Un patron reste un patron !
Récit érotique écrit par Philou2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un patron reste un patron !
Pourquoi tout ce qui est humiliant est excitant ? Je crois savoir, en me disant que c'est peut-être parceque je suis vicieux et que je suis tombé sur un pervers qui en profite de me voir consentant. Toujours est-il que mes jouissances sont décuplées quand les situations sont dégradantes et mon patron l'a très bien compris. Je suis un jeune homme de vingt cinq ans, j'habite seul dans un appartement, je ne suis pas du tout efféminé par contre je suis entièrement imberbe. Je suis souple, mince et j'ai des parents admirables.
Je suis contre la baise à la papa maman. Pour moi elle doit être sauvage, brutal et viril. Du moins c'est comme ça que je la vois, peut-être parceque j'aime être soumis, voir être considèré comme un vulgaire jouet sexuel. J'aime être contraint, attaché, subir des violences physiques et obéir sans sourcillier. C'est pour ça que mon patron m'aime bien et il vient chez moi de temps en temps le samedi pour assouvir ses pulsions et ses fantasmes. En gros je suis son esclave sexuel. Parfois il y va fort, mais il n'a aucuns remords, je lui ai avoué que j'aime ce qu'il me fait, même si j'en garde les traces pendant plusieurs jours, après tout je suis la pour ça comme il dit.
Avant de venir il me prévient la vielle pour que je puisse me préparer. Je dois avoir une hygiène irréprochable et une disponibilité totale, je dois le recevoir nu, mon collier de chien autour du cou, la laisse prête, et l'attendre à quatre pattes la porte ouverte, enfin pas fermée à clé je veux dire. Il entre, se déshabille, mais garde son slip. Il va se chercher une bière dans le frigo, revient, boit une gorgée et m'interroge :
_ Alors ma salope ? T'es en forme aujourd'hui ? Moi j'ai une pêche d'enfer, tu vas en prendre plein ta gueule, tu vas pas être déçu du voyage. J'ai particulièrement envie de te punir pour des raisons personnelles. et je vais commencer par rougir ton cul. Lève-toi et pose tes mains sur la table !
Cet un homme ayant le double de mon âge, je le respecte pour son âge il est identique à celui de mon père qui n'a jamais levé la main sur moi. C'est peut-être ce qui me manque. Je sais ce qui va m'arriver, mais j'obéis sans le faire attendre. Le temps de me mettre en position, il augmente le son de la radio, puis sort du tiroir de la table le martinet. Il me passe les lanières sur le dos, me caresse l'entre jambes avec le manche, je relève la tête, je creuse les reins et je tends mes fesses en arrière, ça l'excite.
_ On dirait que t'en veux ma petite pute, hein ?
_ Oui Maitre.
_ Tu veux du martinet ? Demande le moi, fais voir que t'en a envie.
J'ai appris à l'appeller Maitre pour les séances de soumission, ça délimite les fonctions.
_ Donnez-moi du martinet s'il vous plait Maitre j'en ai envie.
Il commence, je sursaute au premier coup pourtant il n'était pas puissant. Les suivants sont plus forts, ils tombent sur les fesse, le dos, l'entre jambes. Les coups ne sont pas réguliers, parfois fort, parfois faible, parfois c'est sa main qui me caresse. Il frappe au hasard je ne sais jamais ou le suivant va tomber. Je ne crie pas, je sers les dents en expulsant mon air après le coup. Il me tripote les couilles et la queue pour me faire bander, il y arrive de suite, mais les coups se font plus fort.
_ Ça te fait bander le martinet hein ? Moi aussi regarde !
Il me montre son sexe qui déborde de son slip en me le met en bouche. Je le pompe sans mettre les mains c'est interdit de le toucher. Il me force à m'agenouiller, enfonce son sexe dans le fond de ma gorge et me bloque la tête en continuant de l'autre main à frapper très fort mes fesses. Il fait quelques vas et viens puis se retire. Il me tient par la laisse, je suis à genoux devant lui et pour mon malheur je bande encore.
_ Elle bande la chienne ! Elle en veut sur sa queue la chienne ?
Sans me laisser le temps de répondre il m'en donne deux trois coups, c'est douloureux.
_Qu'est ce qu'on dit salope ?
_ Merci Maitre.
_ T'en veux encore ?
_ Non merci Maitre.
_ Alors c'est l'heure de passer à table. Je vais te donner à manger, ouvre ta gueule !
Ça serait plutôt l'heure du gavage d'oie. Il me baise par la bouche, il adore ça, moi aussi je dois dire ! Et il le sait ! On fini sur la table, je suis dessus couché sur le ventre, je relève mes jambes derrière-moi et j'attrape mes chevilles, lui debout devant moi à la bonne hauteur me laboure le gosier.
_ Regarde-moi salope. Regarde-moi dans les yeux, je veux voir ta gueule de pute se faire remplir !
Je bave, des glaires ne tardent pas à m'envahir essayant de sortir par ma bouche condamnée, ça me passe par le nez, j'étouffe, il me tient par les cheveux et me baise bestialement :
_ T'es vraiment une bonne chienne, prends ça dans ta gueule espèce de pédé, t'es qu'une pute !
Quand il m'insulte comme ça c'est qu'il n'est pas loin de jouir. Qu'est ce que j'avais dis ? Son sperme jaillit dans le fond de ma gorge par saccades, chaud et crémeux comme je l'aime.
_ Avale putain !
De toute façon je ne peux pas faire autrement, c'est tout juste s'il ne jouit pas directement dans mon estomac. Il se retire et c'est tout juste s'il ne me fait pas tomber de la table, il est très excité.
_ Mets-toi à quatre pattes je vais m'occuper de ton cul.
Pas le temps de reprendre mes esprits le voilà qu'il me fouille l'anus. Je sens du gel couler le long de mes cuisses et plusieurs doigts entrer. Son autre main est posée sur mes reins. Il appuit dessus pour me faire comprendre que je dois tendre mon cul bien en l'air, je m'exécute. Sa main entière ne tarde pas à me pénétrer me faisant lâcher un cri, elle est tellement bien lubrifiée qu'elle n'a aucune difficulter à coulisser. Elle me fouille l'intérieur en essayant d'aller le plus loin possible, faisant des vas et viens assez rapide, je suis entrain de me faire casser le cul et c'est magnifique. Je me laisse totalement aller au point que j'urine sur le sol. Ma respiration est haletante, que du bonheur, je suis complètement déconnecté du monde, je suis sur une autre planète, celle du plaisir.
_ Elle pisse la chienne ! J'y crois pas ! Ma parole, mais t'es une vraie pute ! Recule un peu et lèche ta pisse salope !
Toujours en me cassant le cul il attrape ma queue et joue avec. De suite je rebande. Il me branle pendant que je lèche mon urine sur le sol. Je ne suis plus moi, je ne contrôle plus rien et je me lâche encore plus. Je jouis, je pisse, je ne sais pas, je suis à deux doigts de m'évanouir tellement les sensations sont fortes. Je l'entends qu'il m'encourage.
_ Vas-y ma salope jouis, laisse-toi aller. Tu l'as mérité, mais moi aussi j'ai envie de pisser. Reste à quatre pattes et écarte tes fesses avec tes mains.
Je le sens qui retire sa main doucement, j'ai la joue sur le sol baignant dans mon urine et il remet une couche. Son jet d'urine vient s'écraser sur mon anus, il me pisse sur le cul ! Son jet remonte le long de mon dos pour finir sur mon visage. C'est la première fois qu'il me pisse dessus, c'est très dégradant et très humiliant, j'adore. J'ouvre la bouche et j'en avale, je veux lui montrer qu'il peut tout faire avec moi, je crois qu'il en est conscient.
Le temps qu'il va se laver les mains dans ma salle de bains et qu'il se rhabille je suis resté allongé sur le sol, je redescendais tout doucement de mon nuage. Avant de partir il m'a confié que la prochaine fois il viendrait avec un ami, je suis impatient de le connaitre, j'ai une très forte envie de me faire transpércer de part en part.
Je suis contre la baise à la papa maman. Pour moi elle doit être sauvage, brutal et viril. Du moins c'est comme ça que je la vois, peut-être parceque j'aime être soumis, voir être considèré comme un vulgaire jouet sexuel. J'aime être contraint, attaché, subir des violences physiques et obéir sans sourcillier. C'est pour ça que mon patron m'aime bien et il vient chez moi de temps en temps le samedi pour assouvir ses pulsions et ses fantasmes. En gros je suis son esclave sexuel. Parfois il y va fort, mais il n'a aucuns remords, je lui ai avoué que j'aime ce qu'il me fait, même si j'en garde les traces pendant plusieurs jours, après tout je suis la pour ça comme il dit.
Avant de venir il me prévient la vielle pour que je puisse me préparer. Je dois avoir une hygiène irréprochable et une disponibilité totale, je dois le recevoir nu, mon collier de chien autour du cou, la laisse prête, et l'attendre à quatre pattes la porte ouverte, enfin pas fermée à clé je veux dire. Il entre, se déshabille, mais garde son slip. Il va se chercher une bière dans le frigo, revient, boit une gorgée et m'interroge :
_ Alors ma salope ? T'es en forme aujourd'hui ? Moi j'ai une pêche d'enfer, tu vas en prendre plein ta gueule, tu vas pas être déçu du voyage. J'ai particulièrement envie de te punir pour des raisons personnelles. et je vais commencer par rougir ton cul. Lève-toi et pose tes mains sur la table !
Cet un homme ayant le double de mon âge, je le respecte pour son âge il est identique à celui de mon père qui n'a jamais levé la main sur moi. C'est peut-être ce qui me manque. Je sais ce qui va m'arriver, mais j'obéis sans le faire attendre. Le temps de me mettre en position, il augmente le son de la radio, puis sort du tiroir de la table le martinet. Il me passe les lanières sur le dos, me caresse l'entre jambes avec le manche, je relève la tête, je creuse les reins et je tends mes fesses en arrière, ça l'excite.
_ On dirait que t'en veux ma petite pute, hein ?
_ Oui Maitre.
_ Tu veux du martinet ? Demande le moi, fais voir que t'en a envie.
J'ai appris à l'appeller Maitre pour les séances de soumission, ça délimite les fonctions.
_ Donnez-moi du martinet s'il vous plait Maitre j'en ai envie.
Il commence, je sursaute au premier coup pourtant il n'était pas puissant. Les suivants sont plus forts, ils tombent sur les fesse, le dos, l'entre jambes. Les coups ne sont pas réguliers, parfois fort, parfois faible, parfois c'est sa main qui me caresse. Il frappe au hasard je ne sais jamais ou le suivant va tomber. Je ne crie pas, je sers les dents en expulsant mon air après le coup. Il me tripote les couilles et la queue pour me faire bander, il y arrive de suite, mais les coups se font plus fort.
_ Ça te fait bander le martinet hein ? Moi aussi regarde !
Il me montre son sexe qui déborde de son slip en me le met en bouche. Je le pompe sans mettre les mains c'est interdit de le toucher. Il me force à m'agenouiller, enfonce son sexe dans le fond de ma gorge et me bloque la tête en continuant de l'autre main à frapper très fort mes fesses. Il fait quelques vas et viens puis se retire. Il me tient par la laisse, je suis à genoux devant lui et pour mon malheur je bande encore.
_ Elle bande la chienne ! Elle en veut sur sa queue la chienne ?
Sans me laisser le temps de répondre il m'en donne deux trois coups, c'est douloureux.
_Qu'est ce qu'on dit salope ?
_ Merci Maitre.
_ T'en veux encore ?
_ Non merci Maitre.
_ Alors c'est l'heure de passer à table. Je vais te donner à manger, ouvre ta gueule !
Ça serait plutôt l'heure du gavage d'oie. Il me baise par la bouche, il adore ça, moi aussi je dois dire ! Et il le sait ! On fini sur la table, je suis dessus couché sur le ventre, je relève mes jambes derrière-moi et j'attrape mes chevilles, lui debout devant moi à la bonne hauteur me laboure le gosier.
_ Regarde-moi salope. Regarde-moi dans les yeux, je veux voir ta gueule de pute se faire remplir !
Je bave, des glaires ne tardent pas à m'envahir essayant de sortir par ma bouche condamnée, ça me passe par le nez, j'étouffe, il me tient par les cheveux et me baise bestialement :
_ T'es vraiment une bonne chienne, prends ça dans ta gueule espèce de pédé, t'es qu'une pute !
Quand il m'insulte comme ça c'est qu'il n'est pas loin de jouir. Qu'est ce que j'avais dis ? Son sperme jaillit dans le fond de ma gorge par saccades, chaud et crémeux comme je l'aime.
_ Avale putain !
De toute façon je ne peux pas faire autrement, c'est tout juste s'il ne jouit pas directement dans mon estomac. Il se retire et c'est tout juste s'il ne me fait pas tomber de la table, il est très excité.
_ Mets-toi à quatre pattes je vais m'occuper de ton cul.
Pas le temps de reprendre mes esprits le voilà qu'il me fouille l'anus. Je sens du gel couler le long de mes cuisses et plusieurs doigts entrer. Son autre main est posée sur mes reins. Il appuit dessus pour me faire comprendre que je dois tendre mon cul bien en l'air, je m'exécute. Sa main entière ne tarde pas à me pénétrer me faisant lâcher un cri, elle est tellement bien lubrifiée qu'elle n'a aucune difficulter à coulisser. Elle me fouille l'intérieur en essayant d'aller le plus loin possible, faisant des vas et viens assez rapide, je suis entrain de me faire casser le cul et c'est magnifique. Je me laisse totalement aller au point que j'urine sur le sol. Ma respiration est haletante, que du bonheur, je suis complètement déconnecté du monde, je suis sur une autre planète, celle du plaisir.
_ Elle pisse la chienne ! J'y crois pas ! Ma parole, mais t'es une vraie pute ! Recule un peu et lèche ta pisse salope !
Toujours en me cassant le cul il attrape ma queue et joue avec. De suite je rebande. Il me branle pendant que je lèche mon urine sur le sol. Je ne suis plus moi, je ne contrôle plus rien et je me lâche encore plus. Je jouis, je pisse, je ne sais pas, je suis à deux doigts de m'évanouir tellement les sensations sont fortes. Je l'entends qu'il m'encourage.
_ Vas-y ma salope jouis, laisse-toi aller. Tu l'as mérité, mais moi aussi j'ai envie de pisser. Reste à quatre pattes et écarte tes fesses avec tes mains.
Je le sens qui retire sa main doucement, j'ai la joue sur le sol baignant dans mon urine et il remet une couche. Son jet d'urine vient s'écraser sur mon anus, il me pisse sur le cul ! Son jet remonte le long de mon dos pour finir sur mon visage. C'est la première fois qu'il me pisse dessus, c'est très dégradant et très humiliant, j'adore. J'ouvre la bouche et j'en avale, je veux lui montrer qu'il peut tout faire avec moi, je crois qu'il en est conscient.
Le temps qu'il va se laver les mains dans ma salle de bains et qu'il se rhabille je suis resté allongé sur le sol, je redescendais tout doucement de mon nuage. Avant de partir il m'a confié que la prochaine fois il viendrait avec un ami, je suis impatient de le connaitre, j'ai une très forte envie de me faire transpércer de part en part.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
mon patron est aussi hard que le tien, même il me défonce la rondelle devant les clients
Eric jeune apprenti coiffeur de 22 ans en couple libre avec mon patron Roberto, 55 ans
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salut très belle histoire de domi j ai kif me suis imagine a t as place vivement la suite a+ bisous