Un remplacement de dernière minute.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un remplacement de dernière minute.
Avant de lire ce texte, je préviens ceux qui détestent la vulgarité et le sexe cru, qu'ils doivent changer d'histoire.
Ce n'est pas pour eux ! J' y révèle des choses inavouables, pratiquées avec plaisir, mais sans savoir le fond de l'affaire !
Avant d'écrire, cette anecdote, je viens de terminer de vous conter mes aventures sexuelles avec Ahmed, dans les grandes lignes, en tout cas !
Après son départ, j'ai eu une période de disette au niveau du sexe homo.
Je me suis focalisé sur Corinne, et mes autres conquêtes féminines.
Pas trop longtemps, non plus !
Quand mes désirs m'ont repris, je me suis rendu au Sex-Shop de ma ville.
J'y ai repris contact avec Eric, qui m'a baisé, comme à chaque fois.
Bref, moi aussi, j'ai retrouvé mes habitudes, pendant un an et demi, mais en calmant le jeu, tout de même.
Puis, j'ai trouvé un emploi en intérim, j'accepte une mission et j'y rencontre Antoine qui me refait tomber dans une relation homosexuelle, quasi exclusive, de six mois.
En effet, je passe toute la semaine avec lui, pour ne voir Corinne, que le Week End !
Il m'encule tous les soirs, et souvent me réclame une fellation ou une autre sodomie en journée, il est comme ça ! Il fait partie de ces hommes qui ont toujours envie de baiser !
Je ne peux en vouloir qu'à moi-même, c'est moi qui l'ai cherché, j'avais envie de sexe anal et j'ai eu trop envie de sa queue, quand je l'ai vue sous la douche !
Mais toujours est-il, que ça me fait drôle de baiser plus souvent avec un homme, qu'avec celle que j'aime ! Je suis devenu la femelle d'Antoine, et je me suis surpris à aimer ça !
Pour en revenir à Ahmed, dès que Corinne a su pour mes besoins homosexuels, elle m'a demandé:
"Mais alors Ahmed ? Celui qu'il baisait, le jeune qu'on connaissait ?".
"C'était moi !".
"Et tout ce qu'il a raconté à Michel ?".
"C'était vrai !".
J'ai aussi dévoilé mon histoire avec Antoine, et elle m'a avoué que c'est mon absence qui l'a poussée à me tromper pour la première fois.
Elle y a pris gout et a recommencé ensuite, le plaisir du sexe, ajouté à celui de l'adultère l'enivrait.
Elle a aussi pensé que je ne m'étais pas gêné, de mon coté, avec toutes mes conquêtes féminines !
On s'est accordé là-dessus, c'est la même chose qui nous plait chez les hommes, leur virilité et leur endurance.
J'ai déjà rencontré Dimitri et ses camarades sur le chantier, et je côtoie Mario au travail, sans me douter qu'il m'enculera bientôt, lui aussi !
J'ai réussi à me passer de mes aventures avec d'autres filles, par amour envers la femme de ma vie.
Paradoxal, puisqu'à présent, elle aime aussi baiser avec d'autres hommes, mais comme moi, elle ne cherche que du sexe.
On pourrait dire, qu'on est un couple de salopes ! On s'aime comme ça, on y peut rien !
Il est loin, le jeune garçon timide qui s'est fait dépuceler l'anus, par un militaire gradé !
Une fois de plus, je me rends au Sex-shop, avec l'accord de ma belle.
J'ai peu de rapports satisfaisants, excepté Eric, le caissier.
En effet, la fréquentation est faible ce jour-là.
Avant de rentrer, Eric vient me parler et en profite pour se faire sucer.
Tout en profitant de ma bouche, il me propose une soirée:
"Je cherche quelqu'un pour un soir ! Ca te dirait pas ?".
"Mmmm ! Gllrp ! Non, désolé, je ne fais plus ça !".
"Dommage ! Je m'en doutais ! Pas grave, j'ai quelqu'un d'autre sous la main !".
Je lui demande des précisions.
Apparemment, cela ressemble à la deuxième soirée, avec masques.
J'aurai du subir toutes les envies lubriques des hommes présents, même les plus inavouables !
Après sa deuxième éjaculation de la journée, je rentre chez moi, un peu frustré de ne pas avoir assez joui.
Une dizaine de jours plus tard, j'y retourne en espérant avoir plus de chance.
Mais cette fois, j'arrive en début de soirée.
Je suis près de l'entrée, Eric sort du Sex-shop précipitamment.
"Oh, Pascal ! Tu tombes bien ! Il faut que je te parles !".
Je lui demande de nous éloigner de l'entrée, afin de ne pas être vu par une connaissance.
On s'enfonce dans une petite rue.
"Qu'est-ce qui se passe ?".
"Il faut que tu me sauves la mise, le mec qui devait venir à ma soirée, a décommandé, il est malade comme un chien !".
"Et alors, j'y suis pour rien ?".
"S'il te plait ! Remplaces le ! Les mecs vont t'adorer, en plus ! T'es beaucoup plus mignon, que l'autre ! Fais ça pour moi !".
"Mais, je n'ai que jusqu'à minuit, ma femme va se demander ou je suis, si je rentre plus tard ! Et je sais que je vais subir des trucs pervers !".
"Ca te plait aussi, de te faire humilier, ne dis pas le contraire ! Et si je ne me trompes pas, si t'es là, c'est que t'as envie de te faire baiser ! Non ?".
"Oui, c'est vrai, mais pour l'humiliation, si ça m'excite, en le faisant, c'est après que je le vis mal !".
"Allez ! Accepte ! Viens avec moi ! Les mecs arrivent dans une demi heure ! T'auras une belle surprise à la fin, je te le promets !".
C'est énorme, mais je n'aime pas laisser un ami dans l'impasse, et puis, j'avoue que l'attrait de l'inconnu m'entraine à le suivre.
Je m'étonne de comprendre qu'on ne va pas chez lui.
On entre dans une maison individuelle, un peu bourgeoise.
Un homme assez imposant, nous accueille:
"Ah, Enfin Eric ! T'es là ! Il est mignon, lui ! Qui c'est ?".
"Il remplace Jean-Marc ! Il est malade !".
"Tant mieux ! Je le préfère, lui ! Il sait ce qui l'attend ?".
"Plus ou moins ! Bon ! Ou sont les masques ?".
"Dans la cuisine ! Tu l'emmènes au donjon, après ?".
Je m'affole:
"Au donjon ?".
"Oui, le propriétaire a aménagé une salle !".
"C'est le mec qu'on a vu ?".
"Oui ! Il te plait ?".
"C'est le genre que j'apprécie, tu le sais ! (grand et imposant, très bien doté par la nature, apparemment, vu le renflement dans son pantalon !".
Il me propose une cagoule avec trois ouvertures, pour les yeux et la bouche.
Puis, il me fait me déshabiller dans une pièce, j'attend donc entièrement nu, affublé de la cagoule, qu'il vienne me chercher.
Peu à peu, j'entends des pas, des conversations salaces, cela devient un brouhaha vers la fin.
Puis j'entend Eric qui prévient l'assemblée:
"Messieurs , je vous remercie d'être venus ! Il y a un changement de dernière minute, notre ami n'a pas pu participer, mais vous ne perdez rien, au contraire ! Vous allez l'adorer !".
Il ouvre ma porte, je découvre le nombre important d'hommes mûrs présent.
Beaucoup ne me plaisent pas, mais je devrais assumer, je le sais.
Ils sont tous masqués, des compliments affluent sur la beauté de mon corps.
Surtout, à propos de ma bouche pulpeuse et mon cul cambré.
Des mains me saisissent, en s'écartant, les hommes me permettent d'apercevoir une croix en bois, un banc recouvert de cuir, des chaines accrochées au mur et au plafond, ainsi qu'un amas de godes divers, du gel, etc...
Les hommes forment un grand cercle, sous la direction du propriétaire:
"On va tous se faire sucer, d'abord ! On se met en rond !".
Je pense aux genres d'hommes présents, certains doivent assumer leur homosexualité, d'autres sont surement mariés.
Certains sont là pour le plaisir pervers du voyeurisme, vu leur faible mensuration.
D'autres parce qu'ils adorent casser du jeune cul !
Je prends mon rôle au sérieux en suçant chaque queue avec tout le savoir que je possède.
Les inconnus me gratifient de nombreux râles et gémissements.
L'un d'eux fait une révélation inattendue:
"Putain ! Il vaut ce qu'on a payé, celui-là !".
Je comprends donc ce qui poussait Eric à me supplier ainsi, il arrondit ses fins de mois en organisant des parties payantes, et je suis sa pute du soir !
Nos regards se cherchent, il me fait un clin d'œil, il sait qu'il devra s'expliquer !
Je me régale des mensurations de certaines grosses bites, que je dévore entre chaque homme faiblement doté.
Un homme avec une queue normale se déverse dans ma gorge.
Je suis surpris de la quantité énorme de sperme dont il m'abreuve.
"Arhhhhhhhhhhh ! Ouais, avales, salope ! Ohhhhhhhh ! Il est parfait celui-là, Eric ! Arhhhhhh ! Putain, c'est bon !".
Après deux tours de pompages de queues, on m'attache sur le banc.
"On va commencer par les plus petites pour l'enculer ! Histoire qu'il s'habitue !".
"Si vous voulez, mais il encaisse bien, il s'est déjà pris deux bites en même temps !".
Les queues se suivent dans ma bouche et mon cul, je crie mes orgasmes sans me retenir.
Je prend plus ou moins de plaisir, certains sont vicieux et me font un peu mal, ce qui gâche mes orgasmes.
On me fait sucer plusieurs godes, qu'on m'enfonce dans l'anus, ensuite.
Ceux qui pratiquent cette défonce anale avec godes, sont les moins dotés, l'un d'eux, le porte en gode ceinture pour m'écarteler l'anus.
Je reçois quelques coups de fouet, légers qui augmentent mon plaisir cérébral.
Puis on m'attache sur la croix, tous les hommes qui bandent encore, m'enculent tour à tour.
L'un d'eux se libère de son éjaculation, mon cul dégouline de foutre chaud et gluant.
Deux hommes faiblement membrés, le remplacent et se déversent aussi dans mon cul.
Je ne le vois pas, mais ils m'inséminent beaucoup plus abondamment que le précédent.
Le sperme coule encore en maculant le sol, mais aussi le long de l'intérieur de mes cuisses.
Puis, le précèdent me remet sa bite dans l'anus, je ne comprend pas pourquoi, mais comme je préfère sa taille de sexe, je me met à retrouver du plaisir anal.
Il bouge avec amplitude dans mon cul, puis très rapidement, il se met à râler:
"Arhhhhhh ! J'aime trop me vider comme ça dans un cul de salope !".
En effet, il se vide, mais pas d'une éjaculation ! Il me pisse dans le cul !
Je pense à l'autre victime qui doit aimer ça, puisque je le subis à mon tour.
Il me remplit les intestins, en me provoquant une pression énorme dans le bas ventre.
Les commentaires et insultes fusent encore à mon sujet, pendant que je rejette son jus doré.
Il vient de me faire un lavement qui me nettoie du sperme encore présent.
Un autre prend la suite et me défonce comme une pute, avec une énergie folle.
Un invité lui demande de lui laisser mon cul pour se vider, il est au bord de l'éjaculation !
Il plonge sa bite en moi et se libère aussitôt en grognant son plaisir, et en m'insultant.
Il quitte mon anus en l'écartant avec ses deux mains, son jus ne tarde pas à s'écouler aussi.
Le suivant profite de ce lubrifiant improvisé pour m'enfoncer sa grosse bite.
Je crie que j'aime sa queue, qu'il me fait jouir.
Il répond qu'il adore mon cul, qu'il le trouve magnifique et très bon à baiser.
Pendant qu'il se déchaine en moi pour éjaculer, lui aussi, deux autres hommes suivent les indications d'Eric.
Ils s'allongent de manière a coller leurs deux bites, l'une à l'autre.
Je sais ce qui m'attend.
L'homme qui me défonce, me procure trois orgasmes consécutifs, avant de m'inséminer à son tour.
On me détache très rapidement ensuite, pour me poser sur les deux sexes.
Mon anus béant et plein de sperme, aide leur pénétration simultanée.
Je prend la suite et les baise, avec vice en jouissant puissamment.
Je m'excite de leurs plaisirs conjugués, ils adorent m'enculer ainsi.
J'assume mon rôle en suçant les queues qui se présentent devant ma bouche.
Un homme se libère de son éjaculation sur moi, mon torse est maculé de foutre chaud.
Un de ceux que j'ai dans l'anus craque et se déverse longuement.
Je continue mes enfoncements jusqu'à recevoir l'éjaculation du second, enfin.
Avant que je puisse me soulever, un autre m'annonce qu'il "arrive".
Les autres lui laisse l'aisance nécessaire pour m'abreuver de tout son jus, tranquillement.
J'adore le boire, son gout est délicieux.
Je m'en délecte jusqu'à la dernière goutte.
Deux autres hommes imitent les premiers, en collant leurs bites, au sol.
Je me lance dans une baise perverse, une nouvelle fois, j'adore les doubles anales !
Un pervers se fait plaisir en me flagellant avec le fouet, et en m'insultant.
Il croit diriger ma baise en me donnant des ordres salaces.
Je ne le contrarie pas.
Moins de cinq minutes plus tard, il m'insère sa bite dans la bouche, pour me baiser en gorge profonde, puis sort et m'inonde le visage de foutre épais.
Il se fait patiemment lécher la queue, ensuite.
Je commence à être repu de plaisir anal, mes forces m'abandonnent, peu à peu.
Sur un bras, j'arrive à fixer le cadran d'une montre, il est 22 h, je me fais humilier et baiser depuis 19 h !
Les deux hommes sous moi se déversent à 5 minutes d'écart environ.
Puis, on me rattache sur le banc, mais sur le dos, et je subis encore des insertions de godes, jusqu'au plus large qui me fait hurler de plaisir.
Un homme le maintient enfoncé pendant qu'on me baise la gorge, pour m'abreuver à la chaine.
Une grosse tache est formée par mon jus anal, sous mon cul, signe de mon plaisir d'être ainsi écartelé.
Je reçois les dernière giclées de sperme sur moi, dans ma gorge et mon anus, enfin libéré.
Eric m'entraine dans la douche, par bonheur, je n'y recevrais pas de douche d'urine.
Je m'attendais à tout, ce jour là !
Je me lave seul, en ôtant ce qui protège mon identité.
Je suis épuisé, je vois mon corps couvert de sperme et portant les traces des coups de fouets.
Comment vais-je cacher ça, à Corinne ?
Il est presque 23h à présent, je reviens dans la salle, affublé du masque, quelques hommes sont encore là !
Ils ont déjà joui, mais veulent encore profiter de ma présence.
Je subi encore les assauts des plus vaillants et assume jusqu'au bout mon rôle de salope improvisé.
Je vis une dernière double pénétration anale, avec le propriétaire, et Eric derrière moi.
Eric éjacule enfin dans mon cul, puis sur mon dos, pendant que notre hôte se libère profondément dans mes intestins.
Un peu après minuit, tout le monde est parti, sauf le propriétaire et Eric.
Je peux enfin enlever mon masque !
Je vais me doucher une deuxième fois !
A mon retour, je vois l'homme qui revient avec une petite caisse, il donne une liasse de billets à Eric, des francs à l'époque !
"Tiens ! C'était super ! Il a assuré pour une première fois ! Très bonne salope !".
Eric sépare la somme en deux et m'en donne la moitié.
"Tu les as bien gagné ! C'est ça, la surprise !".
Je viens de gagner, plus de deux mois, de mon salaire !
Mais malgré cela, je sais que je ne réitèrerais pas l'expérience.
Je rentre chez moi, les poches pleines d'argent, mais un trouble immense me gagne.
Sans le savoir, je viens de me prostituer, ne pas accepter l'argent n'aurait rien changé à mes actes. le mal est fait !
Le fait de l'avoir fait masqué, me protège, mais cela reste choquant pour moi.
Je revis mes orgasmes en pensées, me remémorant les grosses queues que j'ai pris dans l'anus et la bouche.
Pourquoi ces hommes ont-ils payé pour me baiser ? Je l'aurai accepté sans argent !
Mais Eric me l'a précisé, c'est leur fantasme, ils aiment penser qu'ils paient pour user d'un jeune homme.
Je rentre chez moi, sans bruits, Corinne dort profondément.
Il est presque une heure du matin.
Je cache l'argent dans un coin de l'appartement, j'en déposerai une grande partie, sans en parler à ma belle, sur mon compte bancaire.
Pour cacher mes marques de fouet, je porte un tee-shirt en dormant.
Puis au réveil, je m'habillerai en son absence.
Tout cela disparaitra rapidement.
Elle me dit:
"Je me suis inquiétée hier soir, t'es rentré tard ! Ca s'est bien passé ?".
"Oui, super, j'ai eu mon compte pour un bon moment ! Merci, mon amour !".
"De rien ! Ca te déranges, si je vais voir Chris ? J'ai pensé à toi qui baisait, toute la soirée, et à lui aussi du coup ! J'ai envie de sexe, moi aussi !".
"Oui, comme tu veux, tu peux le faire venir aussi ! C'est comme tu préfères !".
"Non ! Je vais chez lui ! Il m'attend déjà !".
"Amuses-toi bien, alors ! Mon amour !".
On échange un énorme baiser passionné, notre amour est comme ça, étrange et permissif !
De plus, libéré de mes pulsions homosexuelles, je ressens une passion amoureuse retrouvée.
Je suis prêt à tout lui permettre !
En revoyant Eric, plusieurs semaines après, il m'a fait part du désir de ses "Clients" de me baiser encore.
Je lui ai parlé franchement.
"J'avoue qu'à une certaine époque, je fantasmais sur le fait de me prostituer, tout en sachant que c'est incompatible avec une vie de famille ! Mais à présent, je sais que malgré le plaisir que j'ai pris, c'est pas fait pour moi ! Par contre, tu remercieras tes clients pour moi, je me sens fier d'avoir été apprécié. Mais ils devront se contenter de cette soirée !".
"Je me doutais de ta réponse ! Dommage ! On s'est bien amusé quand même ! ?".
"Putain, c'est peu de le dire ! En trois soirées ! J'ai vécu des tas d'expériences ! Mais je sais que je devrais aller, encore plus loin, les prochaines fois et je veux pas !".
"Compris ! Bon, je peux t'enculer quand même ?".
Je pose ma main sur sa bite.
"Oui, autant de fois que tu veux ! Tu le sais !".
Depuis cette dernière soirée, je n'ai vécu qu'une autre énorme baise à la chaine, c'était au Sex-shop, mais c'était improvisé, sans le vouloir, et ça, je vous l'ai raconté !
Ce n'est pas pour eux ! J' y révèle des choses inavouables, pratiquées avec plaisir, mais sans savoir le fond de l'affaire !
Avant d'écrire, cette anecdote, je viens de terminer de vous conter mes aventures sexuelles avec Ahmed, dans les grandes lignes, en tout cas !
Après son départ, j'ai eu une période de disette au niveau du sexe homo.
Je me suis focalisé sur Corinne, et mes autres conquêtes féminines.
Pas trop longtemps, non plus !
Quand mes désirs m'ont repris, je me suis rendu au Sex-Shop de ma ville.
J'y ai repris contact avec Eric, qui m'a baisé, comme à chaque fois.
Bref, moi aussi, j'ai retrouvé mes habitudes, pendant un an et demi, mais en calmant le jeu, tout de même.
Puis, j'ai trouvé un emploi en intérim, j'accepte une mission et j'y rencontre Antoine qui me refait tomber dans une relation homosexuelle, quasi exclusive, de six mois.
En effet, je passe toute la semaine avec lui, pour ne voir Corinne, que le Week End !
Il m'encule tous les soirs, et souvent me réclame une fellation ou une autre sodomie en journée, il est comme ça ! Il fait partie de ces hommes qui ont toujours envie de baiser !
Je ne peux en vouloir qu'à moi-même, c'est moi qui l'ai cherché, j'avais envie de sexe anal et j'ai eu trop envie de sa queue, quand je l'ai vue sous la douche !
Mais toujours est-il, que ça me fait drôle de baiser plus souvent avec un homme, qu'avec celle que j'aime ! Je suis devenu la femelle d'Antoine, et je me suis surpris à aimer ça !
Pour en revenir à Ahmed, dès que Corinne a su pour mes besoins homosexuels, elle m'a demandé:
"Mais alors Ahmed ? Celui qu'il baisait, le jeune qu'on connaissait ?".
"C'était moi !".
"Et tout ce qu'il a raconté à Michel ?".
"C'était vrai !".
J'ai aussi dévoilé mon histoire avec Antoine, et elle m'a avoué que c'est mon absence qui l'a poussée à me tromper pour la première fois.
Elle y a pris gout et a recommencé ensuite, le plaisir du sexe, ajouté à celui de l'adultère l'enivrait.
Elle a aussi pensé que je ne m'étais pas gêné, de mon coté, avec toutes mes conquêtes féminines !
On s'est accordé là-dessus, c'est la même chose qui nous plait chez les hommes, leur virilité et leur endurance.
J'ai déjà rencontré Dimitri et ses camarades sur le chantier, et je côtoie Mario au travail, sans me douter qu'il m'enculera bientôt, lui aussi !
J'ai réussi à me passer de mes aventures avec d'autres filles, par amour envers la femme de ma vie.
Paradoxal, puisqu'à présent, elle aime aussi baiser avec d'autres hommes, mais comme moi, elle ne cherche que du sexe.
On pourrait dire, qu'on est un couple de salopes ! On s'aime comme ça, on y peut rien !
Il est loin, le jeune garçon timide qui s'est fait dépuceler l'anus, par un militaire gradé !
Une fois de plus, je me rends au Sex-shop, avec l'accord de ma belle.
J'ai peu de rapports satisfaisants, excepté Eric, le caissier.
En effet, la fréquentation est faible ce jour-là.
Avant de rentrer, Eric vient me parler et en profite pour se faire sucer.
Tout en profitant de ma bouche, il me propose une soirée:
"Je cherche quelqu'un pour un soir ! Ca te dirait pas ?".
"Mmmm ! Gllrp ! Non, désolé, je ne fais plus ça !".
"Dommage ! Je m'en doutais ! Pas grave, j'ai quelqu'un d'autre sous la main !".
Je lui demande des précisions.
Apparemment, cela ressemble à la deuxième soirée, avec masques.
J'aurai du subir toutes les envies lubriques des hommes présents, même les plus inavouables !
Après sa deuxième éjaculation de la journée, je rentre chez moi, un peu frustré de ne pas avoir assez joui.
Une dizaine de jours plus tard, j'y retourne en espérant avoir plus de chance.
Mais cette fois, j'arrive en début de soirée.
Je suis près de l'entrée, Eric sort du Sex-shop précipitamment.
"Oh, Pascal ! Tu tombes bien ! Il faut que je te parles !".
Je lui demande de nous éloigner de l'entrée, afin de ne pas être vu par une connaissance.
On s'enfonce dans une petite rue.
"Qu'est-ce qui se passe ?".
"Il faut que tu me sauves la mise, le mec qui devait venir à ma soirée, a décommandé, il est malade comme un chien !".
"Et alors, j'y suis pour rien ?".
"S'il te plait ! Remplaces le ! Les mecs vont t'adorer, en plus ! T'es beaucoup plus mignon, que l'autre ! Fais ça pour moi !".
"Mais, je n'ai que jusqu'à minuit, ma femme va se demander ou je suis, si je rentre plus tard ! Et je sais que je vais subir des trucs pervers !".
"Ca te plait aussi, de te faire humilier, ne dis pas le contraire ! Et si je ne me trompes pas, si t'es là, c'est que t'as envie de te faire baiser ! Non ?".
"Oui, c'est vrai, mais pour l'humiliation, si ça m'excite, en le faisant, c'est après que je le vis mal !".
"Allez ! Accepte ! Viens avec moi ! Les mecs arrivent dans une demi heure ! T'auras une belle surprise à la fin, je te le promets !".
C'est énorme, mais je n'aime pas laisser un ami dans l'impasse, et puis, j'avoue que l'attrait de l'inconnu m'entraine à le suivre.
Je m'étonne de comprendre qu'on ne va pas chez lui.
On entre dans une maison individuelle, un peu bourgeoise.
Un homme assez imposant, nous accueille:
"Ah, Enfin Eric ! T'es là ! Il est mignon, lui ! Qui c'est ?".
"Il remplace Jean-Marc ! Il est malade !".
"Tant mieux ! Je le préfère, lui ! Il sait ce qui l'attend ?".
"Plus ou moins ! Bon ! Ou sont les masques ?".
"Dans la cuisine ! Tu l'emmènes au donjon, après ?".
Je m'affole:
"Au donjon ?".
"Oui, le propriétaire a aménagé une salle !".
"C'est le mec qu'on a vu ?".
"Oui ! Il te plait ?".
"C'est le genre que j'apprécie, tu le sais ! (grand et imposant, très bien doté par la nature, apparemment, vu le renflement dans son pantalon !".
Il me propose une cagoule avec trois ouvertures, pour les yeux et la bouche.
Puis, il me fait me déshabiller dans une pièce, j'attend donc entièrement nu, affublé de la cagoule, qu'il vienne me chercher.
Peu à peu, j'entends des pas, des conversations salaces, cela devient un brouhaha vers la fin.
Puis j'entend Eric qui prévient l'assemblée:
"Messieurs , je vous remercie d'être venus ! Il y a un changement de dernière minute, notre ami n'a pas pu participer, mais vous ne perdez rien, au contraire ! Vous allez l'adorer !".
Il ouvre ma porte, je découvre le nombre important d'hommes mûrs présent.
Beaucoup ne me plaisent pas, mais je devrais assumer, je le sais.
Ils sont tous masqués, des compliments affluent sur la beauté de mon corps.
Surtout, à propos de ma bouche pulpeuse et mon cul cambré.
Des mains me saisissent, en s'écartant, les hommes me permettent d'apercevoir une croix en bois, un banc recouvert de cuir, des chaines accrochées au mur et au plafond, ainsi qu'un amas de godes divers, du gel, etc...
Les hommes forment un grand cercle, sous la direction du propriétaire:
"On va tous se faire sucer, d'abord ! On se met en rond !".
Je pense aux genres d'hommes présents, certains doivent assumer leur homosexualité, d'autres sont surement mariés.
Certains sont là pour le plaisir pervers du voyeurisme, vu leur faible mensuration.
D'autres parce qu'ils adorent casser du jeune cul !
Je prends mon rôle au sérieux en suçant chaque queue avec tout le savoir que je possède.
Les inconnus me gratifient de nombreux râles et gémissements.
L'un d'eux fait une révélation inattendue:
"Putain ! Il vaut ce qu'on a payé, celui-là !".
Je comprends donc ce qui poussait Eric à me supplier ainsi, il arrondit ses fins de mois en organisant des parties payantes, et je suis sa pute du soir !
Nos regards se cherchent, il me fait un clin d'œil, il sait qu'il devra s'expliquer !
Je me régale des mensurations de certaines grosses bites, que je dévore entre chaque homme faiblement doté.
Un homme avec une queue normale se déverse dans ma gorge.
Je suis surpris de la quantité énorme de sperme dont il m'abreuve.
"Arhhhhhhhhhhh ! Ouais, avales, salope ! Ohhhhhhhh ! Il est parfait celui-là, Eric ! Arhhhhhh ! Putain, c'est bon !".
Après deux tours de pompages de queues, on m'attache sur le banc.
"On va commencer par les plus petites pour l'enculer ! Histoire qu'il s'habitue !".
"Si vous voulez, mais il encaisse bien, il s'est déjà pris deux bites en même temps !".
Les queues se suivent dans ma bouche et mon cul, je crie mes orgasmes sans me retenir.
Je prend plus ou moins de plaisir, certains sont vicieux et me font un peu mal, ce qui gâche mes orgasmes.
On me fait sucer plusieurs godes, qu'on m'enfonce dans l'anus, ensuite.
Ceux qui pratiquent cette défonce anale avec godes, sont les moins dotés, l'un d'eux, le porte en gode ceinture pour m'écarteler l'anus.
Je reçois quelques coups de fouet, légers qui augmentent mon plaisir cérébral.
Puis on m'attache sur la croix, tous les hommes qui bandent encore, m'enculent tour à tour.
L'un d'eux se libère de son éjaculation, mon cul dégouline de foutre chaud et gluant.
Deux hommes faiblement membrés, le remplacent et se déversent aussi dans mon cul.
Je ne le vois pas, mais ils m'inséminent beaucoup plus abondamment que le précédent.
Le sperme coule encore en maculant le sol, mais aussi le long de l'intérieur de mes cuisses.
Puis, le précèdent me remet sa bite dans l'anus, je ne comprend pas pourquoi, mais comme je préfère sa taille de sexe, je me met à retrouver du plaisir anal.
Il bouge avec amplitude dans mon cul, puis très rapidement, il se met à râler:
"Arhhhhhh ! J'aime trop me vider comme ça dans un cul de salope !".
En effet, il se vide, mais pas d'une éjaculation ! Il me pisse dans le cul !
Je pense à l'autre victime qui doit aimer ça, puisque je le subis à mon tour.
Il me remplit les intestins, en me provoquant une pression énorme dans le bas ventre.
Les commentaires et insultes fusent encore à mon sujet, pendant que je rejette son jus doré.
Il vient de me faire un lavement qui me nettoie du sperme encore présent.
Un autre prend la suite et me défonce comme une pute, avec une énergie folle.
Un invité lui demande de lui laisser mon cul pour se vider, il est au bord de l'éjaculation !
Il plonge sa bite en moi et se libère aussitôt en grognant son plaisir, et en m'insultant.
Il quitte mon anus en l'écartant avec ses deux mains, son jus ne tarde pas à s'écouler aussi.
Le suivant profite de ce lubrifiant improvisé pour m'enfoncer sa grosse bite.
Je crie que j'aime sa queue, qu'il me fait jouir.
Il répond qu'il adore mon cul, qu'il le trouve magnifique et très bon à baiser.
Pendant qu'il se déchaine en moi pour éjaculer, lui aussi, deux autres hommes suivent les indications d'Eric.
Ils s'allongent de manière a coller leurs deux bites, l'une à l'autre.
Je sais ce qui m'attend.
L'homme qui me défonce, me procure trois orgasmes consécutifs, avant de m'inséminer à son tour.
On me détache très rapidement ensuite, pour me poser sur les deux sexes.
Mon anus béant et plein de sperme, aide leur pénétration simultanée.
Je prend la suite et les baise, avec vice en jouissant puissamment.
Je m'excite de leurs plaisirs conjugués, ils adorent m'enculer ainsi.
J'assume mon rôle en suçant les queues qui se présentent devant ma bouche.
Un homme se libère de son éjaculation sur moi, mon torse est maculé de foutre chaud.
Un de ceux que j'ai dans l'anus craque et se déverse longuement.
Je continue mes enfoncements jusqu'à recevoir l'éjaculation du second, enfin.
Avant que je puisse me soulever, un autre m'annonce qu'il "arrive".
Les autres lui laisse l'aisance nécessaire pour m'abreuver de tout son jus, tranquillement.
J'adore le boire, son gout est délicieux.
Je m'en délecte jusqu'à la dernière goutte.
Deux autres hommes imitent les premiers, en collant leurs bites, au sol.
Je me lance dans une baise perverse, une nouvelle fois, j'adore les doubles anales !
Un pervers se fait plaisir en me flagellant avec le fouet, et en m'insultant.
Il croit diriger ma baise en me donnant des ordres salaces.
Je ne le contrarie pas.
Moins de cinq minutes plus tard, il m'insère sa bite dans la bouche, pour me baiser en gorge profonde, puis sort et m'inonde le visage de foutre épais.
Il se fait patiemment lécher la queue, ensuite.
Je commence à être repu de plaisir anal, mes forces m'abandonnent, peu à peu.
Sur un bras, j'arrive à fixer le cadran d'une montre, il est 22 h, je me fais humilier et baiser depuis 19 h !
Les deux hommes sous moi se déversent à 5 minutes d'écart environ.
Puis, on me rattache sur le banc, mais sur le dos, et je subis encore des insertions de godes, jusqu'au plus large qui me fait hurler de plaisir.
Un homme le maintient enfoncé pendant qu'on me baise la gorge, pour m'abreuver à la chaine.
Une grosse tache est formée par mon jus anal, sous mon cul, signe de mon plaisir d'être ainsi écartelé.
Je reçois les dernière giclées de sperme sur moi, dans ma gorge et mon anus, enfin libéré.
Eric m'entraine dans la douche, par bonheur, je n'y recevrais pas de douche d'urine.
Je m'attendais à tout, ce jour là !
Je me lave seul, en ôtant ce qui protège mon identité.
Je suis épuisé, je vois mon corps couvert de sperme et portant les traces des coups de fouets.
Comment vais-je cacher ça, à Corinne ?
Il est presque 23h à présent, je reviens dans la salle, affublé du masque, quelques hommes sont encore là !
Ils ont déjà joui, mais veulent encore profiter de ma présence.
Je subi encore les assauts des plus vaillants et assume jusqu'au bout mon rôle de salope improvisé.
Je vis une dernière double pénétration anale, avec le propriétaire, et Eric derrière moi.
Eric éjacule enfin dans mon cul, puis sur mon dos, pendant que notre hôte se libère profondément dans mes intestins.
Un peu après minuit, tout le monde est parti, sauf le propriétaire et Eric.
Je peux enfin enlever mon masque !
Je vais me doucher une deuxième fois !
A mon retour, je vois l'homme qui revient avec une petite caisse, il donne une liasse de billets à Eric, des francs à l'époque !
"Tiens ! C'était super ! Il a assuré pour une première fois ! Très bonne salope !".
Eric sépare la somme en deux et m'en donne la moitié.
"Tu les as bien gagné ! C'est ça, la surprise !".
Je viens de gagner, plus de deux mois, de mon salaire !
Mais malgré cela, je sais que je ne réitèrerais pas l'expérience.
Je rentre chez moi, les poches pleines d'argent, mais un trouble immense me gagne.
Sans le savoir, je viens de me prostituer, ne pas accepter l'argent n'aurait rien changé à mes actes. le mal est fait !
Le fait de l'avoir fait masqué, me protège, mais cela reste choquant pour moi.
Je revis mes orgasmes en pensées, me remémorant les grosses queues que j'ai pris dans l'anus et la bouche.
Pourquoi ces hommes ont-ils payé pour me baiser ? Je l'aurai accepté sans argent !
Mais Eric me l'a précisé, c'est leur fantasme, ils aiment penser qu'ils paient pour user d'un jeune homme.
Je rentre chez moi, sans bruits, Corinne dort profondément.
Il est presque une heure du matin.
Je cache l'argent dans un coin de l'appartement, j'en déposerai une grande partie, sans en parler à ma belle, sur mon compte bancaire.
Pour cacher mes marques de fouet, je porte un tee-shirt en dormant.
Puis au réveil, je m'habillerai en son absence.
Tout cela disparaitra rapidement.
Elle me dit:
"Je me suis inquiétée hier soir, t'es rentré tard ! Ca s'est bien passé ?".
"Oui, super, j'ai eu mon compte pour un bon moment ! Merci, mon amour !".
"De rien ! Ca te déranges, si je vais voir Chris ? J'ai pensé à toi qui baisait, toute la soirée, et à lui aussi du coup ! J'ai envie de sexe, moi aussi !".
"Oui, comme tu veux, tu peux le faire venir aussi ! C'est comme tu préfères !".
"Non ! Je vais chez lui ! Il m'attend déjà !".
"Amuses-toi bien, alors ! Mon amour !".
On échange un énorme baiser passionné, notre amour est comme ça, étrange et permissif !
De plus, libéré de mes pulsions homosexuelles, je ressens une passion amoureuse retrouvée.
Je suis prêt à tout lui permettre !
En revoyant Eric, plusieurs semaines après, il m'a fait part du désir de ses "Clients" de me baiser encore.
Je lui ai parlé franchement.
"J'avoue qu'à une certaine époque, je fantasmais sur le fait de me prostituer, tout en sachant que c'est incompatible avec une vie de famille ! Mais à présent, je sais que malgré le plaisir que j'ai pris, c'est pas fait pour moi ! Par contre, tu remercieras tes clients pour moi, je me sens fier d'avoir été apprécié. Mais ils devront se contenter de cette soirée !".
"Je me doutais de ta réponse ! Dommage ! On s'est bien amusé quand même ! ?".
"Putain, c'est peu de le dire ! En trois soirées ! J'ai vécu des tas d'expériences ! Mais je sais que je devrais aller, encore plus loin, les prochaines fois et je veux pas !".
"Compris ! Bon, je peux t'enculer quand même ?".
Je pose ma main sur sa bite.
"Oui, autant de fois que tu veux ! Tu le sais !".
Depuis cette dernière soirée, je n'ai vécu qu'une autre énorme baise à la chaine, c'était au Sex-shop, mais c'était improvisé, sans le vouloir, et ça, je vous l'ai raconté !
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Délicieux.