Un râteau ou un bar gay ?
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un râteau ou un bar gay ?
J’ai raconté précédemment une série de mes histoires entre garçons. Notamment avec « frères de sperme » où j’évoque mes dix-huit ans puis « Son garçon devient son chien » qui relate le moment où j’étais devenu une lope, un jouet mis en partage… Aujourd’hui, marié, j’ai des aventures homosexuelles, le plus souvent passif et soumis, quand je suis en déplacement professionnel. Lors de mon dernier voyage, je pensais avoir fait une belle rencontre autour d'un verre. Un beau garçon bronzé,40 à 45 ans. Il était seul à une table sur la terrasse et je cherchais un coin pour boire un coup car les premières chaleurs me donnent soif. Comme il y avait plein de monde dehors, je lui avais demandé s'il acceptait que je prenne la chaise libre à côté de lui. Je lui ai proposé de prendre un verre avec moi et nous avons longtemps parlé de tout et de rien... Comme de temps, il jetait un coup d’œil à gauche et à droite, je lui ai dit qu'avec le printemps les belles filles sortaient en jupette.
Il m'a répondu que les beaux garçons se montraient également mais pas encore en short. Je l'ai regardé d'un air interrogatif et il m'a souri en passant la langue sur ses lèvres.
Pas de doute à mon avis, ce garçon apprécie la compagnie de hommes. Mais je devais en savoir davantage et j'ai joué à quitte ou double. J'ai approché ma chaise de lui j'ai juste posé la main sur son genou. C'était mon jour de chance, il n'a pas bronché. Puis m'a demandé mon 06 que je lui ai donné immédiatement. Il m'a alors envoyé une photo de lui ; sa figure était floutée et il était quasi nu. Juste un mini maillot de bain qui avait du mal à cacher son appareil reproducteur.
Je lui ai adressé un SMS en réponse : "tu me plais, es-tu libre maintenant ?"A voix basse, il m'a dit qu'il était actif et aimait sortir avec des hommes plus murs que lui. Je lui ait assuré que si j'étais actif pour les préliminaires, les caresses et pour sucer, ma chatte était disponible pour accueillir les actifs. Je prenais alors soin de préciser d'une part que je logeais à l'hôtel pas loin et aussi que pour moi faire l'amour, c'était toujours sans risque.
Il a rigolé et m'a dit qu'en chasse, il sortait toujours couvert. Après avoir passé une main dans sa poche il a déposé une capote sur la table. Je me suis senti rougir et je l'ai ramassée avant que des personnes ne s'en aperçoivent.
- "Ne soit pas timide m'a-t ’il dit, ici, chacun est libre de draguer et tu ne t'es pas privé de me caresser la cuisse".
C'est vrai, ma main se baladait entre son genou et son pubis.
Il m’alors dit qu'il devait passer voir son frère dont la femme était malade et qu'il me rejoindrait dans une heure. Il me précisait qu'il m'enverrait un SMS pour que je descende l'accueillir vers 20 heures comme ça l'hôtelier ne poserait pas de question et nous pourrions concrétiser une belle la nuit d'amour torride.
J'ai réglé la note et nous sommes partis chacun de notre côté puis j'ai acheté quelques en-cas et boissons que j'ai montés dans la chambre que j'avais louée. Comme toujours c'est une chambre avec un grand lit. J'ai pris une douche pour me préparer puis j’ai enfilé un slip boxer sexy que j’ai acheté exprès.
Le temps a passé vite, j'avais mis la TV. Je suis chaud bouillant, notre conversation et la promesse faites me font bander. Un peu avant 20h, un SMS "petit contretemps, je serais en retard"A 20h30, je sors de l'hôtel et comme il n'y a personne, j'envoie un message "Où es-tu ? ».
J’attends un moment en faisant les cent pas devant l’hôtel tout en guettant chaque extrémité de la rue. J’ai toujours l’espoir de le voir arriver tant il m’a semblé intéressé par notre premier échange. Au moment où je commence à désespérer un sms arrive. « Désolé, mon frère reste à l’hôpital avec sa femme et je dois rester garder ses enfants ». Zut, zut et zut, désolé ! il est gonflé et moi alors... Je suis en train de rédiger une réponse du genre « Tu te moques de moi, tu fais ch… » lorsque je reçois un appel. Il m’explique être lui aussi furieux mais qu’il ne se voit pas abandonner ses neveux ce soir et il me propose d’autres dates. Ces propositions me prouvent sa bonne foi, aussi je me calme mais je ne peux fixer de date avec lui car je ne suis pas parisien.
Je retourne, déçu, dans ma chambre. Je crois que je suis condamné à une petite branlette en solitaire. J’ai quelques vidéos de « jeunes garçons gays » pour me mettre en condition. Pourtant, une fois revenu dans la chambre, je tourne en rond, je ne me résous pas à me limiter a du virtuel. Je suis à Paris, j’ai oublié de le dire, je devrais trouver du réel. Sur mes deux sites préférés, peu de connectés ; des propositions pour Skype mais rien pour du réel maintenant. Je cherche donc un lieu de rendez-vous pour boire un verre et qui sait faire une rencontre même s’il commence à être tard.
C’est comme cela que je découvre le « One-Way » rue charlot. Un bar qui a la bonne idée de proposer au sous-sol une black room, une table rembourrée et un Sling. Seul le prix des consommations est affiché, je verrais bien. Je prends avec moi un peu d’argent liquide et Je me rhabille en prenant soin d’enfiler sous mon pantalon une culotte de dentelles. Est-il utile de préciser que l’arrière est assez ouvert pour ne laisser aucune ambiguïté sur ce que je souhaite. Une vingtaine de minutes plus tard, je suis dans la rue et je pousse la porte.
Le bar est petit, semble convivial, des groupes discutent, une petite dizaine d’hommes en tout installés au bar et autour de tables. Je m’assois au bar et commande une bière. Apparemment beaucoup d’habitués. Ils m’ont observé puis sont retournés à leurs échanges. Je regarde autour de moi et je vois pour commencer un écran de TV qui diffuse un film gay. Schéma habituel caresses et suçons. J’espère que ce n’est pas la principale animation du bar. Au fond de la pièce un escalier va vers le sous-sol et une pancarte affiche « c’est par ici ! ». Lorsque j’ai payé ma bière, je demande au barman si l’accès au sous-sol est libre. Il me répond par l’affirmative tout en me montrant l’escalier.
Je descends donc avec mon verre… Curieusement, le sous-sol à l’air plus grand. Lumière tamisée sur une base de lampes rouges. En bas des marches je croise un client tout habillé, comme moi. La cinquantaine, environ 1m70, bien habillé, un peu enrobé, l’air pensif. Il s’écarte et baisse les yeux lorsque je passe devant lui. Un timide sans doute. Une première partie du sous-sol, le long d’un couloir donne sur deux petites pièces. Dans l’une, un mec assis, le pantalon en bas des jambes se fait sucer par un autre qui est à genoux. J’hésite à caresser le cul de celui-ci mais ses fesses me semblant assez flasques, je préfère voir le reste du sous-sol avant. La seconde pièce est vide et au fond se trouve le Sling vide lui aussi. De l’autre côté, un grand urinoir dont le mur est en ardoise noire, le sol carrelé en blanc. J’en profite pour me soulager et je pense qu’il doit aussi servir pour les parties crades, ce qui n’est pas mon truc ! juste après un passage et au fond une pièce séparée par un rideau de lanières en plastique transparent. J’entre, des tabourets, des étagères où des verres vides ont été abandonnés, peut-être parce que les mains étaient occupées ailleurs. Un écran de TV avec les mêmes figurants que le film d’en haut. Une table basse large de 40cm seulement et longue d’un mètre environ est recouverte de similicuir noir. Sa forme évoque vaguement la tête et le tronc d’un homme ! Je termine mon verre et le pose à côté des autres.
Quand je retourne vers l’autre côté du couloir, le couple a changé de lieu et de position. L’homme nu est maintenant suspendu dans le baudrier, pieds dans les étriers, cuisses ouvertes, offert. L’autre qui a été bien sucé dirige sa bite vers l’orifice du premier. Il l’enfile facilement à cru ! peau contre peau ! Chair libre dans le conduit nu ! Des habitués sans doute. Le Sling étant dans un espèce de couloir entre un mur et une cloison je dois rester en arrière. Je regarde donc les mouvements des hanches et du bassin qui impriment des mouvements répétitifs. Autant le cul du passif ne m’a pas inspiré lorsque que je l’ai vu à genoux faire une fellation, autant les fesses de son compère me plaisent lorsqu’elles s’agitent d’avant en arrière pour que sa queue coulisse dans le trou offert. J’entends le bruit de ses bourses qui claquent à chaque coup de boutoir. J’approche une main de ces lobes charnus qui m’obsèdent par leur fermeté et passe la main dans le sillon. Suis-je allé trop vite ? En tout cas, l’intéressé retire ma main.
Je m’éloigne un peu et, je m’aperçois que la cloison comporte deux ouvertures qui permettent de regarder la scène. D’une main, le passif se caresse un téton tandis que son autre main se déplace dans sa bouche pour sucer ses doigts et les lubrifier puis descend vers sa queue qu’il empoigne pour la branler. Je reste un peu car le mec actif est bien monté et j’admire sa belle queue bandée qui prend son plaisir en s’engouffrant dans le tunnel. Lorsqu’elle ressort de toute sa longueur, je remarque le gland large dont la corolle, comme une tête de champignon est plus large que la tige. Je comprends à ses soupirs que ces mouvements lui font du bien. Tout à coup le passif abandonne sa queue pour se triturer les deux tétines. « Branle-moi ! » dit-il à son Roméo. Ce dernier l’empoigne tout en accélérant la cadence de sa main et de ses couilles. Le passif gicle tout en poussant un cri de jouissance. Son sperme s’écoule comme une petite flaque autour de son nombril… L’actif a retiré sa main de la queue qui ramollit. Maintenant, il tient fermement les cuisses de sa femelle, s’y agrippe de toutes ses forces avec ses deux mains et poursuit sa besogne. J’entends son souffle rauque à chaque mouvement de pénétration. « Han, han, han, tu aimes ça salope ! » et de plus en plus vite « Han, Han… OUI ! ! ! ! ». Il s’écroule alors sur son ami (e) et reste ainsi quelques instants, reprenant sa respiration il dit : « je t’ai fourré comme il faut, fécondé comme une garce, j’ai bien graissé ta chatte, tu as pris ton pied et moi aussi ». Il se retire doucement. D’une main il essuie le foutre resté dans le nombril et le donne à laper à sa salope en lui disant : « Ne bouge pas, Il ne faut rien gaspiller. Tu vas aussi sucer mon chibre pour le nettoyer et tu devras également bouffer toute la semence que ton cul expulsera ! ». Pendant qu’il parle, il pose sa main à la sortie du trou à bites afin de récupérer le lait qui commence à sortir.
J’en ai assez vu, je m’éloigne. Je suis dépité. Si j’étais venu plus tôt, au lieu d’attendre, ce serait peut-être moi qui aurait pris cette bonne verge. Au lieu d’être encore habillé, la queue dressée et serrée dans mon pantalon, je serais là, nu, repus d’avoir sucé puis d’avoir été caressé, possédé, baisé… J’aurais joui et j’en aurais pris plein les entrailles, comme l’autre. Pourtant non. Pas tout à fait comme cette femelle. Non, je suis plus prudent. J’aurais demandé le sexe sans risque et exigé une capote d’autant qu’il y en a dans chaque coin de cette cave. J’aurais bien sûr dégusté ma mouille mais pas la sienne !
Il n’y a plus personne d’autre en bas et je me prépare à remonter lorsque le « timide » que j’ai croisé tout à l’heure redescend. Je n’entends pas laisser passer ma chance une autre fois. Je le salue en le regardant dans les yeux. Il hésite. Je lui demande : « tu as un moment ? » C’est un petit « oui » qui sort de sa bouche. Je m’approche près de lui pour lui faire un baiser au coin de la bouche. Il ne réagit pas… Je passe donc ma main dans son dos pour me serrer contre lui. Il accepte mon baiser sur la bouche que je pénètre de ma langue. Il répond bien avec la sienne.
La glace est rompue, maintenant je dois pousser mon avantage et après s’être bécotés un moment, je lui propose de rejoindre un coin tranquille. Il semble hésiter alors je le prends par la main et le guide vers la pièce derrière le rideau transparent. En passant, je vois que le couple du Sling est toujours occupé. Pour le moment, je pense que je dois y aller doucement avec le gars que j’emmène avec moi ! Après les préliminaires, peut-être sera-t-il assez chaud pour oublier sa timidité et alors je lui proposerais de faire un tour de balancelle.
Nous sommes maintenant dans la pièce légèrement éclairée de spot rouges. Il y fait chaud. J’enlève mon polo que je pose sur une chaise et le regarde en face. Il ne bouge pas… Je m’approche pour poser un baiser sur sa bouche qu’il entrouvre. Je le serre dans mes bras et glisse ma langue entre ses lèvres. Tandis que d’une main j’enserre son dos, de l’autre je caresse son petit cul rebondi. J’enroule ma langue autour de la sienne… Lentement, il commence à participer. Il répond à mes avances en suçant ma langue puis mes lèvres. Le voilà qui se décoince. Je le relâche un peu pour lui ôter son teeshirt qui rejoint mon polo. Reprenant mes baisers, je caresse son dos, passe l’autre main sur son torse pour lui titiller les tétons. Je fais durer le plaisir… je déboutonne alors ma chemise. Nous sommes toujours debout. Je cesse de l’embrasser, prend entre mes deux mains sa tête et la dirige vers mon torse. Il comprend et suce mes tétines, l’une après l’autre.
Je profite de ce moment pour retirer entièrement ma chemise. Puis je défais sa ceinture et ouvre son pantalon que je baisse. Sous son jean il porte un boxer noir « Puma ». Par-dessus ce dernier, j’effleure son sexe encore au repos. Après lui avoir relevé la tête, je reprends le bouche-à-bouche. Comme il commence à me caresser le torse, j’en profite pour palper ses fesses ainsi mes mains prennent son bassin en étau… Visiblement il attend que je prenne l’initiative, alors au bout d’un moment, je m’accroupis et baisse d’un seul coup son Puma. Je découvre deux belles couilles poilues que je saisis pour les soupeser et les malaxer ! Sa queue est encore demi-molle alors, je n’hésite pas, tire sur le prépuce afin de dégager son gland et en embrasse le bout. Je le regarde, il ne dit rien, ne bouge pas non plus. Ma langue commence à entourer sa corolle puis ce sont mes lèvres qui enserrent cet objet de mon désir. Tout en lui tenant les burnes, je commence un mouvement de coulisse le long de sa verge avec mes doigts puis avec ma bouche. Quand je tente de glisser un doigt entre ses lobes, il se contracte, aussi je vais lui laisser le temps de me dire ce qu’il recherche. Comme il me semble long à bander, je commence à croire qu’il est surtout passif mais je ne vais pas attenter à son fondement sans en être certain.
Je me relève donc et comme je suis seulement torse nu, j’enlève chaussures et pantalon. Je conserve mes chaussettes (je préfère sur le sol de cette cave) et le slip boxer que j’avais enfilé pour mon rendez-vous raté. Je suis presque nu. En effet c’est plutôt un string en lingerie transpirante comme dit la pub « Tiaobug » ; la ceinture d’une dizaine de centimètres de hauteur est en dentelle brodée de fleurs. Des jarretières descendent à la moitié de mes cuisses et se terminent sur chaque jambe par une sangle qui simule le haut d’un bas invisible. A l’avant la poche ajourée cache à peine mon sexe d’autant que celui-ci, tendu à tendance à déborder. L’arrière est ouvert pour permettre facilement l’accès même à ceux qui n’auraient pas le temps de me foutre à poil ! J’aime aussi montrer mon souhait d’être pris par ce côté. « Habillé » comme ça, je lui tourne autour. Il n’a pas bougé, gardé ses chaussures et conserve donc slip et pantalon en bas des jambes. Sa queue est ramollie. Je reprends sa bouche comme au début, il aime et me glisse sa langue à l’intérieur pour jouer avec mes joues puis suce mes lèvres. Il palpe maintenant mon chibre de plus en plus raide. Je lui demande de ne pas aller trop vite. En effet, cela fait près de trois heures que j’espère conclure mais il ne faudrait pas le faire trop vite.
Je m’accroupis pour lui refaire une sucette parce que je constate que rien de bien raide ne se profile. Il m’arrête et s’agenouille pour me retirer mon cache sexe. Enfin, il prend l’initiative. Il aurait pu me dire qu’il n’aime pas les sous-vêtements en dentelle ! C’est vrai, maintenant que je suis vraiment nu, tout nu car j’ai lissé mon pubis et la raie de mon cul avec une crème dépilatoire, je suis un garçon sans nul doute possible, bandé comme mec prêt à saillir tout chat ou chatte disponible ! Puisqu’il semble vouloir un homme, je vais m’en occuper. Je passe dans son dos pour mâchouiller ses lobes et les écarter. Je vais lui sucer l’œillet pour l’attendrir. J’ai aussi prévu d’enduire le sillon de gel lubrifiant avant de le dilater avec mes doigts. J’ai repéré une réserve de capotes sur l’étagère.
Comme son pantalon est en bas de ses jambes, il ne pourra pas écarter largement ses cuisses ! Je commence donc à défaire les lacets de ses chaussures mais il me retient et me pousse pour que je m’allonge sur le banc. Bon, s’il prend les choses en main, je me laisse faire. En effet, dès que je suis allongé, il prend en main mes burnes pour les triturer. Il fait ça bien, tire sur les bourses puis suce une de mes noisettes. Il enserre ma seconde glande entre ses doigts et la serre doucement puis change de geste pour encercler mes boules qu’il comprime. C’est fort, c’en est presque douloureux… Il alterne toutes ces palpations tantôt en douceur tantôt fortement. Selon ses gestes, je réagis par des murmures de contentement ou des couinements de douleur. J’aimerais maintenant qu’il me suce la bite et me caresse l’œillet car je ne vais pas tenir longtemps comme ça… Mais il se relève.
Il remonte son pantalon à mi-cuisses et passe une jambe de chaque côté du banc de baise. Il s’allonge sur moi pour m’embrasser. Je le serre entre mes bras. Visiblement il aime prendre ma bouche, ma langue et mes lèvres. Il fait ça très bien et durant un long moment nous nous bécotons comme de jeunes amoureux qui ne sauraient pas ou n’oseraient pas aller plus loin. Lentement je descends une main vers ses fesses que je caresse puis des deux mains je les écarte afin de glisser un doigt entre les deux. Je vais atteindre son puit pour l’assouplir car, installé comme il est, il lui suffira de s’asseoir pour s’empaler sur mon pieu… Pourtant ce serait mieux s’il enlevait son pantalon !
A t’il deviné mon souhait ? Il se relève, reprend mes couilles dans une main, ma queue dans l’autre et sans plus attendre il me branle à fond. Il me serre le manche puis frotte sa paume sur le bout de mon gland. Je ne tiens pas plus de quelques secondes à ce rythme. OUI ! cela fait trop longtemps que, ce soir, j’attends ce moment. Je suis en transe, tout mon corps se tétanise, je suis bandé comme un arc et je jouis. Mon foutre gicle en l’air… Il continue ma masturbation ! Tandis que quelques petits jets se répandent sur moi, je respire à grands coups et pousse des gémissements qui signifient ma satisfaction lubrique…Peu à peu, je me détends et reprend mon calme. Mon cul est resté vierge ce soir mais j’ai pris le plaisir qui se présentait. C’était rudement bon ! Mon compagnon s’essuie la main dans son caleçon quand je me relève. Je l’embrasse… Entre deux baisers, je le remercie. Son tour est venu, je lui propose de s’allonger pour lui rendre le plaisir qu’il m’a donné. Il fait non de la tête… Que souhaite-t-il ? « On peut aller au Sling, il devrait être libre maintenant ? Mais non. Il a relevé son caleçon, son pantalon s’est saisit de son teeshirt. Je tente une autre proposition :- Veux-tu boire un coup ? Je te l’offre ?
En disant cela j’espère qu’ensuite nous redescendrons pour une nouvelle séance. Il a enfilé son tee-shirt… Il remonte sans rien dire. Je me rhabille prestement mais lorsque j’accède au rez-de-chaussée il est déjà sorti du bar. Je prends donc un verre seul tandis que certains clients me regardent en coin. Pensent-ils à ce qui s’est passé en bas ? Sans doute y sont-ils passé avant nous ! Les discussions entre amants reprennent. Un peu plus tard, quand je sors, je me demande si je n’aurais pas dû sortir plus vite… Peut-être qu’il m’attendait dehors ? Je ne le saurais jamais.
Il m'a répondu que les beaux garçons se montraient également mais pas encore en short. Je l'ai regardé d'un air interrogatif et il m'a souri en passant la langue sur ses lèvres.
Pas de doute à mon avis, ce garçon apprécie la compagnie de hommes. Mais je devais en savoir davantage et j'ai joué à quitte ou double. J'ai approché ma chaise de lui j'ai juste posé la main sur son genou. C'était mon jour de chance, il n'a pas bronché. Puis m'a demandé mon 06 que je lui ai donné immédiatement. Il m'a alors envoyé une photo de lui ; sa figure était floutée et il était quasi nu. Juste un mini maillot de bain qui avait du mal à cacher son appareil reproducteur.
Je lui ai adressé un SMS en réponse : "tu me plais, es-tu libre maintenant ?"A voix basse, il m'a dit qu'il était actif et aimait sortir avec des hommes plus murs que lui. Je lui ait assuré que si j'étais actif pour les préliminaires, les caresses et pour sucer, ma chatte était disponible pour accueillir les actifs. Je prenais alors soin de préciser d'une part que je logeais à l'hôtel pas loin et aussi que pour moi faire l'amour, c'était toujours sans risque.
Il a rigolé et m'a dit qu'en chasse, il sortait toujours couvert. Après avoir passé une main dans sa poche il a déposé une capote sur la table. Je me suis senti rougir et je l'ai ramassée avant que des personnes ne s'en aperçoivent.
- "Ne soit pas timide m'a-t ’il dit, ici, chacun est libre de draguer et tu ne t'es pas privé de me caresser la cuisse".
C'est vrai, ma main se baladait entre son genou et son pubis.
Il m’alors dit qu'il devait passer voir son frère dont la femme était malade et qu'il me rejoindrait dans une heure. Il me précisait qu'il m'enverrait un SMS pour que je descende l'accueillir vers 20 heures comme ça l'hôtelier ne poserait pas de question et nous pourrions concrétiser une belle la nuit d'amour torride.
J'ai réglé la note et nous sommes partis chacun de notre côté puis j'ai acheté quelques en-cas et boissons que j'ai montés dans la chambre que j'avais louée. Comme toujours c'est une chambre avec un grand lit. J'ai pris une douche pour me préparer puis j’ai enfilé un slip boxer sexy que j’ai acheté exprès.
Le temps a passé vite, j'avais mis la TV. Je suis chaud bouillant, notre conversation et la promesse faites me font bander. Un peu avant 20h, un SMS "petit contretemps, je serais en retard"A 20h30, je sors de l'hôtel et comme il n'y a personne, j'envoie un message "Où es-tu ? ».
J’attends un moment en faisant les cent pas devant l’hôtel tout en guettant chaque extrémité de la rue. J’ai toujours l’espoir de le voir arriver tant il m’a semblé intéressé par notre premier échange. Au moment où je commence à désespérer un sms arrive. « Désolé, mon frère reste à l’hôpital avec sa femme et je dois rester garder ses enfants ». Zut, zut et zut, désolé ! il est gonflé et moi alors... Je suis en train de rédiger une réponse du genre « Tu te moques de moi, tu fais ch… » lorsque je reçois un appel. Il m’explique être lui aussi furieux mais qu’il ne se voit pas abandonner ses neveux ce soir et il me propose d’autres dates. Ces propositions me prouvent sa bonne foi, aussi je me calme mais je ne peux fixer de date avec lui car je ne suis pas parisien.
Je retourne, déçu, dans ma chambre. Je crois que je suis condamné à une petite branlette en solitaire. J’ai quelques vidéos de « jeunes garçons gays » pour me mettre en condition. Pourtant, une fois revenu dans la chambre, je tourne en rond, je ne me résous pas à me limiter a du virtuel. Je suis à Paris, j’ai oublié de le dire, je devrais trouver du réel. Sur mes deux sites préférés, peu de connectés ; des propositions pour Skype mais rien pour du réel maintenant. Je cherche donc un lieu de rendez-vous pour boire un verre et qui sait faire une rencontre même s’il commence à être tard.
C’est comme cela que je découvre le « One-Way » rue charlot. Un bar qui a la bonne idée de proposer au sous-sol une black room, une table rembourrée et un Sling. Seul le prix des consommations est affiché, je verrais bien. Je prends avec moi un peu d’argent liquide et Je me rhabille en prenant soin d’enfiler sous mon pantalon une culotte de dentelles. Est-il utile de préciser que l’arrière est assez ouvert pour ne laisser aucune ambiguïté sur ce que je souhaite. Une vingtaine de minutes plus tard, je suis dans la rue et je pousse la porte.
Le bar est petit, semble convivial, des groupes discutent, une petite dizaine d’hommes en tout installés au bar et autour de tables. Je m’assois au bar et commande une bière. Apparemment beaucoup d’habitués. Ils m’ont observé puis sont retournés à leurs échanges. Je regarde autour de moi et je vois pour commencer un écran de TV qui diffuse un film gay. Schéma habituel caresses et suçons. J’espère que ce n’est pas la principale animation du bar. Au fond de la pièce un escalier va vers le sous-sol et une pancarte affiche « c’est par ici ! ». Lorsque j’ai payé ma bière, je demande au barman si l’accès au sous-sol est libre. Il me répond par l’affirmative tout en me montrant l’escalier.
Je descends donc avec mon verre… Curieusement, le sous-sol à l’air plus grand. Lumière tamisée sur une base de lampes rouges. En bas des marches je croise un client tout habillé, comme moi. La cinquantaine, environ 1m70, bien habillé, un peu enrobé, l’air pensif. Il s’écarte et baisse les yeux lorsque je passe devant lui. Un timide sans doute. Une première partie du sous-sol, le long d’un couloir donne sur deux petites pièces. Dans l’une, un mec assis, le pantalon en bas des jambes se fait sucer par un autre qui est à genoux. J’hésite à caresser le cul de celui-ci mais ses fesses me semblant assez flasques, je préfère voir le reste du sous-sol avant. La seconde pièce est vide et au fond se trouve le Sling vide lui aussi. De l’autre côté, un grand urinoir dont le mur est en ardoise noire, le sol carrelé en blanc. J’en profite pour me soulager et je pense qu’il doit aussi servir pour les parties crades, ce qui n’est pas mon truc ! juste après un passage et au fond une pièce séparée par un rideau de lanières en plastique transparent. J’entre, des tabourets, des étagères où des verres vides ont été abandonnés, peut-être parce que les mains étaient occupées ailleurs. Un écran de TV avec les mêmes figurants que le film d’en haut. Une table basse large de 40cm seulement et longue d’un mètre environ est recouverte de similicuir noir. Sa forme évoque vaguement la tête et le tronc d’un homme ! Je termine mon verre et le pose à côté des autres.
Quand je retourne vers l’autre côté du couloir, le couple a changé de lieu et de position. L’homme nu est maintenant suspendu dans le baudrier, pieds dans les étriers, cuisses ouvertes, offert. L’autre qui a été bien sucé dirige sa bite vers l’orifice du premier. Il l’enfile facilement à cru ! peau contre peau ! Chair libre dans le conduit nu ! Des habitués sans doute. Le Sling étant dans un espèce de couloir entre un mur et une cloison je dois rester en arrière. Je regarde donc les mouvements des hanches et du bassin qui impriment des mouvements répétitifs. Autant le cul du passif ne m’a pas inspiré lorsque que je l’ai vu à genoux faire une fellation, autant les fesses de son compère me plaisent lorsqu’elles s’agitent d’avant en arrière pour que sa queue coulisse dans le trou offert. J’entends le bruit de ses bourses qui claquent à chaque coup de boutoir. J’approche une main de ces lobes charnus qui m’obsèdent par leur fermeté et passe la main dans le sillon. Suis-je allé trop vite ? En tout cas, l’intéressé retire ma main.
Je m’éloigne un peu et, je m’aperçois que la cloison comporte deux ouvertures qui permettent de regarder la scène. D’une main, le passif se caresse un téton tandis que son autre main se déplace dans sa bouche pour sucer ses doigts et les lubrifier puis descend vers sa queue qu’il empoigne pour la branler. Je reste un peu car le mec actif est bien monté et j’admire sa belle queue bandée qui prend son plaisir en s’engouffrant dans le tunnel. Lorsqu’elle ressort de toute sa longueur, je remarque le gland large dont la corolle, comme une tête de champignon est plus large que la tige. Je comprends à ses soupirs que ces mouvements lui font du bien. Tout à coup le passif abandonne sa queue pour se triturer les deux tétines. « Branle-moi ! » dit-il à son Roméo. Ce dernier l’empoigne tout en accélérant la cadence de sa main et de ses couilles. Le passif gicle tout en poussant un cri de jouissance. Son sperme s’écoule comme une petite flaque autour de son nombril… L’actif a retiré sa main de la queue qui ramollit. Maintenant, il tient fermement les cuisses de sa femelle, s’y agrippe de toutes ses forces avec ses deux mains et poursuit sa besogne. J’entends son souffle rauque à chaque mouvement de pénétration. « Han, han, han, tu aimes ça salope ! » et de plus en plus vite « Han, Han… OUI ! ! ! ! ». Il s’écroule alors sur son ami (e) et reste ainsi quelques instants, reprenant sa respiration il dit : « je t’ai fourré comme il faut, fécondé comme une garce, j’ai bien graissé ta chatte, tu as pris ton pied et moi aussi ». Il se retire doucement. D’une main il essuie le foutre resté dans le nombril et le donne à laper à sa salope en lui disant : « Ne bouge pas, Il ne faut rien gaspiller. Tu vas aussi sucer mon chibre pour le nettoyer et tu devras également bouffer toute la semence que ton cul expulsera ! ». Pendant qu’il parle, il pose sa main à la sortie du trou à bites afin de récupérer le lait qui commence à sortir.
J’en ai assez vu, je m’éloigne. Je suis dépité. Si j’étais venu plus tôt, au lieu d’attendre, ce serait peut-être moi qui aurait pris cette bonne verge. Au lieu d’être encore habillé, la queue dressée et serrée dans mon pantalon, je serais là, nu, repus d’avoir sucé puis d’avoir été caressé, possédé, baisé… J’aurais joui et j’en aurais pris plein les entrailles, comme l’autre. Pourtant non. Pas tout à fait comme cette femelle. Non, je suis plus prudent. J’aurais demandé le sexe sans risque et exigé une capote d’autant qu’il y en a dans chaque coin de cette cave. J’aurais bien sûr dégusté ma mouille mais pas la sienne !
Il n’y a plus personne d’autre en bas et je me prépare à remonter lorsque le « timide » que j’ai croisé tout à l’heure redescend. Je n’entends pas laisser passer ma chance une autre fois. Je le salue en le regardant dans les yeux. Il hésite. Je lui demande : « tu as un moment ? » C’est un petit « oui » qui sort de sa bouche. Je m’approche près de lui pour lui faire un baiser au coin de la bouche. Il ne réagit pas… Je passe donc ma main dans son dos pour me serrer contre lui. Il accepte mon baiser sur la bouche que je pénètre de ma langue. Il répond bien avec la sienne.
La glace est rompue, maintenant je dois pousser mon avantage et après s’être bécotés un moment, je lui propose de rejoindre un coin tranquille. Il semble hésiter alors je le prends par la main et le guide vers la pièce derrière le rideau transparent. En passant, je vois que le couple du Sling est toujours occupé. Pour le moment, je pense que je dois y aller doucement avec le gars que j’emmène avec moi ! Après les préliminaires, peut-être sera-t-il assez chaud pour oublier sa timidité et alors je lui proposerais de faire un tour de balancelle.
Nous sommes maintenant dans la pièce légèrement éclairée de spot rouges. Il y fait chaud. J’enlève mon polo que je pose sur une chaise et le regarde en face. Il ne bouge pas… Je m’approche pour poser un baiser sur sa bouche qu’il entrouvre. Je le serre dans mes bras et glisse ma langue entre ses lèvres. Tandis que d’une main j’enserre son dos, de l’autre je caresse son petit cul rebondi. J’enroule ma langue autour de la sienne… Lentement, il commence à participer. Il répond à mes avances en suçant ma langue puis mes lèvres. Le voilà qui se décoince. Je le relâche un peu pour lui ôter son teeshirt qui rejoint mon polo. Reprenant mes baisers, je caresse son dos, passe l’autre main sur son torse pour lui titiller les tétons. Je fais durer le plaisir… je déboutonne alors ma chemise. Nous sommes toujours debout. Je cesse de l’embrasser, prend entre mes deux mains sa tête et la dirige vers mon torse. Il comprend et suce mes tétines, l’une après l’autre.
Je profite de ce moment pour retirer entièrement ma chemise. Puis je défais sa ceinture et ouvre son pantalon que je baisse. Sous son jean il porte un boxer noir « Puma ». Par-dessus ce dernier, j’effleure son sexe encore au repos. Après lui avoir relevé la tête, je reprends le bouche-à-bouche. Comme il commence à me caresser le torse, j’en profite pour palper ses fesses ainsi mes mains prennent son bassin en étau… Visiblement il attend que je prenne l’initiative, alors au bout d’un moment, je m’accroupis et baisse d’un seul coup son Puma. Je découvre deux belles couilles poilues que je saisis pour les soupeser et les malaxer ! Sa queue est encore demi-molle alors, je n’hésite pas, tire sur le prépuce afin de dégager son gland et en embrasse le bout. Je le regarde, il ne dit rien, ne bouge pas non plus. Ma langue commence à entourer sa corolle puis ce sont mes lèvres qui enserrent cet objet de mon désir. Tout en lui tenant les burnes, je commence un mouvement de coulisse le long de sa verge avec mes doigts puis avec ma bouche. Quand je tente de glisser un doigt entre ses lobes, il se contracte, aussi je vais lui laisser le temps de me dire ce qu’il recherche. Comme il me semble long à bander, je commence à croire qu’il est surtout passif mais je ne vais pas attenter à son fondement sans en être certain.
Je me relève donc et comme je suis seulement torse nu, j’enlève chaussures et pantalon. Je conserve mes chaussettes (je préfère sur le sol de cette cave) et le slip boxer que j’avais enfilé pour mon rendez-vous raté. Je suis presque nu. En effet c’est plutôt un string en lingerie transpirante comme dit la pub « Tiaobug » ; la ceinture d’une dizaine de centimètres de hauteur est en dentelle brodée de fleurs. Des jarretières descendent à la moitié de mes cuisses et se terminent sur chaque jambe par une sangle qui simule le haut d’un bas invisible. A l’avant la poche ajourée cache à peine mon sexe d’autant que celui-ci, tendu à tendance à déborder. L’arrière est ouvert pour permettre facilement l’accès même à ceux qui n’auraient pas le temps de me foutre à poil ! J’aime aussi montrer mon souhait d’être pris par ce côté. « Habillé » comme ça, je lui tourne autour. Il n’a pas bougé, gardé ses chaussures et conserve donc slip et pantalon en bas des jambes. Sa queue est ramollie. Je reprends sa bouche comme au début, il aime et me glisse sa langue à l’intérieur pour jouer avec mes joues puis suce mes lèvres. Il palpe maintenant mon chibre de plus en plus raide. Je lui demande de ne pas aller trop vite. En effet, cela fait près de trois heures que j’espère conclure mais il ne faudrait pas le faire trop vite.
Je m’accroupis pour lui refaire une sucette parce que je constate que rien de bien raide ne se profile. Il m’arrête et s’agenouille pour me retirer mon cache sexe. Enfin, il prend l’initiative. Il aurait pu me dire qu’il n’aime pas les sous-vêtements en dentelle ! C’est vrai, maintenant que je suis vraiment nu, tout nu car j’ai lissé mon pubis et la raie de mon cul avec une crème dépilatoire, je suis un garçon sans nul doute possible, bandé comme mec prêt à saillir tout chat ou chatte disponible ! Puisqu’il semble vouloir un homme, je vais m’en occuper. Je passe dans son dos pour mâchouiller ses lobes et les écarter. Je vais lui sucer l’œillet pour l’attendrir. J’ai aussi prévu d’enduire le sillon de gel lubrifiant avant de le dilater avec mes doigts. J’ai repéré une réserve de capotes sur l’étagère.
Comme son pantalon est en bas de ses jambes, il ne pourra pas écarter largement ses cuisses ! Je commence donc à défaire les lacets de ses chaussures mais il me retient et me pousse pour que je m’allonge sur le banc. Bon, s’il prend les choses en main, je me laisse faire. En effet, dès que je suis allongé, il prend en main mes burnes pour les triturer. Il fait ça bien, tire sur les bourses puis suce une de mes noisettes. Il enserre ma seconde glande entre ses doigts et la serre doucement puis change de geste pour encercler mes boules qu’il comprime. C’est fort, c’en est presque douloureux… Il alterne toutes ces palpations tantôt en douceur tantôt fortement. Selon ses gestes, je réagis par des murmures de contentement ou des couinements de douleur. J’aimerais maintenant qu’il me suce la bite et me caresse l’œillet car je ne vais pas tenir longtemps comme ça… Mais il se relève.
Il remonte son pantalon à mi-cuisses et passe une jambe de chaque côté du banc de baise. Il s’allonge sur moi pour m’embrasser. Je le serre entre mes bras. Visiblement il aime prendre ma bouche, ma langue et mes lèvres. Il fait ça très bien et durant un long moment nous nous bécotons comme de jeunes amoureux qui ne sauraient pas ou n’oseraient pas aller plus loin. Lentement je descends une main vers ses fesses que je caresse puis des deux mains je les écarte afin de glisser un doigt entre les deux. Je vais atteindre son puit pour l’assouplir car, installé comme il est, il lui suffira de s’asseoir pour s’empaler sur mon pieu… Pourtant ce serait mieux s’il enlevait son pantalon !
A t’il deviné mon souhait ? Il se relève, reprend mes couilles dans une main, ma queue dans l’autre et sans plus attendre il me branle à fond. Il me serre le manche puis frotte sa paume sur le bout de mon gland. Je ne tiens pas plus de quelques secondes à ce rythme. OUI ! cela fait trop longtemps que, ce soir, j’attends ce moment. Je suis en transe, tout mon corps se tétanise, je suis bandé comme un arc et je jouis. Mon foutre gicle en l’air… Il continue ma masturbation ! Tandis que quelques petits jets se répandent sur moi, je respire à grands coups et pousse des gémissements qui signifient ma satisfaction lubrique…Peu à peu, je me détends et reprend mon calme. Mon cul est resté vierge ce soir mais j’ai pris le plaisir qui se présentait. C’était rudement bon ! Mon compagnon s’essuie la main dans son caleçon quand je me relève. Je l’embrasse… Entre deux baisers, je le remercie. Son tour est venu, je lui propose de s’allonger pour lui rendre le plaisir qu’il m’a donné. Il fait non de la tête… Que souhaite-t-il ? « On peut aller au Sling, il devrait être libre maintenant ? Mais non. Il a relevé son caleçon, son pantalon s’est saisit de son teeshirt. Je tente une autre proposition :- Veux-tu boire un coup ? Je te l’offre ?
En disant cela j’espère qu’ensuite nous redescendrons pour une nouvelle séance. Il a enfilé son tee-shirt… Il remonte sans rien dire. Je me rhabille prestement mais lorsque j’accède au rez-de-chaussée il est déjà sorti du bar. Je prends donc un verre seul tandis que certains clients me regardent en coin. Pensent-ils à ce qui s’est passé en bas ? Sans doute y sont-ils passé avant nous ! Les discussions entre amants reprennent. Un peu plus tard, quand je sors, je me demande si je n’aurais pas dû sortir plus vite… Peut-être qu’il m’attendait dehors ? Je ne le saurais jamais.
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