Un moment de tendresse et de perversité entre hommes
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un moment de tendresse et de perversité entre hommes
Avec Fabrice, vers le milieu de notre relation, et vu l'intensité du rythme de nos ébats, une routine commençait a s'installer, cela devenait répétitif.
Mais il trouvait des idées pour pimenter nos rapports sexuels, et surement assouvir quelques fantasmes.
Il m'avait rejoint à midi, nous nous sommes enfermés dans l'arrière salle. Il se déshabille complètement et va s'allonger sur un grand canapé que j'ai installé quelques jours auparavant.
il se glisse sous la couverture, attrape le gel et me demande de l'imiter.
"Viens!".
Une fois nu, je me couche contre lui, en chien de fusil.
Il est derrière moi, il m'embrasse longuement en me tournant la tête, puis Il me couvre l'anus de lubrifiant.
Je sens sa main, guider son sexe contre mon œillet, sa pression est douce.
Je me tortille pour l'aider, son gland entre déjà sans peine, lentement, presque tendrement.
La fréquence de nos rapports et leur récente double pénétration ont été bénéfique pour mes possibilités anales.
Je m'attends à me faire défoncer comme une salope assez vite, mais à mon étonnement, il bouge en moi fermement, mais avec tendresse.
il me caresse sur tout le long du corps, langoureusement, en me pénétrant profondément.
Sa main libre se pose sur le haut de ma cuisse, ça lui donne l'impression en se servant de cet appui, de me posséder plus fort encore.
J'aime ce qu'il me fait et le partage avec lui:"Ahhhhhh, Fabrice, c'est bon comme ça aussi!".
"J'avais envie de ça!".
"Continue, comme ça, ça monte doucement, mais je vais jouir aussi".
J'accompagne ses pénétrations en me cambrant au maximum, et cherche a sentir que la base de sa bite touche mon anusJ'essaie de me planter, son gland gonflé, loin dans mes entrailles.
Le plaisir me gagne peu à peu, je ressens chaque cm de sa queue coulisser, tendrement, de mon œillet à mon coccyx.
Je ne tiens plus, l'orgasme a pris du temps, mais il m'envahit à présent de la tête aux pieds.
Je prends mon visage entre mes mains, en serrant des dents, puis, je râle en jouissant".
"Ahhhhhh, Fabrice, je jouuuiiiiiiiiiiis! Continue, ça s'arrêtes pas, Ahhhhhhhhhhhhhhhhh".
"Oui, jouis, jusqu'au bout, laisses-toi aller, viens, j'aime te faire jouir!".
"Ahhhhhh, c'est bonnnnnnnnnn, Ahhhhhhhhhhhhhhhhh".
Il ne calme ses mouvements que lorsqu'il constate mon retour à la conscience.
"Pfffffffffff, Fabrice, j'ai bien jouis, merci".
"De rien, j'ai pensé que ça changeai, je suis pas qu'un bourrin, tu sais".
"J'ai vu!".
"Quand j'y pense, j'étais loin de m'imaginer, la première fois que je t'ai vu au Sex-Shop, qu'on aurai une liaison aussi longue".
"Moi, non plus, c'est vrai que c'est pas un endroit pour entamer une relation durable".
"T'as du pratiquer plein de trucs différents depuis que tu rencontres des mecs".
"Pas mal, oui".
"Racontes-moi! Ca peut me donner des idées!".
"Ben, tu m'as vu baiser avec plusieurs mecs à la fois, mon maximum, c'est plus de 10 ou 12 à la chaine, j'ai pas compté, au Zone X, j'ai d'ailleurs subi, ma première double pénétration, ce jour là".
"Hummm, la deuxième avec moi et Franck, c'était super".
"Oui! J'ai aussi presque vécu un viol, un type qui m'a dragué, et m'a emmené dans sa voiture, mais il était sadique et m'a fait mal pendant tout le rapport, j'ai pris aucun plaisir, il voulait me revoir, il attends encore".
"Ca craint!".
"Je me suis prostitué un soir ou j'avais plus d'argent pour manger, j'ai jamais recommencé, je voulais pas revivre ce moment ou le type t'aborde et tu dois lui annoncer un prix! Un autre mec vicieux aimait m'uriner dessus, dans la bouche et dans le cul".
"C'est pas vrai! Et t'en penses quoi?".
"Sur le corps et dans l'anus, c'est pas désagréable, je le referrai peut être, si je sais que je peux me doucher après, mais la bouche, j'aime pas!".
"Hummm".
"J'ai baisé avec des magrébins, des blacks, pas souvent, les homos blacks sont rares ici".
"T'as beaucoup rencontré d'hommes?".
"Ben, on s'est connu au Sex-Shop, vous étiez pas mal déjà, donc en calculant sur dix ans à ce rythme, je dois être à plus de 1000 rencontres, peut être le double".
"Hummm, mais t'es vraiment une salope, et qu'est ce tu aimes, c'est quoi ton genre d'homme".
"Mûr, plus agé que moi, grand si possible, imposant, pas gros, la beauté, je m'en fous, mais le critère le plus important, c'est sa queue! si le mec est laid et bien pourvu, je fonds".
"Enfin, tu le suces!".
"Ah, ah, oui! Je me souviens d'un magrébin imposant, laid et vicieux qui m'a surpris et quasiment violé, j'ai refusé au départ, mais il était trop fort, sa grosse bite avait un goût d'urine au début, mais il est arrivé a m'exciter, m'enculer et me faire jouir, plusieurs fois, il a éjaculé deux fois, le salaud! Ah oui, aussi, j'ai baisé des mecs, mais j'ai horreur de ça! j'éjacule malgré moi, mais, sans plaisir réel".
"Tant mieux pour moi".
"Mon péché mignon, c'est les Glory Hôles dans les Sex-Shops, un type m'a baisé avec des godes et un autre a essayé de me fister, un soir, à cet instant, j'étais pas encore prêt, mais il y est presque arrivé".
"Hummm, je retiens quelques idées".
Son membre se remet à se mouvoir en moi, en un rythme progressif.
"Ohhhhhh, Fabrice, c'est bon".
"Tu m'as excité avec tes histoires"Il augmente la cadence de sa pénétration.
"Ahhhhhh, oui, encore! Vas-y, défonces moi maintenant".
Il me place, appuyé au canapé en levrette et se déchaine encore de longues minutes de jouissance anales pour moi et éjacule en râlant de plaisir dans mon anus.
"Oh, P...! Je jouis trop bien avec toi!".
"Merci, tu m'encules bien aussi!".
On s'assied sur le canapé pour reprendre nos esprits, en discutant et pendant je lui caresse tendrement la queue, qui ne débande pas.
Il commence a se lever en disant:"Attends, je dois aller aux toil..., euh ça me donne une idée! Viens! Mets toi à quatre pattes".
Il m'enfonce sa grosse encore gonflée dans l'anus profondément.
D'un coup, je sens un liquide chaud m'envahir les entrailles et les intestins.
"Fabrice, t'est fou".
"Tu m'as dis que tu avais aimé".
Le liquide ne peut plus entrer en moi et commence à couler le long de ses couilles et mes cuisses.
Je serre fort mon anus quand il sort en me couvrant le corps d'urine brulante, il me prend par les cheveux pour m'inonder aussi le visage.
Ses derniers jets finissent de me souiller en coulant de mon front, à mes cuisses.
Sa queue débande enfin, il recule en questionnant:"Alors tu aimes toujours, moi ça m'as pas déplu, je le ferai pas, tout le temps, mais pour délirer, pourquoi pas!".
"Oui, je sais pas pourquoi, j'aime ça, la chaleur, plus l'humiliation de se faire couvrir d'urine par un autre homme, surement".
J'ajoute:"Par contre, je dois aller aux toilettes, là!".
J'éjecte le liquide de mon anus aux WC et utilise du savon et un gant de toilette devant mon évier, pour me faire une propreté générale, je ne veux pas sentir l'urine quand les clients arriveront.
Fabrice m'aide à essuyer les traces d'urine au sol devant le canapé, puis on se rhabille, et profitons du temps qu'il nous reste pour nous câliner.
Il me quitte en disant: "On essaiera d'autres trucs encore! OK?".
Mais il trouvait des idées pour pimenter nos rapports sexuels, et surement assouvir quelques fantasmes.
Il m'avait rejoint à midi, nous nous sommes enfermés dans l'arrière salle. Il se déshabille complètement et va s'allonger sur un grand canapé que j'ai installé quelques jours auparavant.
il se glisse sous la couverture, attrape le gel et me demande de l'imiter.
"Viens!".
Une fois nu, je me couche contre lui, en chien de fusil.
Il est derrière moi, il m'embrasse longuement en me tournant la tête, puis Il me couvre l'anus de lubrifiant.
Je sens sa main, guider son sexe contre mon œillet, sa pression est douce.
Je me tortille pour l'aider, son gland entre déjà sans peine, lentement, presque tendrement.
La fréquence de nos rapports et leur récente double pénétration ont été bénéfique pour mes possibilités anales.
Je m'attends à me faire défoncer comme une salope assez vite, mais à mon étonnement, il bouge en moi fermement, mais avec tendresse.
il me caresse sur tout le long du corps, langoureusement, en me pénétrant profondément.
Sa main libre se pose sur le haut de ma cuisse, ça lui donne l'impression en se servant de cet appui, de me posséder plus fort encore.
J'aime ce qu'il me fait et le partage avec lui:"Ahhhhhh, Fabrice, c'est bon comme ça aussi!".
"J'avais envie de ça!".
"Continue, comme ça, ça monte doucement, mais je vais jouir aussi".
J'accompagne ses pénétrations en me cambrant au maximum, et cherche a sentir que la base de sa bite touche mon anusJ'essaie de me planter, son gland gonflé, loin dans mes entrailles.
Le plaisir me gagne peu à peu, je ressens chaque cm de sa queue coulisser, tendrement, de mon œillet à mon coccyx.
Je ne tiens plus, l'orgasme a pris du temps, mais il m'envahit à présent de la tête aux pieds.
Je prends mon visage entre mes mains, en serrant des dents, puis, je râle en jouissant".
"Ahhhhhh, Fabrice, je jouuuiiiiiiiiiiis! Continue, ça s'arrêtes pas, Ahhhhhhhhhhhhhhhhh".
"Oui, jouis, jusqu'au bout, laisses-toi aller, viens, j'aime te faire jouir!".
"Ahhhhhh, c'est bonnnnnnnnnn, Ahhhhhhhhhhhhhhhhh".
Il ne calme ses mouvements que lorsqu'il constate mon retour à la conscience.
"Pfffffffffff, Fabrice, j'ai bien jouis, merci".
"De rien, j'ai pensé que ça changeai, je suis pas qu'un bourrin, tu sais".
"J'ai vu!".
"Quand j'y pense, j'étais loin de m'imaginer, la première fois que je t'ai vu au Sex-Shop, qu'on aurai une liaison aussi longue".
"Moi, non plus, c'est vrai que c'est pas un endroit pour entamer une relation durable".
"T'as du pratiquer plein de trucs différents depuis que tu rencontres des mecs".
"Pas mal, oui".
"Racontes-moi! Ca peut me donner des idées!".
"Ben, tu m'as vu baiser avec plusieurs mecs à la fois, mon maximum, c'est plus de 10 ou 12 à la chaine, j'ai pas compté, au Zone X, j'ai d'ailleurs subi, ma première double pénétration, ce jour là".
"Hummm, la deuxième avec moi et Franck, c'était super".
"Oui! J'ai aussi presque vécu un viol, un type qui m'a dragué, et m'a emmené dans sa voiture, mais il était sadique et m'a fait mal pendant tout le rapport, j'ai pris aucun plaisir, il voulait me revoir, il attends encore".
"Ca craint!".
"Je me suis prostitué un soir ou j'avais plus d'argent pour manger, j'ai jamais recommencé, je voulais pas revivre ce moment ou le type t'aborde et tu dois lui annoncer un prix! Un autre mec vicieux aimait m'uriner dessus, dans la bouche et dans le cul".
"C'est pas vrai! Et t'en penses quoi?".
"Sur le corps et dans l'anus, c'est pas désagréable, je le referrai peut être, si je sais que je peux me doucher après, mais la bouche, j'aime pas!".
"Hummm".
"J'ai baisé avec des magrébins, des blacks, pas souvent, les homos blacks sont rares ici".
"T'as beaucoup rencontré d'hommes?".
"Ben, on s'est connu au Sex-Shop, vous étiez pas mal déjà, donc en calculant sur dix ans à ce rythme, je dois être à plus de 1000 rencontres, peut être le double".
"Hummm, mais t'es vraiment une salope, et qu'est ce tu aimes, c'est quoi ton genre d'homme".
"Mûr, plus agé que moi, grand si possible, imposant, pas gros, la beauté, je m'en fous, mais le critère le plus important, c'est sa queue! si le mec est laid et bien pourvu, je fonds".
"Enfin, tu le suces!".
"Ah, ah, oui! Je me souviens d'un magrébin imposant, laid et vicieux qui m'a surpris et quasiment violé, j'ai refusé au départ, mais il était trop fort, sa grosse bite avait un goût d'urine au début, mais il est arrivé a m'exciter, m'enculer et me faire jouir, plusieurs fois, il a éjaculé deux fois, le salaud! Ah oui, aussi, j'ai baisé des mecs, mais j'ai horreur de ça! j'éjacule malgré moi, mais, sans plaisir réel".
"Tant mieux pour moi".
"Mon péché mignon, c'est les Glory Hôles dans les Sex-Shops, un type m'a baisé avec des godes et un autre a essayé de me fister, un soir, à cet instant, j'étais pas encore prêt, mais il y est presque arrivé".
"Hummm, je retiens quelques idées".
Son membre se remet à se mouvoir en moi, en un rythme progressif.
"Ohhhhhh, Fabrice, c'est bon".
"Tu m'as excité avec tes histoires"Il augmente la cadence de sa pénétration.
"Ahhhhhh, oui, encore! Vas-y, défonces moi maintenant".
Il me place, appuyé au canapé en levrette et se déchaine encore de longues minutes de jouissance anales pour moi et éjacule en râlant de plaisir dans mon anus.
"Oh, P...! Je jouis trop bien avec toi!".
"Merci, tu m'encules bien aussi!".
On s'assied sur le canapé pour reprendre nos esprits, en discutant et pendant je lui caresse tendrement la queue, qui ne débande pas.
Il commence a se lever en disant:"Attends, je dois aller aux toil..., euh ça me donne une idée! Viens! Mets toi à quatre pattes".
Il m'enfonce sa grosse encore gonflée dans l'anus profondément.
D'un coup, je sens un liquide chaud m'envahir les entrailles et les intestins.
"Fabrice, t'est fou".
"Tu m'as dis que tu avais aimé".
Le liquide ne peut plus entrer en moi et commence à couler le long de ses couilles et mes cuisses.
Je serre fort mon anus quand il sort en me couvrant le corps d'urine brulante, il me prend par les cheveux pour m'inonder aussi le visage.
Ses derniers jets finissent de me souiller en coulant de mon front, à mes cuisses.
Sa queue débande enfin, il recule en questionnant:"Alors tu aimes toujours, moi ça m'as pas déplu, je le ferai pas, tout le temps, mais pour délirer, pourquoi pas!".
"Oui, je sais pas pourquoi, j'aime ça, la chaleur, plus l'humiliation de se faire couvrir d'urine par un autre homme, surement".
J'ajoute:"Par contre, je dois aller aux toilettes, là!".
J'éjecte le liquide de mon anus aux WC et utilise du savon et un gant de toilette devant mon évier, pour me faire une propreté générale, je ne veux pas sentir l'urine quand les clients arriveront.
Fabrice m'aide à essuyer les traces d'urine au sol devant le canapé, puis on se rhabille, et profitons du temps qu'il nous reste pour nous câliner.
Il me quitte en disant: "On essaiera d'autres trucs encore! OK?".
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