Un norvégien fait tourner la tête de ma femme 3
Récit érotique écrit par Mdlr [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un norvégien fait tourner la tête de ma femme 3
Il est temps que je prenne la main sur le récit. Je suis donc arrivée devant le palais de justice. Cela faisait plus d’un mois que j’attendais ces retrouvailles. Martin est arrivé, portant un chapeau et une écharpe. Mon vampire norvégien, avec qui j’ai échangé continuellement des messages, n’était plus qu’à quelques pas de moi. Il me saisir le coup, en m’embrassait en pleine rue sans plus attendre. Notre premier baiser fût tendre et amoureux. Ses lèvres étaient douces et charnues. Étonnamment, il me rappelait les premiers baisers avec mon mari. Mais il avait moins de retenu, plus de possession. J’étais enfin avec un homme entier, un homme qui aime les femmes.
Il me prit la main et m’entraîna dans les rues du vieux Lyon. Nous déambulions comme cela, main dans la main, comme un couple d’adolescents. Je retrouvais des sensations que je n’imaginais pas revivre. Il avait prévu de m’amener à une exposition. Nous flânions de tableau en tableau. Il n’hésitait pas à me caresser les fesses, tout d’abord au-dessus de la robe, puis en relevant ma robe que j’avais choisie relativement courte. Je sentais ses mains froides d’homme du Nord sur ma croupe. Je mouillais déjà alors que nous n’étions qu’en fin d’après-midi.
En sortant, nous nous arrêtâmes boire un verre à la terrasse d’un bar brésilien. Nous profitions des derniers moments de chaleur de cet été finissant.
- Tu m’as promis de parler de ta femme. Qu’y a-t-il entre vous ?
- Tu sais, cela fait maintenant peut-être six ans que nous n’avons plus aucune relation charnelle. Te rencontrer a été pour moi comme un miracle.
- Tu dois dire cela à toutes les femmes que tu séduis. J’imagine qu’avec ta profession, elles sont nombreuses à te tourner autour.
- Tu sais, les chanteuses, les musiciennes, c’est mon univers, oui, mais ce sont toujours des filles très spéciales. Pour te dire, je n’ai jamais eu envie d’aller plus loin avec l’une d’elles. En revanche, toi, tu es parfaite. Tu es si élégante, tu as un cul si appétissant, des lèvres si tendres, un visage à la fois enfantin et mystérieux. Je crois que tu es la femme parfaite dont j’ai toujours rêvé.
Il me sortait le grand jeu. C’était exactement ce que j’espérais. Mon mari ne me disait jamais de telles choses. Normal, lui, ce qui le faisait vraiment vibrer ce sont les hommes, il me prenait comme il aurait pris un homme ou comme un homme l’aurait pris. Martin avait infiniment plus de délicatesse, et c’est cette délicatesse masculine que j’étais venue chercher.
Nous dînâmes dans un de ces bouchons typiques du vieux Lyon. Mon norvégien me dévorait du regard. Il avait les mains et les pieds baladeurs sous la table. J’étais en train de craquer. Il était temps de consommer cette relation extra conjugale.
Il m’amena dans l’appartement qu’il avait loué pour l’occasion. Un piano trônait dans le salon. Il me joua le morceau qu’il m’avait composé. Ses mains qui caressaient les touches étaient des promesses des caresses qu’il allait prodiguer à mon corps.
- Je vais te montrer mon tatouage. Et je rêve de voir le tien.
Il venait de s’arrêter de jouer et avait retiré le haut. Il découvrit un dragon dont les couleurs étaient passées avec le temps. Mais je regardais tout autre chose : son torse poilu et viril.
-Maintenant montre-moi le tient.
-Il faut que tu m’aides à ouvrir ma robe.
Il se plaça derrière moi et défit la fermeture tout en l’embrassant dans le coup. Je me retrouvais en sous-vêtements et en bas. Il collait son membre que je sentais très dur contre mes fesses. Je désirais ardemment ce chibre que je m’étais imaginé et que j’attendais impatiemment de découvrir.
Je caressais la bosse par dessus son pantalon et ne lis pas longtemps à libérer le membre. Il était d’une bonne taille, un peu plus long et un peu plus épais que celui de mon mari, mais il était surtout surmonté d’un gros gland. Je n’en avais jamais vu de cette taille. Il m’allongea sur le lit, se plaça sur moi, me retira ma culotte. Il voulait déjà me pénétrer.
- Doucement mon amour. Nous avons tout le temps. Continue tes caresses et tes baisers.
- Tu as de si belles jambes. Tout en toi me plaît. Tu es une vraie déesse.
Finalement, les hommes sont tous pareils. Ce besoin de glorifier mon corps… Il est loin d’être le premier. Mais avec lui, cela passe, car je suis moi-même en admiration devant sa beauté.
Au milieu de nos douces étreintes, il finit par se frayer un chemin vers ma fente. Son gland finit par faire pression sur l’entrée que j’eût rarement aussi humide. Cet énorme masse me déchirait. J’avais vraiment mal, et en même temps ce mal me donnait du plaisir et me faisait tomber amoureuse.
Une fois bien positionné à l’intérieur de moi, il commençait à aller et venir. J’eu rapidement un premier orgasme. Mais lui aussi sentait qu’il n’allait pas tenir bien longtemps. Il poussait des gémissements de plaisir qui me mettait dans une véritable extase. Je reprenais tout juste mes esprits pour le prévenir :
- Ne vient pas en moi. Je suis fertile et ne prend pas la pilule. En revanche, je peux te sucer jusqu’au jus.
- Avec plaisir.
Je m’agenouillais devant lui et commençait à prendre en bouche cette extrémité volumineuse. Je lui caressais ses coullles elles-aussi énormes en même temps que je le pompais, ce qui le mettait aux anges.
-Attention, je ne vais plus pouvoir me retenir.
- Viens dans ma bouche Martin, mon amour.
- C’est tellement bon quand tu me caresse les couilles, je viens.
Il lança un jus épais et âcre dans le fond de mon gosier. J’avais si souvent avalé le foutre de mon mari qui était toujours très sucré comme la femelle qu’il est. Mais celui de Martin était très acide, du sperme d’homme.
- Je suis désolé, je ne t’ai pas laissé le temps de te retirer.
- C’est moi qui suis restée. Je voulais tellement goûter à ton sperme.
Il me prit la main et m’entraîna dans les rues du vieux Lyon. Nous déambulions comme cela, main dans la main, comme un couple d’adolescents. Je retrouvais des sensations que je n’imaginais pas revivre. Il avait prévu de m’amener à une exposition. Nous flânions de tableau en tableau. Il n’hésitait pas à me caresser les fesses, tout d’abord au-dessus de la robe, puis en relevant ma robe que j’avais choisie relativement courte. Je sentais ses mains froides d’homme du Nord sur ma croupe. Je mouillais déjà alors que nous n’étions qu’en fin d’après-midi.
En sortant, nous nous arrêtâmes boire un verre à la terrasse d’un bar brésilien. Nous profitions des derniers moments de chaleur de cet été finissant.
- Tu m’as promis de parler de ta femme. Qu’y a-t-il entre vous ?
- Tu sais, cela fait maintenant peut-être six ans que nous n’avons plus aucune relation charnelle. Te rencontrer a été pour moi comme un miracle.
- Tu dois dire cela à toutes les femmes que tu séduis. J’imagine qu’avec ta profession, elles sont nombreuses à te tourner autour.
- Tu sais, les chanteuses, les musiciennes, c’est mon univers, oui, mais ce sont toujours des filles très spéciales. Pour te dire, je n’ai jamais eu envie d’aller plus loin avec l’une d’elles. En revanche, toi, tu es parfaite. Tu es si élégante, tu as un cul si appétissant, des lèvres si tendres, un visage à la fois enfantin et mystérieux. Je crois que tu es la femme parfaite dont j’ai toujours rêvé.
Il me sortait le grand jeu. C’était exactement ce que j’espérais. Mon mari ne me disait jamais de telles choses. Normal, lui, ce qui le faisait vraiment vibrer ce sont les hommes, il me prenait comme il aurait pris un homme ou comme un homme l’aurait pris. Martin avait infiniment plus de délicatesse, et c’est cette délicatesse masculine que j’étais venue chercher.
Nous dînâmes dans un de ces bouchons typiques du vieux Lyon. Mon norvégien me dévorait du regard. Il avait les mains et les pieds baladeurs sous la table. J’étais en train de craquer. Il était temps de consommer cette relation extra conjugale.
Il m’amena dans l’appartement qu’il avait loué pour l’occasion. Un piano trônait dans le salon. Il me joua le morceau qu’il m’avait composé. Ses mains qui caressaient les touches étaient des promesses des caresses qu’il allait prodiguer à mon corps.
- Je vais te montrer mon tatouage. Et je rêve de voir le tien.
Il venait de s’arrêter de jouer et avait retiré le haut. Il découvrit un dragon dont les couleurs étaient passées avec le temps. Mais je regardais tout autre chose : son torse poilu et viril.
-Maintenant montre-moi le tient.
-Il faut que tu m’aides à ouvrir ma robe.
Il se plaça derrière moi et défit la fermeture tout en l’embrassant dans le coup. Je me retrouvais en sous-vêtements et en bas. Il collait son membre que je sentais très dur contre mes fesses. Je désirais ardemment ce chibre que je m’étais imaginé et que j’attendais impatiemment de découvrir.
Je caressais la bosse par dessus son pantalon et ne lis pas longtemps à libérer le membre. Il était d’une bonne taille, un peu plus long et un peu plus épais que celui de mon mari, mais il était surtout surmonté d’un gros gland. Je n’en avais jamais vu de cette taille. Il m’allongea sur le lit, se plaça sur moi, me retira ma culotte. Il voulait déjà me pénétrer.
- Doucement mon amour. Nous avons tout le temps. Continue tes caresses et tes baisers.
- Tu as de si belles jambes. Tout en toi me plaît. Tu es une vraie déesse.
Finalement, les hommes sont tous pareils. Ce besoin de glorifier mon corps… Il est loin d’être le premier. Mais avec lui, cela passe, car je suis moi-même en admiration devant sa beauté.
Au milieu de nos douces étreintes, il finit par se frayer un chemin vers ma fente. Son gland finit par faire pression sur l’entrée que j’eût rarement aussi humide. Cet énorme masse me déchirait. J’avais vraiment mal, et en même temps ce mal me donnait du plaisir et me faisait tomber amoureuse.
Une fois bien positionné à l’intérieur de moi, il commençait à aller et venir. J’eu rapidement un premier orgasme. Mais lui aussi sentait qu’il n’allait pas tenir bien longtemps. Il poussait des gémissements de plaisir qui me mettait dans une véritable extase. Je reprenais tout juste mes esprits pour le prévenir :
- Ne vient pas en moi. Je suis fertile et ne prend pas la pilule. En revanche, je peux te sucer jusqu’au jus.
- Avec plaisir.
Je m’agenouillais devant lui et commençait à prendre en bouche cette extrémité volumineuse. Je lui caressais ses coullles elles-aussi énormes en même temps que je le pompais, ce qui le mettait aux anges.
-Attention, je ne vais plus pouvoir me retenir.
- Viens dans ma bouche Martin, mon amour.
- C’est tellement bon quand tu me caresse les couilles, je viens.
Il lança un jus épais et âcre dans le fond de mon gosier. J’avais si souvent avalé le foutre de mon mari qui était toujours très sucré comme la femelle qu’il est. Mais celui de Martin était très acide, du sperme d’homme.
- Je suis désolé, je ne t’ai pas laissé le temps de te retirer.
- C’est moi qui suis restée. Je voulais tellement goûter à ton sperme.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sauf si elle se finit par se barrer pour vivre avec l'amant !!! Quand à l'amant qui nique plus avec sa femme c'est trop facile comme excuse sans oublier la prise de risque !!!
Justement, ce sont ces sentiments que j’espérais être déclenchés chez ma femme. Dans la suite je vais vous raconter comment cela à relancer une libido chez nous-deux.
Jusqu'où cela ira-t-il? On est clairement dans une situation d'adultère, pas de candaulisme
Là elle prends son mari pour 1 con. Ce n’est plus 1 simple amant mais 1 amoureux. 🤦♀️👿