Un moment de plaisir 2 - histoire érotique

Manon ferme les yeux, car elle a un peu honte, mais cela ne l'empêche pas de gémir. Les doigts habiles de Lucette savent comment faire jouir. Elle accélère le branlage, presse fortement la boule magique pour faire hurler de plaisir la soumise. La masturbation reprend de plus belle. Manon se tortille comme un ver accroché à un hameçon, sa jouissance approche. Jacques en bon voyeur n'intervient pas encore.

Manon est très expressive, elle gémit fortement en se cambrant. Les doigts experts de la branleuse, la font délirer. Elle se cabre en poussant un hurlement terrible, Jacques sursaute, il regarde la chatte qui ne retient pas son jus. Lucette n'en a pas fini avec elle, elle plaque sa bouche sur le clito qui est devenu énorme, et l'aspire. L'effet produit et démentiel, Manon se tend comme un arc, en ouvrant un maximum ses cuisses.


Lucette suce et tète la boule de chair avec une voracité incroyable, chaque succion fait gémir de plaisir Manon, qui appuie fortement sur la tête de la suceuse. Mais lorsque Lucette mord la boule des plaisirs, une jouissance jusqu'ici inconnue de Manon ce produit. Un jet de cyprine gicle de sa chatte en remplissant la bouche de Lucette, qui n'a d'autre choix que d'avaler.

L'initiatrice, passe à l'étape supérieure, elle s'allonge sur Manon, les chattes sont l'une contre l'autre. En s'agitant comme une danseuse orientale, Lucette, avec sa vulve, frotte celle de sa proie qui continue de rejeter son jus. La coquine sait y faire, Manon halète fortement, ses yeux sont embués, un rictus déforme son visage. Une nouvelle jouissance la fait cabrer.

Maintenant, elle se place tête bêche sur Manon et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr. Elle le dévore si voracement que Manon défaille. Elle fait une chose qui lui était inconnue jusqu'à ce jour. Elle saisit Lucette par les fesses, et plaque sa bouche sur sa chatte. Elle lèche la fente, suçote les grandes lèvres, puis enfonce sa langue profondément dans le conduit vaginal comme vient de lui faire Lucette. Les deux amantes ne lésinent pas leurs efforts, elles se bouffent le clito, le tète comme un bonbon. Comme par miracle, elles jouissent ensemble.

Mais dès que la langue de Lucette se pose sur son anus, Manon se cambre fortement en poussant un long gémissement. Cet attouchement inconnu d'elle la fait frémir. La pointe râpeuse, tente de forcer l'anneau, sans succès. Manon, elle aussi, lèche l'anus de son amante, qui grogne de plaisir. Elle pousse sur le muscle rectal, qui, surement souvent sollicité, s'ouvre. La pointe de sa langue s'enfonce dans le conduit de Lucette qui pousse un gémissement terrible, elle relève la tête et dit :

-Oui, oui, ma chérie bouffe-moi le cul, tu apprends vite, oh mon Dieu comme tu es douée. Lucette repart à la charge, sa langue pousse fortement sur l'anneau récalcitrant, qui finit pas céder. Sans lâcher sa proie Manon pousse un râle de plaisir. Les langues, bien qu'agiles, ne peuvent fouiller que de peu de centimètres les canaux étroits.


Manon disjoncte, elle se cabre en gémissant :

-Oh mon Dieu, c'est dément, comment que j'ai pu passer à côté d'un tel bonheur depuis tant d'années !

Son corps tremble, les deux amantes changent continuellement d'orifice. Jacques bande comme un poney, il doit se presser fortement la hampe pour diminuer l'affut de sang qui circule dans sa verge. Les deux cessent de se brouter que lorsqu'elles ont trouvé la jouissance.

Enfin Lucette libère Manon, elle regarde son mari et lui dit :

-C'est une sacrée jouisseuse, une grosse salope comme je l'avais prévue, mon chéri éclate-la, ouvre-lui bien la chatte !

Jacques présente aux lèvres charnues de Manon son membre gonflé au maximum. Lucette dirige les opérations :

-Décalotte lui la bite, ma chérie et suce là, tu vas gouter à sa crème !

Manon, fébrilement, saisit le manche épais, le décalotte en ne quittant pas des yeux le gland volumineux. Elle ouvre la bouche et happe le cèpe odorant. Pendant qu'elle s'évertue à téter l'engin de chair. Lucette lui malaxe les seins, les pétrit pour les raffermir. Sois les doigts agiles, les mamelons se dressent, au centre des aréoles brunes.

Lucette pose sa bouche sur un mât de chair et le tète comme un enfant qui s'allaite. Souvent, elle alterne avec l'autre mamelon, le traitement est très efficace. Les tétons deviennent durs comme du bois, Lucette les étire, en faisant grimacer la suceuse, elle les roule entre ses doigts, les presse. Avant de les reprendre en bouche pour les dévorer comme une affamée.

Manon branle en suçant la verge de Jacques, elle fait de son mieux, mais Lucette intervient :

-Presse-lui les couilles, il aime ça le cochon, vas-y, fais-toi plaisir ma chérie !

D'une main Manon attrape les couilles velues, les triture en faisant couiner Jacques comme un animal. Le résultat ne se fait pas attendre. Jacques, en grognant comme un fauve affamé, envoie dans la bouche de Manon une puissante décharge de sperme. Surprise, Manon repousse violemment son partenaire. Elle se pince les lèvres en regardant Lucette qui lui fait les gros yeux et lui dit :

-Avale ma chérie, cela fait surement des années que tu n'as pas goûtée de crème aussi onctueuse, avale, avale !

C'est en déglutissant, difficilement et en faisant une moue affreuse, que Manon avale la totalité de la décharge. Jacques prend place être les cuisses de Manon, elle regarde l'engin qui pour elle, parait impressionnant. Il le place contre la chatte en ébullition et pousse. Manon reçoit, après de nombreuses années d'abstinence, une bite dans le corps. Elle grogne, en s'accrochant à son amant, sa queue et plus douce que la carotte. Elle gémit pendant toute la pénétration.

Jacques en bon amant commence un ramonage bien dosé, il ne veut pas décevoir son amante. Le va-et-vient prend de la vitesse, la bite vigoureuse voyage dans la gaine, en raclant les parois garnies de muqueuses très sensibles. Manon est au paradis, elle agite son bassin en grognant comme un animal blessé. Jacques ressort entièrement sa bite du ventre de Manon, il la replonge brusquement, le plus profondément possible. Manon se cabre, s'agite en couinant de plaisir. Elle s'accroche à son amant comme une bête sur sa proie.

Lucette est enchantée de voir Manon si heureuse :

-Oui, mon chéri, baise-la plus fort, Manon, confirme que tu es une grosse salope, aller, bouge, bouge, agite ton cul pour bien recevoir la bite de mon homme !

Manon ne se reconnait plus, elle s'agite comme une hystérique sur le pal qui l'embroche jusqu'à la garde. Soudain, en poussant un cri d'enfer, elle explose de jouissances. Ses cris provoquent un petit attroupement dans l'alcôve. Manon ne se retient plus, elle donne des coups de reins terribles, la coquine cherche une nouvelle jouissance. Jacques se raidit et emplit le ventre de son amante en grognant comme un fauve. Mais il continue de la défoncer, il veut la faire jouir une seconde fois. Il ne faut pas attendre longtemps pour que cela se produise. Manon en poussant un long râle d'agonisante jouit.

Un tonnerre d'applaudissement se fait entendre. Lucette souriante répond aux applaudissements :

-Je suis stupéfaite par les jouissances terribles de Manon, tout comme vous, je suppose !

Une femme répond :

-Oh la vache comme je voudrais jouir aussi intensément !


Elle regarde Jacques en salivant abondamment. Le bougre, en ignorant le monde autour, donne encore quelques estocades. La femme semble très excitée, elle ajoute :

-Est-ce qu'elle jouit du cul aussi intensément !