Un piège que j'aime.

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Un piège que j'aime. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un piège que j'aime.
Quand tu veux jouer la salope, faut assurer!
Cette phrase je l'ai entendue plus d'une fois.

Tous les soirs en sortant du boulot, il me fallait une bite, un zob, un bangala peut importe, du moment qu'elle soit grosse et bien juteuse.
Tous les soirs en sortant du boulot, je me branchais sur une application et je cherchais.
Tous les soirs ou presque, je trouvais ce que je cherchais avec plus ou moins de contentement mais je rentrais à la maison avec du sperme dans mon cul.

Je pense qu'une de mes meilleures soirées et nuits fut celle avec Mourad, sur cette application, j'ai lu :
"MOURAD 30 ans veut salope qui assume pour la soirée"
Je le branchais directement, il n'était pas loin de moi.
-salut tu reçois ?
-salut t'encaisses bien ?
-oui.
-oui qui ?
-oui maitre
-bien! décris toi salope.
-châtain, 30 ans, beau cul musclé endurant.
-tu t'es déjà fait baiser ?
-oui maitre.
-prêt à tout ?
-oui maitre.
-alors rapplique, je t'attends dans le hall du 12 rue…
-j'arrive maitre.

Dis minutes après j'étais dans le hall d'un immeuble où plusieurs mecs parlaient entre eux, que de jeunes beurs d'une trentaine d'années. Je rentrais dans le hall, regardant tout le monde, tous me dévisageaient. Machinalement je baissais la tête, attendant. Je vois un des mecs venir vers moi, s'arrêter devant moi, me relever la tête, un beau rebeu comme je les aime. Un regard dur me fixe.
-t'es venu te faire baiser salope ?
-je cherche Mourad monsieur.

Je me prends une baffe qui n'était pas du chiqué. Je me tiens la joue en le regardant hébété.
-répond à la question que je viens de te poser.
-oui monsieur.
Il tourne la tête et crie dans le hall.
-Mourad ta salope est arrivée.

Une porte au fond s'ouvre sur un rebeu, d'une grande stature d'au moins 1m90, baraqué, en tee-shirt blanc qui semble trop petit pour lui, un survêt moulant, j'ai le temps de voir son sexe moulé quand il s'avance vers moi. Un visage carré entouré d'une barbe bien taillée qui lui donne un certain charme.
Il s'arrête devant moi, sa main sur ma nuque, approchant mon visage du sien.
-alors c'est toi la salope que j'attends ?
-oui maitre.

Il appuie sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux devant lui et je me retrouve le nez devant sa queue moulée dans son survêt. Il appuie sur ma tête et je me retrouve avec le nez sur sa bite. C'est encore mou, mais ça sent la queue. Il appuie bien sur ma tête pour la frotter contre son sexe.
-eh bande de nases! ça c'est de la salope! je crois que je vais bien m'amuser ce soir!

Je le vois sortir quelques chose de sa poche qui s'allonge devant moi, une laisse avec un collier qu'il place autour de mon cou et tenant la laisse je marche à quatre pattes passant au milieu de ses potes qui ricanent parlant de mon petit cul qu'ils baiseraient bien.

Il m'emmène vers la porte et me fait entrer. J'ai eu peur que les autres suivent mais il referme la porte et nous allons dans le salon. Moi toujours à quatre pattes.
Il s'assoit dans son divan, je suis devant lui. Il me toise de son air narquois.
-fous toi à poils complètement salope.

J'ai obéi rapidement. Quand il a vu ma queue qui bandait déjà, collée à mon ventre, il a ricané.
Il tenait toujours la laisse en main, l'a tiré à lui pour que ma tête vienne entre ses jambes. Il m'a caressé les cheveux comme on donne une caresse à un chien.
-sniffe la bonne odeur du rebeu salope, fait moi bander!

Je reniflais cette bonne teub que je voyais prendre de la grosseur dans le survêt. Je la sniffais, je passais mes lèvres dessus, je mouillais de ma langue la tige, humidifiant le survêt. Le sgeg devenait dur, très dur et semblait d'une très bonne grosseur. Remarque vu le gabarit du mec si c'était en rapport…
Son odeur à l'entre jambe était forte. Je me suis demandé s'il s'était lavé récemment, ça sentait la bite, la pisse, le sperme.

Avec son pied, il me fait reculer et pose sa chaussure sur mon visage.
-enlève les TN et chaussettes, et sniffe la bonne odeur de ton maitre, salope.
Il devait chausser du 46 au moins. Putain de grands pieds et putain d'odeur. Il devait dormir avec ses TN! c'est pas possible. Quand on dit ça sent des pieds, là j'étais servi. Les relents montaient dans mes narines, quelle odeur!! et le pire était à venir quand j'ai enlevé la chaussette comme si l'odeur se répandait, le pied n'était pas sale mais il puait! mais quel beau pied.

Il a frotté mon visage avec, passant ses orteils, la plante des pieds partout.
-lèche salope.
J'ai obéi.

Le pied était poilu sur le dessus, je léchais ses poils, les inondant mais ce qu'il désirait c'était que je lèche ses orteils. Il semblait aimer ça. Quand je l'ai regardé subrepticement il avait fermé les yeux et souriait, alors je lui fais plaisir. J'ai sucé, léché tous les orteils, la plante des pieds, le talon… tout était inondé et l'odeur avait presque disparu.

Il a fallu procéder de même à l'autre pied et l'odeur est revenue encore plus tenace. J'ai recommencé mes léchages mais j'étais ravi d'avoir ses deux pieds en mains. Le gros orteil était énorme, long et gros, poilu. J'avais l'impression de sucer une petite bitte agile qui bougeait dans ma bouche et cela semblait le ravir, car il fermait ses yeux et la bosse de son entrejambe n'avait pas disparu.

Il prenait un malin plaisir à passer ses pieds sur mon visage. Il m'a fait me redresser et m'a caressé le torse, ses gros orteils grattant mes tétons qui ressortaient bien durs. Cela m'a fait gémir. Avec un pied il est venu toucher ma queue raide qui coulait de plaisir.
-tourne toi salope et penche toi en avant en écartant ton cul de pédé.
J'obéi.

Et le gros orteil est venu dans ma raie fessière, passer sur l'anus, le forcer, j'ouvrais le plus possible mes petites fesses bien dures et j'ai senti le gros orteil entrer en moi pendant que l'autre pied claquait une fesse, le gros orteil bougeait dans le conduit et je gémissais.
Il s'est amusé un moment comme ça à me passer ses pieds sur le corps et je n'avais encore pas vu son sgeg, mais le survêt était bien tendu.
Il était debout au dessus de moi, me faisant lécher un pied et me regardait dédaigneusement comme la salope que je suis.

En se rasseyant dans le divan il baisse son survêt, l'enlève. Il tire sur sa laisse et ma tête revient entre ses jambes qu'il resserre sur ma tête, me caresse les cheveux.
-tu vas sortir mon zob du boxer mais uniquement avec tes dents salope!

Il s'est allongé sur le dossier, la bosse ressortait bien du boxer, une belle grosse et longue bosse qui partait vers la gauche et remontait dans l'aine, je ne voyais pas le gland caché par le tee-shirt.

Je donne un coup de langue sur les grosses couilles cachées et je remonte sur la hampe jusqu'au bord du boxer que je saisi entre mes dents et tire vers moi, ouvrant le boxer pour laisser sortir d'abord une odeur de sgeg, une odeur de rebeu comme j'aime; mais une odeur de bite pas lavée depuis un moment, le boxer était maculé de taches suspectes de pisses et de sperme, j'ai lâché le bord du boxer sous les grosses couilles et j'ai vu le zob du rebeu se redresser, libéré!

J'avais devant les yeux un monstre, tant en longueur qu'en largeur et épaisseur, putain mon cul va se régaler pensais je en bonne salope que je suis.

J'ai commencé par gober les couilles, les inonder de salive et les sucer, une par une, j'ai peiné à faire entrer les deux ensemble, on aurait dit un hamster.
Et je me suis attaqué à la hampe, oh y'avait bien à manger pour plusieurs, et j'avais tout pour moi, j'ai suivie la grosse veine avec la pointe de ma langue essayant de compter les centimètres, la grosse veine sous la hampe disparait à un moment et ma langue arrive, enfin au gland, comment vous dire, un gland bien dessiné dépassant en largeur de la hampe, un gros champignon et c'est pas un vénéneux…

J'ai osé prendre la queue en main pour la tirer vers ma bouche. Je l'ai entendu soupirer mais n'a rien dit et j'ai léché ce gros gland comme une glace, un cornet avec une boule au dessus!
J'ai léché, inondé, avalé le gland, enlevé au fur et à mesure qu'elle apparaissait, la mouille qui sortait du méat. Il gémissait de temps en temps.

Sa main s'est posé sur ma tête et a appuyé dessus.
Le gros gland m'a envahi la bouche, glissant sur ma langue pour venir boucher ma gorge. Je salivais comme un malade, ça coulait de partout, j'avais des hauts le cœur et mes yeux pleuraient mais il maintenait sa main fermement.
Et tout le sgeg n'était pas entré.

Il a pris ma tête entre ses mains et s'en est servi pour se branler dans ma bouche. Oh d'abord comme un gentil, quand je toussais il s'arrêtait au début puis il allait de plus en plus profond mais mes lèvres n'étaient toujours pas contre ses poils pubiens. Mais il voulait y arriver et voulait que j'y arrive, alors cela a duré longtemps et, quand j'ai senti que son gland écartait ma gorge et entrait, que je respirais avec peine par le nez et que mes lèvres étaient chatouillées par ses poils, je me suis senti heureux, fier d'avoir réussi. Il maintient ma tête sur son sgeg d'une main et de l'autre caresse mes cheveux.
-c'est bien ma salope! tu vois on arrive à tout.

Et il a continué à jouer avec ma tête. Il l'enlevait complètement de sa queue, me laissait respirer à fond, les yeux pleins de larmes, la salive qui coulait de partout, des filets de baves allant de sa queue à ma bouche et d'une seule traite la remettait bien au fond de ma gorge.
Je n'avais qu'une envie, avoir son jus ou me faire enculer de suite.

Mais c'était lui le maitre des lieux et de moi.

Il s'est relevé, m'a fait mettre sur le dos, sur la table basse, la tête pendante d'un côté.
-ouvre bien la bouche salope.
Et son gros zob, son beau sgeg est venu me baiser la bouche par des mouvements lents au départ comme pour s'assurer que sa queue coulissait bien et la vitesse a augmenté sans s'occuper si j'encaissais bien, tel un métronome son gland arrivait tout au fond de ma gorge, mes lèvres entouraient bien cette belle hampe dure
.
Il était à genoux et mes yeux étaient directement sur ses belles couilles qui ballotaient devant moi, venant se cogner et j'ai senti la hampe durcir encore plus, ses mains m'entouraient la gorge, sans trop serrer et quand il s'est bloqué dans ma gorge, j'avais ses couilles sur les yeux et il a ouvert les vannes. La première giclée épaisse a coulée directement dans ma gorge, je sentais le gland cracher, frottant dans ma gorge et les giclées se sont succédées. Une, deux, trois, quatre, cinq… toujours aussi fourni… six. J'allais me noyer, j'essayais de bouger mais ses mains me tenaient au cou et me collaient sur la table. Il y a encore eu des giclées de moindres importances et la queue est ressortie lentement, laissant un grand vide dans ma bouche. Il a passé son gland pour l'essuyer sur mes lèvres, m'a tapoté les joues comme s'il était content.

Il est allé se servir un verre d'eau sans m'en proposer. J'en aurais pourtant eu besoin.
Quand il est revenu, sa queue n'avait pas débandée, elle pointait toujours aussi énorme.

Il s'est assis dans son divan, soufflant comme quelqu'un qui était fatigué, me regardant avec son air narquois encore comme s'il se foutait de ma gueule.
Ses yeux parcouraient mon corps. Je le voyais "à l'envers", vue ma position, et il se caressait son sgeg, entretenant la raideur.
Il s'est relevé, venant au dessus de moi.
-met toi à quatre pattes sur la petite table et cramponne toi salope!
J'obéi.

Je redressais bien mon petit cul profond qu'il claqua très fort m'arrachant des cris de surprise. Ses mains pétrissaient mes fesses, les ouvrant. Je ne le voyais pas mais je l'ai entendu cracher sur ma raie et s'ai senti la salive couler. Son doigt l'écarter sur l'anus et s'enfoncer sans prévenir bien profond me faisant encore plus tendre mes fesses. Il m'a doigté avec deux doigts, puis trois, sifflant à chaque fois de voir ses doigts être avalé facilement mais je redoutais quand même sa queue car je me doutais qu'il allait m'enculer d'un seul coup, j'appréhendais quand même.
Il m'a doigté longtemps, il semblait content de fouiller dans mon cul.

Quand ses doigts se sont retirés le manque ne s'est pas fait sentir longtemps, j'ai senti son gland venir se poser sur l'entrée ouverte. Il a craché, ses mains m'ont saisi en haut des hanches, fortement. J'ai ouvert mon cul le plus possible que je pouvais et dans un seul coup de reins, son sgeg a commencé à s'enfoncer en moi le gros gland ouvrant sans ménagement mon sphincter souple qui l'enveloppait et s'enfonçant en moi ouvrant ma paroi sur son passage et je gueulais, hurlais à pleins poumons.

Il n'a pas cherché à me faire taire, et n'a pas cessé de faire entrer son sgeg, quand les poils de son pubis se sont collés à mes fesses, la douleur était encore là mais j'ai pu soufflé. Les claques sur mes fesses ont recommencées.
-c'est bon ça! putain de cul que tu as salope! t'as du en prendre du zob! alors je vais te baiser comme la salope que tu es. Tu peux gueuler! on s'en fout! les voisins ont l'habitude d'entendre les salopes de ton genre.

Il s'est tu en même temps que j'ai senti sa queue ressortir de mon cul, oh pas complètement mais il est revenu en force, faisant claquer son pubis sur mes fesses qu'il claquait encore avec ses mains et comme dans ma bouche il y a peu, la machine s'est mis en route. La mécanique était huilée, j'avais le conduit qui me brûlait, la douleur était toujours là, mais en même temps! putain quel bonheur, mon cul s'habituait et je commençais à prendre plaisir d'avoir ce bel engin en moi. Je me donnais, m'offrais, tendant le plus possible mon cul à ses assauts.

Je ne sais pas combien de temps il m'a baisé comme ça, secoué comme un prunier, je me cramponnais à la table mais il ne faiblissait pas et sa queue coulissait bien en moi. Comme il venait de se vider dans ma bouche en de longues rasades fournies, il faisait durer son plaisir. Je commençais à être en surchauffe, ma queue coulait de plus en plus. La mouille tombait sur la table, j'aurais bien aimé me branler pendant qu'il me baisait mais je ne pouvais pas lâcher mes mains de la table.

Il a ralenti, entrant et sortant de moi, me faisant bien sentir sa queue, pour reprendre plus vite, de plus en plus vite et, poussant un cri, ses mains serrant mes hanches, se bloque bien au fond de moi et les giclées reprennent. La chaleur de son jus inonde ma paroi, les giclées se suivent, je sens sa queue palpiter en moi noyée dans son jus.

Il sort sa queue d'un seul coup, laissant mon cul ouvert d'où s'échappe son jus qui coule sur mes jambes, me donne une claque sur les fesses et s'assoit dans le divan en soupirant. Je le vois fermer les yeux et reprendre sa respiration.
Il ouvre les yeux, me regarde.
-viens entre mes jambes salope, t'as du nettoyage.
Je suis venu et j'ai léché ses boules, son sgeg encore plein de sperme.

Il a pris son téléphone.
-Karim ? t'as baisé aujourd'hui ?
-...
-tu veux te vider les couilles ? alors viens de suite!
Et il raccroche.

Je poursuis mon nettoyage et j'en profite, c'est pas tous les jours qu'on doit s'occuper d'une si belle queue et mon maitre Mourad bande encore.
Ca frappe à la porte, qui s'ouvre en même temps et j'entends des pas arriver.
Un jeune beur que j'avais vu dans l'entrée en arrivant arrive dans la pièce et nous regarde.
-je t'offre ma pute, ma salope à baiser de suite, t'en veux ?
-ben oui dit Karim.
-alors vas-y baise la maintenant! dit Mourad d'un ton ferme.

J'entends le prénommé Karim baisser son survêt, se mettre à genoux derrière moi, ses mains sur mes fesses.
Je sens son gland passer dans ma raie, trouver le petit trou humide encore ouvert, plein du sperme de Mourad. Les mains s'affermissent sur mes hanches et le zob de Karim entre en moi. Je n'avais pas vu le zob de Karim mais j'étais sûr d'une chose, beaucoup moins gros que celui de Mourad mais il n'était pas inactif le garçon.

Pendant que je suçais Mourad, Karim m'a baisé, m'a bien baisé, ses mains caressaient mes fesses, les claquaient et peu de temps après je l'ai entendu gueuler en même temps que les giclées arrivaient et il en fournissait le Karim du bon jus, il n'arrêtait pas.
Quand il a sorti sa queue.
-viens te faire sucer Karim il va te nettoyer tout ça.

J'ai vu la belle queue arriver, et pendant que je caressais celle de Mourad, j'ai nettoyé celle de Karim.
Il s'est relevé, a remballé son matériel.
-merci Mourad c'est sympa!
Ben mais c'est à moi qu'il aurait pu dire merci!
-tu dis aux autres de venir un par un, c'est ma tournée de salope aujourd'hui dit Mourad en éclatant de rire et toi continue de sucer!

Et, durant plus d'une heure se sont succédés six rebeu, six rebeu bien membrés et pleins de jus. Je sentais le sperme couler sur mes jambes. J'avais joui sans que personne ne s'en rende compte. Croyez moi, pas une bite ne se ressemble et ce jour là j'ai dégusté et apprécié, j'ai bien cru que tout l'immeuble allait passer par la piaule de Mourad.

J'étais toujours à quatre pattes entre ses jambes. Il a tiré sur la laisse, faisant monter mon torse contre le sien, que je n'avais pas vu encore et me tire pour que je m'allonge sur lui, ma tête sur son épaule, sa belle barbe se frotte contre ma joue.
-alors heureuse salope ?
-oui maitre dis-je en frottant mon corps contre le sien.
-tu peux rester cette nuit ou tu préfères revenir… ?
-je peux faire les deux maitre.
-alors on va prendre une douche, tu vas laver ton maitre qui t'a donné plein de plaisir et je vais te vais te baiser encore et encore! j'adore ton cul ma belle salope!
-merci maitre et j'osais lui faire une bise dans sa barbe.
Il me serre dans ses bras, tourne la tête vers moi.
-toi t'es une salope sentimentale.
Nos yeux se fixaient, sa bouche s'est approchée de la mienne.
-donne ta langue ma salope préférée.

Il m'a sucé la langue, avalant toute ma salive, sa barbe me grattait mais qu'est ce que j'adorais et sa langue m'a envahi. Je me suis abandonné dans ses bras.
Quand on s'est relevé pour aller sous la douche, il m'a bloqué dans ses bras.
-jamais tu m'embrasses devant mes potes!
Il n'avait pas dit salope.
Il était sentimental aussi mon maitre ?

Je peux vous dire que la soirée a été formidable et qu'on s'est revu de nombreuses fois. Il m'a partagé avec ses potes qui n'avaient droit que de venir me baiser et repartir de suite.

Il était bien sentimental…

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