Un ongle coupé ras.
Récit érotique écrit par Helen [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 5.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Helen ont reçu un total de 178 094 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 15 789 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un ongle coupé ras.
Une après midi longue et ennuyeuse, peu de clientes, le magasin est en ordre, un peu désœuvrée, je laisse mon regard vagabonder au travers de la vitrine, regardant les passants sans les voir.
Une jeune femme, longs cheveux noirs, élégante dans son ensemble beige à la jupe courte mais convenable, des bas fumés et des sandales à hauts talons s’arrête devant la vitrine. Elle prend son temps, regarde les articles disposé sur l’étalage en jetant de fréquents coups d’œil dans ma direction.
Elle se décide, entre, me salue et se dirige vers les cintres des nouveautés, choisit une robe en daim, courte et fendue sur la cuisse, garnie de franges sous les avant-bras.
Se vrillant directement dans le mien, son regard lumineux me transperça, me fouilla jusqu'aux tréfonds de mon âme.
- Et si vous veniez m'essayer cette petite robe chez moi ? me demanda-t-elle, sans aucun complexe, ses yeux toujours braqués et m'hypnotisant.
Malgré moi, subissant son emprise, je la regardais dans les yeux aux iris dilatés par la fixation, semblable à l'impétuosité d'un volcan, à la coulée d'une lave brûlante. Ses yeux, oui... Ils étaient jaune clair, presque safran, de cette teinte que l'on ne rencontre que sous les tropiques, chez certaines natives de Martinique ou des Iles sous le Vent.
Pourtant, ma cliente n'avait rien d'une descendante de vahiné. A la blondeur naturelle de sa peau, à la pigmentation à peine marquée de ses attaches, j'eusse juré que son anatomie devait être en tous points semblables à la mienne, avec juste ce qu'il fallait de système pileux, de plis intimes recouvrant une cavité rose, de taches imperceptibles ayant supporté davantage l'éclat du soleil !...
Comme je ne répondais pas, elle me saisit le poignet, laissant ses doigts chauds s'appuyer dessus. Oh ! Ce contact épidermique troublant, cette intimité de chair qui me captivait comme une conne ! Et moi, bêtement, qui n'osais retirer ma main !...
- Peut-être, à la réflexion, prendrai-je deux robes... poursuivit-elle, sans me lâcher. J'habite au bout de l'avenue. Nous sommes presque voisines!
A ma grande honte, je réalisais que je m'abandonnais, frissonnante de plaisir et d'émotion. Comme pour me décider, du bout des doigts, elle me massa doucement les jointures, ses yeux toujours plantés dans les miens, la pointe de sa langue se glissant entre ses dents éclatantes de santé. C'était un comble !
Moi, je ne me reconnais plus. Jamais, avant ce jour, une autre femme ne m'avait draguée avec tant d'insistance, ne m’avait fait comprendre à quel point je lui plaisais ! Que devais-je en déduire ? Jusqu'à présent, je l'avoue, je n'avais ressenti cet appel, cet élan que l'on disait irrésistiblement vainqueur.
Une fois, pourtant...
Au cours d'une soirée, ayant trop bu, la maîtresse de maison m'avait attirée dans sa chambre, avait profité de mon état euphorique pour s’amuser de moi. J'ignorerai toujours ce que je lui avais fait. Par contre, ancré dans la case la plus secrète de mon esprit, le souvenir de la jouissance que j'en tirai, moi, n'était pas prêt de s'éteindre.
Elle me fit ce que Noël, mon compagnon, appelle le doux affolement des sens. C'est-à-dire une bouche courant sur chaque centimètre carré de chair, happant un sein, en mordillant le bout, irradiant vers le ventre. Un doigt coquin, perfide, au raclement d’ongle insoutenable, dégageant le clitoris engorgé, s'emmêlant dans les poils, pénétrant gaillardement en forçant les membranes ! N'ayant jamais recommencé, je m'abstins d'avouer ma faute.
Heureusement qu'il n'y avait pas d'autres clientes ! A cette heure de la journée, le magasin resterait calme jusqu'au soir, enfin... jusqu'à dix-sept heures. Dans le fond, si cette entreprenante personne y tenait vraiment, pourquoi pas ?
Me dégageant doucement, je retirai ma main, sentant la paume de l'autre y glisser comme à regret. Puis, en bonne commerçante affairée, refaisant péniblement surface, je parvins à articuler :
- Si vous prenez ces deux robes, je vous ferai un rabais. Exceptionnellement ! Et...
- Oui ?
Elle s'approchait à nouveau, se collant à moi. Faisant vivement un pas en arrière, je me retranchai derrière ma caisse, pris un crayon pour noter.
- Si vous voulez bien me donner votre adresse... Je passerai chez vous cet après-midi, à quinze heures très précises ! Au revoir...
Cinq minutes plus tard, dans les toilettés, je m'accordai une masturbation des plus carabinées, me félicitant d'avoir coupé ras, le matin même, l'ongle de mon majeur qui avait l'habitude de me pénétrer. Le pied prenant appui sur la cuvette, la cuisse largement écartée, je me martyrisai le sexe en ronronnant de plaisir, en me disant que Noël, lorsqu'il me ramonait le conduit, ne se doutait pas que je le trompais avec... moi-même!
L'après-midi... Ma cliente m'attendait, impatiente, simplement revêtue d'un peignoir d'appartement sous lequel... Mazette ! Dans sa chambre, m'entraînant par la main, je vis qu'elle était juste vêtue de dessous noirs, bas et porte-jarretelles, string et soutien gorge demi seins, qu'elle piaffait comme une ardente cavale pressée de se faire saillir.
-Je me suis coupé l'ongle ras triompha-t-elle, commençant à déboutonner mon chemisier. Comme cela, en te pilonnant ta jolie moule, je te ferai pas mal !...
Trop émotionnée pour lui répondre, je me contentais de lui montrer mon propre majeur, qu'elle happa aussitôt entre ses lèvres chaudes. Ce fut alors, n'y tenant plus, que je la basculais sur le lit, que je m'abattis sur elle en mouillant comme une folle. Son adorable con gluant, sous ma langue, avait un goût poivré ! Seigneur, quel après midi !
Une jeune femme, longs cheveux noirs, élégante dans son ensemble beige à la jupe courte mais convenable, des bas fumés et des sandales à hauts talons s’arrête devant la vitrine. Elle prend son temps, regarde les articles disposé sur l’étalage en jetant de fréquents coups d’œil dans ma direction.
Elle se décide, entre, me salue et se dirige vers les cintres des nouveautés, choisit une robe en daim, courte et fendue sur la cuisse, garnie de franges sous les avant-bras.
Se vrillant directement dans le mien, son regard lumineux me transperça, me fouilla jusqu'aux tréfonds de mon âme.
- Et si vous veniez m'essayer cette petite robe chez moi ? me demanda-t-elle, sans aucun complexe, ses yeux toujours braqués et m'hypnotisant.
Malgré moi, subissant son emprise, je la regardais dans les yeux aux iris dilatés par la fixation, semblable à l'impétuosité d'un volcan, à la coulée d'une lave brûlante. Ses yeux, oui... Ils étaient jaune clair, presque safran, de cette teinte que l'on ne rencontre que sous les tropiques, chez certaines natives de Martinique ou des Iles sous le Vent.
Pourtant, ma cliente n'avait rien d'une descendante de vahiné. A la blondeur naturelle de sa peau, à la pigmentation à peine marquée de ses attaches, j'eusse juré que son anatomie devait être en tous points semblables à la mienne, avec juste ce qu'il fallait de système pileux, de plis intimes recouvrant une cavité rose, de taches imperceptibles ayant supporté davantage l'éclat du soleil !...
Comme je ne répondais pas, elle me saisit le poignet, laissant ses doigts chauds s'appuyer dessus. Oh ! Ce contact épidermique troublant, cette intimité de chair qui me captivait comme une conne ! Et moi, bêtement, qui n'osais retirer ma main !...
- Peut-être, à la réflexion, prendrai-je deux robes... poursuivit-elle, sans me lâcher. J'habite au bout de l'avenue. Nous sommes presque voisines!
A ma grande honte, je réalisais que je m'abandonnais, frissonnante de plaisir et d'émotion. Comme pour me décider, du bout des doigts, elle me massa doucement les jointures, ses yeux toujours plantés dans les miens, la pointe de sa langue se glissant entre ses dents éclatantes de santé. C'était un comble !
Moi, je ne me reconnais plus. Jamais, avant ce jour, une autre femme ne m'avait draguée avec tant d'insistance, ne m’avait fait comprendre à quel point je lui plaisais ! Que devais-je en déduire ? Jusqu'à présent, je l'avoue, je n'avais ressenti cet appel, cet élan que l'on disait irrésistiblement vainqueur.
Une fois, pourtant...
Au cours d'une soirée, ayant trop bu, la maîtresse de maison m'avait attirée dans sa chambre, avait profité de mon état euphorique pour s’amuser de moi. J'ignorerai toujours ce que je lui avais fait. Par contre, ancré dans la case la plus secrète de mon esprit, le souvenir de la jouissance que j'en tirai, moi, n'était pas prêt de s'éteindre.
Elle me fit ce que Noël, mon compagnon, appelle le doux affolement des sens. C'est-à-dire une bouche courant sur chaque centimètre carré de chair, happant un sein, en mordillant le bout, irradiant vers le ventre. Un doigt coquin, perfide, au raclement d’ongle insoutenable, dégageant le clitoris engorgé, s'emmêlant dans les poils, pénétrant gaillardement en forçant les membranes ! N'ayant jamais recommencé, je m'abstins d'avouer ma faute.
Heureusement qu'il n'y avait pas d'autres clientes ! A cette heure de la journée, le magasin resterait calme jusqu'au soir, enfin... jusqu'à dix-sept heures. Dans le fond, si cette entreprenante personne y tenait vraiment, pourquoi pas ?
Me dégageant doucement, je retirai ma main, sentant la paume de l'autre y glisser comme à regret. Puis, en bonne commerçante affairée, refaisant péniblement surface, je parvins à articuler :
- Si vous prenez ces deux robes, je vous ferai un rabais. Exceptionnellement ! Et...
- Oui ?
Elle s'approchait à nouveau, se collant à moi. Faisant vivement un pas en arrière, je me retranchai derrière ma caisse, pris un crayon pour noter.
- Si vous voulez bien me donner votre adresse... Je passerai chez vous cet après-midi, à quinze heures très précises ! Au revoir...
Cinq minutes plus tard, dans les toilettés, je m'accordai une masturbation des plus carabinées, me félicitant d'avoir coupé ras, le matin même, l'ongle de mon majeur qui avait l'habitude de me pénétrer. Le pied prenant appui sur la cuvette, la cuisse largement écartée, je me martyrisai le sexe en ronronnant de plaisir, en me disant que Noël, lorsqu'il me ramonait le conduit, ne se doutait pas que je le trompais avec... moi-même!
L'après-midi... Ma cliente m'attendait, impatiente, simplement revêtue d'un peignoir d'appartement sous lequel... Mazette ! Dans sa chambre, m'entraînant par la main, je vis qu'elle était juste vêtue de dessous noirs, bas et porte-jarretelles, string et soutien gorge demi seins, qu'elle piaffait comme une ardente cavale pressée de se faire saillir.
-Je me suis coupé l'ongle ras triompha-t-elle, commençant à déboutonner mon chemisier. Comme cela, en te pilonnant ta jolie moule, je te ferai pas mal !...
Trop émotionnée pour lui répondre, je me contentais de lui montrer mon propre majeur, qu'elle happa aussitôt entre ses lèvres chaudes. Ce fut alors, n'y tenant plus, que je la basculais sur le lit, que je m'abattis sur elle en mouillant comme une folle. Son adorable con gluant, sous ma langue, avait un goût poivré ! Seigneur, quel après midi !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Helen
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...