Un petit jeu sans consequence
Récit érotique écrit par Briard [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un petit jeu sans consequence
Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes, des lieux et des phénomènes existants ne peut être que fortuite…
Cette nouvelle est la troisième sur le thème « Vengeance féminine ».
Partie 1
L’avion se posa sur la piste d’atterrissage de Nuku Hiva. Alyson Stevenson défit sa ceinture de sécurité et souffla un moment avant de se lever et de se diriger vers la sortie. Elle avait énormément souffert pendant ce véritable périple qui l’avait vue partir trois jours plus tôt de Roissy pour un vol de quatorze mille trois cent soixante quatre kilomètres. Vingt-trois heures pour commencer entre Roissy et Papeete. Une escale de plus de sept heures et, un vol régulier de trois heures trente pour rejoindre Nuku Hiva, la principale ile des Marquises.
Le dernier vol avait été tellement chahuté par les vents tourbillonnant de la saison des pluies qu’elle avait eu mal au cœur pendant tout le trajet.
Elle se tourna vers son époux.
« On y est mon chéri. J’ai bien cru mourir une dizaine de fois. »Steeve se pencha sur elle et lui déposa un tendre baiser sur le front.
« Tu vas voir, on va passer un bon séjour. On sera bien ici. »Alyson était une femme resplendissante. A trente-sept ans, elle symbolisait tout ce que les hommes pouvaient associer à la définition de femme fatale.
Une longue chevelure blonde-dorée qu’elle montait souvent en chignon à la Kim Basinger dont elle était quasiment le sosie. Un front légèrement bombé d’où naissaient quelques légers plis lorsqu’elle haussait les sourcils. Des yeux vert-anis, qui, lorsqu’elle souriait en les plissant, s’entouraient de petites ridules discrètes. Un nez fin et très légèrement recourbé, une bouche avec des lèvres à l’arc de cupidon plutôt prononcé et des joues creusées avec une petite fossette complétaient un visage oblong qui attirait irrésistiblement le regard.
Dotée d’une poitrine et de hanches généreuses, soulignées par une taille très fine, elle avait une plastique parfaitement entretenue à partir d’une alimentation saine et équilibrée et aux longues randonnées qu’elle faisait trois fois par semaine avec un club de sa ville.
Issue de l’assistance publique, elle avait été trimbalée de famille d’accueil en famille d’accueil, car, à partir de l’âge de treize ans, le chef de famille commençait à reluquer sérieusement les jolies gambettes de la demoiselle qui s’était forgée, avec le début de l’adolescence, un corps qui attirait déjà les hommes d’âge mur.
Malheureusement pour eux, elle avait un tuteur à l’assistance publique qui savait la protéger et avait, à plusieurs reprises, non seulement sauvé la gamine des griffes de certains grands méchants loups, mais leur avait également laissé quelques traces de son courroux sur le visage.
Après le bac, elle entama des études de droit. Majeure et vaccinée, cherchant son indépendance à tout prix, elle avait répondu à une petite annonce cherchant des jeunes filles pour des photos de charme.
Le photographe était un vrai professionnel et, assez rapidement, elle n’avait plus éprouvé la moindre crainte de s’exposer nue devant l’œil inquisiteur de son appareil photo.
Elle devint très vite son égérie et commença à gagner correctement sa vie. Ses cachets lui permettaient, non seulement de payer ses frais d ‘études, mais également un petit loyer et les charges inhérentes à une jeune étudiante.
Lorgnant sur le permis de conduire, elle osa, quelques mois seulement, faire l’escorte pour les clients d’un ami du photographe.
En quelques semaines, elle amassa de quoi se payer le permis, mais aussi une voiture neuve, ce qui la rendit totalement autonome.
Après sa licence, elle s’inscrit à l’université Panthéon-Assas pour préparer un masters de droit qu’elle obtint brillamment.
Elle fut recrutée par un cabinet de conseils en succession. Son principal et unique client était une grande firme de distribution de parfum et de produits de beauté et de cosmétique.
Là, elle rencontra Steeve Stevenson, Directeur commercial de la firme.
Sa faiblesse à lui, c’était le droit des affaires et les négociations liées à un contrat. Ils s’étaient entendus immédiatement du point de vue professionnel et se rendirent compte qu’ils formaient un duo de choc. Il réussit donc à la débaucher et à la faire recruter dans son entreprise, avec un salaire plus intéressant, les coudées franches et, surtout, l’opportunité de travailler ensemble.
Grand, athlétique et très beau, il l’attira irrésistiblement et elle tomba amoureuse au premier rendez-vous.
Il avait sept ans de plus qu’elle, et, déjà, une prestance d’homme d’âge mur.
Issu d’un milieu très modeste, il avait cravaché dur pour se payer des études à Sup de Co d’où il sortit major de sa promotion.
Dès leur premier rendez-vous, cela faisait quelques temps qu’ils se tournaient autour, elle fut subjuguée par son élégance, sa beauté et son aisance en toute circonstance.
Il avait organisé un repas dans un chic restaurant parisien dans lequel il avait sa table et ses habitudes.
Elle adora voir le personnel aux petits soins pour eux. Elle se sentait quelqu’un d’important et cela la ravissait.
Il commanda pour elle et lui et elle apprécia ses connaissances en gastronomie et en vins.
Il lui expliqua la teneur de chaque plat qu’elle allait déguster et le mariage heureux avec le vin qu’il avait choisi pour elle.
Elle passa une soirée sur un petit nuage et c’est tout naturellement qu’elle accepta qu’il lui fasse visiter son chez-lui, une fois le repas terminé.
Il habitait boulevard de la Tour-Maubourg un grand appartement qu’il payait à crédit depuis une dizaine d’années et qu’il avait aménagé de façon moderne avec beaucoup de goût.
Elle aima sa détermination, sa confiance en lui.
Il pouvait suivre n’importe quel type de conversation. Il avait voyagé et fait au moins deux fois le tour du monde pour rencontrer des clients un peu partout sur le globe.
Elle se rendit compte qu’il l’a fascinait. Bien sûr, il était beau comme un dieu, des cheveux bruns, légèrement ondulés, un visage triangulaire avec de beaux yeux d’un bleu cérulé pigmentés de points dorés qui attiraient irrésistiblement le regard, un nez fin et droit et un menton volontaire. Ajouté à cela, il était plutôt grand, voisinant le mètre quatre-vingt-cinq, et avait une jolie carrure mettant en valeur un ventre plat, forgé à coup de longueurs de bassins.
Il avait également une voix envoutante, chargée de velours, qui vous charmait implacablement, et qu’il savait manier avec un grand savoir-faire.
Sitôt passé le seuil de l’appartement, il lui ôta délicatement son manteau et lui prit son sac à main pour aller les poser sur un guéridon.
Il la précéda jusqu’au salon, où elle fut subjuguée par le modernisme de l’ameublement.
Un écran géant trônait au centre du mur du fond, au-dessus d’une immense cheminée dans laquelle un feu de bois crépitait.
Un canapé en cuir en forme de « U » faisait face à l’écran. Elle s’assit et le regarda prendre une télécommande et allumer les différentes lampes de la pièce et en baisser l’intensité pour que l’éclairage ne soit plus que feutré. Une table basse sortit du sol au centre du « U » du canapé. Il ouvrit deux grands tiroirs et un bar chargé de bouteilles apparut.
Il prit une bouteille de champagne qu’il déboucha aussitôt. Il servit deux coupes et en tendit une à la jeune femme.
« A notre rencontre et à cette charmante soirée. »Elle trinqua et trempa ses lèvres dans le délicieux breuvage.
Elle posa son dos contre le dossier moelleux du canapé et le regarda religieusement. Elle se sentait irrésistiblement, irrépressiblement et indéfectiblement sous son emprise, totalement et éperdument amoureuse.
Il appuya de nouveau sur sa télécommande et une douce musique émergea du silence. Des hauts parleurs, soigneusement dissimulés derrière le canapé, diffusèrent un air apaisant.
« Qu’as-tu mis, je ne connais pas ? »« C’est une musique pour apaiser la glande pinéale. »« La glande pinéale ? »« C’est une glande endocrinienne située au centre du cerveau. Elle joue un rôle essentiel sur certaines fonctions du corps. Elle stimule l’activité cérébrale et physique, elle gère notre faim, notre soif, notre cycle du sommeil, notre désir sexuel. Une certaine forme de musique l’a stimule et nous apaise. »« C’est très apaisant effectivement. »Il posa un genou sur le siège du canapé et se pencha sur elle.
« J’en écoute beaucoup, c’est un rite quand je suis chez moi et que je recherche la paix et la tranquillité. »Il lui prit son verre et le posa sur la table basse.
Il lui posa sa main droite contre son cou.
« Tu vois, c’est très apaisant, ça aide à faire le vide et à se sentir en paix avec soi-même et avec son environnement. »Tout en continuant à lui parler, sa main se fit caressante, enveloppante.
« Détends-toi, laisse-toi trouver le chemin de la paix intérieure, de la tranquillité. Tu vas te sentir de mieux en mieux, de plus en plus calme et sereine. »Il s’approcha encore jusqu’à ce que leurs lèvres se frôlent.
« Ferme les yeux et laisse la musique te pénétrer. Elle va entrer en toi profondément et aller te toucher au plus loin, vers l’apaisement. »Il posa sa bouche sur la sienne et sa langue lui caressa doucement les dents. Son autre main vint elle aussi envelopper son cou.
Elle ouvrit ses lèvres et laissa leurs langues faire connaissance.
Elle retrouva le goût du champagne dans sa bouche et se laissa emporter par son baiser.
Il l’allongea sur le canapé et glissa les mains sous son pull, partant à la découverte de son corps.
Elles empaumèrent ses seins et les pressèrent tout en cherchant leurs pointes qu’elles se mirent à titiller.
Leurs bouches ne s’étaient toujours pas désunies et leur baiser prenait une allure enfiévrée.
Il défit l’attache de sa jupe et la lui retira. Il caressa ses cuisses et sa main se posa à leur jointure. Là, il franchit son ultime rempart et atteint son sexe humide et chaud.
Il glissa un doigt à l’intérieur, et le fit tourner doucement comme pour prendre possession des lieux.
Son autre main lui défit sa culotte et retourna vite caresser sa poitrine.
Il mit fin au baiser et se glissa entre ses jambes et posa sa bouche contre son clitoris qu’elle trouva instantanément. Sa langue se durcit et agaça son bouton ce qui l’a fit tressaillir aussitôt.
« Mhmm. »Elle s’installa confortablement, pour profiter au mieux des sensations que ce cunnilingus lui procurait.
Toutes ses terminaisons nerveuses étaient en alerte et lui procuraient mille sensations de plaisir qu’elle savourait pleinement.
« Oui, continue, j’adore ta langue. »Il se révélait un maître en la matière, alternant les frottements et les léchages langoureux.
« Ah, tu vas me rendre folle. »Elle sentit monter une chaleur du bas de son corps et aller progressivement vers le haut.
Les aréoles de ses seins se durcirent et furent parcourues de picotements.
Une douce chaleur irradia son ventre et elle sentit le plaisir monter inexorablement.
Il enfonça deux doigts dans son vagin jouant à les faire entrer et sortir, lui déclenchant un tonnerre de sensations.
Un orgasme brutal l’emporta et elle se laissa aller bruyamment.
« Oui, oui, oui. »Il se releva et servit du champagne dans les deux coupes. Il lui en tendit une.
« Tiens, c’est merveilleux juste après. »Elle but le verre d’un trait et le reposa en tendant les bras.
Elle se releva et posa ses mains sur son torse.
« Tu m’as donné beaucoup de plaisir, jamais je n’avais joui de cette façon jusqu’à aujourd’hui. »« Je suis heureux d’être le premier. J’ai aimé voir ton visage dans le plaisir. Tu es très belle, tu sais ? »« Viens ; à moi de te donner la même chose. »Elle le fit se lever, défit la boucle de sa ceinture et tira son pantalon vers le bas.
Une belle bosse déformait son slip qu’elle eut du mal à retirer.
Son sexe jaillit et vint heurter son nombril.
« Hmm ! C’est pour moi tout ça ? »Elle sortit sa langue et lécha le gland en en faisant le tour, puis, tout en le regardant dans les yeux, elle ouvrit la bouche et l’engloba aussi profondément qu’elle le put.
« Ah oui, c’est bon. »Elle sentit la pointe de son pieu au fond de sa gorge. Elle referma ses lèvres tout autour et recula sa tête le faisant ressortir de sa bouche avec un léger bruit de sussion. Une fois presqu’entièrement ressorti, elle le suça tout en le fixant droit dans les yeux avec un regard des plus malicieux.
« Tu vas me faire mourir. »Il l’allongea sur le dos et elle écarta les jambes entre lesquelles il s’installa.
« Viens. »Il saisit son glaive d’une main, tâtonna puis s’enfonça lentement en elle.
Elle referma ses bras sur lui et l’encercla avec ses jambes.
« Je suis à toi. »Il s’activa, doucement tout d’abord, puis de plus en plus vite.
Elle mit sa tête dans son cou et commença à gémir.
« Ah. »Il donna plus d’ampleur à son mouvement et augmenta encore la cadence.
« Oui, je jouis. »Il se ficha en elle et lâcha sa semence en gémissant à son tour.
Il se retira d’elle et s’allongea à ses côtés.
Elle se tourna vers lui, posa sa main sur son torce et lui fit des petits baisers sonores sur la poitrine.
« mumf, c’était, mumf, très, mumf, bon. »Il lui caressa le visage.
« Depuis le temps que j’avais envie de toi. »
Cette nouvelle est la troisième sur le thème « Vengeance féminine ».
Partie 1
L’avion se posa sur la piste d’atterrissage de Nuku Hiva. Alyson Stevenson défit sa ceinture de sécurité et souffla un moment avant de se lever et de se diriger vers la sortie. Elle avait énormément souffert pendant ce véritable périple qui l’avait vue partir trois jours plus tôt de Roissy pour un vol de quatorze mille trois cent soixante quatre kilomètres. Vingt-trois heures pour commencer entre Roissy et Papeete. Une escale de plus de sept heures et, un vol régulier de trois heures trente pour rejoindre Nuku Hiva, la principale ile des Marquises.
Le dernier vol avait été tellement chahuté par les vents tourbillonnant de la saison des pluies qu’elle avait eu mal au cœur pendant tout le trajet.
Elle se tourna vers son époux.
« On y est mon chéri. J’ai bien cru mourir une dizaine de fois. »Steeve se pencha sur elle et lui déposa un tendre baiser sur le front.
« Tu vas voir, on va passer un bon séjour. On sera bien ici. »Alyson était une femme resplendissante. A trente-sept ans, elle symbolisait tout ce que les hommes pouvaient associer à la définition de femme fatale.
Une longue chevelure blonde-dorée qu’elle montait souvent en chignon à la Kim Basinger dont elle était quasiment le sosie. Un front légèrement bombé d’où naissaient quelques légers plis lorsqu’elle haussait les sourcils. Des yeux vert-anis, qui, lorsqu’elle souriait en les plissant, s’entouraient de petites ridules discrètes. Un nez fin et très légèrement recourbé, une bouche avec des lèvres à l’arc de cupidon plutôt prononcé et des joues creusées avec une petite fossette complétaient un visage oblong qui attirait irrésistiblement le regard.
Dotée d’une poitrine et de hanches généreuses, soulignées par une taille très fine, elle avait une plastique parfaitement entretenue à partir d’une alimentation saine et équilibrée et aux longues randonnées qu’elle faisait trois fois par semaine avec un club de sa ville.
Issue de l’assistance publique, elle avait été trimbalée de famille d’accueil en famille d’accueil, car, à partir de l’âge de treize ans, le chef de famille commençait à reluquer sérieusement les jolies gambettes de la demoiselle qui s’était forgée, avec le début de l’adolescence, un corps qui attirait déjà les hommes d’âge mur.
Malheureusement pour eux, elle avait un tuteur à l’assistance publique qui savait la protéger et avait, à plusieurs reprises, non seulement sauvé la gamine des griffes de certains grands méchants loups, mais leur avait également laissé quelques traces de son courroux sur le visage.
Après le bac, elle entama des études de droit. Majeure et vaccinée, cherchant son indépendance à tout prix, elle avait répondu à une petite annonce cherchant des jeunes filles pour des photos de charme.
Le photographe était un vrai professionnel et, assez rapidement, elle n’avait plus éprouvé la moindre crainte de s’exposer nue devant l’œil inquisiteur de son appareil photo.
Elle devint très vite son égérie et commença à gagner correctement sa vie. Ses cachets lui permettaient, non seulement de payer ses frais d ‘études, mais également un petit loyer et les charges inhérentes à une jeune étudiante.
Lorgnant sur le permis de conduire, elle osa, quelques mois seulement, faire l’escorte pour les clients d’un ami du photographe.
En quelques semaines, elle amassa de quoi se payer le permis, mais aussi une voiture neuve, ce qui la rendit totalement autonome.
Après sa licence, elle s’inscrit à l’université Panthéon-Assas pour préparer un masters de droit qu’elle obtint brillamment.
Elle fut recrutée par un cabinet de conseils en succession. Son principal et unique client était une grande firme de distribution de parfum et de produits de beauté et de cosmétique.
Là, elle rencontra Steeve Stevenson, Directeur commercial de la firme.
Sa faiblesse à lui, c’était le droit des affaires et les négociations liées à un contrat. Ils s’étaient entendus immédiatement du point de vue professionnel et se rendirent compte qu’ils formaient un duo de choc. Il réussit donc à la débaucher et à la faire recruter dans son entreprise, avec un salaire plus intéressant, les coudées franches et, surtout, l’opportunité de travailler ensemble.
Grand, athlétique et très beau, il l’attira irrésistiblement et elle tomba amoureuse au premier rendez-vous.
Il avait sept ans de plus qu’elle, et, déjà, une prestance d’homme d’âge mur.
Issu d’un milieu très modeste, il avait cravaché dur pour se payer des études à Sup de Co d’où il sortit major de sa promotion.
Dès leur premier rendez-vous, cela faisait quelques temps qu’ils se tournaient autour, elle fut subjuguée par son élégance, sa beauté et son aisance en toute circonstance.
Il avait organisé un repas dans un chic restaurant parisien dans lequel il avait sa table et ses habitudes.
Elle adora voir le personnel aux petits soins pour eux. Elle se sentait quelqu’un d’important et cela la ravissait.
Il commanda pour elle et lui et elle apprécia ses connaissances en gastronomie et en vins.
Il lui expliqua la teneur de chaque plat qu’elle allait déguster et le mariage heureux avec le vin qu’il avait choisi pour elle.
Elle passa une soirée sur un petit nuage et c’est tout naturellement qu’elle accepta qu’il lui fasse visiter son chez-lui, une fois le repas terminé.
Il habitait boulevard de la Tour-Maubourg un grand appartement qu’il payait à crédit depuis une dizaine d’années et qu’il avait aménagé de façon moderne avec beaucoup de goût.
Elle aima sa détermination, sa confiance en lui.
Il pouvait suivre n’importe quel type de conversation. Il avait voyagé et fait au moins deux fois le tour du monde pour rencontrer des clients un peu partout sur le globe.
Elle se rendit compte qu’il l’a fascinait. Bien sûr, il était beau comme un dieu, des cheveux bruns, légèrement ondulés, un visage triangulaire avec de beaux yeux d’un bleu cérulé pigmentés de points dorés qui attiraient irrésistiblement le regard, un nez fin et droit et un menton volontaire. Ajouté à cela, il était plutôt grand, voisinant le mètre quatre-vingt-cinq, et avait une jolie carrure mettant en valeur un ventre plat, forgé à coup de longueurs de bassins.
Il avait également une voix envoutante, chargée de velours, qui vous charmait implacablement, et qu’il savait manier avec un grand savoir-faire.
Sitôt passé le seuil de l’appartement, il lui ôta délicatement son manteau et lui prit son sac à main pour aller les poser sur un guéridon.
Il la précéda jusqu’au salon, où elle fut subjuguée par le modernisme de l’ameublement.
Un écran géant trônait au centre du mur du fond, au-dessus d’une immense cheminée dans laquelle un feu de bois crépitait.
Un canapé en cuir en forme de « U » faisait face à l’écran. Elle s’assit et le regarda prendre une télécommande et allumer les différentes lampes de la pièce et en baisser l’intensité pour que l’éclairage ne soit plus que feutré. Une table basse sortit du sol au centre du « U » du canapé. Il ouvrit deux grands tiroirs et un bar chargé de bouteilles apparut.
Il prit une bouteille de champagne qu’il déboucha aussitôt. Il servit deux coupes et en tendit une à la jeune femme.
« A notre rencontre et à cette charmante soirée. »Elle trinqua et trempa ses lèvres dans le délicieux breuvage.
Elle posa son dos contre le dossier moelleux du canapé et le regarda religieusement. Elle se sentait irrésistiblement, irrépressiblement et indéfectiblement sous son emprise, totalement et éperdument amoureuse.
Il appuya de nouveau sur sa télécommande et une douce musique émergea du silence. Des hauts parleurs, soigneusement dissimulés derrière le canapé, diffusèrent un air apaisant.
« Qu’as-tu mis, je ne connais pas ? »« C’est une musique pour apaiser la glande pinéale. »« La glande pinéale ? »« C’est une glande endocrinienne située au centre du cerveau. Elle joue un rôle essentiel sur certaines fonctions du corps. Elle stimule l’activité cérébrale et physique, elle gère notre faim, notre soif, notre cycle du sommeil, notre désir sexuel. Une certaine forme de musique l’a stimule et nous apaise. »« C’est très apaisant effectivement. »Il posa un genou sur le siège du canapé et se pencha sur elle.
« J’en écoute beaucoup, c’est un rite quand je suis chez moi et que je recherche la paix et la tranquillité. »Il lui prit son verre et le posa sur la table basse.
Il lui posa sa main droite contre son cou.
« Tu vois, c’est très apaisant, ça aide à faire le vide et à se sentir en paix avec soi-même et avec son environnement. »Tout en continuant à lui parler, sa main se fit caressante, enveloppante.
« Détends-toi, laisse-toi trouver le chemin de la paix intérieure, de la tranquillité. Tu vas te sentir de mieux en mieux, de plus en plus calme et sereine. »Il s’approcha encore jusqu’à ce que leurs lèvres se frôlent.
« Ferme les yeux et laisse la musique te pénétrer. Elle va entrer en toi profondément et aller te toucher au plus loin, vers l’apaisement. »Il posa sa bouche sur la sienne et sa langue lui caressa doucement les dents. Son autre main vint elle aussi envelopper son cou.
Elle ouvrit ses lèvres et laissa leurs langues faire connaissance.
Elle retrouva le goût du champagne dans sa bouche et se laissa emporter par son baiser.
Il l’allongea sur le canapé et glissa les mains sous son pull, partant à la découverte de son corps.
Elles empaumèrent ses seins et les pressèrent tout en cherchant leurs pointes qu’elles se mirent à titiller.
Leurs bouches ne s’étaient toujours pas désunies et leur baiser prenait une allure enfiévrée.
Il défit l’attache de sa jupe et la lui retira. Il caressa ses cuisses et sa main se posa à leur jointure. Là, il franchit son ultime rempart et atteint son sexe humide et chaud.
Il glissa un doigt à l’intérieur, et le fit tourner doucement comme pour prendre possession des lieux.
Son autre main lui défit sa culotte et retourna vite caresser sa poitrine.
Il mit fin au baiser et se glissa entre ses jambes et posa sa bouche contre son clitoris qu’elle trouva instantanément. Sa langue se durcit et agaça son bouton ce qui l’a fit tressaillir aussitôt.
« Mhmm. »Elle s’installa confortablement, pour profiter au mieux des sensations que ce cunnilingus lui procurait.
Toutes ses terminaisons nerveuses étaient en alerte et lui procuraient mille sensations de plaisir qu’elle savourait pleinement.
« Oui, continue, j’adore ta langue. »Il se révélait un maître en la matière, alternant les frottements et les léchages langoureux.
« Ah, tu vas me rendre folle. »Elle sentit monter une chaleur du bas de son corps et aller progressivement vers le haut.
Les aréoles de ses seins se durcirent et furent parcourues de picotements.
Une douce chaleur irradia son ventre et elle sentit le plaisir monter inexorablement.
Il enfonça deux doigts dans son vagin jouant à les faire entrer et sortir, lui déclenchant un tonnerre de sensations.
Un orgasme brutal l’emporta et elle se laissa aller bruyamment.
« Oui, oui, oui. »Il se releva et servit du champagne dans les deux coupes. Il lui en tendit une.
« Tiens, c’est merveilleux juste après. »Elle but le verre d’un trait et le reposa en tendant les bras.
Elle se releva et posa ses mains sur son torse.
« Tu m’as donné beaucoup de plaisir, jamais je n’avais joui de cette façon jusqu’à aujourd’hui. »« Je suis heureux d’être le premier. J’ai aimé voir ton visage dans le plaisir. Tu es très belle, tu sais ? »« Viens ; à moi de te donner la même chose. »Elle le fit se lever, défit la boucle de sa ceinture et tira son pantalon vers le bas.
Une belle bosse déformait son slip qu’elle eut du mal à retirer.
Son sexe jaillit et vint heurter son nombril.
« Hmm ! C’est pour moi tout ça ? »Elle sortit sa langue et lécha le gland en en faisant le tour, puis, tout en le regardant dans les yeux, elle ouvrit la bouche et l’engloba aussi profondément qu’elle le put.
« Ah oui, c’est bon. »Elle sentit la pointe de son pieu au fond de sa gorge. Elle referma ses lèvres tout autour et recula sa tête le faisant ressortir de sa bouche avec un léger bruit de sussion. Une fois presqu’entièrement ressorti, elle le suça tout en le fixant droit dans les yeux avec un regard des plus malicieux.
« Tu vas me faire mourir. »Il l’allongea sur le dos et elle écarta les jambes entre lesquelles il s’installa.
« Viens. »Il saisit son glaive d’une main, tâtonna puis s’enfonça lentement en elle.
Elle referma ses bras sur lui et l’encercla avec ses jambes.
« Je suis à toi. »Il s’activa, doucement tout d’abord, puis de plus en plus vite.
Elle mit sa tête dans son cou et commença à gémir.
« Ah. »Il donna plus d’ampleur à son mouvement et augmenta encore la cadence.
« Oui, je jouis. »Il se ficha en elle et lâcha sa semence en gémissant à son tour.
Il se retira d’elle et s’allongea à ses côtés.
Elle se tourna vers lui, posa sa main sur son torce et lui fit des petits baisers sonores sur la poitrine.
« mumf, c’était, mumf, très, mumf, bon. »Il lui caressa le visage.
« Depuis le temps que j’avais envie de toi. »
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que de blabla bla trop c est trop la description du corps de la femme et de l homme sent la vantardise à plein nez.on dirai l article faite par un boucher sur la viande de son étalage. L histoire se résume à la description de la femme et du mari aucun intérêt.