Un petit jeu sans consequence_3

- Par l'auteur HDS Briard -
Récit érotique écrit par Briard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un petit jeu sans consequence_3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un petit jeu sans consequence_3
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…
Partie 3
« Madame, il est l’heure. »La main posée sur son épaule la secoua légèrement, la tirant de son sommeil.
Vahinetua était venue la réveiller à l’aube comme prévu.
Alyson s’étira puis lui fit signe des yeux qu’elle allait se lever.
Elle enfila un peignoir et se dirigea vers la douche.

Allen l’accueillit chaleureusement avec un traditionnel baisemain.
« Chère amie, vous rayonnez ce matin. Venez vous restaurer, la journée va être longue et, je l’espère, palpitante. »« Où nous emmenez-vous aujourd’hui ? »« Nous allons dans un coin de forêt connu de moi seul. Nous y trouverons des baies et des fleurs qu’il me faut pour une nouvelle idée qui m’est venue après le dîner d’hier soir. »« Et de quelles plantes s’agit-il ? »« Ça, c’est un secret chère amie. »« Vous me faites des mystères ? »« Non, des énigmes. Allons, mettons-nous en route, car le parcours est plutôt long. »
Dès la sortie de la clairière de la villa, le sentier se mit à grimper. Arthur les précédait et taillait la route étroite, leur permettant de se faufiler entre les branches et haies ayant recouvert le tracé.
Ils longèrent une crête d’où la vue sur la baie d’Hatihe’u était splendide.
Ils firent plusieurs haltes pour boire. Alyson remarqua qu’Allen avait deux sacs à dos. Il piochait de l’eau et de la nourriture dans l’un, mais gardait l’autre fermé.
« Que cachez-vous dans votre second sac ? »Il la regarda malicieusement.
« Uniquement des boîtes dans lesquelles j’emprisonnerai nos trouvailles. »Ils repartirent, continuant de longer les sommets. Il lui semblait avoir parcouru une longue distance et s’en inquiéta auprès d’Arthur.
« Non, nous n’avons pas fait dix kilomètres. C’est le dénivelé, toujours changeant, qui est fatigant à la longue. Nous ne sommes plus très loin du site choisi par monsieur. »Le sentier se mit brusquement à descendre de façon assez vertigineuse tout en serpentant le long des flancs de la montagne pour éviter d’être trop dangereux.
Elle manqua tomber deux-trois fois et c’est Allen qui la rattrapa, in extremis, à chaque fois.
« Donnez-moi la main voulez-vous ? Je tiens à vous ramener entière à votre cher mari. »Elle lui donna la main et il lui sembla que celle-ci était deux fois plus grosse que la sienne.
Il avait de véritables battoires. Ses doigts étaient puissants et elle sentait toute la force de l’homme à travers ce contact.
« Mon mari m’a dit que vous aviez-eu de sérieux ennuis de santé ? »« Tout finit par se savoir chère amie. En effet, j’ai fait deux infarctus, presque coup sur coup. Le premier était dû à mes excès en toute chose. Le second a été imputé à la fatigue. »« Vous faisiez des excès ? Je ne l’ai pas remarqué hier soir à table. »« C’est, ma chère, que je sais me tenir lorsque j’ai des invités. »« Et pour la fatigue ? »« Il me fallait reprendre mon activité après le décès tragique de mon épouse et de mon fils et j’ai quelque peu tiré sur la corde du manque de sommeil. A mon grand âge, cela ne pardonne pas. »« Je suis vraiment désolée de vous rappeler ces moments pénibles et vous prie de m’en excuser. »« Vous savez, dans cet accident, j’ai tout perdu ; mon épouse adorée, que j’ai aimée et choyée pendant cinquante ans et mon seul fils. »« Quel âge avait-il ? »« Vingt et un ans. Nous l’avons eu tard, à cause de ma vie trépidante. »« Que voulez-vous dire par là ? »« Voyez-vous, tout en étant marié et père de famille, je courrais le monde à la recherche de plantes rares, pour en faire des élixirs de beauté ou des parfums. J’ai, bien entendu, largement gagné ma vie dans cette course autour du monde, mais j’y ai également perdu ce qui était le plus cher, finalement, à mes yeux. Aujourd’hui, je n’ai plus que le souvenir douloureux d’avoir, bien malgré moi, entrainé mes deux seuls trésors dans un destin tragique qui m’a, malheureusement, épargné. »Son regard avait changé et révélait une grande détresse qui l’émue profondément.
« Voilà pourquoi j’essaye d’adopter Vahinetua. Elle est tout ce qu’il me reste et me rattache au passé. »Il se releva soudainement.
« Bon, assez parlé, reprenons notre marche. Nous allons arriver dans ma clairière aux secrets. »Ils repartirent, reprenant le sentier qui descendait avec moins de pente à présent.
Au détour d’un long virage, ils débouchèrent sur une petite vallée en moyenne montagne, verte et à la végétation abondante.
« Ma chère, bienvenue dans mon jardin naturel. »« Que c’est beau. Monsieur, votre île est un véritable joyau. »Les arbres s’étaient comme écartés pour laisser la place à des herbes hautes, et à une végétation fleurie. Un peu partout, des albizias, des acacias, et toute une flore qu’elle découvrait et dont elle ne connaissait pas le nom.
Allen posa le plus petit de ses deux sacs à dos.
« Merci Arthur, comme d’habitude vous avez été un guide exceptionnel. Vous allez nous attendre ici, nous allons fureter dans cette immense clairière. Nous en avons au plus pour deux heures. »Puis, se tournant vers Alyson« Ma chère, nous y sommes. Allons cueillir ses trésors. »Il lui tendit la main qu’elle saisit sans hésitation.
Il regardait tout autour de lui, écartant les herbes, fouillant l’espace du regard.
« Nous cherchons du Fitchia Tahitensis, c’est une astéracée d’environs onze centimètres, avec des fleurs poilues. »Cette remarque fit rire Alyson.
« Poilue dites-vous ? »« Oui, son pistil est protégé des insectes par une corole de poils piquant qui la préserve des attaques. Son pollen est très odoriférant et se reconnaît entre mille. »Il se mit à genou.
« Tenez, en voici une. »Il montra une petite plante avec trois tiges habillées de feuilles pointues et levées vers le haut comme des petits soldats menaçants. En les écartant, des petites fleurs apparurent, garnis d’un long duvet brun. Il fouilla dans la poche latérale de son sac et en sortit deux pinces long bec, et en prit une dans chaque main.
« Il ne faut pas toucher la fleur avec la main, cela gâcherait la qualité du pistil. Auriez-vous l’amabilité de prendre une boite de taille moyenne dans la grande poche je vous prie ? »Elle ouvrit le sac et y découvrit une douzaine de boîtes, de tailles différentes. Elle en saisit une et la lui tendit.
Il saisit la fleur délicatement et la déracina. Il l’enferma dans la boite et la rangea dans le sac.
Il se redressa.
« Bien, nous avons été rapides. Voulez-vous vous pencher et sentir la sœur jumelle de notre fleur ? Elle se trouve à environs un mètre de l’autre. Essayez de la découvrir sans rien toucher, juste avec votre nez. »Alyson se concentra, se tourna vers un point situé à peu près à la distance donnée par Allen et commença à humer l’air. Elle repéra aussitôt une senteur particulière qui ressortait parmi toutes les odeurs que la nature faisait venir jusqu’à ses narines.
« Je sens un parfum que je ne connais pas, doux et piquant à la fois, qui devient entêtant plus je me concentre sur lui. »« D’où vient-il ? »Elle pointa un bouquet d’herbes.
« De là. »« Allez, mais en douceur, sans trop remuer ces herbes pour ne pas déranger son hôte éventuel. »Elle se mit à genou et s’avança vers les quelques herbes hautes qui gênait sa vue. Elle les écarta en les prenant par le bout de leur tige.
La même fleur que celle cueillie par Allen apparut.
« Bravo ! Je savais que je ne me trompais pas. Vous êtes un nez. »Alyson était assez fière d’elle.
« Un nez qui ne demande qu’à apprendre et à se développer. »« Je l’ignorais vous savez ? J’ai toujours adoré les senteurs. Petite, je m’amusais à faire des concours de « reniflage d’odeur » comme je les appelais. J’ai toujours gagné quel que soit mes adversaires. »Il la regarda l’air malicieux.
« Je vais vous apprendre et après, vous verrez si vous voulez toujours écrire des contrats ou créer des parfums. »Il s’approcha d’elle à la toucher.
« Je vais vous mettre au défi. Si vous le relevez, je ferai de vous mon élève… Si vous le désirez bien entendu. »« Rien ne me ferait plus plaisir, croyez-moi. Je suis prête pour votre défi. »« Je vais vous donner quelques indications et vous devrez trouver la plante qui s’en approche le plus. Cela vous convient-il ? »« Je ne suis pas certaine de me montrer à la hauteur, mais j’adore déjà ce jeu. »« Bien, alors écoutez-moi attentivement. La plante que nous recherchons fait en moyenne dix-sept centimètres de haut. Chaque brin a, au plus, quatre feuilles, veinées très régulièrement. Leur couleur est un vert sombre. La fleur a deux tiges. Une fleurie et une en bourgeon.
Celle qui est fleurie a, au plus, sept pétales en hélice. Son pistil est découvert et assez odoriférant. Si vous imaginez son odeur, vous allez immanquablement penser à une plage de sable blanc et à une eau turquoise. Dans sa constitution, on remarque une odeur qui fait penser aux bombons de notre enfance, mais aussi à une fleur dont le nom est composé des deux mêmes noms.
« Vous me perdez avec tous ces détails. »Elle se tut soudainement. Elle avait senti une odeur qui se distinguait des autres.
« Oui, je sens de la vanille, mais pas seulement, il y a quelque chose d’autre, c’est un peu confus. »« Oui, c’est bien. Continuez. »Elle se dirigea vers le parfum qui l’entêtait à présent.
« Je sais ce que c’est, mais je n’arrive pas à y mettre un nom. On dirait… voyons… »Elle ferma les yeux.
« Oui, c’est plus net. C’est de l’Ylang-Ylang. J’ai trouvé, votre fleur c’est la fleur de Tiaré. Elle est là, devant moi assez près. »Elle se baissa, ouvrit les yeux, écarta quelques herbes et fit apparaître une magnifique fleur.
« Voici le Gardenia Tahitensis, la fleur de tiaré. Son odeur est envoutante. »« Oui, je dirais même entêtante. Une fois qu’elle est dans votre esprit, elle ne le quitte plus. »« Je dois encore vous féliciter ma chère. Vous avez répondu à mon défi de la plus belle des manières. »Il lui tendit les deux pinces et elle déracina la fleur.
Il la rangea dans une boîte de la même taille que pour la plante précédente.
« Il nous reste encore une plante à trouver. C’est la plus difficile, et, une fois de plus, c’est vous qui allez vous en charger. »« Décidément, vous me gâtez. »« Alors, cette plante fait environs trente-huit centimètres de haut. Ses feuilles vertes, sont énormes et font penser à des oreilles d’éléphant. Elles sont veinées de façon très prononcée. Son parfum fait penser à un fruit exotique assez connu… »Il laissa sa phrase en suspens.
« Quoi ? C’est tout ? »« C’est tout. Promenez-vous dans un rayon d’une vingtaine de mètres. Attention, il n’y en a qu’une ici. »Alyson se releva et se mit à humer l’air en faisant des demi-tours.
Ne remarquant rien de particulier, elle fit quelques pas en direction du sud et refit le même processus.
Elle revint à sa position initiale où elle avait laissé son sac et fit cinq pas vers l’ouest, puis refit encore une fois le même procédé.
En direction de l’est, elle sentit une odeur se distinguer des autres.
« Je sens de la papaye par ici. »Allen éclata de rire.
« Vous brûlez ma chère »Alyson ouvrit les yeux et, tout en continuant d’humer l’air, commença à écarter les herbes.
Elle découvrit tout à coup une plante avec d’énormes feuilles vertes faisant immanquablement penser à des oreilles d’éléphant.
Elle se mit à quatre pattes et regarda attentivement la plante. Elle n’avait pas de fleur. Elle toucha une feuille avec deux doigts et les porta à son nez.
« L’odeur vient de la feuille, c’est curieux car elle n’a pas de fleur. Puis-je la déraciner ? »« Vous le pouvez, mais en prenant les mêmes précautions que pour les deux autres. »Elle déracina la plante et découvrit un tubercule, gros comme un cochonnet.
Elle sentit aussitôt l’odeur de la papaye.
« Qu’est-ce que c’est que cet oignon ? »« Je vous présente la Colocasia esculenta ou Taro ou encore oreille d’éléphant. L’oignon, comme vous dites est comestible. La feuille noircit une fois cueillie et permet d’extraire un merveilleux liquide s’apparentant effectivement à la papaye, mais avec beaucoup de subtilité. »Elle enferma la plante dans une grande boîte et se redressa, se tournant vers lui.
Il lui caressa la joue affectueusement.
« Ma chère, vous dépassez toutes mes espérances. J’adorerais vous enseigner l’art de trouver les plantes à essences rares dans la nature et les travailler dans mon laboratoire pour créer les plus merveilleux des parfums. »Elle lui sourit.
« Je dois vous avouer que j’aimerais assez cela moi aussi. »« Faisons un pacte voulez-vous ? Pendant que votre cher époux va nous trouver de nouveau clients, nous passerons nos journées à chercher, trouver et cueillir des plantes puis à les travailler pour en sortir le meilleur. »Elle lui tendit la main.
« Chiche ? »« Il la prit par les épaules et lui donna un baiser appuyé sur les lèvres.
« Chiche. »
Ils déjeunèrent à même le sol sur une couverture qu’Arthur leur étala. Il ouvrit un panier à pique-nique dont ils dévorèrent le contenu.
Ils passèrent le reste de l’après-midi à cueillir des Fitchia Tahitensis, des fleurs de tiaré et des Taros.
Vers Dix-sept heures, Arthur sonna le rappel des troupes et ils prirent joyeusement le chemin du retour.

Le repas du soir fut l’objet des comptes rendus des activités de la journée.
Alyson raconta à Steeve les trouvailles qu’elle avait faites et de son goût de plus en plus prononcé pour les senteurs et parfums qu’offrait la nature luxuriante de l’île.

Steeve évoqua deux longs échanges commerciaux qu’il avait eu, l’un avec un grand parfumeur commandant à Allen une nouvelle ligne avec parfum, eau de parfum et eau de toilette, et l’autre avec un distributeur de cosmétique souhaitant une nouvelle lige de produit pour le corps.
« Quelle est la différence entre ces produits et à combien estimeriez-vous le coût de chacun monsieur ? »« C’est très simple voyez-vous. Un parfum ne contient pas d’eau. Ce ne sont que des assemblages d’essences pures. Une eau de parfum contient entre dix et quinze pourcents d’essences. L’eau de toilette est celle qui contient le moins de concentré, généralement entre huit et dix pourcents, guère plus. »« Mais le reste, c’est quoi ? »« Mais de l’alcool, tout simplement. C’est le meilleur diffuseur. »« Et vous avez de quoi produire combien de flacons de parfum ? »Allen regarda Steeve avec effarement.
« Mai un seul diantre ! Je fournis un flacon et la formule permettant au distributeur de reproduire ma création à l’infini. »« Bon sang, une fiole originale de chanel numéro 5 ça peut valoir dans les combiens ? »« Des millions cher ami. »Steeve se resservit du chardonnay et but son verre d’un coup sous le regard désapprobateur d’Alyson. Elle se pencha vers lui pour lui chuchoter à l’oreille tout en lui pinçant la cuisse.
« Ne bois pas trop mon chéri, ce soir j’ai envie. »Le dîner se termina et Allen fit signe à Vahinetua de débarrasser la table.
« Ma chère, demain nous nous levons aux aurores. Je vous emmène cueillir des bases pour les commandes que votre si charmant époux vient de nous obtenir. »
Alyson emboita le pas de Steeve pour grimper à l’étage. Elle s’aperçut qu’il titubait légèrement et s’en amusa.
Une fois dans la chambre elle se déshabilla entièrement et se coucha attendant son homme.
Celui-ci prenait tout son temps pour retirer son costume.
« Tu vois, cet homme est une mine d’or. C’est génial qu’il t’ait à la bonne pour te laisser découvrir tous ses secrets. »« Il m’a dit que j’étais un nez qui s’ignorait. »« Mais c’est formidable mon amour. Il faut à tout prix que tu fasses quelque chose pour le séduire. »« Mais que veux-tu que je fasse de plus ? »« Je ne sais pas moi, flirte un peu avec lui. »« Mais il flirte déjà avec moi. »« Oui, je sais, mais tu ne lui laisse aucun espoir. »« Mais et puis quoi encore ? Tu ne veux tout de même pas que je couche avec ? »« Écoute, il y a des millions en jeu. Toi et moi on sait ce que c’est que de manquer de tout, on sait ce que c’est que la pauvreté. Plus jamais, on se l’est juré. Je sais parfaitement que cela va te coûter beaucoup, mais je t’en prie, pense à nous, à ce que sera notre vie s’il te couche sur son testament. »« Tu vas trop loin Steeve. Jamais je ne pourrais faire l’amour avec lui. »« Qui te parle de faire l’amour ? Tu baises avec lui et il n’y a aucun sentiment dans l’histoire. Ce n’est, finalement, qu’un mauvais moment à passer. »« On voit bien que ce n’est pas toi qui t’humilies. Je me dégoûterai après ça. »« Allons, à son âge, ça sera vite passé. Si ça se trouve, il n’en est même plus capable. »« Tu crois ? Il a quand même l’air d’être encore dans une drôle de forme. »« Arthur m’a dit qu’il a déjà fait deux infarctus et que son médecin lui a formellement recommandé la plus grande des prudences vis à vis de la dépense physique. Il ne devrait plus faire de randonnées tellement c’est mauvais pour son cœur. »« Tu crois ? »« Mais oui, je te le dis. Un mauvais moment et après je ferai tout pour t’aider à oublier. Ce ne sera vite qu’un mauvais souvenir. Un moment d‘égarement en quelques sortes. »« Je ne sais pas si j’en serai capable, mais je te promets d’y réfléchir. »« Ne me dis rien. Si ça doit se faire, ça se fera, un point c’est tout. Tu ne m’en parleras qu’après. Je ne te harcellerai pas. Tu me diras simplement que c’est fini. »« Steeve se pencha pour l’embrasser. Au moment où leurs lèvres allaient se rejoindre, Alyson le stoppa.
« J’ai dit on verra. Maintenant viens, je t’ai dit que j’avais envie. »Elle le saisit directement à l’entrejambe et constata amèrement qu’il ne bandait pas.
« C’est mou tout ça. Alors, je ne te fais plus d’effet ? »Elle se pencha sur lui et engouffra goulument son pénis encore flasque. Celui-ci ne tarda pas à montrer des signes d’éveil et se redressa fièrement.
Elle s’interrompit, contempla son œuvre, et le reprit en bouche pour finaliser sa manœuvre.
Elle le prit dans sa main et s’allongea en l’attirant à elle.
« Viens, prends-moi vite. »Il s’introduit avec facilité tellement elle était prête.
« Ah oui, je te sens bien. »Il s’arrêta soudainement.
« Imagine que ce n’est pas moi mais lui qui te prend. »« Ah, mais tais-toi, c’est avec toi que je fais l’amour. Continue. »Il reprit ses pénétrations avec entrain.
« Allez, dis-moi que tu aimerais qu’il te baise. »« Ah non, tais-toi. »Il accéléra.
« Dis-le, dis-le. »« Ah, oui, je veux qu’il me baise comme toi. »« Redis-le que tu veux qu’il te baise. »« Oui, je veux le sentir en moi, oui, continue, c’est bon. »Ils atteignirent le plaisir ensemble et se libérèrent dans un même cri.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Petit à petit ce monsieur va dévergonder sa femme en la poussant à coucher avec ce vieux en jouant avec le feu il risque de se bruler ns allons voir se que la suite va nous réservez



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