Un peu plus loin dans la soumission - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
J’aime le sexe. J’en ai besoin, tous les jours, c’est ma drogue ! Et plus je suis soumise, plus je prends mon pied. Alors quand Julien me propose une soirée soumission, autant vous dire que je suis la plus heureuse des femmes. La dernière soirée en date s’est justement déroulée samedi dernier.

La journée s’annonçait ensoleillée et plutôt chaude en ce mois de mai. Après une bonne douche, j’opte pour une mini jupe noire en tissu fin un peu stretch et un débardeur noir lui aussi avec un décolleté plus que plongeant. Pas de sous-vêtements aujourd’hui, je n’en ai pas besoin. Je sais que dans cette tenue, Julien va avoir les mains baladeuses et que ça va lui donner des idées.

Il ne faut pas longtemps à Julien pour s’apercevoir que je ne porte rien sous ma jupe. Même pas 10 heures et il me bascule déjà sur la table de la salle à manger, relevant ma jupe pour me doigter et me fesser. Il crache aussi sur mon anus pour y enfoncer son majeur. J’ai très envie que Julien me prenne sauvagement sur la table mais il sait faire monter l’excitation et décide à ce moment là d’organiser une soirée soumission en me précisant que je dois me tenir à sa disposition toute la journée en commençant par porter le petit plug pour préparer en douceur mon anus pour sa queue ce soir. Un peu de lubrifiant et voilà que le plug est en place.

Nous partons faire quelques courses alimentaires mais avant de quitter la maison, Julien dispose une pince sur chacun de mes tétons. C’est un peu douloureux, mais pour les porter de temps en temps je sais que d’ici quelques minutes ça ne sera plus qu’un mauvais souvenir. On distingue nettement qu’il y a des pinces sur mes tétons à travers mon débardeur mais Julien s’en fiche. En fait il trouve excitant que je sois gênée, qu’une personne connue ou inconnue s’aperçoive que je porte des pinces et se dise que je dois être une sacrée salope.

Dans le magasin, je me concentre sur le plug. Un éternuement, un faux mouvement, il peut tomber par terre à tout moment et je ne veux surtout pas que ça arrive. J’ai aussi l’impression que tout le monde fixe ma poitrine. Au détour des rayons les moins fréquentés, Julien se colle à moi et glisse une main sous ma jupe pour jouer avec le plug ou me caresser les fesses.

De retour à la maison, Julien ôte les pinces et le plug mais il me demande de le remplacer par un plus gros ce que je fais avec plaisir. J’aime sentir mon anus se refermer sur la base du plug mais en restant malgré tout ouvert. En rejoignant Julien à la cuisine qui prépare le repas, je vois sur le plan de travail le gros gode ventouse. Julien me demande de m’agenouiller vers lui. Sans délicatesse, il sort mes seins de mon décolleté et colle le gode ventouse sur le four, juste à hauteur de ma bouche en m’ordonnant de le sucer. Mes lèvres recouvrent aussitôt le faux gland mais ce gode est tellement large que j’ai beaucoup de mal à l’enfoncer plus loin ce qui déplaît à Julien. Il appuie sur ma tête, m’incitant à ouvrir plus grand ma bouche. Je gagne quelques centimètres mais je suis loin d’une gorge profonde. Julien s’absente un instant et revient avec le tube de lubrifiant. Quelques pressions sur le gode que j’étale avec ma langue sous le regard lubrique de Julien et cette fois ça glisse mieux et je réussis à enfoncer le gode plus loin, jusqu’à m’étouffer plusieurs fois. Je continue de longues minutes pendant que Julien termine de mettre la table. J’obtiens alors le droit de le rejoindre mais autant joindre l’utile à l’agréable, Julien met le gode sur ma chaise et me demande de m’empaler dessus. Je relève ma jupe et m’installe à table. Le gode est long et touche le fond de mon vagin. Il appuie aussi sur le plug dans mon cul. J’ai très envie de sexe, vraiment très envie mais je dois manger, les seins à l’air et avec mon envie de jouir.

Après le repas, Julien me délivre de mes jouets, me laissant un peu de répit mais à peine suis-je penchée pour remplir le lave-vaisselle que des doigts envahissent mes orifices. Julien s’attarde plus particulièrement sur mon cul. Un doigt, deux doigts, il me fouille allègrement. Je le supplie de m’enculer juste un petit coup, je lui dis que j’ai besoin de sentir sa queue en moi mais Julien résiste à la tentation. Il me laisse finir de débarrasser la table et revient avec un plug, le plus gros de notre collection. Il me prend par la main et m’emmène au salon. Je me retrouve allongée sur ses jambes, les fesses à l’air. Après quelques claques sur mon cul, j’ai les fesses bien rouges. Julien fait couler du lubrifiant dans mon anus encore ouvert et appuie le plug contre. Ce dernier s’ouvre sous la pression. Julien fait des vas et viens dans mon cul, enfonçant toujours un peu plus le plug et moi je pousse pour l’aider. Lorsque mon anus se referme sur le plug je sais que je vais être bien dilatée. Je me relève et fais quelques pas. La base du plug me gêne un peu mais je vais m’habituer.

Julien m’installe à nouveau des pinces sur les seins sauf que cette fois elles sont reliées entre elles par une chaîne plutôt lourde. Il accroche aussi autour de mon cou un joli collier relié à une laisse et me voilà à quatre pattes en train de suivre Julien qui prend un mail plaisir à me promener comme une petite chienne. Dans cette position, la chaîne tire sur mes seins mais c’est agréable et excitant. Julien relève ma jupe pour voir mon cul se dandiner avec le plug. En douceur, il le retire pour admirer mon anus dilaté. Nous continuons ma promenade dans la maison jusque dans notre chambre. Julien fouille dans notre caisse de jouets et en sort deux, un bâillon boule et un plug gonflable. Il me fixe le bâillon boule et introduit le plug gonflable dans mon anus qu’il se met aussitôt à gonfler. Rapidement le plug remplit et dilate mon anus. Julien joue et vide l’air contenu dans le plug pour mieux recommencer. Il caresse mon clitoris, m’embrasse à pleine bouche. Il me déballe même sa bite sous les yeux et la frotte sur mon visage. Je le supplie du regard de me prendre. Julien se place derrière moi et d’un coup me fourre sa verge dans la chatte m’agrippant par les hanches sans bouger. Il retire ensuite le plug dans mon cul et le remplace par sa bite. Sentir sa colonne de chair s’enfoncer dans mon cul jusqu’aux couilles est jouissif. Mais Julien se retire, laissant mes trous béants au bord de l’orgasme. Heureusement, mon anus est rapidement à nouveau comblé par le gros plug.

Julien se sert de la laisse pour me fouetter. Chaque coup est comme une brûlure qui dure quelques secondes. Sur mes fesses, sur mon dos, sur mes cuisses, je tressaute à chaque coup de laisse. Je me redresse sur mes genoux et Julien s’attèle maintenant à fouetter mes seins. J’ai mal mais je mords le bâillon boule. Des traces rouges apparaissent sur mes seins. Passé ce moment douloureux, Julien nous sert un verre, vodka pomme pour moi et whisky coca pour lui et j’ai même le droit de m’installer sur le canapé. Bien sur Julien exige que mes cuisses soient écartées pour admirer ma chatte de salope et en profiter pour y plonger ses doigts qu’il me fourre ensuite dans la bouche. Ca l’excite de me voir lécher la mouille sur ses doigts.

Désaltérés, Julien propose que nous prenions une douche ensemble. Il me libère de la laisse, des pinces et du plug. L’eau tiède caresse ma peau. Julien m’enlace et m’embrasse à pleine bouche en me disant qu’il m’aime. Je commence à laver Julien. Je verse du gel douche sur son torse et je l’étale doucement sur ses épaules et sur son ventre. Je continue sur ses bras, ses mains, ses doigts, son dos. Mes mains glissent sur ses fesses rebondies et puis sur son anus que je titille doucement. Julien se retourne. Sa verge tendue trahit son envie. Je verse à nouveau un peu de gel douche dans ma main et je saisis sa queue que je caresse ou plutôt que je branle doucement. Mon autre main caresse ses couilles. Julien m’attrape par la nuque et m’embrasse sauvagement cette fois. Je le branle plus vite sentant sa queue grossir entre mes doigts. J’ai envie qu’il cède, j’ai envie de le sucer, j’ai envie qu’il me prenne devant et aussi derrière mais Julien se retient et décide qu’il est temps qu’il me lave. Il commence par mes cheveux. J’ai le droit à un massage du crâne hyper relaxant. Il passe ensuite un long moment sur ma poitrine. Il presse mes seins l’un contre l’autre, pince mes tétons endoloris puis descend sur mon ventre et me retourne pour frotter mon dos. Julien me demande de me pencher en avant. Il nettoie la raie de mes fesses en titillant mon anus qui s’ouvre instantanément sous la pression de son index. Encore une fois je le supplie de m’enculer, écartant même les fesses pour qu’il cède mais non, mais en vain. J’écarte les cuisses pour que Julien puisse laver ma chatte. Il la fait mousser abondamment, agaçant au passage mon clitoris gonflé à bloc. Julien rince la mousse sur mon corps et nous sortons.

Julien me demande de rester nue et de pratiquer un lavement anal avant de le rejoindre au salon. Je m’exécute et prends soin de remettre le plug avant de le retrouver. Une coupe de champagne m’attend. Julien est nu sur le canapé. Sa grosse queue ne bande plus mais je n’arrive pas à la quitter du regard. Lorsque ma coupe est vide, Julien me débarrasse et me demande de m’allonger les yeux fermés et les cuisses écartées sur le canapé. Julien noue un foulard sur mes yeux. Quelque chose, pince une lèvre de ma chatte, puis l’autre. Ca n’est pas douloureux. En réalité Julien recouvre mes lèvres de pinces à linge. Il remet aussi les pinces reliées par une chaîne sur mes tétons. Je me relève pour mieux m’agenouiller par terre. Julien a pris soin de mettre des coussins pour mes genoux. Il me menotte les mains dans le dos. Et enfin il m’ordonne de le sucer. Debout devant moi, Julien me laisse trouver sa queue et l’avaler. Mon visage se colle dans ses poils pubien, je descends le long de sa verge jusqu’à son gland que je prends entre mes lèvres et je remonte pour avaler sa queue entièrement. Je la sens durcir entre mes lèvres et je m’applique à bien avaler toute cette colonne de chair. Julien qui s’est contenu toute la journée se lâche. Il sait que je suis à lui et que dans cette position je ne peux que subir ses assauts, alors il m’étouffe avec sa bite, il me tient la tête, baise ma bouche, même mes hauts le cœur et mes protestations ne l’arrête pas. Je suis à lui ce soir, je suis sa petite salope soumise, son vide couille. Je sens la bave couler sur mes seins et ma mouille couler le long de mes cuisses. J’essaye de respirer entre deux gorges profondes. J’aime sentir son gland forcer l’entrée de ma gorge. Julien me bifle, essuie sa bite sur mes joues. Et il recommence à baiser ma bouche comme un forcené. Ensuite il plaque mon visage sur ses couilles, me demande de lui lécher. Ma langue caresse ses couilles pleines de foutre pendant que Julien se masturbe vigoureusement. Et c’est reparti pour quelques gorges profondes quand soudain Julien me prévient qu’il va jouir. Il pose ses mains sur ma tête de sorte que son sexe gicle directement dans ma gorge. Un liquide chaud envahit ma gorge. S’il m’arrive d’avaler le sperme de Julien, je dois dire que c’est la première fois que je le reçois directement dans la gorge et c’est terriblement excitant. Julien se retire et frotte son gland sur mes lèvres y déposant les dernières gouttes de sperme que je m’empresse de lécher.

Toujours à genoux par terre, Julien me demande de m’avancer et de me pencher en avant sur le canapé. Il m’accroche mon collier et ma laisse autour du cou. Il retire le plug laissant mon anus béant et applique une bonne dose de lubrifiant sur le pourtour ainsi qu’à l’intérieur de mon cul avec ses doigts. Julien est impressionné de pouvoir y rentrer aussi facilement 3 doigts. De son autre main, Julien doigte ma chatte, de plus en plus fort. Ca va, ca vient devant et derrière, les doigts de Julien glisse profondément en moi. J’incite Julien à enfoncer plus de doigts dans ma chatte. Il essaye d’entrer sa main entière. Ca coince un peu. Il rajoute du lubrifiant. Je me cambre. Ses doigts continuent de glisser dans mon cul. Sa main force enfin l’entrée de mon vagin et me pénètre. Julien bouge doucement en moi pour que je m’habitue puis retire sa main lentement et recommence, jusqu’à ce qu’elle rentre facilement en moi. J’aime me faire fister la chatte. Ca me fait gicler, plusieurs fois, des grands jets de mouille. Ca dégouline le long de mes cuisses et sur le sol. J’implore Julien de m’enculer je veux qu’il me prenne le cul. Il enfile le gode ceinture et me pénètre en double, sa queue dans mon anus et le gode dans la chatte. Sans ménagement, il laboure littéralement mes trous. Je gicle à ne plus pouvoir me retenir, incitant Julien à me défoncer encore plus fort. Il m’attrape par les hanches donnant de violents coups de bassin. Je le sens grossir encore dans mon cul signe d’une jouissance imminente. Il me tire par les cheveux, claque mes fesses et soudain s’immobilise déversant en moi sa semence.

Après tant d’émotions, je vais prendre une douche, seule. Le jet d’eau tiède est une véritable caresse pour mon corps.


Quand je rejoins Julien dans notre chambre, je suis persuadée que la soirée est finie et que je vais pouvoir dormir un peu, mais l’imagination de Julien est débordante et la nuit est loin d’être terminée.

Muni d’un rouleau de scotch papier, Julien m’ordonne de m’installer à quatre pattes dans le lit, la tête dans les draps, les mains dans le dos. Il enroule du scotch autour de mes poignets de manière à ce que je ne puisse plus me relever. Il verse à nouveau du lubrifiant sur mon anus et y enfonce le gros plug sans difficultés puis comment à scotcher mes fesses de manière à maintenir ouvert mon anus. Il ôte le plug et m’annonce que je devrai garder l’anus béant toute la nuit pour pouvoir m’enculer quand il le désire. Il détache mes poignets, m’embrasse et éteint la lumière.

Julien s’endort rapidement mais pas moi. Je tourne dans le lit un long moment. Curieuse, je m’aventure à glisser un doigt près de mon anus pour voir à quel point il est ouvert. C’est avec stupéfaction que je découvre que je peux facilement enfoncer trois doigts. Impossible de dormir, je suis à nouveau excitée. Je prends alors l’initiative de faire bander Julien en le suçant pendant son sommeil. Je glisse sous la couette jusqu’à sa verge endormie elle aussi. Après quelques coups de langue le long de sa hampe et autour de son gland, Julien commence à bander mais il dort toujours. Je continue avec ma bouche, ma main. Julien émerge doucement. Il lève son bassin pour m’inciter à l’avaler entièrement. Je lui dis que je ne peux pas dormir en sachant que mon cul est à sa disposition complètement ouvert. Sa main appuie sur ma tête, Julien baise ma bouche en me disant que ce n’est pas à moi de décider quand j’ai envie de me faire enculer et qu’il va me punir.

Julien rallume la lumière et me demande de me remettre à quatre pattes dans le lit, la tête sur l’oreiller. Il scotch à nouveau mes poignets dans mon dos mais il ne s’arrête pas là. Il saisit mon jouet à tête vibrante qu’il met à la vitesse maximum et qu’il fixe avec du scotch autour de ma cuisse de manière à ce que la tête vibrante touche mon clitoris. Ensuite, Julien me fait resserrer mes cuisses et les scotche ensemble. Je ne peux plus bouger mais le vibromasseur lancé à pleine puissance agace mon clitoris. Pendant ce temps là, Julien introduit des godes dans mon cul, dans ma chatte. J’ai chaud, très chaud. Mon bassin ondule sous les vibrations. Julien plonge sa queue dans ma chatte en continuant de m’enculer avec un gode. J’ai envie de jouir, impossible de me retenir plus longtemps. Des spasmes traversent mon corps, ma chatte et mon cul se contractent. Julien force l’entrée de mon cul. Je suis double pénétrée par le cul. Je gicle, arrosant les draps. Julien éteint le vibromasseur et prend des photos de mon cul et me montre comme je suis dilatée. Il me sodomise violemment. Je gicle encore et encore en criant que je suis une pute. Julien jouit et se vide les couilles au fond de mon anus.

Il me détache, ôte tout le scotch, m’embrasse et nous nous endormons épuisés.