Un p'tit porno

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Un p'tit porno Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ils m'en avait parlé quelques jours plus tôt, et j'avais dit oui. Ce n'était donc pas une surprise. Ils ont débarqué à quatre, avec un gros pack de bière. Bien sûr il y avait José, c'est le seul que je connaissais.

Ah oui j'oubliais de planter le décor. C'était une époque lointaine, le millénaire précédent n'était pas encore terminé. Ça donne tout de suite de l'importance à mon histoire ça, le mot ' millénaire ' et ce même si le nouveau est encore très jeune. Bref passons, on était jeune.

Le magnétoscope étaient encore un appareil rare mais déjà le vidéo porno avait un gros succès.

José en avait choisi un très '' Hot ! Hot ! '' il avait dit.

On prenait place, une bière dans la main et les autres à porté, puis je lançait la lecture.

C'était un peu une première, je n'avais pas encore l'habitude à l'époque de regarder des pornos et plus étonnant encore à l'époque, je portais déjà un dispositif de chasteté. Un modèle très proche de celui que je porte toujours aujourd'hui, quelques années plus tard, au siècle suivant.

Oui je sais vu sous cet angle ça ne nous rajeunit pas tout ça. Mais c'est vrai que ça fait quelques temps déjà les cassette VHS. Quand on parle de ça à un petit jeune il vous fait une tête et vous regarde, semblant se demander si c'est une blague, c'est vrai ça une vidéo enregistré sur une bande magnétique. Il y en a même un qui m'a dit une fois '' Après ça tu va vouloir me faire croire qu'on enregistrait aussi la musique sur une bande magnétique ? '' … Et ensuite il a pouffé de rire …

Bon passons.

Le visionnage a duré un peu plus d'une heure et demie. Il me semble bien me souvenir que ça commençait à stimuler mes hôtes, d'ailleurs ils ne sont pas resté très longtemps après. Seul José est resté après et on a continué à picoler.

– On a encore la vidéo, et si on se le remettait ! Me proposait-il.
– Ouai, c'est une idée.

Moi je ne vous raconte pas …

Enfin si, c'est une façon de parler, je vais vous raconter … J'avais une pression de fou dans ma cage. Plus de trois semaines enfermée dans ce truc et là après la diffusion du film, j'en pouvais plus mais je savais que rien ne pouvait se voir, que rien ne se verrait, que ça resterait mon secret, et en plus j'avais envie de revoir ce film.

José plongeait sa main dans sa sacoche et en sortait une VHS une autre VHS un autre film. Je ne me souviens plus du titre en entier mais ça commençait par ' bisex ' je crois.

Je lançais le film et on le regardait en petit comité, un peu comme une séance privée.

Tout commençait bien, une fille avec des gros nichons arrivait se mettait à poil et s'allongeait sur le canapé. Un mec arrivait à son tour, voyant cela il se mettait à poil lui aussi et c'était parti.

Je vous jure, moi qui suis cinéphile j'étais impressionné par le scénario … Je vous jure … Mais non, je déconne, dans ce genre de film il n'y a pas de scénario. Enfin ! Voyons !

Donc le mec s'envoyait tranquillement en l'air avec la fille quand un autre mec arrivait. Lui aussi retirait ses vêtements. C'était des pros, ils avaient une grosse bite et ils bandaient ferme, normal !

C'est à peu près au moment ou la fille suçait un des mec pendant que l'autre lui limait le cul que j'entendais mon camarade.

– Bon là moi j'en peut plus !

Je tournais le regard vers lui, il avait ouvert son pantalon et en sortait sa bite et ses couilles. Lui aussi il bandait, un peu comme les deux mecs à la télé et lui aussi en avait une grosse. Il n'avait rien à leur envier.

Sans attendre il commençait à s'astiquer le manche. Il me regardait, me souriait et me lançait.

– Tu peux faire pareil ! Heu, ça te dérange pas si je me branle ?

La phrase était montée à l'envers mais j'ai pas relevé l'erreur.

J'ai hésité un moment puis j'ai ouvert mon pantalon à mon tour. J'en ai d'abord sorti mes couilles, la cage bien plus petite suivait, on pouvait la voir, l'apercevoir plus que la voir mais bon, elle était là. Dedans il y avait ma queue, ratatiné et très à l'étroit.

Vous auriez vu la tête qu'il a fait quand il a vu ça. Ses yeux lui ressortaient de la tête, il avait jusqu'à ce moment une grosse molle qu'il s'amusait à malaxer doucement et brusquement c'est une grosse dure, bien dure même, qui se relevait fièrement en prenant encore un peu plus de place.

Là il ne regardait plus le film, il avait un large sourire béat et regardait ma cage, en même temps il se masturbait tranquillement, il ne cherchait pas à éjaculer, enfin pas tout de suite, il se masturbait juste en pensant à autre chose.

Et cet autre chose, c'était moi.

– Et tu fais comment pour te branler ?
– Je me branle pas.
– Jamais ?
– Si mais pas souvent.

On regardait le film, mais les regards passaient de la télé à ma cage, moi je regardais aussi beaucoup sa bite. Elle était énorme, il la malaxais avec douceur ou avec force ça dépendait.

Je décidais finalement de retirer tous mes vêtements, quand il m'a vu faire il a été plus rapide que moi. Et c'est avant moi qu'il retombait à poil sur le canapé, sa queue bien dressée, sans attendre il recommençait à se caresser la bite.

Je regardais mais je ne pouvais pas faire grand chose, ma queue protestait avec une certaine violence ? J'étais le seul à pouvoir le remarquer. Le dispositif remplissait parfaitement sa fonction, on ne pouvait rien voir. La peau ressortait mais les bourrelets de peau qui se formaient n'étaient pas tendus et on ne pouvait donc pas deviner l'érection. On peut seulement deviner que le dispositif est bien plein.

Par contre je vous garanti que le porteur, lui il la sent bien la cage. On sent sa queue écrasée, au début c'est pas facile à supporter mais avec un peu de temps et d'habitude ça devient agréable et confortable.

On discutait et c'est ce que je lui expliquais.

Au moment ou à la télé un des acteur se plaçait juste derrière son partenaire pour l'enculer.

– Et donc tu ne peux pas te faire plaisir ?

En réponse je me penchais vers lui et lui caressait le gland avec le bout de ma langue. Là il ne bougeai plus, il se laissait faire. Du coin de l’œil je voyais la grosse queue d'un des acteur s'enfoncer avec force dans le cul de l'autre.

J'appuyais alors ma tête et sa queue disparaissait dans ma bouche. Moi aussi je le sentais passer. Il appuyait sur ma tête en poussant de petits gémissements de plaisir et son gland allait directement se loger au fond de ma gorge.

C'était un peu trop et j'ai relevé ma tête, il me retenait l'animal, il continuait à appuyer sur ma tête et sa queue restait bien en place. Il a fallu que je force pour qu'il me lâche. Ça lui plaisait, pour moi c'était un peu dur.

– Maintenant on fait comme à la télé ! Déclarait-il.

Je regardait l'écran, un des deux acteurs se faisait violemment limer le cul par son partenaire.

José se relevait et en se relevant il me tirait par l'épaule. Il me retournait, je suivais sans protester ni résister. Rapidement je me retrouvais à genoux appuyé sur le canapé. Il s'en amusait.

– Je n'aurais jamais imaginé que ça se terminerait comme ça ! Faisait-il remarquer. Sinon tu imagines bien qu'il a longtemps que j'aurais proposé une soirée de ce genre.

Il avait du gel, il m'a dit que c'était plus agréable de se branler avec. Il m'en enduisait le cul et s'en recouvrait la queue. Là j'ai un peu balisé, c'est vrai qu'elle était grosse et en plus il avait l'air décidé.

Mais il n'était pas question que je me dégonfle. Je m'était déjà amusé avec des petits trucs. Des cierges que j'avais ramené en souvenir de mon dernier passage à Lourdes, mais à côté de sa queue c'était de tout petit diamètres.

Lui il en avait une grosse, et là, elle me paraissait encore plus grosse.

Il ne se préoccupait pas du tout de mes craintes, il s'amusait et ne pensais qu'à son plaisir.

Une claque sur ma fesse puis il prenait position, sa queue bien en l'axe de mon cul, il me prenait avec force par les hanches et sans prévenir me tirait vers lui en poussant son bassin en avant.

J'ai poussé un cri, mon cul n'a pas résisté une seconde. Sa queue bien décidée glissait rapidement bien à fond. Mon anus se dilatait, le pauvre n'avait pas le choix. Le gars était décidé à bien me défoncer le cul et ne se retenait pas.

Je manquais d'air, je gémissais, il me faisait mal. Pour une première je m'en souviendrais. Je tentais par réflexe de le repousser, de le retenir en passant une main contre mes fesses mais il me la saisissait, l'autre main … Il me tenait fortement les deux mains dans dos, en me tordant le bras. Je ne pouvais plus que subir.

Il était plus costaud que moi, sur ce point je l'avais sous estimé.

Il ne se préoccupait pas du tout de ce que je ressentais. Il me limait le cul, s'enfonçait rapidement puis ressortait avant de recommencer. Je ne pouvais plus bouger.

Les acteurs à la télé en étaient à peut près au même point que nous. Le gel était efficace ça glissait avec facilité mais mon anus dilaté me faisait mal, c'était un mal de chien. Dans ma tête je me faisais une image mentale de ce qu'il me faisait subir. Je sentais mon anus tellement distendu que j'avais l'impression qu'il allait déchirer.

Je paniquais, il s'en moquais.

J'étais en sueur, je tremblais. Il n'y avait rien d'agréable à ce que je subissais. J'en avais souvent rêvé mais vous savez les fantasmes ne sont pas fait pour être réalisés, là on se rend compte rapidement que les fantasmes sont mieux tant qu'ils sont rêvé.

Je savais que je ne rêverais plus jamais de me faire défoncer le cul. Je pleurais, je gémissais, j'avais du mal à respirer mais c'est peut être parce que j'avais le visage écrasé sur un coussin.

Je l'entendais dans mon dos qui faisait des commentaire et qui rigolait.

– Mais tu es vraiment une grosse salope toi, j'aurais jamais imaginé ça de toi.

Et il continuait à me pilonner le cul. Il m'avait replié les bras dans le dos et me les retenait avec force. Je ne pouvais que subir.

Les coups se suivaient, se répétaient, il ne faiblissait pas. Il ne débandait pas, pour moi, ma queue s'était faite oublier. Toute mon attention se concentrait sur mon cul, sur sa queue qui me le défonçait, sur la douleur, sur la panique, par moment j'avais vraiment peur de déchirer.

Là je ne sanglotais pas seulement, je pleurais vraiment en gémissant. Mais lui n'avait aucune pitié.

– C'est ça que tu veux hein ? S'exclamait-il.

Moi je n'avais plus la force de lui répondre, je chialais, j'étais pas fier.

Quelques coups de bassin particulièrement violent indiquaient qu'il jouissait, quelques cris aussi, il éjaculait avec force. Il poussait son bassin très fort contre mes fesses et moi je poussais un gémissement, une plainte aiguë.

Il s'effondrait sur moi, me prenait dans ses bras, me caressait et m'embrassait. Brusquement il devenait câlin. Je sentais toujours son énorme queue dans mon cul. Comme si elle y était toujours, en fait j'étais un peu perdu. Je ne savais plus vraiment ou j'étais et ce qui se passait.

Il se relevait et retirait sa queue. C'est donc parce qu'elle y était encore que je la sentais toujours… Mais je la sentais toujours, et ça me faisait toujours mal. Mon pote José, c'était une brute finalement. C'est vrai que c'est rare qu'entre pote on se connaisse aussi intimement.

Oui là, on était vraiment intime.

J'avais mal au cul, je ne me sentais pas vraiment bien, j'avais oublié que j'avais une queue, là elle ne se faisait pas remarquer, mais vraiment pas.

José avait l'air tout content de lui, à la télé les deux acteurs en étaient au même point que nous.

– On remet ça quand tu veux ! Me lançait José avant de disparaître dans la salle de bain.
– Oh, non ! Ça jamais, ça fait trop mal. On ne recommencera jamais … lui répondais-je.

Mais le mot ' jamais ' n'est finalement pas plus long que ' toujours ' et vous vous doutez bien que ce n'était là qu'une promesse d'alcoolique.

Deux semaines plus tard, on remettait ça !

Fin


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