Un moment de faiblesse.

- Par l'auteur HDS Passud -
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 327 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 411 852 visites.
Récit libertin : Un moment de faiblesse. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 233 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Un moment de faiblesse.
Cette fois, j'étais bien plus âgé.
J'avais la trentaine environ.

Depuis quelques années, j'ai changé de métier.
Pour celui-ci, je me déplace souvent en foires.

Ce Week-end ci, j'étais débordé de travail, surtout pour ma préparation !
Et j'ai fait l'erreur qu'il ne faut jamais faire !
J'ai oublié ma carte bleue !

Comme j'avais réservé mon hôtel avec, impossible d'entrer dans l'hôtel !
Surtout quand l'accueil est déjà fermé !

Un collègue avance vers moi, il vient de se garer.

Je vous décris l'homme:
Il s'appelle Henri, il a une bonne cinquantaine d'années, un peu ventru.
Il est très sympathique, mais pas beau du tout !
Je suis toujours mal à l'aise avec lui, parce qu'Il ne cache pas son homosexualité !
Et surtout, je sais que je lui plais !
Donc, je fuis constamment ses regards insistants.

Ceux qui font des foires, savent qu'on retrouve souvent les mêmes gens.
Donc, à force, on crée des liens d'amitié ou de sympathie.
Je le trouve sympa, mais je fuis sa compagnie, il ne me plait pas !

Et puis, dans le milieu des foires, on sait que je suis avec Corinne ! Donc hétéro !
Elle aussi, a remarqué que je plaisais à Henri !
"A mon avis, il ne dirait pas non !".
"Je sais, mais c'est pas mon genre, j'ai assez de mecs, qui me baisent à Toulon ! Et puis à mon avis, il a pas une bite assez intéressante pour moi !".
"Qui sait ?".

Sans parler des autres, qui m'ont déjà dit:

"Fais gaffes à ton cul ! Il va te sauter dessus ! Un jour ! Ne lui tournes pas le dos !".

Donc, il s'approche de moi:

"Qu'est-ce qui t'arrive ? Mon bichon !".

Je suis encore un vexé de mon aventure, et ce surnom ne m'aide pas à me calmer.

"Je suis énervé ! J'ai déconné, j'ai oublié ma carte ! En plus, ils vont me débiter, et je vais dormir dans le camion, c'est le pompon !".

"Ah, c'est pas cool, ça ! Si ça t'arrange, tu peux dormir dans ma chambre !".
"Euh... Non, merci, c'est gentil !".
"Je sais à quoi tu penses ! Tu m'plais, mais je vais pas te sauter dessus ! Ce sera "en tout bien, tout honneur" ! J'ai pas l'habitude de violer des mecs !".

Je me sens gêné et idiot de réagir comme ça, je me résonne, après tout, c'est sympa de sa part, et je suis coincé !

"Je... Je sais pas... Bon ! OK ! Je te remercie, alors ! T'es gentil !".

Je le suis, un peu penaud, j'ai hâte que la nuit soit passée !
C'est gênant, tout ça ! J'ai même peur qu'on nous voit ensemble !

J'entre dans la chambre, cela confirme mes craintes, il n'y a qu'un seul lit !
Je repense déjà aux plusieurs fois, où je me suis retrouvé dans cette situation !
J'en ai toujours pris plein le cul ! Sauf une fois, avec un ami hétéro pur et dur !

On pose nos affaires.
Ensuite, il me propose de me doucher après lui.
Je l'entend se laver, avec la porte ouverte.

"Tu peux utiliser le lavabo, si tu veux !".
"Non, je vais attendre, merci !".

Il termine de se laver, puis sort nu avec une serviette, autour de la taille.
C'est mon tour.

"Ne fermes pas ! Je dois me laver les dents ! Mais si ça te gênes ! Je peux attendre aussi !".

Je vois que le rideau de douche est assez opaque, pour cacher mon corps, donc je réponds:

"Non, ça ira ! Je laisse ouvert !".

Je me détends sous le jet d'eau, en le sachant à coté, qui se lave les dents.
Il doit deviner mon corps nu, au travers de la paroi vitrée et bosselée.

"Tu sais que t'es un beau mec ?".
"Henri ! C'est gênant ! S'il te plait !".
"Ohh ! Je suis sûr, que je suis pas le premier homme à te le dire ! J'ai tord ?".

Ma réponse est longue à venir.

"Alors ?".
"Non !".

"C'est normal ! J'ai d'autres copains homos qui ont flashé sur toi, tu sais ! T'as jamais essayé ?".
"Non ! Et puis, je suis avec Corinne !".

La conversation continue, sans lâcher ce sujet de l'homosexualité.
Puis, il doit remarquer que je lui réponds un peu laconiquement.

"Tu m'as l'air contrarié ! Pascal !".
"Euh, ouais, désolé, c'est à cause de ma carte bancaire ! J'espère que ça va pas me causer d'ennuis pour demain, sauf si je bosse assez, pour ne pas en avoir besoin ! Et puis, je crois que tout ça doit retomber un peu !".

J'éteins le jet d'eau.
Il en profite pour me tendre ma serviette, en se tenant devant moi, en même temps, que j'écarte le rideau de douche.

Je suis saisi d'un effet de stupeur, nu devant lui !

"Tiens ! Tu veux que je t'essuie ? Ca te détendrait un peu ! Tu sais ?".
"Je...".

Il pose la serviette sur mon torse, en l'essuyant.

"Laisses toi faire ! Détends-toi !".

Pourquoi, je ne réagi pas ?
Je le laisse pivoter mon corps, il m'essuie le dos, en me caressant avec la serviette de bain.
Je m'appuie contre les parois, il a raison, ça me calme !
Il va jusqu'à me sécher les pieds !

Il remonte vers mes fesses, qu'il a gardé pour la fin !
Il insiste longuement.

"T'as un beau cul, tu sais !".
"Je... je sais pas !".

Il me pivote encore, puis me sèche les couilles et la queue.
Pourquoi, je reste encore sans réaction ?
Mon bas ventre se noue !

"Ca te fait de l'effet, je vois ! Ca me fait plaisir, ça !".

En effet, je commence à bander !

"Désolé ! C'est malgré moi !".
"C'est naturel ! Tournes toi encore, j'ai oublié un endroit !".

Je l'écoute, intrigué.
Je ne me rends même pas compte que je lui tends mes fesses, en me cambrant légèrement !

Il passe la serviette entre mes cuisses, en insistant sur mon anus.

Un silence règne, rompu par le bruit de la serviette qui s'étale au sol.
Puis, je sens ses deux mains, à même la peau qui m'écarte les lobes fessiers.

"Laisses-moi faire ! Tu vas aimer !".

Je suis surpris par sa langue, qui me lèche l'anus !

"Orhh ! Henri ! Qu'est-ce que tu fais ?".
"Laisses-moi te donner du plaisir ! Ca va te faire du bien ! Et j'en ai envie ! Tu me plais trop ! Tu m'arrêtes, quand ça te plait pas !".

Il profite de mes premières minutes d'hésitation.
Devant le plaisir de sa langue, entre mes fesses, et l'effet calmant sur moi, je me laisse aller, en me disant qu'on est seuls ! Pourquoi pas ?

Il vient toucher ma verge, sans arrêter son anulingus.
Je bande comme un âne !

Il se dresse, et continue ses caresses, mais sur tout mon corps !
Je réalise qu'il a mis sa queue en érection entre mes cuisses, sans chercher toute pénétration.

Il me tourne légèrement, je baisse mon regard vers sa verge.

"Tu vois comme tu me plais ? Tu m'en veux de bander pour toi ?".
"Euh...Non, c'est naturel, aussi ! Enfin, je crois !".

Je découvre que je m'étais trompé sur sa bite, elle est bien plus intéressante que je le pensais !
Pas super longue, mais très, très large, avec de petites couilles, qui disparaissent presque, quand il bande !
Donc, tout de même un bon vingt centimètres, bien épais, avec un gland bien dessiné !
Etonnant que je l'ai pas vu ! Il a un gros développement !

"Ca te dit de me rendre mes caresses ? Je veux pas te forcer, mais, moi aussi, ça me ferait du bien !".

Sa main est encore sur ma verge, je décide de lui caresser aussi !
J'aurais jamais du faire ça !

C'est le point de non retour, pour moi !
Sentir sa dureté entre mes doigts.
Ca fait monter en moi, le désir de le sucer, celui qu'il m'encule aussi !

"Orhhh ! Tu me branles bien ! Pascal ! Si je m'écoutais, je...".

Il n'ose pas parler, mais je sais qu'il veut ma bouche !
On ne dit plus un mot, le silence est insupportable !
Il me prend la main, et m'entraine dans la chambre !

Il s'assoit au bord du lit, et attend que je réagisse !
Son regard parle pour lui, avec sa verge tendue vers moi !

En même temps que je me baisse, il me pose une main sur la nuque, pour m'accompagner.
Je tiens fermement sa verge à la base, ma langue lèche le creux de son gland.
Ce délicieux endroit qui forme deux petites fesses !

"Orhhhhh ! Oui ! Pascal ! C'est ça ! Continues ! Orhhh ! Je dois rêver ! C'est pas possible !".

Ma langue tourne autour de sa protubérance !
Il gémit de bonheur !

Ce type ne me plait pas, mais sa patience et son désir pour moi, a fini par l'emporter !
Il me veut, et je vais me donner à lui !
Son désir m'excite ! Et il a une bite bien plus belle, et plus grosse que je l'imaginais !

Il râle de plus belle, quand je coulisse inlassablement sur sa verge, avec ma gorge humide et chaude.

"Arhhhhh ! Mon dieu ! Ce que tu me suces bien, Pascal !".

J'ai envie de lui sucer les couilles, mais leur taille ne permet pas de le faire !
Par moment, il me bloque, fermement enfoncé sur son gros gland, jusqu'à deviner mon étouffement !
Je tousse encore une fois, ma salive me trempe les lèvres inférieures !

"Putain, Pascal, je suis trop excité ! J'ai envie d'aller plus loin !".

Je ne réponds pas, je le laisse gagner du terrain tout seul !

Il se dresse, et me couche sur le ventre, pour reprendre un anulingus, plus vicieux et assumé, cette fois !

Je m'écarte les lobes fessiers !

"Orhhhh ! Oui, c'est bon, c'est excitant !".
"Mmmmm ! Mmmmm ! Slllllrp ! Tu aimes ma langue ?".
"Orhh ! Oui !".

Malgré moi, mon anus s'ouvre très largement !
Est-ce qu'il devine, que je me fais souvent sodomiser ?

Mais sa langue entre profondément, dans mon orifice anal !
Il me crache abondamment dessus, puis répète:

"N'oublies pas, Pascal, tu m'arrêtes quand tu veux !".
"Oui ! Orhhh ! Je sais !".

Est-ce un signal pour lui ?
Toujours est-il qu'il se dresse, et colle son gros gland entre mes fesses !

"Tu en as envie ? Pascal ?".
"Oui !".
"Je vais faire attention ! Fais-moi confiance ! Ca devrait bien se passer !".

Sa verge entame déjà sa conquête de mon anus.
Je me cambre légèrement, il gagne quelques centimètres !

J'essaie de lui cacher mes premiers signes de plaisir anal.
Il recule, pour ajouter de la salive, puis revient.

Il force un peu plus fort, j'écarte mes fesses, au même instant, ou il m'empale jusqu'à la base de sa verge !

"Arhhhhhhhh ! Orhhhh ! Ne bouges pas ! S'il te plait ! Orhhh ! C'est gros !".
"Ne t'inquiètes pas, j'attends ! Putain, j'ai imaginé tellement de fois ce moment ! Merci Pascal ! Je suis le plus heureux des hommes !".

"Orghhhhh ! Oh ! Putain ! Bouges ! Vas-y ! Ca va mieux ! Maintenant !".

Dès les premiers mouvements, je ne peux retenir mes gémissements de plaisir.

"Orhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Mmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm !...".
"Tu aimes ? Dis le moi ! Je veux pas être le seul, à prendre du plaisir !".

"Orhhhh ! Oui, Henri ! J'aime ! C'est... c'est boooonnnnnn !".
"Orhhh ! J'hallucine, tu m'encaisses trop bien ! On dirait que t'as déjà fait ça !".
"Chhhht ! Tais-toi ! Continues ! Arhhhhhhhhhh !...".

Il gagne en amplitude, son bas ventre claque contre mes fesses, en m'écartelant la chatte.
Mes cuisses s'écrasent contre le flanc du lit.
Je m'accroche avec mes mains, sur l'autre bord du matelas, en l'encaissant.
Il me lâche alors:

"Orhhh ! Putain, Pascal ! J'aime t'enculer ! Oh ! Pardon !".
"Arghhhhhh ! C'est pas grave ! C'est ce que tu fais de toute façon ! Encules-moi ! Arghhhhhhhhhhhhh!".

Je manifeste de plus en plus fort, mon plaisir.
Si j'ai pu lui cacher mon premier orgasme anal, le suivant est trop puissant !
Il s'en inquiète !

"Chéri ! Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Argggggggggggggggggg ! Arghhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".

"Parles-moi !".
"Je... Je... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !...".
"Putain, tu m'excites trop !".

Il se secoue, encore plus vite et fort.
Je prend un troisième orgasme.

Il me pivote, sur le dos, et me saisit par le dessous des genoux, en me pilonnant les fesses.
Je m'excite de le voir, entre mes cuisses, afin de faire monter mon plaisir et le sien.

Par contre, je redoute le moment, où il voudra me donner un baiser !
Il est vraiment repoussant !
Il s'approche de mes lèvres, je lui murmure:

"Arhhhhhhhhh ! Non, désolé, je peux pas !".
"Je comprends, c'est pas grave !".
"Orhhhhhhhh ! Excuses-moi ! Arghhhhhhhhhhh ! C'est bon !...".

Ce qui devait arriver, survient malgré moi.
Mon gland gonfle à m'en faire mal.

Ensuite, ma verge se déverse sur mon ventre, tout en étant secouée par les assauts d'Henri, dans mon anus béant.
Il ralenti sa possession, en regardant mon sperme qui me pollue le corps.

"Merci, pour ça Pascal ! Tu peux pas savoir, comme ça me fait plaisir de te donner ce bonheur là !".

Il se retire, et commence une masturbation !
Je lui demande:

"Pourquoi tu t'arrêtes de me prendre ?".
"Ben, tu as éjaculé !".

"Et alors ? Continues ! Encules-moi ! Toi aussi, tu as le droit de jouir ! Orhhhh ! Oui, comme ça ! Va jusqu'au bout ! Fais toi plaisir !".
"Je peux faire tout ce que je veux ?".
"Oui ! Au point où on en est ! Lâches toi ! Orhhh ! C'est encore bon dans mon cul ! Même si j'ai éjaculé !".

Il me place dans le sens du lit, puis reprend ma chatte, en m'écartant les cuisses.
Je m'en veux presque d'avoir repoussé ce type, tant je prend mon pied.

J'avoue que son coté légèrement bedonnant me gêne un peu !
Surtout, quand il se place au dessus de ma bouche, pour m'enfoncer sa bite, et me la baiser comme un anus !

Ensuite, il me pivote sur le ventre, et me pilonne la chatte par derrière, sans retenue.
Je frappe le matelas, quand j'atteins le sommet de mon orgasme anal.
Putain, c'est vraiment ma position préférée !
C'est trop puissant !
Surtout qu'il continue, avec fougue !

Je déplore le manque de coordination, quand il se déverse en moi !
Je viens de jouir, mais c'est tellement excitant, tout de même !

Je cambre mes fesses, pour l'encourager à se lâcher complètement dans ma chatte.
Il me mord le creux de l'épaule en jouissant.
Je subis cette légère douleur, il en a le droit !

Putain, ce que j'aime ressentir ses puissants spasmes d'éjaculation, dans sa verge !

Il se relâche enfin !
Un très long silence nous gagne.
On n'ose plus se parler !

Une de ses mains, me caresse le coté de la fesse.
Elle remonte vers mon crâne, mes cheveux, je m'abandonne à ce plaisir tendre.

"Tu regrettes Pascal ?".
"Non, Je peux pas regretter ça ! Vu le plaisir que j'ai connu !".
"Pour moi, c'était plus que bien ! J'ai adoré ! Finalement, c'est bien que tu ais oublié ta carte !".

"Enfoiré ! Orhhh ! Arrêtes de bouger ! Sinon, je vais avoir encore envie de jouir !".
"Tu veux ?".
"Orhhh ! T'es pas obligé !".
"Je peux faire ça pour toi, mon chéri ! Dis-moi quand tu joui !".

Il reprend une longue série d'assauts, dans ma chatte pleine de foutre.
Jusqu'à me procurer un dernier orgasme anal.

"Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui, ça y est, Henri ! Je joui du cul ! Arghhhhhhhhhhhhh !".

Il ressort ensuite de mon trou poisseux.
Sa verge n'attendait que ça, pour se relâcher et rétrécir !
Je me dirige vers elle, pour la lécher longuement, pendant qu'il se prélasse en me caressant la tête.

"Putain, c'est trop bon de baiser avec toi, Pascal ! T'es sûr que t'es pas homo ?".
"Mmmm ! Oui, je suis sûr ! Mais j'aime les hommes aussi ! Tu l'as compris, je pense !".
"Je m'en doutais ! Mais, pas avant ce soir ! Mais, ta femme ne sait rien, je suppose ?".

Je décide de garder un jardin secret:

"Non, elle sait pas !".
"Du coup ! Si ça t'arrange, tu peux dormir avec moi, demain soir !".

"Euh, je sais pas... C'est risqué, vis a vis des autres ! Toi, tu assumes ton homosexualité ! Pas moi !".
"On sera discret !".

"Bon d'accord ! Mais, tu me promets de garder le secret !".
"Comptes sur moi ! J'y trouve mon compte ! Mais, pourquoi tu m'ignores depuis tout ce temps ? Tu savais que tu me plaisais, non ?".

"Oui, je sais ! Tu t'en vantes trop ! Je m'excuse ! J'aime pas mélanger le boulot et le sexe !".

Je lui ment un peu, je vais pas lui dire que je le trouve laid !
Et puis, mon excuse est vraie aussi !

"Je suis trop content ! J'ai trop bien joui ! Tu m'plais Pascal !".
"Par contre ! C'est clair entre nous ! Pas de sentiment !".
"Oui, je m'en doutais ! Je respecte ton couple ! Je resterai discret ! On fera comme d'habitude devant les autres !".
"Merci ! T'es gentil !".
"Je vais passer un super Week End !".

Son bonheur me fait plaisir !

"Tant mieux ! Bon, je vais me redoucher ! J'en ai partout ! Ca me coule entre les fesses !".

Quand je sors, tout propre, il a allumé la télévision, et mis Canal+, qui diffuse un porno hétéro.

"Pourquoi tu regardes ça, c'est pas ton truc ! Non ?".
"Ca reste excitant, j'aime regarder les mecs ! Et toi, qu'est-ce qui te plait dans ce genre de film ?".

"Ben, ca dépend ! Dès fois, je m'imagine à la place du mec, et d'autres fois celle de la fille ! Surtout pour les pipes et les sodomies !".
"J'en étais sûr !".

Je m'allonge devant, et contre lui, qui me caresse le corps pendant presque tout le film.
Je me laisse souvent aller, j'ai besoin de ça, après le sexe !

J'ai pas réagi, quand il a rebandé, et m'a enfoncé sa verge, de nouveau dans l'anus.
Le film a fait son effet, juste avant de terminer !

Je passe ma main dans mon dos, pour l'accompagner dans mon cul.

Il me pivote au dessus de lui.
Je me tiens sur mes mains et mes pieds, pendant qu'il me possède par dessous.
J'atteins un nouveau premier orgasme anal.

"Orhhhh ! Pascal ! J'adore te baiser ! Te faire jouir du cul !".

Je prend tout ce que je peux, de ce moment de plaisir.
Puis je me dresse, en me penchant en avant.

A partir de là, je me lance dans une chevauchée non retenue, de sa grosse verge !
Je ne m'arrête qu'à chaque montée d'orgasme, en râlant mon plaisir !

Ensuite, on se dévore mutuellement.
Sa verge pour moi, et mon anus pour lui !

Il me place en levrette soumise, et cambrée !
Sa saillie est virulente, je le supplie de me parler crûment !

"Tu veux que je t'encule comme une salope ? Une pute ? C'est ça que tu veux ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh ! Oui, c'est ça ! Arghhhhhhhhhh ! J'ai besoin qu'on me parle...".

Il me fait plaisir, en se lâchant verbalement, mais subit cette surexcitation, et annonce son éjaculation !

Il se retire d'un coup !
On s'est compris !
Je me jette sur sa verge, et l'avale avec gourmandise, pendant qu'il gueule l'orgasme, qu'il vit dans ma gorge.

"Arhhhh ! Oui ! Chéri ! Avales tout ! Orghhhhhhhh ! Même ça, c'est bon, avec toi ! Arggggggggggggggg !".
"Mmmmmm ! Mmmmm ! Glllllrp ! Glllllllllrp ! Mmmmmmmm !...".

Il se couche en arrière, me laissant sa verge dans la bouche.
Il profite pleinement de tout le plaisir buccal, que je lui donne.

Mes coups de langue, et enfoncements buccaux, se font plus lents et tendres.
Je ralenti très lentement, mes caresses buccales, puis je le regarde enfin.

Il dort !
Je remonte le drap sur nous, puis je sombre très rapidement, moi aussi !
On verra la suite, demain !

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Un moment de faiblesse.
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Passud

Un moment de faiblesse. - Récit érotique publié le 05-11-2024
L'emprise - Récit érotique publié le 04-11-2024
Fête nationale avec un trio pervers. - Récit érotique publié le 03-11-2024
L'homme pressé. - Récit érotique publié le 02-11-2024
Visite chez mes parents - La séquestration. - Récit érotique publié le 01-11-2024
Visite chez mes parents - Récit érotique publié le 31-10-2024
22 ans ! L'Age insouciant ! Une partouze improvisée ! - Récit érotique publié le 29-10-2024
22 ans ! L'Age insouciant ! - Récit érotique publié le 28-10-2024
Jeu pervers dans les toilettes. - Récit érotique publié le 27-10-2024
Retour dans le grenier d'immeuble, avec mes ouvriers ! - Récit érotique publié le 25-10-2024