Un produit miracle 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 310 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 557 971 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 751 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un produit miracle 2
Paul se rend chez, son frère Roger et sa femme, Aude (il faut dire que sa belle-sœur, est une chaudasse du cul d'après les dire de son mari). Il leur parle à son de son fantasme que partage par sa femme Lucie.
Aude écarquille les yeux, elle n'en croit pas ses oreilles. Elle déglutit bruyamment, en se demandant si ce que raconte son beau-frère est exacte. Paul réitère sa demande, Roger regarde sa femme qui a les yeux qui pétillent comme du champagne. Le regard qu'ils échangent est sans ambiguïté. C'est en cœur qu'ils opinent de la tête pour confirmer leur approbation.
Roger regarde son frère et lui dit :
-Oh putain, si tu savais depuis combien de temps que j'ai envie de me la faire ta femme, j'espère que ce n'est pas une blague !
Paul en souriant répond :
-Bien sûr que c'est vrai, je veux voir ma femme se faire défoncer par un autre, et le choix, c'est posé sur toi et j'ajoute, bien qu'elle ne soit pas lesbienne, elle veut tenter cela avec Aude, si elle est d'accord bien sûr !
Aude jubile, son visage rayonne de bonheur, elle dit en béguant :
-Oh oui, je veux bien, elle ne me laisse pas indifférente Lucie, ouah, je mouille rien qu'en y pensant, je vais la bouffer !
Son mari l'enlace et lui dit en souriant :
-Mais tu es une grosse salope la chérie, depuis le temps que tu me parles d'une double pénétration, mon frère et moi nous exaucerons t'en souhait ma chérie !
Excités, ils prennent rendez-vous pour le jour même. Paul rentre chez lui en se frottant les mains, une partouse, c'est un fantasme qu'il le taraudait depuis de nombreuses années. Il enlace sa femme et l'embrasse fougueusement, avant de lui annoncer la bonne nouvelle. Le coquin passe sa main sous la jupe et la plaque contre la chatte, qui comme par miracle humidifie la culotte. Paul s'écarte un peu et en souriant dit :
-Je vois que la nouvelle te fait mouiller, hum, j'aime quand tu es salope !
Il la bascule sur le bord de la table, lui retrousse la jupe et lui retire avec brutalité la culotte. Il lui ouvre les jambes, avance sa tête entre les cuisses et hume fortement la fente suintante, qui libère les effluves odorantes. Il lui dit :
-Surtout ne te lave pas, je veux qu'ils hument la bonne odeur de ta chatte ma chérie !
Avant de se redresser, il lui pince le clito et lui dit :
-Branle-toi, ma chérie, branle-toi, j'aime te voir jouir, vas-y, vas-y !
Sans se le faire répéter, Lucie saisit sa boule de chair et commence un branlage vigoureux. Elle grimace, serre les dents, car le branlage est énergique. Paul ne quitte pas des yeux la chatte en effervescence. Lucie agite son bassin, en geignant. Soudain, elle se cabre et dit :
-Ça vient, ça vient, ouah ouiiiiiiii!
Elle se tend comme un arc et explose en poussant un long râle. En haletant, elle descend de la table et embrasse son mari longuement. Il lui, conseil de ne pas remettre sa culotte, le bougre caresse la chatte dégoulinante de jus. Il enfonce deux doigts dans le conduit, le ramone un court instant, ressort les intrus, et les donne à sucer à Lucie. Elle suce longuement, les doigts enduit de cyprine, lèche entre les doigts, pour ne rien laisser perdre. La coquine pousse des hum de plaisirs, à chaque coup de langue.
Après le déjeuner, les deux attendent leurs futurs amants. Enfin Aude et Roger arrivent. Après quelques verres, ils se décident à entrer en action. C'est en s'épiant que les quatre commencent à se dévêtir. Les formes des femmes ne laissent pas indiffèrent les mâles excités. Roger rapidement à la verge qui se raidit. Lucie regarde la bite bien épaisse, elle ravale sa salive en imaginant l'engin plein de vie lui labourer le ventre. Aude n'est pas lésée, car celle de son beau-frère est également bien grosse.
Aude contemple le corps de Lucie avec envie, elle pousse de nombreux soupires, en scrutant chaque parcelle de son corps. Elle s'avance, elle pose ses mains sur sa poitrine, en salivant et en miaulant, elle presse les lobes, les soupèse, pour en connaitre la texture. Lucie est rouge écarlate de honte, sa respiration s'accélère, son souffle devient court.
Les deux hommes sont sans voix, ils regardent avec intérêt les gestes habiles d'Aude qui maintenant malaxent les seins généreux de Lucie, qui grimace lorsque les doigts de sa belle-sœur s'enfoncent dans ses chairs pour les pétrir fortement. Les grimaces et les soupirs profonds que pousse Lucie, éveillent les sens des deux voyeurs. Lentement, les verges se dressent, sur les bas-ventres velus des deux hommes qui ne peuvent s'empêcher de les agiter, en serrant les dents. Aude bascule doucement sa belle-sœur sur le canapé, et pose sa bouche sur la poitrine qui se raffermit de plus en plus.
Elle aspire les mamelons, les suce, les tète comme une vorace. Les gémissements que pousse Lucie sont très explicites, elle ouvre grandement la bouche, des râles rauques sortent de sa gorge. Son corps se contracte, il est parcouru de frissons incontrôlables. Les deux voyeurs peuvent voir un filet de jus s'échapper de la chatte de Lucie, qui humidifie le canapé.
Aude délaisse les seins. Sa bouche a efficacement travaillé les mamelons pour les faire doubler de volume. Les mats de chair sont devenus larges et très épais. Soudain, elle les prend entre ses longs doigts, et les presse fortement. Le râle que pousse Lucie fait sursauter les deux hommes. Aude roule les mamelons entre ses doigts, les étire pour faire gémir sa belle-sœur.
Après les avoir encore repris en buche, et les sucer comme une affamée, elle décide de les libérer. Sa bouche descend sur le torse en l'embrassant, le ventre plat n'est pas épargné. La langue habile, fouille un instant le nombril en faisant cabrer Lucie. Mais dès qu'elle pose sa bouche sur le temple en ébullition, Lucie pousse un long gémissement.
Sa chatte rejette le surplus de cyprine, Aude se gave de ce nectar si généreusement offert par Lucie. Paul tend la fiole à Aude qui se demande ce que c'est. Après une courte explication, Aude plonge son doigt dans le liquide et avant de l'introduire dans la chatte, elle le passe sur le clito, les grandes lèvres. L'effet est immédiat, le clito devient énorme, les grandes lèvres enflent affreusement. Aude regarde avec émerveillement, la vulve changeait.
Elle aspire le clito et le suce férocement, en grognant comme une bête qui dévore sa proie. La chatte expulse sa cyprine en continu, le visage d'Aude est trempé. Mais la vorace continue de dévorer le clito. Une puissante jouissance fait hurler Lucie, une giclée terrible jaillit de la chatte et remplit la bouche de la suceuse, qui doit retirer sa tête tellement la décharge est puissante.
Aude écarquille les yeux, elle n'en croit pas ses oreilles. Elle déglutit bruyamment, en se demandant si ce que raconte son beau-frère est exacte. Paul réitère sa demande, Roger regarde sa femme qui a les yeux qui pétillent comme du champagne. Le regard qu'ils échangent est sans ambiguïté. C'est en cœur qu'ils opinent de la tête pour confirmer leur approbation.
Roger regarde son frère et lui dit :
-Oh putain, si tu savais depuis combien de temps que j'ai envie de me la faire ta femme, j'espère que ce n'est pas une blague !
Paul en souriant répond :
-Bien sûr que c'est vrai, je veux voir ma femme se faire défoncer par un autre, et le choix, c'est posé sur toi et j'ajoute, bien qu'elle ne soit pas lesbienne, elle veut tenter cela avec Aude, si elle est d'accord bien sûr !
Aude jubile, son visage rayonne de bonheur, elle dit en béguant :
-Oh oui, je veux bien, elle ne me laisse pas indifférente Lucie, ouah, je mouille rien qu'en y pensant, je vais la bouffer !
Son mari l'enlace et lui dit en souriant :
-Mais tu es une grosse salope la chérie, depuis le temps que tu me parles d'une double pénétration, mon frère et moi nous exaucerons t'en souhait ma chérie !
Excités, ils prennent rendez-vous pour le jour même. Paul rentre chez lui en se frottant les mains, une partouse, c'est un fantasme qu'il le taraudait depuis de nombreuses années. Il enlace sa femme et l'embrasse fougueusement, avant de lui annoncer la bonne nouvelle. Le coquin passe sa main sous la jupe et la plaque contre la chatte, qui comme par miracle humidifie la culotte. Paul s'écarte un peu et en souriant dit :
-Je vois que la nouvelle te fait mouiller, hum, j'aime quand tu es salope !
Il la bascule sur le bord de la table, lui retrousse la jupe et lui retire avec brutalité la culotte. Il lui ouvre les jambes, avance sa tête entre les cuisses et hume fortement la fente suintante, qui libère les effluves odorantes. Il lui dit :
-Surtout ne te lave pas, je veux qu'ils hument la bonne odeur de ta chatte ma chérie !
Avant de se redresser, il lui pince le clito et lui dit :
-Branle-toi, ma chérie, branle-toi, j'aime te voir jouir, vas-y, vas-y !
Sans se le faire répéter, Lucie saisit sa boule de chair et commence un branlage vigoureux. Elle grimace, serre les dents, car le branlage est énergique. Paul ne quitte pas des yeux la chatte en effervescence. Lucie agite son bassin, en geignant. Soudain, elle se cabre et dit :
-Ça vient, ça vient, ouah ouiiiiiiii!
Elle se tend comme un arc et explose en poussant un long râle. En haletant, elle descend de la table et embrasse son mari longuement. Il lui, conseil de ne pas remettre sa culotte, le bougre caresse la chatte dégoulinante de jus. Il enfonce deux doigts dans le conduit, le ramone un court instant, ressort les intrus, et les donne à sucer à Lucie. Elle suce longuement, les doigts enduit de cyprine, lèche entre les doigts, pour ne rien laisser perdre. La coquine pousse des hum de plaisirs, à chaque coup de langue.
Après le déjeuner, les deux attendent leurs futurs amants. Enfin Aude et Roger arrivent. Après quelques verres, ils se décident à entrer en action. C'est en s'épiant que les quatre commencent à se dévêtir. Les formes des femmes ne laissent pas indiffèrent les mâles excités. Roger rapidement à la verge qui se raidit. Lucie regarde la bite bien épaisse, elle ravale sa salive en imaginant l'engin plein de vie lui labourer le ventre. Aude n'est pas lésée, car celle de son beau-frère est également bien grosse.
Aude contemple le corps de Lucie avec envie, elle pousse de nombreux soupires, en scrutant chaque parcelle de son corps. Elle s'avance, elle pose ses mains sur sa poitrine, en salivant et en miaulant, elle presse les lobes, les soupèse, pour en connaitre la texture. Lucie est rouge écarlate de honte, sa respiration s'accélère, son souffle devient court.
Les deux hommes sont sans voix, ils regardent avec intérêt les gestes habiles d'Aude qui maintenant malaxent les seins généreux de Lucie, qui grimace lorsque les doigts de sa belle-sœur s'enfoncent dans ses chairs pour les pétrir fortement. Les grimaces et les soupirs profonds que pousse Lucie, éveillent les sens des deux voyeurs. Lentement, les verges se dressent, sur les bas-ventres velus des deux hommes qui ne peuvent s'empêcher de les agiter, en serrant les dents. Aude bascule doucement sa belle-sœur sur le canapé, et pose sa bouche sur la poitrine qui se raffermit de plus en plus.
Elle aspire les mamelons, les suce, les tète comme une vorace. Les gémissements que pousse Lucie sont très explicites, elle ouvre grandement la bouche, des râles rauques sortent de sa gorge. Son corps se contracte, il est parcouru de frissons incontrôlables. Les deux voyeurs peuvent voir un filet de jus s'échapper de la chatte de Lucie, qui humidifie le canapé.
Aude délaisse les seins. Sa bouche a efficacement travaillé les mamelons pour les faire doubler de volume. Les mats de chair sont devenus larges et très épais. Soudain, elle les prend entre ses longs doigts, et les presse fortement. Le râle que pousse Lucie fait sursauter les deux hommes. Aude roule les mamelons entre ses doigts, les étire pour faire gémir sa belle-sœur.
Après les avoir encore repris en buche, et les sucer comme une affamée, elle décide de les libérer. Sa bouche descend sur le torse en l'embrassant, le ventre plat n'est pas épargné. La langue habile, fouille un instant le nombril en faisant cabrer Lucie. Mais dès qu'elle pose sa bouche sur le temple en ébullition, Lucie pousse un long gémissement.
Sa chatte rejette le surplus de cyprine, Aude se gave de ce nectar si généreusement offert par Lucie. Paul tend la fiole à Aude qui se demande ce que c'est. Après une courte explication, Aude plonge son doigt dans le liquide et avant de l'introduire dans la chatte, elle le passe sur le clito, les grandes lèvres. L'effet est immédiat, le clito devient énorme, les grandes lèvres enflent affreusement. Aude regarde avec émerveillement, la vulve changeait.
Elle aspire le clito et le suce férocement, en grognant comme une bête qui dévore sa proie. La chatte expulse sa cyprine en continu, le visage d'Aude est trempé. Mais la vorace continue de dévorer le clito. Une puissante jouissance fait hurler Lucie, une giclée terrible jaillit de la chatte et remplit la bouche de la suceuse, qui doit retirer sa tête tellement la décharge est puissante.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tes récits sont toujours excitants, chère Linsee
Cyrille
Cyrille
Bravo Linsee ton texte est toujours incroyable et nous embarque avec le produit miracle la suite risque d’être super sexuelle et très chaude. DANIEL