Un pervers près de moi 6

Récit érotique écrit par Alexcoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 29 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Alexcoquin ont reçu un total de 255 220 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 936 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un pervers près de moi 6
Nous voilà parti en direction de la chambre à la recherche du fameux portable.
Ma sœur est en culotte dans le couloir, paniqué, le visage encore violet de son étouffement avec la bite de cette infâme ordure d’Alain. Nous descendons les escaliers et là, elle s’arrête net. Je me retourne, la regarde, elle est toujours nue, ses seins tombant, son gros ventre flasque a l’air. Elle prend ses mains les mets sur ses yeux et commence à pleurer.
Je comprends son émotion mais cela m’agace, je la regarde et lui dit :
–« Ecoute, Fanny, je sais que c’est dur, je sais que ce qui t’a fait c’est immonde, mais, on ne peut pas rester là dans les escaliers, toi nue, le visage violet avec de la bave qui coule sur tes seins. Imagine si Maman ou Renaud se lève et te croise comme ça qu’est-ce qu’on fait ? Qu est ce qu’on leur dit ? »
Elle ne m’écoute pas et ne dit rien, ça commence à m’agacer, je m’avance vers elle, enlève les deux mains et lui dit : « Maintenant, ça suffit ! Ressaisis-toi et trouvons ce portable que tout ça se termine. »
Elle hoche la tête, se remet à descend des escaliers
Dans le salon, je vois une veste m’appartenant Ma sœur est beaucoup plus costaud que moi. Mais, il faut qu’elle se couvre, elle ne peut pas rester en culotte dans toute la maison, je lui donne. Elle l’enfile c’est un peu serré au niveau des bras, elle a du mal à la fermer, mais ça fera l’affaire. Elle me remercie et me dit :
– Je suis désolé, Lucie, tout est de ma faute… Elle éclate en sanglots et continue à me dire : « si tu n’avais pas fait ça, je, je… serais peut-être… morte.
Elle s’assied sur la dernière marche de l’escalier. Prends sa tête dans ses mains et pleure.
– « Je ne t’en veux pas Fanny. Je sais que c’est dur et je n’ai pas envie de te bousculer mais la, le temps presse, il faut absolument retrouver ce téléphone avant qu’il ne reprenne conscience, sinon on ne s’en sortira jamais. » Je vois qu’elle ne réagit pas, et je lui dis en mettant une main sur son épaule : « écoute, reste sur le canapé, reste tranquille, et je vais m’occuper de trouver ce téléphone. »
Elle ouvre les yeux, trempées de larmes, me regarde, et dit de manière hésitante :
–tu… tu es sur ? ça ne te gêne pas ?
–Oui, j’en suis sûr. Repose-toi. Je lui fais un bisou sur le front et je pars.
Je pense que j’ai fais le bon choix en la laissant se reposer un peu, elle a tellement souffert la pauvre. Il faut que je mette un terme à cette histoire.
Je vais devant la porte de sa chambre, j’ouvre doucement, je vois ma mère allongé, endormi. J’entre discrètement, j’ai les larmes aux yeux quand je vois ma maman, je prends conscience qu elle vit avec un monstre, un homme horrible, fou à lier.
Je fouille dans l’obscurité sans faire de bruit, rien, il est nul part.
Je sors de la chambre en refermant la porte doucement.
Je pose mes mains sur mes hanches, je me souviens que son manteau est dans le salon, il a peut être laisser dans sa poche.
Je me précipite, repensant à tout ce qu’ils nous a fait subir ce gros porc, les masturbations, les baisages de bouche ignoble. Tout ça va prendre fin dans quelques instants.
Une fois le portable récupéré je préviendrais maman pour qu’elle sache quel monstre est l’homme qu’elle a épousé.
J’arrive dans le salon, je fouilles partout: son manteau, le canapé, les meubles. Je prends mon portable et je l’appelle pour essayer d’entendre la sonnerie. Rien.
Je suis dépité, où est donc ce putain de téléphone. Je décide de repartir à l’étage et de fouiller entièrement aussi.
En me rapprochant des escaliers, j’entends du bruit, des gémissements. Je pense que c’est Fanny qui dors et qui ronfle sur le canapé.
Je suis tout de même inquiète et si, Alain, s’était réveillé, si, il était en train de le pourchasser. Je commence à avoir peur. J’avale ma salive, me déplace lentement. Plus j’avance plus le bruit s’intensifie. Au moment où je passe la porte…
Je mets mes deux mains sur ma bouche et j’hurle…
_ NOOOOOOOOOOOOON !!
Le bruit est étouffé par mes mains et personne n’entends, les larmes coulent, je m’effondre à genoux.
Alain est en train de pénétrer la chatte de ma sœur. Elle a les jambes écartées, il a ses deux mains sur sa gorge, je vois qu’il sert car les deux mains de Fanny tiennent les poignées de cet infâme porc.
Il l’a prend en missionnaire. Je vois son petit sexe faire des aller retour dans le vagin de ma sœur qui a les yeux fermés et qui gémit.
Lui, il y va de plus en plus fort. Le bruit que j entendais était le bruit sourd de la pénétration.
Le visage de ma sœur est fermé, j’ai peur pour elle, je me relève d’un seul coup, je sers les dents, je saisis un objet près de moi sur la commode, je n’arrive pas bien à savoir ce que c’est mais tant pis, il est temps d’en finir, il est temps que tout ça se termine.
Je mets l’objet comme un poignard dans ma main. Sans comprendre ce qu’il se passe dans ma tête , je cours rapidement vers Alain qui baise ma sœur et au moment où j’arrive au canapé, je vois l’infâme porc crier et tourner la tête vers moi.
Il comprend en une fraction de seconde ce qu’il se passe.
Il sort de la chatte de ma sœur, en ejaculant, réussi à reculer et balancer son foutre deguelasse sur ma hanche. Mon élan plante l’objet, une paire de ciseaux, dans le thorax de Fanny.
Je m’écroule sur elle en hurlant !
_ NOOOOOOOOON ! Noooooon ! fAAANNYYY !
Alain me saisit par les cheveux et me fait tomber au sol.
_ Tu as voulu me planter sale pute ! Dit il en me mettant un coup de pied dans le ventre.
Je reste au sol, regardant les bras de Fanny tombé le long de son corps.
Alain met ses doigts dans le cou de ma sœur pour prendre son pouls. Il saisit ensuite son poignée.
Je vois le sang commencé à couler.
Alain se relève et me dit:
_ Elle est morte. Tu as tué…Tu as tué ta sœur…
À suivre…
Ma sœur est en culotte dans le couloir, paniqué, le visage encore violet de son étouffement avec la bite de cette infâme ordure d’Alain. Nous descendons les escaliers et là, elle s’arrête net. Je me retourne, la regarde, elle est toujours nue, ses seins tombant, son gros ventre flasque a l’air. Elle prend ses mains les mets sur ses yeux et commence à pleurer.
Je comprends son émotion mais cela m’agace, je la regarde et lui dit :
–« Ecoute, Fanny, je sais que c’est dur, je sais que ce qui t’a fait c’est immonde, mais, on ne peut pas rester là dans les escaliers, toi nue, le visage violet avec de la bave qui coule sur tes seins. Imagine si Maman ou Renaud se lève et te croise comme ça qu’est-ce qu’on fait ? Qu est ce qu’on leur dit ? »
Elle ne m’écoute pas et ne dit rien, ça commence à m’agacer, je m’avance vers elle, enlève les deux mains et lui dit : « Maintenant, ça suffit ! Ressaisis-toi et trouvons ce portable que tout ça se termine. »
Elle hoche la tête, se remet à descend des escaliers
Dans le salon, je vois une veste m’appartenant Ma sœur est beaucoup plus costaud que moi. Mais, il faut qu’elle se couvre, elle ne peut pas rester en culotte dans toute la maison, je lui donne. Elle l’enfile c’est un peu serré au niveau des bras, elle a du mal à la fermer, mais ça fera l’affaire. Elle me remercie et me dit :
– Je suis désolé, Lucie, tout est de ma faute… Elle éclate en sanglots et continue à me dire : « si tu n’avais pas fait ça, je, je… serais peut-être… morte.
Elle s’assied sur la dernière marche de l’escalier. Prends sa tête dans ses mains et pleure.
– « Je ne t’en veux pas Fanny. Je sais que c’est dur et je n’ai pas envie de te bousculer mais la, le temps presse, il faut absolument retrouver ce téléphone avant qu’il ne reprenne conscience, sinon on ne s’en sortira jamais. » Je vois qu’elle ne réagit pas, et je lui dis en mettant une main sur son épaule : « écoute, reste sur le canapé, reste tranquille, et je vais m’occuper de trouver ce téléphone. »
Elle ouvre les yeux, trempées de larmes, me regarde, et dit de manière hésitante :
–tu… tu es sur ? ça ne te gêne pas ?
–Oui, j’en suis sûr. Repose-toi. Je lui fais un bisou sur le front et je pars.
Je pense que j’ai fais le bon choix en la laissant se reposer un peu, elle a tellement souffert la pauvre. Il faut que je mette un terme à cette histoire.
Je vais devant la porte de sa chambre, j’ouvre doucement, je vois ma mère allongé, endormi. J’entre discrètement, j’ai les larmes aux yeux quand je vois ma maman, je prends conscience qu elle vit avec un monstre, un homme horrible, fou à lier.
Je fouille dans l’obscurité sans faire de bruit, rien, il est nul part.
Je sors de la chambre en refermant la porte doucement.
Je pose mes mains sur mes hanches, je me souviens que son manteau est dans le salon, il a peut être laisser dans sa poche.
Je me précipite, repensant à tout ce qu’ils nous a fait subir ce gros porc, les masturbations, les baisages de bouche ignoble. Tout ça va prendre fin dans quelques instants.
Une fois le portable récupéré je préviendrais maman pour qu’elle sache quel monstre est l’homme qu’elle a épousé.
J’arrive dans le salon, je fouilles partout: son manteau, le canapé, les meubles. Je prends mon portable et je l’appelle pour essayer d’entendre la sonnerie. Rien.
Je suis dépité, où est donc ce putain de téléphone. Je décide de repartir à l’étage et de fouiller entièrement aussi.
En me rapprochant des escaliers, j’entends du bruit, des gémissements. Je pense que c’est Fanny qui dors et qui ronfle sur le canapé.
Je suis tout de même inquiète et si, Alain, s’était réveillé, si, il était en train de le pourchasser. Je commence à avoir peur. J’avale ma salive, me déplace lentement. Plus j’avance plus le bruit s’intensifie. Au moment où je passe la porte…
Je mets mes deux mains sur ma bouche et j’hurle…
_ NOOOOOOOOOOOOON !!
Le bruit est étouffé par mes mains et personne n’entends, les larmes coulent, je m’effondre à genoux.
Alain est en train de pénétrer la chatte de ma sœur. Elle a les jambes écartées, il a ses deux mains sur sa gorge, je vois qu’il sert car les deux mains de Fanny tiennent les poignées de cet infâme porc.
Il l’a prend en missionnaire. Je vois son petit sexe faire des aller retour dans le vagin de ma sœur qui a les yeux fermés et qui gémit.
Lui, il y va de plus en plus fort. Le bruit que j entendais était le bruit sourd de la pénétration.
Le visage de ma sœur est fermé, j’ai peur pour elle, je me relève d’un seul coup, je sers les dents, je saisis un objet près de moi sur la commode, je n’arrive pas bien à savoir ce que c’est mais tant pis, il est temps d’en finir, il est temps que tout ça se termine.
Je mets l’objet comme un poignard dans ma main. Sans comprendre ce qu’il se passe dans ma tête , je cours rapidement vers Alain qui baise ma sœur et au moment où j’arrive au canapé, je vois l’infâme porc crier et tourner la tête vers moi.
Il comprend en une fraction de seconde ce qu’il se passe.
Il sort de la chatte de ma sœur, en ejaculant, réussi à reculer et balancer son foutre deguelasse sur ma hanche. Mon élan plante l’objet, une paire de ciseaux, dans le thorax de Fanny.
Je m’écroule sur elle en hurlant !
_ NOOOOOOOOON ! Noooooon ! fAAANNYYY !
Alain me saisit par les cheveux et me fait tomber au sol.
_ Tu as voulu me planter sale pute ! Dit il en me mettant un coup de pied dans le ventre.
Je reste au sol, regardant les bras de Fanny tombé le long de son corps.
Alain met ses doigts dans le cou de ma sœur pour prendre son pouls. Il saisit ensuite son poignée.
Je vois le sang commencé à couler.
Alain se relève et me dit:
_ Elle est morte. Tu as tué…Tu as tué ta sœur…
À suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alexcoquin
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J espéré avoir quelques commentaires ou n’hésitez pas à me contacter par mail pour échanger sur les histoires et votre point de vue
Très bonne nouvelle ce retour! Bravo pour cette histoire :)
Coucou alexcoquin bon retour parmis les écrivain merci pour la suite que tu as partager en espèrent que ce ne sera pas la seul suite des nombre récit au plaisir de continuer à te suivre

