Un petit coup rapide
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un petit coup rapide
Je me suis précipité pour répondre au téléphone, mais ma femme, Bérengère, m’a devancé.
« Bonjour ... Oui, c’est Bérengère »
"..."
« Bonjour, monsieur » Sa voix était brusquement devenue respectueuse, et elle me regardait d'une manière significative. Ses lèvres ont articulé « François-Xavier » sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche. François-Xavier, c’était son patron depuis plus de deux ans, et son « amant » depuis ces 6 derniers mois. Elle lui fournissait divers services sexuels à la demande afin de conserver son emploi, mais aussi pour obtenir une lucrative promotion.
"..."
« Vous pensiez à moi ? Comme c'est gentil ! Quel genre de pensées avez-vous pour moi ? »
Elle leva les yeux au ciel, et me fit une grimace. Nous savions tous deux qu'il n’appelait que quand il avait envie de la baiser.
"..."
« Oh, ce genre de pensées, bien sûr, j'aurais dû le deviner »
Elle secouait la tête de gauche à droite, haussa les épaules, et fit ce mouvement avec ses doigts de sa main libre qui signifiait : " Pipeau "
"..."
« Juste un petit coup rapide ? »
"..."
« Moins d'une demi-heure ? Eh bien, c'est un vrai petit coup rapide ! »
"..."
« Quand voulez-vous venir ? »
"..."
« Dans une demi-heure ! C'est urgent, n'est-ce pas ? »
"..."
« Oui, bien sûr, c’est d’accord. Non, non, pas besoin de me le rappeler. C'est notre accord. Je serai prête » dit-elle avec résignation.
"..."
« Oui, je vais lui dire. Oui, je suis sûre qu'il va accepter de m'aider »
"..."
« A très vite » dit-elle, et elle raccrocha.
« Qu'est-ce que ça veut dire, il va m’aider ? » ai-je demandé avec méfiance.
« Il est pressé. Sa femme l’attend. Il faut que tu me prépares pour lui. Déjà qu’il n’est pas très prévenant, en temps normal... Et puis, tu es si habile avec ta bouche, mon cœur »
« Oh, c'est vrai que je suis habile … et complaisant. C'est un service que je te rends avec plaisir, même si c'est pour le bénéfice de quelqu'un d'autre »
« Il me veux mouillée et prête pour lui, dans une demie-heure. Tu penses pouvoir gérer cela ? »
« Je vais faire de mon mieux, patron ! »
« Allez, grouille, idiot, il sera bientôt là » dit-elle en attrapant ma main et en me traînant vers la chambre.
Nous nous sommes précipités dans notre chambre. La première fois que François-Xavier était venu chez nous, ils avaient utilisé la chambre d'amis. Mais ensuite, il a voulu la baiser dans le lit conjugal. Baiser cette salope dans le lit conjugal, avec le cocu qui écoute derrière la porte, ce serait un frisson supplémentaire pour lui, a-t-il décrété. Et obtenu. Moyennant finance, bien sûr.
Et ça a marché, enfin je suppose, parce qu’à partir de ce moment-là, ils ont toujours utilisé notre chambre pour leurs séances de sexe. Je n'aimais pas beaucoup ça au début, surtout quand je venais retrouver ma femme exténuée, vautrée au milieu d’un lit défait, sur des draps tachés, avec cette odeur lourde de sexe qui flottait dans l’air. Mais je me suis habitué, surtout grâce aux rémunérations conséquentes.
Bérengère se tenait debout au milieu de la chambre : « Déshabille-moi, veux-tu ? » demanda-t-elle avec impertinence. Je lui ai ôté son chemisier, sa jupe, puis son soutien-gorge, et enfin sa culotte. Elle s’est allongée, nue, les fesses au bord du lit, en tendant la jambe : « Chaussures »
J'ai obéi, puis j’ai commencé à enlever ma chemise mais elle m’a menacé, plutôt impatiente :
« Nous n’avons pas de temps pour la bagatelle, Robert, dépêche-toi »
En soupirant, je me suis agenouillé entre ses jambes ouvertes, laissant courir mes mains à l’intérieur de ses cuisses, appréciant leur douceur soyeuse.
J'ai commencé à promener ma bouche à l'intérieur de ses cuisses, déposant au passage de petits baisers et des coups de langue, pour l’agacer, quelque chose qui l’émoustille habituellement. Mais sa main s’est posée sur ma nuque, agrippant mes cheveux, pour me pousser impatiemment vers son entrejambe.
« Allez Robert, ne perds pas ton temps, fais travailler ta langue. Je dois absolument être prête pour sa grosse bite. Il est vraiment énorme, tu sais, et il s’en fiche de me faire mal pour se satisfaire. Je sais par expérience que si je pleurniche, ça l’excite encore plus. C’est une brute, tu sais ? »
Sa chatte n'était plus qu'à quelques centimètres de ma bouche, et je pouvais voir qu’elle était clairement un peu humide. Elle se plaignait, en simulant la réticence, prétendant que c’était une véritable corvée lorsqu'elle devait avoir des relations sexuelles avec François-Xavier. Mais je savais aussi que, généralement, elle affectionnait d’être sa conquête docile. Et j'en profitais aussi.
Je posais mes pouces de part et d’autre de ses grandes lèvres et je l'ouvris doucement. J'ai laissé courir ma langue le long de sa fente, me délectant de son goût légèrement acidulé. Elle inspira longuement.
« Oui ! C'est bon, ça. Continue, chéri, ça me plaît »
J’ai commencé ma procédure habituelle, léchant sa chatte sur toute la longueur de sa fente, taquinant le clitoris avec quelques coups de langue, avant de lécher à nouveau en salivant beaucoup. Elle voulait être bien mouillée, elle allait l’être. Après avoir répété le processus plusieurs fois, j'arrêtais ma langue en face de l'entrée du paradis, remuant l’extrémité à l’intérieur de sa vulve, avant de répéter la formule.
« Oh putain, c'est bon. Continue, chéri, j’aime ça » Elle aimait s’exprimer, parfois avec vulgarité, en croyant que ça me chauffait. Bon, c’est vrai, ça me chauffait ...
J'ai levé le regard, depuis mon point de vue, positionné entre ses jambes, pour juger de l’avancée de son trouble. Elle étreignait ses seins à pleines mains, triturant les mamelons et pinçant les tétons. Les yeux fermés, les traits crispés, bouche ouverte, haletante, elle semblait concentrée sur la montée du plaisir. De doux gémissements féminins ponctuaient les sensations que je lui procurais.
« T'arrête pas, chéri, il sera bientôt là » haleta-t-elle, tandis qu'elle pressait ma tête sur sa chatte.
Sa respiration devenait plus lourde, sa chatte mouillait bien. Ses hanches oscillaient doucement, réclamant la pénétration. Mais je ne devais pas me laisser distraire, nous n’étions pas là pour la gaudriole.
« Oh mon dieu, chéri, ta bouche, quelle merveille ! Tu es toujours si merveilleux, mon cœur. Je suis prête pour lui. Prête pour sa grosse bite. Prête pour qu’il me baise »
J'ai entièrement concentré mon attention sur son clitoris, sachant qu'elle était sur la bonne voie à présent. En positionnant mon index et mon pouce de chaque côté de son bouton, je l'ai doucement pressé en le roulant entre mes doigts. Ma langue le giflait maintenant, et le clitoris se raidissait de plus en plus. Enfin, j’ai pu l’aspirer, et le sucer entre mes lèvres comme une petite bite.
Je savais qu'elle était proche de l’orgasme, et j’accélérais le rythme, quand soudain elle s’est tendue, et elle a repoussé ma tête à deux mains
« Il arrive, j’ai entendu une voiture s'arrêter »
Je n'avais rien entendu, la tête coincée entre ses cuisses, et je doutais de cette information, aussi j’ai essayé de remettre ma bouche sur sa chatte, car je ne voulais pas m'arrêter en si bonne voie.
« François-Xavier n‘a qu’à aller se faire foutre » pensais-je.
Mais la sonnette de l’entrée a retenti. Elle m’a repoussé violemment, avec les mains et avec les pieds, en proie à une crise de rage :
« Merde, tu fais chier maintenant, arrête tes conneries, il est là ! Va lui ouvrir et fais-le entrer. Grouille-toi ! »
À contrecœur, je me suis relevé, et je suis allé lui ouvrir la porte d'entrée. Je me suis effacé devant Monsieur François-Xavier. Grand, bel homme, légèrement grisonnant, un début d’embonpoint, la cinquantaine sereine, presque deux fois l'âge de ma Bérengère qui en avait vingt-sept.
« Robert, mon ami, comment allez-vous ? »
Il m'a examiné de haut en bas, notant mes cheveux ébouriffés, ma chemise débraillée, l'humidité de ma bouche et de mon menton.
« Bérengère est prête pour moi, n'est-ce pas ? Je suis sûr que vous avez fait de l’excellent travail »
Son ton condescendant, son air supérieur, en tapotant mon épaule comme on flatte un chien qui fait du bon travail, le goût aigre que j’avais dans la bouche depuis le tintement de la sonnette de l’entrée a brusquement augmenté. Je me suis forcé à sourire, un sourire obséquieux et servile.
« Bérengère m’a dit qu’elle était prête pour vous. Elle est sur le lit, en position, prête à servir »
« Bon garçon, c’est bien » dit-il en me tapotant l'épaule avec gratitude. « Ce soir, j'ai vraiment besoin de tirer un coup, j'ai vraiment une journée difficile »
Il ôta rapidement son manteau, et me le tendit pour l’accrocher. Sans plus se préoccuper de moi, il tourna les talons et se dirigea vers la chambre à coucher. Je l’ai entendu dire :
« Bonjour, Bérengère. Me voilà. Tu es déjà en position, petite coquine, allongée les jambes écartées »
J'ai accroché son manteau à la patère, même si j'avais envie de le jeter par terre, et de le piétiner. Je l’ai suivi aussi vite que je pouvais, mais la porte de la chambre était déjà refermée. J’ai demandé plusieurs fois si je pouvais regarder, mais François-Xavier ne voulait pas. J’ai voulu négocier une remise éventuelle, mais je me suis heurté à la colère de Bérengère, qui m’a dit :
« Quand ce sera ton cul qui prendra sa grosse bite, on verra si tu demandes une remise, connard ! »
Du coup, je n'avais pas d’autre solution que d’écouter derrière la porte. J'entendais beaucoup de choses à travers la porte, et mon imagination faisait le reste. "
« Continue de te masturber en m’attendant, petite » je l’ai entendu dire.
Il devait retirer rapidement ses vêtements. « Fais-moi sucer tes doigts » Puis : « Mmm. Bien mouillée, la petite chatte. Robert a fait du bon travail, comme toujours, ce brave Robert » Il s’esclaffa. « Ou peut-être es-tu particulièrement contente de me voir, petite cochonne » Il riait de sa plaisanterie débile.
« Nous sommes invités à un dîner ce soir, et j'aurai des ennuis avec Marie-Christine si je suis en retard. Du coup, ça va être rapide. Je vais te baiser vite et fort, Bérengère. J’apprécierais que tu ne hurles pas à plein poumon, comme tu le fais parfois. Tiens-toi un peu, petite. Je… Heu... ça m'est égal que tu jouisses ou pas. Je suis bouillant comme une marmite, et tu vas avoir une rude chevauchée, ma petite, mais tu aimes ça, n'est-ce pas ? »
« Non, François-Xavier, je ne sais pas, mais si c'est ce que vous voulez » dit Bérengère d'une voix douce et soumise que je ne lui connaissais pas. Pas avec moi, en tout cas.
J'ai entendu le grincement du sommier pendant qu'il grimpait sur le lit et, vraisemblablement, se positionnait entre ses cuisses ouvertes. Immédiatement, il y eut une série de cris de douleur de Bérengère, vite réprimés, probablement en la bâillonnant avec sa bouche. Puis, alors qu’il avait sûrement planté l’intégralité de sa viande en elle, il s’est écrié :
« Voilà, c’est tout rentré. Pas de quoi en faire des histoires. Vas-y, petite, accroche-toi bien fort, ça va secouer »
Il n’y a pas eu plus de romantisme. Il a commencé à la baiser sur un rythme alerte et fougueux. Le sommier grinçait, le claquement des chairs qui se heurtaient emplissaient l’atmosphère. Bérengère laissait échapper de petits cris féminins à chaque coup. Des cris entrecoupé de supplices
« Doucement … Brute … O-oh, ça fait mal … Ralentissez, François-Xavier … Oh mon dieu … Aaaah »
Quoi qu'elle puisse dire, cela ne semblait pas l’émouvoir. François-Xavier a juste continué sa chevauchée fantastique, sans se préoccuper de sa partenaire. Énergique, brutal et égoïste. J’admirais son endurance.
Plusieurs fois, Bérengère a crié son plaisir. Sans provoquer la moindre émotion chez son patron. Il a continué de la chevaucher sur le même rythme, qu’elle exulte ou pas, cela ne le concernait pas. Il ne s’occupait que de lui-même, et de son propre plaisir.
Une demie-heure, montre en main, il l’a pilonnée avec sauvagerie. Une vraie bête de sexe. Je pouvais l’entendre grogner comme un animal, pendant qu’il se vidait dans ma femme. Je l’ai entendue essayer de retenir son patron, suppliante, désirant prolonger l’étreinte, pendant qu’il se retirait d’elle pour aller se rafraîchir dans la salle de bain.
« Désolé, Bérengère, je n’ai pas le temps de te câliner. Tu étais prévenue. Je t'avais dit que ce serait un petit coup rapide. J'espère que Robert pourra t’apporter un peu de réconfort, il est si doué pour les léchouilles »
Je me précipitais dans le séjour et je m’installais sur le canapé avec un livre.
« Déjà ? » demandais-je innocemment, pendant qu'il enfilait son manteau.
« C’est fait, totalement. C'est une bonne nature, Bérengère, c'est pour ça que je la garde. Elle prend ce que je lui donne, sans faire d’histoires. Une perle. Ah, je n’ai pas eu le temps de la terminer, en tout cas pas comme je le fais habituellement. Peut-être pourriez-vous l'aider. Vous savez, reprendre là où vous vous étiez arrêté, quand je suis arrivé » Et il est parti.
Je suis allé rejoindre Bérengère. Je suis resté à la porte de la chambre pour observer ma femme repue. Elle était en sueur, et sa poitrine se soulevait au rythme rapide de sa respiration. Jambes écartées, sa chatte était rouge, boursouflée, dégoulinante de foutre. J'ai perdu le compte du nombre de fois où son patron l'a laissée comme ça au cours des six derniers mois.
Elle m'a regardé avec une expression alanguie sur le visage. Ses mains qui parcouraient son corps s’arrêtèrent entre ses jambes.
« Il m'a baisée comme une brute. J'ai eu mal, tu sais. Je n’ai même pas joui. J’y étais presque, mais il ne m'a pas attendue » a-t-elle dit avec une note de désespoir dans la voix. Pourtant, je l’avais entendue crier plusieurs fois. « Robert, viens t’occuper de moi, achève le travail, chéri, s'il te plaît »
J'ai commencé à jeter mes vêtements, trop heureux d'obtempérer.
« Je ne peux plus baiser maintenant. J'ai trop mal, chéri. Je suis toute meurtrie à l’intérieur » Elle écartait sa chatte avec deux doigts, pour me montrer : « Ici et ici »
« Son empressement est causé par ta beauté, ma chérie. Tu es tellement désirable qu’il perd la tête, et se comporte comme un animal » compatis-je.
« Quand vas-tu arrêter de tout lui accorder ? Tu as accepté de céder à ses avances quand je n’avais pas de travail. Nous avions la tête sous l’eau, et il nous fallait trouver quelque chose pour s’en sortir. Sauver le peu que nous avions. OK, mais maintenant, j’ai un boulot bien payé. Tu n'as plus besoin de le faire. Tu peux l’envoyer promener, et chercher un autre travail »
Nous avions déjà eu cette conversation. Elle avait découvert, sous le joug de François-Xavier, un penchant à la soumission qu’elle ignorait. Au début, c’était difficile pour elle. Elle ne pouvait pas s’abandonner, et elle pleurait beaucoup. Mais les exigences de plus en plus précises, et de plus en plus fréquentes, de son patron l’émoustillaient. C’était devenu une nécessité, une sorte de dépendance qu’elle avait du mal à abandonner. Être sa pute, s’offrir à lui, quand et où il la voulait, s’humilier pour lui plaire, c’était excitant. Elle lui était entièrement soumise, et peut-être même qu’elle en était tombée amoureuse.
« Bientôt, mon chéri, je te promets. En attendant, j'ai vraiment, vraiment besoin de toi. Viens, mon amour, viens me consoler »
Sa voix était douce et câline. « Viens t’occuper de moi avec ta bouche. Fini ce que tu as commencé. Sois gentil. Fais-moi jouir. Chéri, viens »
Elle me tendait les bras, comment résister ? J'aime tellement ma femme, tout ce que je veux vraiment, c'est qu'elle soit heureuse, et qu'elle soit à moi. J'adore son corps magnifique, et je déteste la partager avec un autre. Jusqu'à ce que tout soit fini, et qu'elle soit de nouveau mienne, je ferai tout ce que je peux pour la rendre heureuse.
J'étais nu devant elle, et je regardais sa chatte endommagée parce que mal utilisée. Une chatte qui était familière à François-Xavier. Brièvement, j’ai pensé à la chatte de sa propre femme. Est-ce que la chatte de Marie-Christine était aussi ravagée que celle de Bérengère ?
Un long filet de sperme s’écoulait de son orifice béant, coulait dans la fente de son cul pour s’accumuler sur le drap sous elle. Je n'aime pas goûter le sperme d'un autre homme. Même si, dans les circonstances actuelles, c’était difficile de l'éviter complètement. Je suis allé à la salle de bain, chercher de quoi lui débarbouiller la minette. Je me suis penché sur elle et doucement, avec amour, j'ai essuyé le plus de dégâts possible.
Pendant que je m'installais entre ses jambes, machinalement, je jetais un coup d'œil à l'horloge sur la table de chevet. Trois quarts d’heure s’étaient écoulés depuis mon premier passage interrompu. Mais cette fois, pas de précipitation, et pas d’interruption. Rien ne nous pressait, alors le service allait être, long, tendre et amoureux.
« Bonjour ... Oui, c’est Bérengère »
"..."
« Bonjour, monsieur » Sa voix était brusquement devenue respectueuse, et elle me regardait d'une manière significative. Ses lèvres ont articulé « François-Xavier » sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche. François-Xavier, c’était son patron depuis plus de deux ans, et son « amant » depuis ces 6 derniers mois. Elle lui fournissait divers services sexuels à la demande afin de conserver son emploi, mais aussi pour obtenir une lucrative promotion.
"..."
« Vous pensiez à moi ? Comme c'est gentil ! Quel genre de pensées avez-vous pour moi ? »
Elle leva les yeux au ciel, et me fit une grimace. Nous savions tous deux qu'il n’appelait que quand il avait envie de la baiser.
"..."
« Oh, ce genre de pensées, bien sûr, j'aurais dû le deviner »
Elle secouait la tête de gauche à droite, haussa les épaules, et fit ce mouvement avec ses doigts de sa main libre qui signifiait : " Pipeau "
"..."
« Juste un petit coup rapide ? »
"..."
« Moins d'une demi-heure ? Eh bien, c'est un vrai petit coup rapide ! »
"..."
« Quand voulez-vous venir ? »
"..."
« Dans une demi-heure ! C'est urgent, n'est-ce pas ? »
"..."
« Oui, bien sûr, c’est d’accord. Non, non, pas besoin de me le rappeler. C'est notre accord. Je serai prête » dit-elle avec résignation.
"..."
« Oui, je vais lui dire. Oui, je suis sûre qu'il va accepter de m'aider »
"..."
« A très vite » dit-elle, et elle raccrocha.
« Qu'est-ce que ça veut dire, il va m’aider ? » ai-je demandé avec méfiance.
« Il est pressé. Sa femme l’attend. Il faut que tu me prépares pour lui. Déjà qu’il n’est pas très prévenant, en temps normal... Et puis, tu es si habile avec ta bouche, mon cœur »
« Oh, c'est vrai que je suis habile … et complaisant. C'est un service que je te rends avec plaisir, même si c'est pour le bénéfice de quelqu'un d'autre »
« Il me veux mouillée et prête pour lui, dans une demie-heure. Tu penses pouvoir gérer cela ? »
« Je vais faire de mon mieux, patron ! »
« Allez, grouille, idiot, il sera bientôt là » dit-elle en attrapant ma main et en me traînant vers la chambre.
Nous nous sommes précipités dans notre chambre. La première fois que François-Xavier était venu chez nous, ils avaient utilisé la chambre d'amis. Mais ensuite, il a voulu la baiser dans le lit conjugal. Baiser cette salope dans le lit conjugal, avec le cocu qui écoute derrière la porte, ce serait un frisson supplémentaire pour lui, a-t-il décrété. Et obtenu. Moyennant finance, bien sûr.
Et ça a marché, enfin je suppose, parce qu’à partir de ce moment-là, ils ont toujours utilisé notre chambre pour leurs séances de sexe. Je n'aimais pas beaucoup ça au début, surtout quand je venais retrouver ma femme exténuée, vautrée au milieu d’un lit défait, sur des draps tachés, avec cette odeur lourde de sexe qui flottait dans l’air. Mais je me suis habitué, surtout grâce aux rémunérations conséquentes.
Bérengère se tenait debout au milieu de la chambre : « Déshabille-moi, veux-tu ? » demanda-t-elle avec impertinence. Je lui ai ôté son chemisier, sa jupe, puis son soutien-gorge, et enfin sa culotte. Elle s’est allongée, nue, les fesses au bord du lit, en tendant la jambe : « Chaussures »
J'ai obéi, puis j’ai commencé à enlever ma chemise mais elle m’a menacé, plutôt impatiente :
« Nous n’avons pas de temps pour la bagatelle, Robert, dépêche-toi »
En soupirant, je me suis agenouillé entre ses jambes ouvertes, laissant courir mes mains à l’intérieur de ses cuisses, appréciant leur douceur soyeuse.
J'ai commencé à promener ma bouche à l'intérieur de ses cuisses, déposant au passage de petits baisers et des coups de langue, pour l’agacer, quelque chose qui l’émoustille habituellement. Mais sa main s’est posée sur ma nuque, agrippant mes cheveux, pour me pousser impatiemment vers son entrejambe.
« Allez Robert, ne perds pas ton temps, fais travailler ta langue. Je dois absolument être prête pour sa grosse bite. Il est vraiment énorme, tu sais, et il s’en fiche de me faire mal pour se satisfaire. Je sais par expérience que si je pleurniche, ça l’excite encore plus. C’est une brute, tu sais ? »
Sa chatte n'était plus qu'à quelques centimètres de ma bouche, et je pouvais voir qu’elle était clairement un peu humide. Elle se plaignait, en simulant la réticence, prétendant que c’était une véritable corvée lorsqu'elle devait avoir des relations sexuelles avec François-Xavier. Mais je savais aussi que, généralement, elle affectionnait d’être sa conquête docile. Et j'en profitais aussi.
Je posais mes pouces de part et d’autre de ses grandes lèvres et je l'ouvris doucement. J'ai laissé courir ma langue le long de sa fente, me délectant de son goût légèrement acidulé. Elle inspira longuement.
« Oui ! C'est bon, ça. Continue, chéri, ça me plaît »
J’ai commencé ma procédure habituelle, léchant sa chatte sur toute la longueur de sa fente, taquinant le clitoris avec quelques coups de langue, avant de lécher à nouveau en salivant beaucoup. Elle voulait être bien mouillée, elle allait l’être. Après avoir répété le processus plusieurs fois, j'arrêtais ma langue en face de l'entrée du paradis, remuant l’extrémité à l’intérieur de sa vulve, avant de répéter la formule.
« Oh putain, c'est bon. Continue, chéri, j’aime ça » Elle aimait s’exprimer, parfois avec vulgarité, en croyant que ça me chauffait. Bon, c’est vrai, ça me chauffait ...
J'ai levé le regard, depuis mon point de vue, positionné entre ses jambes, pour juger de l’avancée de son trouble. Elle étreignait ses seins à pleines mains, triturant les mamelons et pinçant les tétons. Les yeux fermés, les traits crispés, bouche ouverte, haletante, elle semblait concentrée sur la montée du plaisir. De doux gémissements féminins ponctuaient les sensations que je lui procurais.
« T'arrête pas, chéri, il sera bientôt là » haleta-t-elle, tandis qu'elle pressait ma tête sur sa chatte.
Sa respiration devenait plus lourde, sa chatte mouillait bien. Ses hanches oscillaient doucement, réclamant la pénétration. Mais je ne devais pas me laisser distraire, nous n’étions pas là pour la gaudriole.
« Oh mon dieu, chéri, ta bouche, quelle merveille ! Tu es toujours si merveilleux, mon cœur. Je suis prête pour lui. Prête pour sa grosse bite. Prête pour qu’il me baise »
J'ai entièrement concentré mon attention sur son clitoris, sachant qu'elle était sur la bonne voie à présent. En positionnant mon index et mon pouce de chaque côté de son bouton, je l'ai doucement pressé en le roulant entre mes doigts. Ma langue le giflait maintenant, et le clitoris se raidissait de plus en plus. Enfin, j’ai pu l’aspirer, et le sucer entre mes lèvres comme une petite bite.
Je savais qu'elle était proche de l’orgasme, et j’accélérais le rythme, quand soudain elle s’est tendue, et elle a repoussé ma tête à deux mains
« Il arrive, j’ai entendu une voiture s'arrêter »
Je n'avais rien entendu, la tête coincée entre ses cuisses, et je doutais de cette information, aussi j’ai essayé de remettre ma bouche sur sa chatte, car je ne voulais pas m'arrêter en si bonne voie.
« François-Xavier n‘a qu’à aller se faire foutre » pensais-je.
Mais la sonnette de l’entrée a retenti. Elle m’a repoussé violemment, avec les mains et avec les pieds, en proie à une crise de rage :
« Merde, tu fais chier maintenant, arrête tes conneries, il est là ! Va lui ouvrir et fais-le entrer. Grouille-toi ! »
À contrecœur, je me suis relevé, et je suis allé lui ouvrir la porte d'entrée. Je me suis effacé devant Monsieur François-Xavier. Grand, bel homme, légèrement grisonnant, un début d’embonpoint, la cinquantaine sereine, presque deux fois l'âge de ma Bérengère qui en avait vingt-sept.
« Robert, mon ami, comment allez-vous ? »
Il m'a examiné de haut en bas, notant mes cheveux ébouriffés, ma chemise débraillée, l'humidité de ma bouche et de mon menton.
« Bérengère est prête pour moi, n'est-ce pas ? Je suis sûr que vous avez fait de l’excellent travail »
Son ton condescendant, son air supérieur, en tapotant mon épaule comme on flatte un chien qui fait du bon travail, le goût aigre que j’avais dans la bouche depuis le tintement de la sonnette de l’entrée a brusquement augmenté. Je me suis forcé à sourire, un sourire obséquieux et servile.
« Bérengère m’a dit qu’elle était prête pour vous. Elle est sur le lit, en position, prête à servir »
« Bon garçon, c’est bien » dit-il en me tapotant l'épaule avec gratitude. « Ce soir, j'ai vraiment besoin de tirer un coup, j'ai vraiment une journée difficile »
Il ôta rapidement son manteau, et me le tendit pour l’accrocher. Sans plus se préoccuper de moi, il tourna les talons et se dirigea vers la chambre à coucher. Je l’ai entendu dire :
« Bonjour, Bérengère. Me voilà. Tu es déjà en position, petite coquine, allongée les jambes écartées »
J'ai accroché son manteau à la patère, même si j'avais envie de le jeter par terre, et de le piétiner. Je l’ai suivi aussi vite que je pouvais, mais la porte de la chambre était déjà refermée. J’ai demandé plusieurs fois si je pouvais regarder, mais François-Xavier ne voulait pas. J’ai voulu négocier une remise éventuelle, mais je me suis heurté à la colère de Bérengère, qui m’a dit :
« Quand ce sera ton cul qui prendra sa grosse bite, on verra si tu demandes une remise, connard ! »
Du coup, je n'avais pas d’autre solution que d’écouter derrière la porte. J'entendais beaucoup de choses à travers la porte, et mon imagination faisait le reste. "
« Continue de te masturber en m’attendant, petite » je l’ai entendu dire.
Il devait retirer rapidement ses vêtements. « Fais-moi sucer tes doigts » Puis : « Mmm. Bien mouillée, la petite chatte. Robert a fait du bon travail, comme toujours, ce brave Robert » Il s’esclaffa. « Ou peut-être es-tu particulièrement contente de me voir, petite cochonne » Il riait de sa plaisanterie débile.
« Nous sommes invités à un dîner ce soir, et j'aurai des ennuis avec Marie-Christine si je suis en retard. Du coup, ça va être rapide. Je vais te baiser vite et fort, Bérengère. J’apprécierais que tu ne hurles pas à plein poumon, comme tu le fais parfois. Tiens-toi un peu, petite. Je… Heu... ça m'est égal que tu jouisses ou pas. Je suis bouillant comme une marmite, et tu vas avoir une rude chevauchée, ma petite, mais tu aimes ça, n'est-ce pas ? »
« Non, François-Xavier, je ne sais pas, mais si c'est ce que vous voulez » dit Bérengère d'une voix douce et soumise que je ne lui connaissais pas. Pas avec moi, en tout cas.
J'ai entendu le grincement du sommier pendant qu'il grimpait sur le lit et, vraisemblablement, se positionnait entre ses cuisses ouvertes. Immédiatement, il y eut une série de cris de douleur de Bérengère, vite réprimés, probablement en la bâillonnant avec sa bouche. Puis, alors qu’il avait sûrement planté l’intégralité de sa viande en elle, il s’est écrié :
« Voilà, c’est tout rentré. Pas de quoi en faire des histoires. Vas-y, petite, accroche-toi bien fort, ça va secouer »
Il n’y a pas eu plus de romantisme. Il a commencé à la baiser sur un rythme alerte et fougueux. Le sommier grinçait, le claquement des chairs qui se heurtaient emplissaient l’atmosphère. Bérengère laissait échapper de petits cris féminins à chaque coup. Des cris entrecoupé de supplices
« Doucement … Brute … O-oh, ça fait mal … Ralentissez, François-Xavier … Oh mon dieu … Aaaah »
Quoi qu'elle puisse dire, cela ne semblait pas l’émouvoir. François-Xavier a juste continué sa chevauchée fantastique, sans se préoccuper de sa partenaire. Énergique, brutal et égoïste. J’admirais son endurance.
Plusieurs fois, Bérengère a crié son plaisir. Sans provoquer la moindre émotion chez son patron. Il a continué de la chevaucher sur le même rythme, qu’elle exulte ou pas, cela ne le concernait pas. Il ne s’occupait que de lui-même, et de son propre plaisir.
Une demie-heure, montre en main, il l’a pilonnée avec sauvagerie. Une vraie bête de sexe. Je pouvais l’entendre grogner comme un animal, pendant qu’il se vidait dans ma femme. Je l’ai entendue essayer de retenir son patron, suppliante, désirant prolonger l’étreinte, pendant qu’il se retirait d’elle pour aller se rafraîchir dans la salle de bain.
« Désolé, Bérengère, je n’ai pas le temps de te câliner. Tu étais prévenue. Je t'avais dit que ce serait un petit coup rapide. J'espère que Robert pourra t’apporter un peu de réconfort, il est si doué pour les léchouilles »
Je me précipitais dans le séjour et je m’installais sur le canapé avec un livre.
« Déjà ? » demandais-je innocemment, pendant qu'il enfilait son manteau.
« C’est fait, totalement. C'est une bonne nature, Bérengère, c'est pour ça que je la garde. Elle prend ce que je lui donne, sans faire d’histoires. Une perle. Ah, je n’ai pas eu le temps de la terminer, en tout cas pas comme je le fais habituellement. Peut-être pourriez-vous l'aider. Vous savez, reprendre là où vous vous étiez arrêté, quand je suis arrivé » Et il est parti.
Je suis allé rejoindre Bérengère. Je suis resté à la porte de la chambre pour observer ma femme repue. Elle était en sueur, et sa poitrine se soulevait au rythme rapide de sa respiration. Jambes écartées, sa chatte était rouge, boursouflée, dégoulinante de foutre. J'ai perdu le compte du nombre de fois où son patron l'a laissée comme ça au cours des six derniers mois.
Elle m'a regardé avec une expression alanguie sur le visage. Ses mains qui parcouraient son corps s’arrêtèrent entre ses jambes.
« Il m'a baisée comme une brute. J'ai eu mal, tu sais. Je n’ai même pas joui. J’y étais presque, mais il ne m'a pas attendue » a-t-elle dit avec une note de désespoir dans la voix. Pourtant, je l’avais entendue crier plusieurs fois. « Robert, viens t’occuper de moi, achève le travail, chéri, s'il te plaît »
J'ai commencé à jeter mes vêtements, trop heureux d'obtempérer.
« Je ne peux plus baiser maintenant. J'ai trop mal, chéri. Je suis toute meurtrie à l’intérieur » Elle écartait sa chatte avec deux doigts, pour me montrer : « Ici et ici »
« Son empressement est causé par ta beauté, ma chérie. Tu es tellement désirable qu’il perd la tête, et se comporte comme un animal » compatis-je.
« Quand vas-tu arrêter de tout lui accorder ? Tu as accepté de céder à ses avances quand je n’avais pas de travail. Nous avions la tête sous l’eau, et il nous fallait trouver quelque chose pour s’en sortir. Sauver le peu que nous avions. OK, mais maintenant, j’ai un boulot bien payé. Tu n'as plus besoin de le faire. Tu peux l’envoyer promener, et chercher un autre travail »
Nous avions déjà eu cette conversation. Elle avait découvert, sous le joug de François-Xavier, un penchant à la soumission qu’elle ignorait. Au début, c’était difficile pour elle. Elle ne pouvait pas s’abandonner, et elle pleurait beaucoup. Mais les exigences de plus en plus précises, et de plus en plus fréquentes, de son patron l’émoustillaient. C’était devenu une nécessité, une sorte de dépendance qu’elle avait du mal à abandonner. Être sa pute, s’offrir à lui, quand et où il la voulait, s’humilier pour lui plaire, c’était excitant. Elle lui était entièrement soumise, et peut-être même qu’elle en était tombée amoureuse.
« Bientôt, mon chéri, je te promets. En attendant, j'ai vraiment, vraiment besoin de toi. Viens, mon amour, viens me consoler »
Sa voix était douce et câline. « Viens t’occuper de moi avec ta bouche. Fini ce que tu as commencé. Sois gentil. Fais-moi jouir. Chéri, viens »
Elle me tendait les bras, comment résister ? J'aime tellement ma femme, tout ce que je veux vraiment, c'est qu'elle soit heureuse, et qu'elle soit à moi. J'adore son corps magnifique, et je déteste la partager avec un autre. Jusqu'à ce que tout soit fini, et qu'elle soit de nouveau mienne, je ferai tout ce que je peux pour la rendre heureuse.
J'étais nu devant elle, et je regardais sa chatte endommagée parce que mal utilisée. Une chatte qui était familière à François-Xavier. Brièvement, j’ai pensé à la chatte de sa propre femme. Est-ce que la chatte de Marie-Christine était aussi ravagée que celle de Bérengère ?
Un long filet de sperme s’écoulait de son orifice béant, coulait dans la fente de son cul pour s’accumuler sur le drap sous elle. Je n'aime pas goûter le sperme d'un autre homme. Même si, dans les circonstances actuelles, c’était difficile de l'éviter complètement. Je suis allé à la salle de bain, chercher de quoi lui débarbouiller la minette. Je me suis penché sur elle et doucement, avec amour, j'ai essuyé le plus de dégâts possible.
Pendant que je m'installais entre ses jambes, machinalement, je jetais un coup d'œil à l'horloge sur la table de chevet. Trois quarts d’heure s’étaient écoulés depuis mon premier passage interrompu. Mais cette fois, pas de précipitation, et pas d’interruption. Rien ne nous pressait, alors le service allait être, long, tendre et amoureux.
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