Un petit tour en voiture......... - histoire érotique

C’est une belle journée de fin de printemps, un samedi ensoleillé. Nous ne sommes que tous les 2 et déjà, nous avons bien baisé au réveil. Ça nous a donné le ton pour le reste de la journée !
Comme on s’est levé tard, on vient de prendre une petite collation pour satisfaire notre estomac. Il fait très bon aujourd’hui et je suis habillée léger. Un top à bretelles sur une petite jupe à volants et une lingerie rouge feu assez minimaliste. Les assiettes sont vides et tu décides de débarrasser la table et de l’essuyer soigneusement. Puis tu viens te coller à moi pour m’embrasser longuement, en frottant ton ventre au mien. Je ne manque pas de sentir la belle bosse qui déforme ton pantalon ! puis, m’attrapant sous les bras, tu me mets assise sur le bord de la table, doucement tu ouvres ta braguette en me regardant droit dans les yeux et tu libères ta queue qui peut enfin se dresser. La vue de cette bite bandée me fait passer ma langue sur mes lèvres. Tu attrapes une chaise et t’assois dessus, la queue en l’air, juste face à moi. Tu commences à caresser mes chevilles et lentement, tu remontes le long de mes jambes, en baladant tes mains douces et chaudes sur mes mollets, derrière mes genoux, autour de mes cuisses. Tes mains sont sous ma jupe et arrivent à mon string dont l’entrejambe est légèrement humide depuis quelques minutes. Tu me demandes de me soulever légèrement et tu fais glisser mon string le long de mes jambes pour le retirer tout à fait. Tu passes tes mains sous mes fesses et me fais avancer le bassin juste au bord de la table. Je soupire ! tu plantes ton regard dans le mien en écartant mes cuisses un maximum. Soudain, je sens tes doigts caresser doucement ma fente humide. Je veux voir, alors je remonte ma jupe et la coince dans la ceinture pour qu’elle ne nous gêne pas. Consciencieusement, tu effleures mes lèvres intimes de bas en haut, de haut en bas. J’ai envie de plus et tu le sais. Je te laisse continuer et j’en profite pour descendre les bretelles de mon top pour me caresser les seins qui pointent déjà. Voyant ça, tu te redresses pour venir sucer un de mes tétons avec délicatesse. Cette caresse linguale est divine de sensations. La main toujours occupée sur ma chatte, tu constates les effets secondaires de ta langue et tu en profites pour venir poser ta queue sur ma moule qui s’ouvre sous le plaisir ressenti. Tu la frottes lentement de haut en bas, de bas en haut, et sans cesser ce manège, tu poses un doigt à l’entrée de mon vagin. Je gigote, je soupire ! tu me regardes et glisses ton doigt au plus profond de mon antre, m’arrachant un petit cri ! j’adore !
Tu te remets assis, la queue luisante toujours bandée, et le doigt toujours dans ma chatte, tu viens poser ta bouche sur mon bouton gonflé. Je sens ton souffle chaud en même temps que ton doigt tourne dans mon vagin. C’est bon ! je regarde ta langue passer sur ma moule dans tous les sens et j’aime ça ! tu aspires mon clito, le fais rouler sous ta langue, je le vois rougir de plus en plus. Ton doigt s’active alors en va et vient en même temps que tu suces mon con. De plus en plus vite ! je mouille comme une folle, ça commence à couler entre mes cuisses. Je respire de plus en plus fort, je suis à point !
C’est l’instant que tu choisis pour me dire que ce n’est qu’un aperçu de ce qui m’attend. Et pour que je ne « refroidisse pas », tu t’empares de la boule de geisha et après l’avoir longuement léchée en te caressant la queue, tu me l’insères toi-même le plus profondément possible. Puis tu me dis : allons faire un tour en voiture.
Je m’apprête à remettre mon string quand tu me dis : non, restes comme ça, ça m’excite de te savoir nue sous ta jupe !
Puis tu remballes ta queue dans ton jean et nous partons. Sortis des routes de la ville, tu ouvres à nouveau ta braguette et tout en me demandant de caresser ta queue, tu passes ta main sous ma jupe pour juger de l’efficacité de la boule que je porte. Tu souris ! je devine que tu es satisfait. Et pour te faire sourire encore plus, je m’active entre tes jambes et passant mes doigts sur ton gland gonflé. On roule ainsi comme ça quelques kilomètres quand tu décides d’arrêter la voiture sur une voie secondaire, un peu en contrebas de la route principale, de manière à ce qu’on puisse être vus des voitures qui passent. On ouvre les portières pour avoir plus d’aise. Tu descends de voiture, toujours débraguetté, tu fais le tour, je suis toujours sur le siège passager. Tu te présentes à ma hauteur et me demandes de te sucer, ce dont je m’exécute sans me faire prier. Pendant que je t’enfourne à pleine bouche, tu en profites pour jouer avec l’attache de ma boule de geisha. Tu es chaud comme la braise, je le sens à ta queue que tu enfournes furieusement au fond de ma gorge, à la limite de m’étouffer. Tu bandes comme un fou et ça m’excite ! tu me fais descendre de la voiture et tu me demandes de pisser debout, en écartant bien la chatte pour que tu puisses bien voir le jet et te branler en dessous. Pour m’aider à m’exciter, tu passes ta main entre mes cuisses et tu me branles. Je sens que ça monte, que ça vient, les premières gouttes tombent et tu t’écries : allez, salope, pisse sur ma queue avant que je t’encule ! Je me lâche enfin comme tu le veux, un long jet chaud vient arroser ta bite que tu secoues en râlant de plaisir ! à peine la dernière goutte écoulée, tu me pousses en avant sur le capot de la voiture en maintenant mes jambes écartées de tes pieds. Tu plaques mon buste sur le capot et tu me dis à l’oreille : je vais fourrer ma bite dans ton petit cul et te bourrer à fond, salope ! écarte tes fesses et supplie moi !
Je pose donc mes mains de chaque côté de mes fesses que j’écarte autant que je peux, puis je dis : lèche mon petit trou, crache dessus et mets-y 2 doigts pour bien me préparer, je veux que tu m’encules comme une chienne, je veux sentir ta grosse bite m’élargir le trou et tes couilles qui frappent ma chatte à chaque coup de queue ! baise moi fort ! vas-y, viens !
Ces paroles t’excitent et tu te branles plus fort ! tu t’exécutes sans attendre ! tu craches sur mon petit trou et je sens 2 doigts s’insinuer et remuer pour me détendre les muscles afin de pouvoir accueillir ta bite que j’attends. Je remue les fesses en guise d’encouragement quand je sens ton gland se présenter à l’entrée. Je m’écarte les fesses encore plus et je te dis : encule moi tout de suite, j’en peux plus, je veux ta queue, fourre moi ta bite au fond et ramone moi bien le cul !
Tu glisses enfin ta queue dans mon trou en une seule fois, jusqu’aux couilles ! que c’est bon de se faire prendre comme ça ! tu entames de grands va-et-vient en me disant : tu aimes ça, hein, ma salope ! tu aimes avoir ma pine dans le cul et sentir mes coups de reins te défoncer ! vas-y, branle ta chatte en même temps et garde bien ta boule de geisha, elle me masse la queue à chaque fois que je m’enfonce dans ton cul ! je vais te pilonner et cracher tout mon foutre au fond de ton cul !
Tout ça me fait tellement mouiller que ça coule entre mes jambes ! je suis plaquée au capot de la voiture et tu t’excites comme un fou à me sodomiser comme jamais ! je pousse des cris, de douleur, de plaisir, je ne sais plus. Tu m’attrapes les cheveux et je sens ta queue gonfler de plus en plus et faire bouger la boule dans mon vagin à chaque coup. C’est incroyablement bon. Je crie : ouiiiiii ! plus fort ! encoooooore ! je vais jouiiiiiir ! bourre moi bien, ça vient ! Et dans un râle incroyable, tu jouis au fond de mon cul, déclenchant un énorme orgasme qui me fait hurler à mon tour ! je sens les soubresauts de ta queue que tu retires pour que je vienne la nettoyer de ma langue ! je te suce encore un peu, le temps que tu débandes. Je suis archi trempée, ça s’écoule sur mes jambes ! on a bien joui !
Au moment où on reprend nos esprits, on entend des applaudissements, et regardant plus haut, vers la route, on aperçoit un petit groupe, pouces en l’air, qui nous remercient du spectacle auquel ils viennent d’assister !
On leur envoie un baiser de la main en souriant, on réajuste nos vêtements et on remonte en voiture pour prendre le chemin du retour et rentrer se coucher.

Je pense à une chose ! je porte toujours ma boule de geisha !!!
Le nuit va être longue………………..