Un Noël tout feu tout flamme.
Récit érotique écrit par Lilie0 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un Noël tout feu tout flamme.
La plupart des gens adorent noël et, généralement, je serais d’accord avec eux. Mais cette année la situation n’est pas vraiment facile. Je suis arrivée en ville il y a quelques mois, j’ai commencé un nouveau boulot et je ne connais encore personne. Ma famille est à l’autre bout du pays et je n’ai pas pu rentrer alors je passe le 24 décembre avec les deux meilleures amis de toute fille qui se respecte : M. Chips et Mme Glace. On peut dire ce qu’on veut, ces deux-là ne vous laissent jamais tomber. Même mon colocataire n’est pas là ce soir, et c’est le seul que je connais bien.
Quand j’ai commencé à travailler comme secrétaire à la caserne de pompiers de mon quartier j’ai compris deux choses : ce travail allait vraiment me plaire car bosser dans une caserne c’est être avec les hommes et les femmes les plus courageux ; en revanche si je voulais continuer à pouvoir manger il allait falloir que je trouve un colocataire. La chance a voulu que mon collègue, le Lieutenant Colin Joz, cherchait un appartement à partager alors les choses se sont rapidement arrangées. J’avoue avoir un peu hésité à emménager avec homme. J’ai toujours habité seule et la colocation c’est quelque chose de nouveau, alors vivre avec un pompier hyper sexy bâti comme un Dieu et qui, pour vivre, court dans des immeubles en feu pour sauver la veuve et l’orphelin…Non d’accord je n’ai pas hésité longtemps. Connaissant la réputation des pompiers, je m’attendais presque à voir une fille différente défiler tous les matins, mais jusque-là Colin a été assez calme ou du moins assez discret. Même avec moi malheureusement. Pourtant j’ai tout fait pour voir s’il était intéressé ou pour lui faire comprendre que moi je n’étais pas contre mais je ne suis pas douée pour ce genre de choses.
Quoi qu’il en soit, en ce soir de fête, je n’ai rien d’autre à faire que rester me morfondre au fond de mon lit en regardant une énième rediffusion de Love Actualy. D’ailleurs, laissez-moi vous dire qu’on n’a jamais vu un homme politique aussi sexy que Hugh Grant, sinon il aurait été élu sur le champ.
A la fin du film, atteinte par une déprime profonde, je décide d’aller me coucher. Peu importe l’heure qu’il est, plus vite je m’endors, plus vite cette soirée sera finie ; alors direction salle de bain pour me laver les dents. Mais en passant devant le miroir il me vient une idée. Colin n’est pas là, j’ai l’appartement pour moi toute seule, pourquoi ne pas en profiter pour terminer un peu mieux cette soirée. J’enlève mon pyjama que je balance à l’autre bout de la pièce et je me regarde dans le miroir plein pied en face de moi. Une femme avec de longs cheveux blonds, une belle poitrine et des hanches un peu trop larges (merci M. Chips !) mais une jolie fille, voilà ce que je vois. Je continue à me regarder puis ferme les yeux pour quitter cette abominable le pire noël de ma vie. Bien sûr, c’est Colin qui apparaît dans mon esprit. Colin et sa peau mate. Colin et son dos musclé. Colin et ses bras forts. Ses lèvres pulpeuses. Ses yeux noirs. Sa grosse bosse dans son caleçon quand il traverse l’appartement après la douche. Très vite, une sensation de chaleur monte en moi et les doigts de ma main gauche descendent vite vers mon intimité. L’humidité que je sens rend mon clitoris plus sensible et je sais qu’il ne va pas me falloir longtemps avant de d’atteindre le plaisir. Ma main droite caresse ma poitrine et je pince mes tétons pour envoyer des frissons dans tout mon corps. Des caresses, un pincement et un doigt au bon endroit m’arrache même un cri de plaisir. La tête dans mes fantasmes de Colin, je ne peux m’empêcher de prononcer son nom. Je le vois poser sa bouche sur mon sein et j’imagine sa langue sur ma peau. Je l’appelle et je le réclame en flirtant avec les points sensibles de mon être. Je vais alors chercher un peu plus profondément en moi mais, quelque chose me fait ouvrir les yeux. Je relève la tête et je vois… et merde ! Dans le miroir, je vois Colin me dévisager dans la porte entrouverte. Surprise je me redresse en un mouvement et le voit reculer.
« - Désolé Gina, pardon. Je ne voulais pas… je… enfin je suis rentré et je pensais qu’il n’y avait personne et… enfin j’ai entendu du bruit et après mon prénom. Enfin je…je te laisse pardon. Mais bon, je vois que… tu passes un bon réveillon. »
L’envie de me gifler n’a jamais été aussi forte. J’attrape mon peignoir et essaye de bredouiller une excuse.
« - Colin écoute. Je pensais que tu n’étais pas là, la salle de bain est autant à toi qu’à moi, désolée, je ne voulais pas… »
Je pose la main sur la poignée mais ne sort pas, bien trop gênée. J’entends à sa respiration qu’il est juste derrière la porte. Mais qu’est-ce qu’il fait ? Je l’appelle mais il ne répond pas. Il va chercher quelque chose puis je l’entends s’agiter.
« - Gina, ce que tu faisais c’était vraiment…- Inappropriée ? Je sais désolée mais…- Non, je veux dire, c’était super chaud. »
Mon cœur manque un battement et je réalise ce qu’il est entrain de dire.
« - Je t’ai entendu dire mon prénom quand… tu te caressais. Je crois que c’est le truc le plus sensuel et le plus excitant que j’ai jamais vu. Enfin je ne dis pas ça… tu sais… Mais disons que si tu as envie de continuer, on pourrait peut-être trouver un remplaçant à ta main. Je n’ai jamais été aussi dur. »
Je voudrais apporter une modification à mon énoncé de tout à l’heure : Meilleur noël au monde !
Un dernier coup d’œil au miroir et je sors de la salle de bain en refermant la porte derrière moi. 1m85 de perfection se tient devant moi et il ne m’en faut pas plus pour me jeter à son cou. Ses lèvres sourient sous les miennes mais quand je colle mon corps contre le sien, c’est avec une passion vibrante qu’il nous pousse contre la porte. D’une main il fait tomber mon peignoir et sa bouche descend directement sur ma poitrine. Mon fantasme de tout à l’heure devient réalité et mon plaisir n’échappe pas à mon partenaire car c’est sur mon sexe que se trouve sa main. Il est tellement humide que ça en devient indécent. Colin me regarde puis me surprend en me mettant face contre la porte. Mes seins sont écrasés contre la porte ce qui ne fait qu’accroître mon plaisir. Ses lèvres descendent de mon dos à mes fesses et je l’entends se déshabiller. Je veux me retourner pour pouvoir le toucher et sentir sa peau mais il se redresse, me plaque un peu plus contre la porte sous mes gémissement et me chuchote à l’oreille : On fait ça à ma manière.
Un frisson me parcours l’échine et je le laisse mener la danse. Son sexe se colle contre fesses et j’ai un avant-gout de ce dont je vais profiter. Mon bassin se lance en aller-retour contre son chibre bien large alors que je sens sa langue gouter ma peau et me laisser la trace de ses baisers. Je n’ai jamais vécu de situation aussi intense l’implore pour l’avoir en moi. Colin sent mon impatience et fait durer l’attente. Ses mains caressent mes seins, pincent mes tétons et je gémis de plaisir, les mains caressant ce que je ne peux pas voir. Au moment où je pensais ne plus pouvoir supporter plus de désir, mon amant recule d’un pas et laisse entre nous un vide qui me prend au dépourvu et me déplait fortement. J’ouvre la bouche pour protester mais d’un coup se rentre en moi son sexe qui s’enfoncer jusqu’à la garde. Un cri m’échappe et sa voix me souffle à l’oreille : Je veux que tu dises mon nom. Prise au dépourvu par le bien-être de sa pénétration je souffle doucement son prénom et il me donne un coup de rein puissant qui me cambre encore plus. Puis il arrête de bouger.
C’est là que je comprends. Alors je prends une nouvelle inspiration et susurre Colin une nouvelle fois. Il sort quasiment son membre de moi et l’enfonce une fois encore avec violence. Le plaisir est profond et le désir plus intense que jamais. Maintenant je ne réfléchis plus et répète son nom jusqu’à le chanter. Ses mains surfent sur mon corps jusqu’à ce que le rythme de nos ébat devienne trop vigoureux et qu’il doive les poser sur mes hanches pour s’agripper à moi. C’est affalée contre la porte de la salle de bain que j’expérimente le meilleur orgasme de ma vie et que je cris le nom de mon pompier dans notre appartement. Je le sens jouir un peu après moi et laisse son corps se reposer, debout, contre le mien.
Son souffle haletant dans les cheveux il me demande de lever la tête et de regarder en l’air. Je regarde le plafond et je vois une branche de gui qui pendouille. Colin me retourne, je m’enfonce dans ses bras pour goûter son corps, il m’embrasse et me souhaite un très Joyeux Noël.
Quand j’ai commencé à travailler comme secrétaire à la caserne de pompiers de mon quartier j’ai compris deux choses : ce travail allait vraiment me plaire car bosser dans une caserne c’est être avec les hommes et les femmes les plus courageux ; en revanche si je voulais continuer à pouvoir manger il allait falloir que je trouve un colocataire. La chance a voulu que mon collègue, le Lieutenant Colin Joz, cherchait un appartement à partager alors les choses se sont rapidement arrangées. J’avoue avoir un peu hésité à emménager avec homme. J’ai toujours habité seule et la colocation c’est quelque chose de nouveau, alors vivre avec un pompier hyper sexy bâti comme un Dieu et qui, pour vivre, court dans des immeubles en feu pour sauver la veuve et l’orphelin…Non d’accord je n’ai pas hésité longtemps. Connaissant la réputation des pompiers, je m’attendais presque à voir une fille différente défiler tous les matins, mais jusque-là Colin a été assez calme ou du moins assez discret. Même avec moi malheureusement. Pourtant j’ai tout fait pour voir s’il était intéressé ou pour lui faire comprendre que moi je n’étais pas contre mais je ne suis pas douée pour ce genre de choses.
Quoi qu’il en soit, en ce soir de fête, je n’ai rien d’autre à faire que rester me morfondre au fond de mon lit en regardant une énième rediffusion de Love Actualy. D’ailleurs, laissez-moi vous dire qu’on n’a jamais vu un homme politique aussi sexy que Hugh Grant, sinon il aurait été élu sur le champ.
A la fin du film, atteinte par une déprime profonde, je décide d’aller me coucher. Peu importe l’heure qu’il est, plus vite je m’endors, plus vite cette soirée sera finie ; alors direction salle de bain pour me laver les dents. Mais en passant devant le miroir il me vient une idée. Colin n’est pas là, j’ai l’appartement pour moi toute seule, pourquoi ne pas en profiter pour terminer un peu mieux cette soirée. J’enlève mon pyjama que je balance à l’autre bout de la pièce et je me regarde dans le miroir plein pied en face de moi. Une femme avec de longs cheveux blonds, une belle poitrine et des hanches un peu trop larges (merci M. Chips !) mais une jolie fille, voilà ce que je vois. Je continue à me regarder puis ferme les yeux pour quitter cette abominable le pire noël de ma vie. Bien sûr, c’est Colin qui apparaît dans mon esprit. Colin et sa peau mate. Colin et son dos musclé. Colin et ses bras forts. Ses lèvres pulpeuses. Ses yeux noirs. Sa grosse bosse dans son caleçon quand il traverse l’appartement après la douche. Très vite, une sensation de chaleur monte en moi et les doigts de ma main gauche descendent vite vers mon intimité. L’humidité que je sens rend mon clitoris plus sensible et je sais qu’il ne va pas me falloir longtemps avant de d’atteindre le plaisir. Ma main droite caresse ma poitrine et je pince mes tétons pour envoyer des frissons dans tout mon corps. Des caresses, un pincement et un doigt au bon endroit m’arrache même un cri de plaisir. La tête dans mes fantasmes de Colin, je ne peux m’empêcher de prononcer son nom. Je le vois poser sa bouche sur mon sein et j’imagine sa langue sur ma peau. Je l’appelle et je le réclame en flirtant avec les points sensibles de mon être. Je vais alors chercher un peu plus profondément en moi mais, quelque chose me fait ouvrir les yeux. Je relève la tête et je vois… et merde ! Dans le miroir, je vois Colin me dévisager dans la porte entrouverte. Surprise je me redresse en un mouvement et le voit reculer.
« - Désolé Gina, pardon. Je ne voulais pas… je… enfin je suis rentré et je pensais qu’il n’y avait personne et… enfin j’ai entendu du bruit et après mon prénom. Enfin je…je te laisse pardon. Mais bon, je vois que… tu passes un bon réveillon. »
L’envie de me gifler n’a jamais été aussi forte. J’attrape mon peignoir et essaye de bredouiller une excuse.
« - Colin écoute. Je pensais que tu n’étais pas là, la salle de bain est autant à toi qu’à moi, désolée, je ne voulais pas… »
Je pose la main sur la poignée mais ne sort pas, bien trop gênée. J’entends à sa respiration qu’il est juste derrière la porte. Mais qu’est-ce qu’il fait ? Je l’appelle mais il ne répond pas. Il va chercher quelque chose puis je l’entends s’agiter.
« - Gina, ce que tu faisais c’était vraiment…- Inappropriée ? Je sais désolée mais…- Non, je veux dire, c’était super chaud. »
Mon cœur manque un battement et je réalise ce qu’il est entrain de dire.
« - Je t’ai entendu dire mon prénom quand… tu te caressais. Je crois que c’est le truc le plus sensuel et le plus excitant que j’ai jamais vu. Enfin je ne dis pas ça… tu sais… Mais disons que si tu as envie de continuer, on pourrait peut-être trouver un remplaçant à ta main. Je n’ai jamais été aussi dur. »
Je voudrais apporter une modification à mon énoncé de tout à l’heure : Meilleur noël au monde !
Un dernier coup d’œil au miroir et je sors de la salle de bain en refermant la porte derrière moi. 1m85 de perfection se tient devant moi et il ne m’en faut pas plus pour me jeter à son cou. Ses lèvres sourient sous les miennes mais quand je colle mon corps contre le sien, c’est avec une passion vibrante qu’il nous pousse contre la porte. D’une main il fait tomber mon peignoir et sa bouche descend directement sur ma poitrine. Mon fantasme de tout à l’heure devient réalité et mon plaisir n’échappe pas à mon partenaire car c’est sur mon sexe que se trouve sa main. Il est tellement humide que ça en devient indécent. Colin me regarde puis me surprend en me mettant face contre la porte. Mes seins sont écrasés contre la porte ce qui ne fait qu’accroître mon plaisir. Ses lèvres descendent de mon dos à mes fesses et je l’entends se déshabiller. Je veux me retourner pour pouvoir le toucher et sentir sa peau mais il se redresse, me plaque un peu plus contre la porte sous mes gémissement et me chuchote à l’oreille : On fait ça à ma manière.
Un frisson me parcours l’échine et je le laisse mener la danse. Son sexe se colle contre fesses et j’ai un avant-gout de ce dont je vais profiter. Mon bassin se lance en aller-retour contre son chibre bien large alors que je sens sa langue gouter ma peau et me laisser la trace de ses baisers. Je n’ai jamais vécu de situation aussi intense l’implore pour l’avoir en moi. Colin sent mon impatience et fait durer l’attente. Ses mains caressent mes seins, pincent mes tétons et je gémis de plaisir, les mains caressant ce que je ne peux pas voir. Au moment où je pensais ne plus pouvoir supporter plus de désir, mon amant recule d’un pas et laisse entre nous un vide qui me prend au dépourvu et me déplait fortement. J’ouvre la bouche pour protester mais d’un coup se rentre en moi son sexe qui s’enfoncer jusqu’à la garde. Un cri m’échappe et sa voix me souffle à l’oreille : Je veux que tu dises mon nom. Prise au dépourvu par le bien-être de sa pénétration je souffle doucement son prénom et il me donne un coup de rein puissant qui me cambre encore plus. Puis il arrête de bouger.
C’est là que je comprends. Alors je prends une nouvelle inspiration et susurre Colin une nouvelle fois. Il sort quasiment son membre de moi et l’enfonce une fois encore avec violence. Le plaisir est profond et le désir plus intense que jamais. Maintenant je ne réfléchis plus et répète son nom jusqu’à le chanter. Ses mains surfent sur mon corps jusqu’à ce que le rythme de nos ébat devienne trop vigoureux et qu’il doive les poser sur mes hanches pour s’agripper à moi. C’est affalée contre la porte de la salle de bain que j’expérimente le meilleur orgasme de ma vie et que je cris le nom de mon pompier dans notre appartement. Je le sens jouir un peu après moi et laisse son corps se reposer, debout, contre le mien.
Son souffle haletant dans les cheveux il me demande de lever la tête et de regarder en l’air. Je regarde le plafond et je vois une branche de gui qui pendouille. Colin me retourne, je m’enfonce dans ses bras pour goûter son corps, il m’embrasse et me souhaite un très Joyeux Noël.
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