Un Norvégien fait tourner la tête de ma femme 4
Récit érotique écrit par Mdlr [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un Norvégien fait tourner la tête de ma femme 4
Je n’ai même pas entendu Laura rentrer. Je me suis endormi sur le canapé après m’être branlé plusieurs fois en imaginant ma femme se faire prendre par son amant. Elle a eu la délicatesse de déposer sur moi une couverture à son retour. Les discussions des enfants au petit déjeuner ainsi que le bruit de la cafetière me tire d’un rêve très chaud dans lequel Martin me pénétrait. Je caressais son torse recouvert d’une toison blonde que j’avais vu sur la photo que ma douce m’avait envoyée hier soir. Sur cette photo, elle lui embrassait tendrement la joue. Lui regardait l’objectif amoureusement. Il pensait que cette photo était un souvenir que Laura voulait conserver pour elle et n’imaginait pas qu’elle m’était destinée. Il n’aurait certainement jamais imaginé que je l’avais poussée de toutes mes forces dans ses bras. J’aurais adoré un souvenir de leurs ébats mais j’avoue que voir autant de sentiments, cet amour naissant parfaitement illustré dans cette photo, cela me comblait encore plus. Elle avait bon goût. J’aurais vraiment adoré être à sa place même si je préfère de mon côté les mecs bruns. Dur de devoir se lever après un rêve érotique qui se prolonge dans l’érection matinale.
Ma tasse de café était fumante. J’embrassais amoureusement mon épouse. Après l’agitation des préparatifs matinaux, les enfants étaient à l’école, nous de retour à la maison. Il était temps qu’elle me raconte tout.
Nous nous sommes allongé sur le lit. J’ai commencé à lui caresser les fesses. Elle palpait la bosse au dessus de mon pantalon.
- Alors, il t’a pénétré ?
- oui. Et pas qu’une fois.
- Tu as aimé ?
- J’ai eu plusieurs orgasmes. C’était magique. Ça ressemblait beaucoup à nos premières fois. D’ailleurs j’avais l’impression parfois que j’étais avec toi. Vous vous ressemblez quand même beaucoup. Il est plus petit et plus vieux mais vous avez beaucoup de points commun.
- On a la même bite ?
- je crois que la sienne est plus grosse. Peut-être un peu plus grande. Mais surtout, il a un très gros gland qui m’a fait très mal au début et qui m’a ensuite procuré énormément de plaisir.
- Vous vous êtes protégé ?
- Non. Tu sais que j’adore le faire sans. Vous êtes tellement ridicules avec votre bout de plastique sur la queue. Et je trouve cela bien triste quand vous envoyez votre semence dans le réservoir.
- Tu as bien fait. Mais tu étais au maximum de ta fertilité. Il n’est pas venu en toi ?
- Non. Je lui ai dit de ne surtout pas risquer de me féconder. D’ailleurs cela l’a rendu dingue. Il voulait tellement venir en moi.
Il faut savoir que Laura et moi sommes des catholiques très pratiquants. Nous n’utilisons pas de contraceptifs. Cela m’a obligé à vraiment bien connaître le fonctionnement de ma femme. Bon, concernant ce qu’il s’est passé, nous allons devoir passer au confessionnal. Je crois que le prêtre va nous remonter sacrément les bretelles. En attendant, je veux tout savoir de cette soirée passée à pécher.
- Il n’a pas eu de relations depuis 6 ans. Sa femme se refuse à lui et depuis tout ce temps il n’a jamais eu de solicitations. Je t’assure qu’il a rattrapé ces longues années de désert sexuel hier soir.
- Il a fini comment ?
- La première fois dans ma bouche.
- Tu as aimé son sperme ?
- Non, il était trop âcre. J’ai failli vomir. Mais je l’ai quand même avalé. Le tient est tellement meilleur. D’ailleurs je voulais te remercier de m’avoir permis cette aventure. Je crois que je ne t’ai jamais autant aimé.
Elle disait cela en déboutonnant mon pantalon. Très rapidement je me suis débarrassé de tous mes habits. J’étais nu face à elle et elle démarrait une fellation tout en me caressant les couilles.
- Merci pour le conseil. Il a adoré que je lui caresse les bourses pendant que je le suçais.
- Je te l’avais dit, c’est le secret d’une fellation réussie.
- Et tu t’y connais en pipe mon petit mari pédé.
- Je crois que je suis encore plus gay depuis que tu es allé le voir.
- Tu assumes enfin totalement ta vraie nature. Je t’aime tellement.
Je n’en pouvais plus. Il fallait que je la lèche. Je démarrais un cuni. Je savais qu’il fallait que je sois très doux au début. Je l’effleurais à peine de ma langue tout en tirant sur ma tige. Ma femme sentait le sperme. Je lui en faisait part.
-Il a joui deux fois sur mon ventre dans la nuit. Je me suis étalé sa semence. Je n’ai pas voulu me laver pour que tu le sentes.
- Tu me rends fou. C’est encore mieux que dans mes fantasmes.
- Maintenant, c’est à ton tour. Prends-moi. Mais toi non plus, ne vient pas en moi.
J’entrais en elle assez facilement. Il n’avait pourtant rien endommagé de l’étroitesse de ma douce. Sa chatte était toujours aussi ferme et musclée. Et elle était terriblement humide.
- Tu n’as jamais autant mouillé !
- Hier soir cela l’a lui aussi surpris. A peine j’avais fini de le pomper qu’il a vu ma chatte dans l’état d’humidité qu’elle a actuellement. Ça l’a fait immédiatement débander.
- Je ne vais pas durer longtemps. J’ai tellement envie de jouir en toi.
- Non, je ne veux pas tout de suite d’un quatrième enfant.
- Si ça se trouve, c’est lui qui t’en a fait un hier soir. Sans préservatif, il y a toujours un risque même.
- Aucun risque, tu sais très bien qu’on n’ai jamais eu aucune surprise.
- Je ne peux plus me retenir…
Je sortais au tout dernier moment et me répandait sur le ventre de Laura, là-même où Martin s’était vidé hier soir. Encore un péché de plus. Je crois que nous n’en étions plus à un près. Au moment du paroxysme de ma jouissance elle m’avait dit : “maintenant c’est à toi de me tromper et d’aller te prendre une queue”.
Ma tasse de café était fumante. J’embrassais amoureusement mon épouse. Après l’agitation des préparatifs matinaux, les enfants étaient à l’école, nous de retour à la maison. Il était temps qu’elle me raconte tout.
Nous nous sommes allongé sur le lit. J’ai commencé à lui caresser les fesses. Elle palpait la bosse au dessus de mon pantalon.
- Alors, il t’a pénétré ?
- oui. Et pas qu’une fois.
- Tu as aimé ?
- J’ai eu plusieurs orgasmes. C’était magique. Ça ressemblait beaucoup à nos premières fois. D’ailleurs j’avais l’impression parfois que j’étais avec toi. Vous vous ressemblez quand même beaucoup. Il est plus petit et plus vieux mais vous avez beaucoup de points commun.
- On a la même bite ?
- je crois que la sienne est plus grosse. Peut-être un peu plus grande. Mais surtout, il a un très gros gland qui m’a fait très mal au début et qui m’a ensuite procuré énormément de plaisir.
- Vous vous êtes protégé ?
- Non. Tu sais que j’adore le faire sans. Vous êtes tellement ridicules avec votre bout de plastique sur la queue. Et je trouve cela bien triste quand vous envoyez votre semence dans le réservoir.
- Tu as bien fait. Mais tu étais au maximum de ta fertilité. Il n’est pas venu en toi ?
- Non. Je lui ai dit de ne surtout pas risquer de me féconder. D’ailleurs cela l’a rendu dingue. Il voulait tellement venir en moi.
Il faut savoir que Laura et moi sommes des catholiques très pratiquants. Nous n’utilisons pas de contraceptifs. Cela m’a obligé à vraiment bien connaître le fonctionnement de ma femme. Bon, concernant ce qu’il s’est passé, nous allons devoir passer au confessionnal. Je crois que le prêtre va nous remonter sacrément les bretelles. En attendant, je veux tout savoir de cette soirée passée à pécher.
- Il n’a pas eu de relations depuis 6 ans. Sa femme se refuse à lui et depuis tout ce temps il n’a jamais eu de solicitations. Je t’assure qu’il a rattrapé ces longues années de désert sexuel hier soir.
- Il a fini comment ?
- La première fois dans ma bouche.
- Tu as aimé son sperme ?
- Non, il était trop âcre. J’ai failli vomir. Mais je l’ai quand même avalé. Le tient est tellement meilleur. D’ailleurs je voulais te remercier de m’avoir permis cette aventure. Je crois que je ne t’ai jamais autant aimé.
Elle disait cela en déboutonnant mon pantalon. Très rapidement je me suis débarrassé de tous mes habits. J’étais nu face à elle et elle démarrait une fellation tout en me caressant les couilles.
- Merci pour le conseil. Il a adoré que je lui caresse les bourses pendant que je le suçais.
- Je te l’avais dit, c’est le secret d’une fellation réussie.
- Et tu t’y connais en pipe mon petit mari pédé.
- Je crois que je suis encore plus gay depuis que tu es allé le voir.
- Tu assumes enfin totalement ta vraie nature. Je t’aime tellement.
Je n’en pouvais plus. Il fallait que je la lèche. Je démarrais un cuni. Je savais qu’il fallait que je sois très doux au début. Je l’effleurais à peine de ma langue tout en tirant sur ma tige. Ma femme sentait le sperme. Je lui en faisait part.
-Il a joui deux fois sur mon ventre dans la nuit. Je me suis étalé sa semence. Je n’ai pas voulu me laver pour que tu le sentes.
- Tu me rends fou. C’est encore mieux que dans mes fantasmes.
- Maintenant, c’est à ton tour. Prends-moi. Mais toi non plus, ne vient pas en moi.
J’entrais en elle assez facilement. Il n’avait pourtant rien endommagé de l’étroitesse de ma douce. Sa chatte était toujours aussi ferme et musclée. Et elle était terriblement humide.
- Tu n’as jamais autant mouillé !
- Hier soir cela l’a lui aussi surpris. A peine j’avais fini de le pomper qu’il a vu ma chatte dans l’état d’humidité qu’elle a actuellement. Ça l’a fait immédiatement débander.
- Je ne vais pas durer longtemps. J’ai tellement envie de jouir en toi.
- Non, je ne veux pas tout de suite d’un quatrième enfant.
- Si ça se trouve, c’est lui qui t’en a fait un hier soir. Sans préservatif, il y a toujours un risque même.
- Aucun risque, tu sais très bien qu’on n’ai jamais eu aucune surprise.
- Je ne peux plus me retenir…
Je sortais au tout dernier moment et me répandait sur le ventre de Laura, là-même où Martin s’était vidé hier soir. Encore un péché de plus. Je crois que nous n’en étions plus à un près. Au moment du paroxysme de ma jouissance elle m’avait dit : “maintenant c’est à toi de me tromper et d’aller te prendre une queue”.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sympas, vivement la suite
Je suis réaliste surtout. Prude non vu ce dont je suis capable et ce que je propose à mon mari !!!
Je vous trouve bien prude.
Vous niquez ailleurs sans capotes sans preuve version papier officiel mais en plus vous êtes catho pratiquant. 🤣😂🤦♀️