Un plaisir partagé est un plaisir double (10)

- Par l'auteur HDS Chantalbob -
Récit érotique écrit par Chantalbob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un plaisir partagé est un plaisir double (10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2021 dans la catégorie Plus on est
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Un plaisir partagé est un plaisir double (10)
Un plaisir partagé est un plaisir double (10)
Nous sommes mardi et nous attendons nos amis pour une soirée carnaval, une occasion pour nous de fêter cela avec eux. Depuis quelques temps notre relation à beaucoup changée, en plus que d’être des confidents, ils sont devenus des partenaires très intimes. Nous sommes toujours très heureux de nous retrouver et de s’échanger entre nous. Chacune de nos rencontres se termine en partie de trou du cul. J’ai préparé ce matin ma pâte à crêpe en deux versions sucrée et salée, pour les faire sauter avec nos amis. ( Peut-être allons nous nous faire sauter aussi.)
Normalement Annie et André doivent venir déguiser. Notre intention était de les emmener costumés et masqués dans une soirée échangistes, mais tout est fermé cette année, de toutes façons je pense qu‘il est encore un peu trop tôt pour leur faire découvrir ce monde libertin. La petite soirée coquine se passera à la maison cette année.

Il était temps maintenant de nous changer et de passer le déguisement sexy de soubrette que j’ai acheté, je pense qu’il est inutile de vous dire que je risque de ne pas avoir beaucoup de temps pour faire le ménage. Les regards vont se poser sur mon splendide soutien-gorge avec armatures qui mettront mes petits seins en valeur, un petit nœud suffira à mes partenaires de les défaire pour découvrir les petits bouts de mes seins et ses aréoles. (Que vous pouvez voir en avant première sur mon avatar) Ils pourront également découvrir mon porte-jarretelles accompagné d'un mini tablier qui viendra donner un côté très coquin à ma tenue ! Pour magnifier mon ensemble de femme de chambre coquine je porterais un string noir, une coiffe de servante et une jolie paire de bas.

Mon chéri est habillé en major d’homme avec un petit slip noir orné d'une fine bande blanche et de boutons qui met sa virilité en valeur. Un t-shirt en résille laisse deviner son torse pour le plus grand plaisir des yeux de ma copine, au dos, une queue-de-pie qui lui couvre partiellement ses fesses. Un nœud papillon autour du cou lui donne une touche très élégante à son costume. Des gants blancs en résille viennent lui compléter son look.

Nous sommes impatients de recevoir nos amis pour voir leurs déguisements, mais je suis sur qu’Annie qui sera radieuse et sexy dans la tenue qu’elle aura choisit. Il nous a fallut attendre près d’une heure avant qu’ils n’arrivent. Contrairement à nous qui étions chez nous et en petite tenue, ils sont arrivés emmitouflés dans leur manteau et d’un gros cache-nez. André m’a embrassé sur les lèvres en me collant ses mains glacées sur les fesses me donnant la chair de poule jusqu’à me faire dresser les tétons.

« - Tu es superbe Chantal, j’aime beaucoup ta tenue de soubrette, c’est comme cela que j’aimerais que ma femme fasse le ménage à la maison. » Me dit-il.

Puis j’ai embrassé intimement ma chère et tendre amie. Je leur ai demandé de me donner leurs manteaux et de se mettre à l’aise.

A notre grande surprise, ils étaient tous les deux pratiquement à poil dessous ma chérie était déguisée en lapine avec un somptueux ensemble qui mettait ses courbes en valeur, d’ailleurs Bob n’a pas résister longtemps à ses charmes en le lui disant. Le haut est entièrement transparent en dévoilant son corps sans trop en montrer. Son soutien-gorge seins nus avec armatures lui maintenait ses mamelles au balcon. Le string ouvert à l'entrejambe laissait apparaître ses jolies lèvres pour encore plus d'érotisme ! Les petits nœuds papillons blancs apportent une touche de féminité à cette somptueuse tenue qui la rendait belle et sexy. Au dos une petite queue de lapine. Il ne lui manquait plus qu’un serre tête avec des oreilles Qu’elle venait de sortir de son sac pour compléter sa tenue.

André lui était déguisé en policier, sa tenue était composée d’un tee-shirt en résille très près du corps détaillant son torse musclé et d’un pantalon noir découpé au niveau de son postérieur montrant ses belles fesses musclées. Il n’y avait que la ficelle de son string qui était apparente. Sa tenue était complétée par deux manchettes noires, une casquette de police ainsi qu’un col avec une cravate. Le tout est noir brillant et mettait en valeur ses formes athlétiques. Pour que je ne lui oppose aucune résistance il avait également des menottes !

Nous sommes passés au salon pour boire le café.

« - Je n’ai pas fait de gâteaux aujourd’hui mais j’ai préparé de la pâte à crêpe. Je sais que la chandeleur est passée mais comme ce jour là il faut faire sauter les crêpes avec une pièce dorée pour avoir de l’argent toute l’année j’ai voulu vous associer pour les faire sauter avec nous. Excusez-moi je vais dans la cuisine pour commencer. »
J’avais à peine fait trois crêpes avec une pièce dans la main qu’André est venu me rejoindre en se collant contre moi et en m’embrassant dans le cou. Ses deux mains se sont posé sur mes seins, déliant les cocardes il les libéra de mon soutien gorge. Il me pelota les nénés, m’empêchant de faire sauter ma crêpe qui était en train de brûler. De ma main je lui ai attrapé son paquet de couilles par-dessus son pantalon pour qu’il me lâche, mais il me tenait fermement dans ses bras et c’est avec difficulté que j’ai pu retourner ma crêpe qui s’est écrasée sur mon plan de travail. Je suis convaincue qu’Annie et Bob l’ont envoyé dans la cuisine pour qu’ils soient tranquilles pour fricoter ensemble.

« - Tu exagères, regardes ce que tu m’as fait faire, nous avons tout le temps de faire cela après ! »
« - Je vais nettoyer, ne t’inquiètes pas ma petite chérie, soit cool. »
Du salon, nos deux lascars qui avaient entendu notre discussion ont accouru pour nous rejoindre pensant que nous nous disputions.

« - Que se passe t-il ici, il y a un problème ? »
« - Pas du tout, c’est ma soubrette préférée qui a raté sa crêpe et je pense que cela mérite un gage. Je propose qu’elle retire son string. » Répliqua aussitôt André.

Un peu irritée par cette décision alors que ce n’était pas de ma faute, j’ai enlevé mon slip en le jetant par terre tout en renouant les cordelettes de mon soutien gorge pour remballer mes seins. Annie s’est proposée pour continuer de faire les crêpes, mais elle a aussi a subit les mêmes sévices que moi de la part des hommes, ils se sont amusés en l’embêtant afin de pouvoir lui donner un gage. La pauvre, c’est pratiquement à poil qu’elle a terminé derrière les fourneaux, en petite culotte fendue et les nichons à l’air.

Nous sommes passés dans le salon pour déguster les quelques débris de crêpes que nous avons réussit à sauver
« - André que veux-tu sur ta crêpe ? »
« - De la chantilly, si tu veux bien. »
C’était pour moi l’occasion de prendre ma revanche et de faire d’une pierre deux coups, je n’avais pas oublié les paroles de mon chéri qui m’avait dit de prendre des initiatives si je voulais qu’André me procure plus de plaisir. J’ai mis une bonne couche de crème fouettée sur sa crêpe, je me suis allongée sur la table de la salle à manger, les cuisses grandes ouvertes et j’ai retourné la chantilly sur mon mont de vénus en lui demandant de venir la déguster sur place. Il a fallut que sa femme lui dise :
« - Tu ne vas tout de même pas te défiler devant tes amis ? Tu étais content de nous mettre des gages pendant que nous faisions sauter les crêpes alors considère que cette fois c’est Chantal qui t’en balance un, en t’offrant sa gourmandise en te demandant de t’en délecter. »
« - Tu sais bien chérie que je n’aime pas cela. »
« - Il faut une première à tout et cela me permettra d’en profiter également parce que si tu le fais à ma copine il n’y a pas de raison pour que tu ne m’en fasses pas autant. Et peut être que tu arriveras à me faire jouir de nouveau. Il y a si longtemps que je n’ai pas pris de plaisir avec toi. »
Ne pouvant plus trop faire autrement en notre présence, André s’est installé à genoux entre mes cuisses, j’ai posé mes deux jambes sur ses épaules et il a commencé à se mettre à table pour manger sa crêpe sur mon pubis lisse. Pour la chantilly c’était plus délicat impossible pour lui de faire autrement que de me lécher l’abricot. Sa langue parcourait mon intimité en effleurant mes lèvres au début pour s’aventurer plus intimement tout autour de ma fente, frôlant parfois mon clitoris. Je commençais à mouiller et ses caresses buccales me faisaient du bien, pour quelqu’un qui ne faisait jamais de cunnilingus, je peux dire qu’il ne s’y prenait pas trop mal. Il me pourléchait les babines et sa bavarde fouillait maintenant en profondeur la chair de mon abricot. Je serrais sa tête entre mes cuisses en m’accrochant de chaque côté de la table. Cette étreinte de sa bouche entre mes cuisses me fis glousser de plaisir, jusqu’à me tordre de consentement sur ma table de salle à manger. Dommage qu’André n’ait pas continué à me bouffer la chatte, je pense qu’il aurait réussit à me faire jouir. Mais je pense que c’était un peu de ma faute, en resserrant fortement mes jambes autour de son cou, prête à d’avoir un orgasme, incontrôlable, je devais lui faire mal, je l’ai vu faire quelques mouvements de la tête après s’être libéré de mes cuisses.

« - Alors André comment as-tu trouvé la chair de mon abricot, est-ce que cela t’as plu ? »
« - Je ne peux pas dire cela, mais c’était sucré. »
Pendant ce temps Annie était confortablement installée sur le canapé dans les bras de mon chéri, la tête sur son épaule, pendant qu’il lui caressait les tétons.

« - Je monte dans la salle de bains me laver, j’ai encore la choupinette toute collante en attendant chéri, tu peux nous servir un verre de cidre. »
« - Je peux venir avec toi ? » Me demanda Annie.

« - Quelle question, tu es ici chez toi. »
« - Alors raconte, il t’a fait du bien mon mari ? »
« - Mais tu veux tout savoir, oui c’était bien, j’ai senti qu’il manquait d’expérience mais pour une première ce n’était pas mal. Maintenant tu ne dois plus accepter de faire crack crack sans qu’il te fasse des préliminaires. »
Pendant que je me lavais la chatoune, Annie s’est approchée de moi avec une serviette dans la main pour m’essuyer l’entre jambes en m’embrassant dans le cou. Merci me dit-elle de dévergonder mon mari grâce à toi je vais retrouver du plaisir à faire l’amour. Je me suis retournée, j’ai pris son visage entre mes mains et je l’ai embrassé sur la bouche, nos langues se sont mélangées. Elle me serra tout contre sa généreuse poitrine en posant ses deux mains sur mes fesses, qu’elle écarta. Dans la grande glace de la salle de bains elle devait voir mon cul et mon œillet fertile et accueillant, d’ailleurs une main glissa le long de ma raie et avec la délicatesse d’une femme, son majeur pénétra doucement dans mon petit trou. De mon côté ma main se faufila entre la fente de sa culotte en lui tripatouillant sa tirelire en y enfonçant deux de mes doigts.

« - Le cidre va être chaud il est servi depuis longtemps mesdames. » Nous dit une voix du bas de l’escalier, ce qui mis fin à nos papouilles et c’était bien dommage, j’adore mon intime copine. Nous avons terminé les débris de crêpes avant que j’en fasse sauter d’autres pour le repas du soir.

Etre échangiste est toujours tentant afin de rompre avec la monotonie du quotidien et le possible manque de fantaisie de la vie sexuelle. Quoi de plus excitant que d'aller à la découverte de plaisirs inédits ? Même si Annie et André sont d'accord pour échanger avec nous, il est de notre devoir de faire attention de ne pas offusquer l’un d’entre nous. L'échangisme ne doit pas être à l'origine d'une remise en question des performances sexuelles de nos hommes. Une "compétition" ne doit pas s'installer entre nous, lors de ces soirées très spéciales. Malgré la participation conjointe des deux partenaires, une forme de jalousie peut s'installer au sein du couple, et nous devons faire très attention de ne pas inquiéter et de ne pas porter trop d’attention à l’autre partenaire qui pourrait nuire à notre belle amitié. Nous sommes Bob et moi libertins depuis un certain nombre d’année et cela a renforcé notre couple. Je me souviens qu’au début, j’ai eu un peu de mal à accepter de voir mon chéri baiser une autre femme disons que j’avais une pointe de jalousie. C’est pour cela que j’essaye de soigner André en m’occupant intimement de lui en pensant qu’il serait peut être le maillon faible de notre quatuor. Pour ce qui est de ma copine je n’ai aucune crainte pour elle, je pense qu’elle est en manque de sexualité et qu’elle est à une époque de sa vie ou elle recherche de nouveaux plaisirs charnels.

En soirée nous nous sommes rhabillés pour passer à table et chacun à composé ses crêpes avec les ingrédients qu’il désirait.

Bien plus tard après-dîner, nous avons commencé notre petite sauterie à quatre en dansant dans le salon. J’ai ouvert le bal avec mon chéri en dansant un rock, ma mini jupe virevoltait dans tous les sens, montrant mes fesses aux autres danseurs qui nous avaient rejoints sur la piste. Mon mari m’échangea en m’envoyant des les bras d’André, mais je pense plutôt que c’était pour récupérer ma copine. Elle tournoyait autour de mon mari, les nichons à l’air pour son plus grand plaisir.
Nous emboîtons le pas avec une série de slows, André m’embrassa en me serrant très fort contre lui nous avons nos mains posées sur nos postérieurs dénudés pour danser. Mon homme éteignit la lumière, nous étions dans la pénombre avec pour seul éclairage la lueur du feu de bois. A côté de moi ma copine profitait pleinement de mon mari, elle avait ses deux bras autour de son cou et sa tête dans le creux de son épaule. Ils restaient pratiquement sur place et elle avait une drôle façon de danser avec les jambes écartées. En regardant de plus près, je me suis aperçue que mon chéri avait sa main dans l’échancrure de sa culotte, il lui caressait le minou.

Nous avons tellement chaud que nous aurions pu danser nu mais comme nous étions qu’en début de soirée nous voulons conserver notre tenue de carnaval pour respecter l’effort que chacun avait fait pour se déguiser, nous préférons pour le moment se désaltérer avec un peu de vin blanc.

Bien que notre tenue ne soit pas faîte pour valser, André m’entraîna au milieu de la piste et nous avons tournoyé ensemble les fesses à l’air. C’est sur que nous aurions eu un certain succès dans un dancing. Annie et Bob nous avaient rejoints, ils se sont mis à virevolter si rapidement, si bien qu’après un moment ils ne tenaient plus debout et heureusement que le canapé n’était pas loin, ils se sont affalés l’un sur l’autre en riant de bon cœur.

André en profita pour me prendre par la main et m’emmener dans la chambre. Je me suis allongée sur lit et sortant ses menottes ils les passa derrière un barreau du lit et m’attacha les deux poignées.

« - Tu m’as humilié et ridiculisé devant ma femme et ton mari en me faisant bouffer la crêpe et lécher la crème fraîche sur ta choupinette, c’est à moi maintenant de t’infliger une punition. »
Je ne savais pas qu’elle aptitude prendre sans savoir s’il plaisantait ou qu’il prenait son rôle de flic au sérieux, mais je n’en emmenais pas large. Il commença par retirer mes jarretelles pour enlever mes bas, puis délia les nœuds de ma tenue qui cachaient mes seins. En serrant fortement mes nichons entre ses mains, en aplatissant mes nénés en forme de poire, gonflant mes tétons en petite queue. Se penchant sur moi il les prit entre ses lèvres en tirant dessus. Je ne peux pas dire que cela me faisait mal, car j’éprouvais une certaine excitation. Il continua à me déshabiller en retirant cette fois mon tablier et ma petite tenue. Je me laissais faire sans pouvoir bouger mes mains.

« - Petite salope, je vois que tu aimes te montrer à poil devant moi, tournes-toi sur le côté que je vois ton petit cul de pute. »
Jamais André ne m’avait parlé comme cela, je ne savais plus trop quoi penser. Il ouvrit le tiroir de ma table de nuit pour sortir une cravache que j’avais eue en cadeau en achetant un body string en cuir sur un site de vente coquin. Il commença doucement à me fouetter les fesses avec la cravache sur mon postérieur avant de m’en remettre un petit coup. Puis la correction est devenue de plus en plus rapide et plus vive. Posant la cravache, c’est avec sa main qu’il me donna la déculotté, la fessée était tellement musclée que mes fesses me chauffaient. Je devais avoir le cul tout rouge.

« - Alors traînée, tu adores cela n’est-ce pas, je vais te baiser comme tu le mérites petite garce. »
J’avais du mal à réagir ne connaissant pas mon copain sous cet angle là, aussi lorsqu’il a voulu me retirer mon string, je me suis tordue dans tous les sens en essayant de l’en empêcher, croisant mes jambes et en me débattant, (Je ne voulais surtout pas passer pour une Chantal couche toi là) mais il a fini par me l’arracher en me mettant entièrement nue. André se déshabilla et essaya de m’écarter les jambes, comme je résistais, il attrapa de nouveau la cravache et me fouetta le pubis. Après me l’avoir bien rougit, il se jeta sur moi, avec ses cuisses musclées, il écarta les miennes, avec la force qu’il avait, je ne pouvais plus résister. Son javelot en érection trouva de suite le centre de la cible et s’y enfonça vigoureusement. Il me pilonna bestialement.
Je me suis demandé un moment si je n’étais pas la salope qu’il disait car je me suis surprise à lui rendre la réplique en soulevant ma croupe et en donnant des petits coups de rein pour répondre à ses avances. Le pire c’est que je mouillais comme une fontaine.

« - Tu vois que tu aimes cela, tu es une poule de luxe, tu adores te faire biter, tirer ta crampe, te faire mettre un coup de queue, te faire moucher la chandelle, t’en faire mettre une sur le bout sale pute. »
Jamais aucun homme ne m’avait parlé comme cela avec des mots aussi crus, grivois et obscènes mais le pire c’est que cela m’excitais et m’inondait la chatte.

André a sorti sa quéquette de mon trou trempé pour s’installer à califourchon au-dessus de ma figure, me caressant les lèvres avec son gland.

« - Suces ma chérie. » Me dit-il
Je n’avais plus la force de résister et puis je prenais maintenant un certain plaisir d’être soumise à tous ses désirs, j’ai ouvert la bouche et il m’enfonça sa queue dans la gorge que j’ai faillit m’étrangler. En même temps il me triturait les tétons entre ses doigts, qui étaient devenus de la taille d’un petit pois. Il a fait des allers retours entre mes lèvres pendant un bon moment jusqu’à ce que j’aie senti qu’il allait éjaculer. J’ai détourné la tête un peu trop tard, le premier jet de sperme se déversa dans mes amygdales et le reste me barbouilla la figure.

« - Tu vois que tu aimes que l’on te traite comme une cochonne. » Me dit-il avant de me détacher
« - Mais André pourquoi as-tu voulu m’honorer de cette façon alors que tu peux me baiser comme tu veux et quand tu veux ? Tu sais bien que mon chéri n’y voie pas d’inconvénients à ce que tu me fasses l’amour même devant lui. »
« - Tu as pris du plaisir ma chérie, n’est-ce pas ? Je ne t’ai jamais senti aussi chaude et ta petite chatte était détrempée de mouille. »
Il était redevenu gentil et m’avait pris dans ses bras pour m’embrasser. Ce qu’il disait était vrai et cette brutalité à la limite du sado-maso m’avait émoustillé les sens. La souffrance qu’il m’avait infliger en me fouettant les fesses et mon pubis avait aiguisé mon désir. Au bout d’un moment je n’ai plus senti la douleur et chaque coup de cravache stimulaient de plus en plus ma libido. La vulgarité de ses propos y était aussi pour quelque chose, ma fierté en avait prise un coup et ma dignité aussi.
Nous sommes passé dans la salle de bains avant d’aller retrouver nos concubins.

Assis sur une chaise, Annie avait les jambes de chaque côté des cuisses de mon mari, sa corolle grande ouverte, les bras autour de son cou, ils se bécotaient en riant de bon cœur. Nous nous sommes assis André et moi dans le canapé du salon pour les regarder, ils étaient tellement occupés qu’ils ne s’étaient même pas aperçus de notre présence. Je crois qu’ils ont bu plus que de raison vu les quatre bouteilles de vin blanc vides sur la table. Je ne sais pas trop ce qu’ils ont fait pendant que nous étions au lit André et moi mais ils ont du bien s’amuser, la culotte de ma copine était accrochée sur le lustre, sa tenue de bunny jonchait en désordre par terre. Mon mari avait le serre tête avec les oreilles de lapine sur la tête. Annie avait maintenant saisi le zizi de mon mari et se frottait la zézette avec, en éclatant de rire tous les deux dès que son gland entrait dans son trou en disant « hop dedans. » Prenant cela pour un jeu, ils recommençaient « hop dedans » en éclatant de rire à chaque fois qu’il y avait introduction. Ils faisaient plaisir à voir et avaient le vin gai. Elle se pencha en arrière heureusement que mon chéri la maintenait dans le dos pour qu’elle ne tombe pas et offrait ses belles aréoles et ses jolis bouts de seins pour qu’il lui tête ses totottes. Et c’était reparti de plus belle en riant aux éclats.

« - Hé ! hop dedans vous ne pensez pas qu’il serait temps d’aller au lit ? »
« - Vous étiez là ? Donnes moi mon verre mon amour. »
Bob lui passa son verre, qu’elle a bu d’une seule traite.

« - Viens au pieu avec moi mon chéri nous allons faire un bébé ensemble. »
Je savais qu’elle était bourrée, mais je m’inquiétais tout de même en demandant à André si elle avait pris ses précautions. Ils ont eu beaucoup de mal à monter les escaliers en se maintenant et en pouffant de rire.

Lorsque nous nous sommes mis au lit, elle serrait mon homme tout contre elle. Deux minutes plus tard il n’y avait plus personne, ils ronflaient tous les deux. Ma copine m’ayant abandonné, je me suis réfugiée dans les bras de son mari, j’ai eu du mal à m’endormir en pensant que j’avais pris du plaisir alors que celui-ci m’avait traité comme une traînée, une catin.

Le lendemain matin Annie et mon chéri sont descendus avec la gueule de bois, je leur ai fait un bol de café fort et j’ai donné un cachet à ma copine qui avait mal à la tête et n’a même pas déjeuné. Elle ne devait vraiment pas être bien. Nous avons prit congé d’eux en leur donnant leur manteau, je me suis aperçue qu’elle n’avait rien sur le cul sous son court costume de lapine.

« - Tu as vu que tu as oublié de mettre ta culotte ma chérie. »
« - Oui, je sais, je ne l’ai pas retrouvé. »
« - Moi je sais où elle se trouve, hier soir tu l’as jeté et elle est accrochée au lustre du salon. »
« - Tant pis je ne me redéshabille pas, de toutes façons pour ce qu’elle cache, j’en ai pas besoin. Embrasse-moi plutôt et excuse-moi de mettre ainsi accaparé de ton mari. »
« - Ce n’est rien, être libertin et échangiste c’est aussi cela, mais je suis rassurée de savoir que je ne serais pas la marraine d’un petit que vous auriez fait tous les deux. »





































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