il l’enlève entièrement, je ne peux m’empêcher de continuer comme hypnotiser. Son membre est chaud au creux de ma main et palpite. J’affirme un peu ma prise dessus et accélère. Même s’il conduit, je vois dans ses yeux qu’il adore le moment.
Pourquoi je fais ça moi ? Bon d’accord, je veux bien le remercier et en vrai ce n’est pas la première branlette que je donne. Quoi que... À quelqu’un d’aussi vieux peut-être. J’avoue que je pourrais faire beaucoup de choses tant qu’il ne me demande pas de me voir plus en profondeur.
- Oh, tu t’es arrêté ma petite. Il faut pas s’interrompre.
- Oh pardon désolé. Je reprends de suite.
- Non, laisse. Oublie ta main, il faut trouver autre chose. On arrive dans quelques minutes et à cette allure, je n'aurais pas vidé mes couilles.
- Mais comment je peux faire ? Je ne vais pas non plus vou-…
Je compris très vite ce qu’il me demandait. Mais il était hors de question que je suce ce type. Je secoue la tête pour le lui faire comprendre.
- Bon bah peut-être alors qu’en allant caresser ta poitrine, ça me donnera plus d’envie, tu crois pas ?
- Non ! Je vous avais dit que je ne voulais pas me faire toucher ou voir.
- Alors obéis et suce. Allez une pipe ça va pas te tuer. Je vais t’aider ma petite.
Je sens sa main m’attraper l’arrière de ma tête et fermement me la baisser en direction de sa queue. Je tente de résister, mais sans faire preuve de violence, il maintient sa position et je vois s’approcher de mes lèvres sa verge trempée de mouille. Je tente de hurler.
- Je vous ai dit que je ne voulais pas ! Vous n’allez pas m’obli-…
Je me fais interrompre. Voyant que je m’apprêtais à parler, il lève d’un coup son bassin et baisse ma tête afin d’y introduire sa bite. Quelle conne je suis. Il maintient sa prise pour m’empêcher de la retirer et fait une sorte de va-et-vient du bassin pour me limer l’intérieur de la bouche.
- Allez ma petite. Promis je ne te toucherais pas. Par contre si tu mets les dents, je risque de ne pas être content. Alors applique-toi, détends toi et fais de ton mieux pour me faire jouir rapidement. Est-ce que je peux te laisser faire sans te tenir ?
La prise est désagréable et tout en coulant une larme, je lui fais un oui de la tête. Il me relâche alors, non sans une caresse délicate sur mes cheveux embrasés. Plus à l’aise, je me redresse un instant pour mettre mes mèches rebelles en arrière puis je m’applique à faire ce qu’il me demande.
Je lèche d’abord le long de la verge. Étrangement, l’odeur n’est pas désagréable. Au moins, il a une bonne hygiène. Je continue de lécher comme une glace toute la longueur de son membre puis je m’occupe du bout. Je passe mes lèvres autour de son gland puis tourne ma langue dessus. Je sens le goût de sa mouille, assez salée.
D’une légère pression sur la tête, il me fait comprendre que je dois aller plus loin. Je rentre sa bite plus profondément dans ma bouche puis continue à le sucer en allant et venant. Je le vois se concentrer sur la route, mais son souffle était irrégulier signe que je me débrouillais comme il fallait.
Je creuse mes joues pour intensifier l’effet de succion et faire plus d’effet. Je suis pudique ouai, mais je sais tailler une pipe quand même.
Je l’entends dire quelque chose tout bas. Je n’entends pas très bien à cause de sa respiration. Peut-être qu’il veut enfin que j’arrête. J’avoue que ce n’est pas ce genre de chose qui va me faire mouiller énormément. J’arrête ma fellation, mais je l’entends alors dire.
- Non, continue ! Tu arrives au bout là et je veux me lâcher dans ta bouche.
Je tente de protester, mais il me fait comprendre que je n’ai pas le choix en maintenant une prise légère sur ma tête. Je le sens alors ce tendre et je sens sa semence garnir l’entièreté de ma bouche. De gros jets m’arrivent dans le gosier. J’avale avec difficulté ce liquide peu ragoûtant. Croyant que c’était fini, je me redresse mais il maintient sa prise.
- Quand on commence une pipe ma petite, on la termine. Alors tu me nettoies ma queue s’il te plaît. Après, je te sors ta valise. On est arrivé à la Cornière.
Sans bonne volonté, je m’applique à lui nettoyer son membre désormais flasque et enlève la moindre goutte de semence qui y restait avant de l’avaler. Une fois terminer, je peux enfin me redresser, les joues toutes rouges. Je suis mécontente et lui fait comprendre.
- Ce n’est pas gentil. Vous avez fait en sorte que j’accepte bien que vous ne m’ayez pas laissée le choix. Même si je suis à peine majeure. Vous le savez ?
- Évidemment que je sais. C’est d’ailleurs ça qui est top. Une jeune fille sans trop d’expérience pour me sucer. C’est le pied. Mais ne va pas croire que tu pourras porter plainte ou ce genre de chose. Tu es censée avoir accepté les règles en arrivant sur Atalante et donc tu étais d’accord de tout ça en venant sur l’île. J’ai hâte de te voir toute nue que tu le veuilles ou non ma petite. Bref. Bienvenue au camping de la Cornière.
à suivre...
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos retour. Je peux comprendre certains avis. Sans le sanctionner, je tiens à préserver le côté fictif de l'histoire. Ce ne sont que les idées (sûrement malsaines vous trouverez), d'une jeune fille.
Très bon début, j'adore. Bien écrit, on sent l'angoisse monter, le désarroi de la narratrice. On a juste une envie.. découvrir cette île, et ses secrets que l'on devine arriver !!
Hate de lire la suite
Willy
Hate de lire la suite
Willy
J'aime bien votre récit merci. J'attends la suite avec envie.
J'adore ton histoire. J'ai hâte de lire la suite...
Bonjour, le récit de vos rêves érotiques est tout simplement un régal. Merci
Cela s'appelle tout simplement un viol...