Un rebeu très passif - histoire érotique

Cette histoire m’est arrivée hier. Alors que j’étais à la recherche d’un plan cul sur un chat gay, un pseudo attire mon attention, « rebeugay ». J’envoie un « salut » à son attention. Il répond et nous discutons très peu. Bien vite, je lui donne rendez-vous chez moi.
Il arrive et quand je lui ouvre la porte, en effet c’est un authentique rebeu, mais l’image que je m’étais faite de lui n’est pas à la hauteur de mes espérances. Il est grand, mais un peu gros. Il n’est pas laid, ni très beau, mais il parait sympa. Je lui offre un verre, nous discutons un peu et je comprends dans ses paroles qu’il est totalement passif. Mince ! Moi qui croyais avoir affaire à un actif ! Tant pis, heureusement que je suis aussi actif.
Je vois qu’il commence à se caresser la queue sur son jean. Le message est clair, je défait le clic clac, il se déshabille et j’en fait autant. Il s’allonge, je me place au dessus de lui, je veux l’embrasser, mais il me dit qu’il n’embrasse pas. De plus, je vais me rendre compte qu’il ne fait pas grand-chose. Il n’embrasse pas, ne caresse pas et ne suce pas, tout ça à mon grand désarroi. De plus, sa queue n’est pas très grande et assez fine. Décidément !! J’ai connu beaucoup mieux chez les rebeux avec qui j’ai baisé.
Je vais quand même le sucer un peu pour qu’il bande, moi je suis déjà à bloc. Quand il voit ma queue il me dit :
- purée, elle est grosse! Je sais pas si elle va pouvoir rentrer ?
- elle est pas si grosse, mais tu n’es pas vierge ?
- non t’inquiète pas, j’en ai eu, mais pas si grosse.
Rapidement, il a envie que je le pénètre. Allongé sur le dos, il ramène ses jambes sur son torse. Dans cette position, son cul est bien ouvert et je vois nettement son trou du cul d’une teinte marron sombre. Je prends un préservatif que j’enfile et je m’enduit la queue de gel. Puis, j’en met sur son anus qui me semble bien souple au touché. Il n’en peu plus, il me dit de le prendre directement. Ok, je me met en position et place ma queue, le gland sur son trou. Je pousse lentement, c’est quand même très serré. Il a mal, mais il a tellement envie qu’il me dit de continuer et il ondule du cul pour que mon sexe rentre mieux.
Mon gland se fraye un passage péniblement dans son cul et enfin il entre. J’essaie de rentrer lentement la queue en entier, mais il se braque et je sens son anus se resserrer fermement sur ma queue, ca me fait mal. On décide de changer de position, il se couche sur le ventre et je me place entre ses cuisses. J’enduit à nouveau ma bite et son cul de gel, ensuite je tente à nouveau de m’introduire en lui. Mais à nouveau, je n’y arrive pas, ses grosses fesses restreignent mes mouvements et malgré mes efforts je ne réussis pas à le pénétrer. Ça devient déplaisant maintenant.
Je lui demande de se mettre à uatre pattes, et reprends les opérations. À genoux derrière lui, je place ma queue sur son trou et pousse. Finalement, je m’introduit en lui. Je peux sentir la chaleur de son cul et son anus bien serré sur mon engin qui lui rempli le trou. Il commence à grogner fortement de plaisir. Ca me fait toujours kiffer de voir un mec si masculin se faire démonter le cul en gémissant comme une femelle.
Plus il cri, plus je m’active en lui et mes coups de reins sont de plus en plus violents. Je ne distingue plus si ses cris sont la manifestation de sa souffrance, ou de son plaisir, ou les deux. Moi je prends un pied d’enfer à malmener ce bon passif.
Puis, dans un dernier coup de rein brutal et dans un cri de satisfaction, je jouis dans son trou tout mon jus, dont j’ai l’impression qu’il est à peine retenu par la capote.
Je me retire de son cul, je débande. Mais lui n’a pas joui et il en veut encore. Je ne suis pas avare dans ces cas là, je ne veux pas le laisser en plan, par contre, il va me falloir un peu de temps pour rebander. Mais il est tellement chaud qu’il me demande :
- t’as pas une bite en plastique ?
- un gode, oui même plusieurs.
J’en ai quatre, mais j’en utilise que deux, les autres étaient à mon ex, trop gros pour moi. Je décide de prendre l’un des plus gros. Il sourit d’aise et d’envie en voyant le gode.
Je met un préservatif sur le gode, du gel et lui se remet à quatre pattes le cul bien cambré. Je me met derrière lui et lui enfile le sex toy dans son trou bien dilaté après le passage de ma bite. Il est bien plus gros et plus long que ma queue, mais il rentre facilement. Je vais doucement, mais ce rebeu est si excité qu’il me le prends des mains et il va se démonter lui-même le cul sauvagement, tout en se branlant énergiquement. Il râle de bien être, ça m’excite terriblement. Je rebande, mais je vois qu’il ne veut pas lâcher le gode, du coup, je me met à me branler moi aussi en le regardant. Après plusieurs minutes, il se rapproche de moi et il hurle en éjaculant sur mon ventre. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir à mon tour. Purée, ce rebeu m’a tellement échauffé que j’ai jouis deux fois.
Il s’est vite rhabillé et il est partit aussi vite en me remerciant.

Seithan.