Un moment
Récit érotique écrit par Tantra65 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un moment
Il y a quelques mois j’avais très envie de revoir une amie Shemale avec qui nous passons des moments plus que coquins. Je voulais devenir sa chose. Je sais que parfois elle aimerait mais je n’y accordais aucun intérêt. Je l’ai donc appelé en lui disant je passe samedi AM je voudrais bien te voir. Et je serais un salle gosse qui désobéi et qui a besoin d’une bonne leçon. Es-tu OK je te laisse me dominer même en BD soft.
Tout a été planifié et même comme à notre habitude un petit restau. Avant juste pour la mise en bouche dirais-je…Le lendemain vers 12.3à je suis à la terrasse d’une brasserie où nous avons l’habitude d’aller. Je m’installe dans un coin qui nous est cher et voie Odile arriver habillée classe chaussée comme à son habitude de talons très hauts. Un blazer qui laisse deviner sa poitrine siliconée et le bout de ses tétons, une jupe fendue qui dévoile des bas résilles noirs. Cheveux blonds yeux verts, lèvres surlignées et visage sévère mais radieux à mon goût dirons-nous.
Elle bosse dans une grosse boite aéronautique comme ingénieur qualité et a tous les moyens pour subvenir à son côté shemale. Des amants bien sûr assez occasionnels et moi avec nos batteries de tests ce qui nous autorise des ébats sans protection. Ceci nous est réservé, nous nous connaissons depuis suffisamment longtemps pour qu’il y ait cette confiance réciproque.
Nous passons un moment à nous raconter nos aventures et autre depuis notre dernière rencontre, prenons notre temps. Rien ne presse je serais avec elle jusqu’au petit matin. Nous projetons d’aller le soir au club 72 pour retrouver des copines et nous amuser.
Après un moment nous décidons d’aller chez elle et de nous retrouver d’ici ¾ d’heure le temps pour elle de se préparer à me recevoir. Elle a son cérémonial ses habitudes et je respecte.
Un peu plus de 45 minutes plus tard je suis devant sa porte je sonne et entends ses talons marteler le sol. Elle entre ouvre sa porte et m’ordonne oui m’ordonne de rentrer déchaussé et de ranger mes pompes à gauche sur une étagère. Je la découvre en tenue noire genre latex, cuissardes, masque et voilette, guêpières et mitaines longues. Un truc de fou, qui me fait immédiatement bander. J’allais dire quelque chose lorsque je reçois une chiquenaude donnée sur mes mains. Elle est déjà dans le jeu.
- J’ai dis les chaussures rangées petit crétin. Tu n’es pas chez ta mère ici.
- Oui d’accord attends je le faisEt là re coup de tapette sur les mains.
- Ici c’est Madame ou Maîtresse, je vais t’apprendre petit andouille.
- A poli et direction la salle de bain tu te rappelles au moins.
J’essaie de jouer l’éfrontè mais elle a un tel carractère que je suis presque soumis déjà.
- Salle de bain et vite j’arrive.
Je vais avoir droit à son rituel, lavage compet, lavement, désinfection, puis séchage et hop action. Et bien NON il manque des choses encore. Je dois me sécher, puis nettoyer le bac douche, je n’ai pas eu droit à mes caresses sous la douche. Mais j’ai ressenti que l’on m’envahissait sans ménagement lors du lavement. C’est clair je risque de déguster.
- Bien maintenant tu vas au salon, tu te mets face au mur à côté des fenêtres. J’arrive.
Je m’installe puis j’entends à genoux la loppe, et que ça saute. Bien sûr je reste debout comme un sale gosse et là… Paf sur les fesses et re Paf - Tu ne comprends pas ? A genoux de suite, Je le fais donc mais je ne dis rien. Re re Paf mais plus sec maintenant et entre les jambes…- Oui Maîtresse je me mets à genoux.
Elle me pose un collier en cuir et une laisse en chaine inox. Passe devant moi je lève la tête et je suis face à son clitoris encore enveloppé sous un string dentelle noir et dissimulé entre ses fesses. Je fais mine de vouloir l’embrasser et je sens une empoignade dans mes cheveux qui me force à me mettre à 4 pattes. Elle passe derrière moi et m’entrave les chevilles, puis devant et me menotte. Puis me pose des pinces lestées sur les pointes de mes seins. Ce n’est pas agréable mais soutenable quand même.
- Tu es à ma merci salope maintenant, tu ne dois pas me dévisager tu dois m’obéir sinon gare.
- Oui MaîtresseLa situation me plait et mon érection revient. Elle me saisit les bourses et les presse.
- Salope qui t’a demandé de bander ?
- Personne maîtresse je ne peux pas contrôler j’ai envie de vous simplement Maîtresses.
Et là elle me redresse la tête s’approche de ma bouche et me crache sur le visage.
- Et bien non la Loppe c’est moi qui vais décider pas toi.
Elle se positionne à cotè de moi, prends la laisse me monte dessus et m’ordonne d’avancer, j’obéis elle me dirige avec une cravache en tapant sur mes fesses pour changer de direction. Nous allons vers le canapé. J’imagine que nous allons baiser, mais non pas du tout son jeu n’est pas fini et de loi.
A côté du canapé il y a deux assiettes posées au sol dont une avec des bonbons, l’autre étant sans rien à l’exception d’un verre à pieds. Plus loin une gamelle avec le l’eau je crois mais un liquide c’est certain.
- Mange salope c’est pour toi.
Elle reste sur moi assise, elle est menue donc ceci est supportable. Comme je me penche en avant je sens une main glisser entre mes fesses. Et un doigt forcer ma rondelle (qui n’est plus vierge au passage). Puis quelque chose de plus gros tout en restant doux et souple. Je pense à un gode. Elle s’affaire à m’élargir c’est bon on va passer à autre chose.
- Ça suffit vas boire maintenant, D’un coup j’entends un bruit qui est relié à une sensation étrange de quelque chose qui gonfle dans mon intimité. Je me cambre pour essayer de ressentir encore plus. Et là je reçois une série de coups de cravache car je n’ai pas encore droit au plaisir m’explique-t-elle. Je comprends elle m’ouvre littéralement. Je suis sa chose sa salope et elle en profite bien.
Je bois donc et elle se relève pour passer devant moi, dégage mes mains des menottes et dégage de son string son clitoris déjà gonflé et tendu. Il est long et fin circoncis et le gland est luisant, j’en déduis qu’elle est excitée.
- Allé ma pute régale toi et ne le touche pas.
J’ouvre ma bouche et la sens s’engouffrer dans mon gosier. Elle connait mes limites mais va plus loin, me pince le nez, saisi ma gorge et lime ma bouche doucement.
- Tu adore cela salope n’est-ce pas.
Je ne peux pas parler sa colonne de chair gonfle et envahi ma bouche plus encore. Elle se retire d’un coup.
- Va sur le canapé allonge toi sur le dos la Loppe.
Je m’attends à ce qu’elle relève mes cuisses et m’envahisse mais non elle s’assoie dur moi mon visage.
- Lèche-moi, mouille-moi salope. Tu n’es bonne qu’à cela.
Je m’applique donc à cela et me régale lorsqu’elle s’aperçoit que je prends aussi mon pied à la déguster. Son sexe dur est posé sur mon front elle profite de l’occasion, et se régale elle aussi de mes caresses.
Rassasiée elle se dégage m’ordonne ne me remettre à 4 pattes, passe derrière moi enlève sans ménagement ce plug de ma chatte pour y présenter son gland durci par l’envie.
Je sens ma rondelle qui accueille son membre tendu qui commence un mouvement qui s’accélère. Elle m’affuble de tous les mots elle me saille comme si j’étais sa chienne en chaleur tant je gémi de plaisir. Plantée au plus profond de moi elle explose dans un râle puissant en me terrassant.
- A genoux la Lope, branle-toiPlantée en moi je la sent bouger un peu, elle me tends le verre qu’elle avait préparé pour que je recueille mon sperme.
- Vas-y rempli le à ras bord salope. Maintenant bois le, avale tout tu es ma chienne.
J’exécute sans souci, mon foutre n’a pas un mauvais goût je m’alimente en fonction.
Je sens maintenant son membre décroitre, ses mais devenir caressantes sur mon dos, je jeu semble terminé mais elle ne veut pas se dégager bien au contraire elle aime se sentir en moi. Je m’alonge sans le demander elle ne réagit pas. Nos mains se retrouvent et se caressent.
Après un moment de retour au calme elle sort son membre de mon corps, elle s’alonge sur moi après m’avoir mis sur le dos, et se mets à chalouper pour me faire ressentir la peau à peau. J’adore cette caresse qui me repose. Nous nous embrassons échangeons nos salives. Puis elle se lève en me disant :Bébé tu n’est plus le sale gosse je vais m’occuper de toi comme tu aimes.
Elle va chercher des lingettes et m’essuie avec une grande délicatesse, enlève son jus qui coule entre mes fesses.
- Tu sais j’ai adoré devoir m’occuper de ce sale gosse, je savais exactement où je voulais t’emmener. Tu a joué et été coquin, j’ai pris énormément de plaisir. Nous irons plus loin une prochaine fois.
Nous avons passé le restant de la journée et la nuit ensemble le soir nous avons pris un moment pour nous caresser et re jouir mais sans pénétrations, fellations et caresses étaient de la partie. Le matin au rével j’ai enti l’odeur acre du sexe qui remplissait l’atmosphère de sa chambre, je suis ensuite parti et nous ne posons jamais de RDV il faut que l’un ou l’autre en ai simplement envie et nous nous arrangeons.
Tout a été planifié et même comme à notre habitude un petit restau. Avant juste pour la mise en bouche dirais-je…Le lendemain vers 12.3à je suis à la terrasse d’une brasserie où nous avons l’habitude d’aller. Je m’installe dans un coin qui nous est cher et voie Odile arriver habillée classe chaussée comme à son habitude de talons très hauts. Un blazer qui laisse deviner sa poitrine siliconée et le bout de ses tétons, une jupe fendue qui dévoile des bas résilles noirs. Cheveux blonds yeux verts, lèvres surlignées et visage sévère mais radieux à mon goût dirons-nous.
Elle bosse dans une grosse boite aéronautique comme ingénieur qualité et a tous les moyens pour subvenir à son côté shemale. Des amants bien sûr assez occasionnels et moi avec nos batteries de tests ce qui nous autorise des ébats sans protection. Ceci nous est réservé, nous nous connaissons depuis suffisamment longtemps pour qu’il y ait cette confiance réciproque.
Nous passons un moment à nous raconter nos aventures et autre depuis notre dernière rencontre, prenons notre temps. Rien ne presse je serais avec elle jusqu’au petit matin. Nous projetons d’aller le soir au club 72 pour retrouver des copines et nous amuser.
Après un moment nous décidons d’aller chez elle et de nous retrouver d’ici ¾ d’heure le temps pour elle de se préparer à me recevoir. Elle a son cérémonial ses habitudes et je respecte.
Un peu plus de 45 minutes plus tard je suis devant sa porte je sonne et entends ses talons marteler le sol. Elle entre ouvre sa porte et m’ordonne oui m’ordonne de rentrer déchaussé et de ranger mes pompes à gauche sur une étagère. Je la découvre en tenue noire genre latex, cuissardes, masque et voilette, guêpières et mitaines longues. Un truc de fou, qui me fait immédiatement bander. J’allais dire quelque chose lorsque je reçois une chiquenaude donnée sur mes mains. Elle est déjà dans le jeu.
- J’ai dis les chaussures rangées petit crétin. Tu n’es pas chez ta mère ici.
- Oui d’accord attends je le faisEt là re coup de tapette sur les mains.
- Ici c’est Madame ou Maîtresse, je vais t’apprendre petit andouille.
- A poli et direction la salle de bain tu te rappelles au moins.
J’essaie de jouer l’éfrontè mais elle a un tel carractère que je suis presque soumis déjà.
- Salle de bain et vite j’arrive.
Je vais avoir droit à son rituel, lavage compet, lavement, désinfection, puis séchage et hop action. Et bien NON il manque des choses encore. Je dois me sécher, puis nettoyer le bac douche, je n’ai pas eu droit à mes caresses sous la douche. Mais j’ai ressenti que l’on m’envahissait sans ménagement lors du lavement. C’est clair je risque de déguster.
- Bien maintenant tu vas au salon, tu te mets face au mur à côté des fenêtres. J’arrive.
Je m’installe puis j’entends à genoux la loppe, et que ça saute. Bien sûr je reste debout comme un sale gosse et là… Paf sur les fesses et re Paf - Tu ne comprends pas ? A genoux de suite, Je le fais donc mais je ne dis rien. Re re Paf mais plus sec maintenant et entre les jambes…- Oui Maîtresse je me mets à genoux.
Elle me pose un collier en cuir et une laisse en chaine inox. Passe devant moi je lève la tête et je suis face à son clitoris encore enveloppé sous un string dentelle noir et dissimulé entre ses fesses. Je fais mine de vouloir l’embrasser et je sens une empoignade dans mes cheveux qui me force à me mettre à 4 pattes. Elle passe derrière moi et m’entrave les chevilles, puis devant et me menotte. Puis me pose des pinces lestées sur les pointes de mes seins. Ce n’est pas agréable mais soutenable quand même.
- Tu es à ma merci salope maintenant, tu ne dois pas me dévisager tu dois m’obéir sinon gare.
- Oui MaîtresseLa situation me plait et mon érection revient. Elle me saisit les bourses et les presse.
- Salope qui t’a demandé de bander ?
- Personne maîtresse je ne peux pas contrôler j’ai envie de vous simplement Maîtresses.
Et là elle me redresse la tête s’approche de ma bouche et me crache sur le visage.
- Et bien non la Loppe c’est moi qui vais décider pas toi.
Elle se positionne à cotè de moi, prends la laisse me monte dessus et m’ordonne d’avancer, j’obéis elle me dirige avec une cravache en tapant sur mes fesses pour changer de direction. Nous allons vers le canapé. J’imagine que nous allons baiser, mais non pas du tout son jeu n’est pas fini et de loi.
A côté du canapé il y a deux assiettes posées au sol dont une avec des bonbons, l’autre étant sans rien à l’exception d’un verre à pieds. Plus loin une gamelle avec le l’eau je crois mais un liquide c’est certain.
- Mange salope c’est pour toi.
Elle reste sur moi assise, elle est menue donc ceci est supportable. Comme je me penche en avant je sens une main glisser entre mes fesses. Et un doigt forcer ma rondelle (qui n’est plus vierge au passage). Puis quelque chose de plus gros tout en restant doux et souple. Je pense à un gode. Elle s’affaire à m’élargir c’est bon on va passer à autre chose.
- Ça suffit vas boire maintenant, D’un coup j’entends un bruit qui est relié à une sensation étrange de quelque chose qui gonfle dans mon intimité. Je me cambre pour essayer de ressentir encore plus. Et là je reçois une série de coups de cravache car je n’ai pas encore droit au plaisir m’explique-t-elle. Je comprends elle m’ouvre littéralement. Je suis sa chose sa salope et elle en profite bien.
Je bois donc et elle se relève pour passer devant moi, dégage mes mains des menottes et dégage de son string son clitoris déjà gonflé et tendu. Il est long et fin circoncis et le gland est luisant, j’en déduis qu’elle est excitée.
- Allé ma pute régale toi et ne le touche pas.
J’ouvre ma bouche et la sens s’engouffrer dans mon gosier. Elle connait mes limites mais va plus loin, me pince le nez, saisi ma gorge et lime ma bouche doucement.
- Tu adore cela salope n’est-ce pas.
Je ne peux pas parler sa colonne de chair gonfle et envahi ma bouche plus encore. Elle se retire d’un coup.
- Va sur le canapé allonge toi sur le dos la Loppe.
Je m’attends à ce qu’elle relève mes cuisses et m’envahisse mais non elle s’assoie dur moi mon visage.
- Lèche-moi, mouille-moi salope. Tu n’es bonne qu’à cela.
Je m’applique donc à cela et me régale lorsqu’elle s’aperçoit que je prends aussi mon pied à la déguster. Son sexe dur est posé sur mon front elle profite de l’occasion, et se régale elle aussi de mes caresses.
Rassasiée elle se dégage m’ordonne ne me remettre à 4 pattes, passe derrière moi enlève sans ménagement ce plug de ma chatte pour y présenter son gland durci par l’envie.
Je sens ma rondelle qui accueille son membre tendu qui commence un mouvement qui s’accélère. Elle m’affuble de tous les mots elle me saille comme si j’étais sa chienne en chaleur tant je gémi de plaisir. Plantée au plus profond de moi elle explose dans un râle puissant en me terrassant.
- A genoux la Lope, branle-toiPlantée en moi je la sent bouger un peu, elle me tends le verre qu’elle avait préparé pour que je recueille mon sperme.
- Vas-y rempli le à ras bord salope. Maintenant bois le, avale tout tu es ma chienne.
J’exécute sans souci, mon foutre n’a pas un mauvais goût je m’alimente en fonction.
Je sens maintenant son membre décroitre, ses mais devenir caressantes sur mon dos, je jeu semble terminé mais elle ne veut pas se dégager bien au contraire elle aime se sentir en moi. Je m’alonge sans le demander elle ne réagit pas. Nos mains se retrouvent et se caressent.
Après un moment de retour au calme elle sort son membre de mon corps, elle s’alonge sur moi après m’avoir mis sur le dos, et se mets à chalouper pour me faire ressentir la peau à peau. J’adore cette caresse qui me repose. Nous nous embrassons échangeons nos salives. Puis elle se lève en me disant :Bébé tu n’est plus le sale gosse je vais m’occuper de toi comme tu aimes.
Elle va chercher des lingettes et m’essuie avec une grande délicatesse, enlève son jus qui coule entre mes fesses.
- Tu sais j’ai adoré devoir m’occuper de ce sale gosse, je savais exactement où je voulais t’emmener. Tu a joué et été coquin, j’ai pris énormément de plaisir. Nous irons plus loin une prochaine fois.
Nous avons passé le restant de la journée et la nuit ensemble le soir nous avons pris un moment pour nous caresser et re jouir mais sans pénétrations, fellations et caresses étaient de la partie. Le matin au rével j’ai enti l’odeur acre du sexe qui remplissait l’atmosphère de sa chambre, je suis ensuite parti et nous ne posons jamais de RDV il faut que l’un ou l’autre en ai simplement envie et nous nous arrangeons.
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