Un repas spécial
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Un repas spécial
Au cours d'un repas où je suis convié, le père roland me présente son amie nathalie, généreuse femme de 50 ans. Assise sur la chaise, elle me sourit. Elle écarte ses jambes pour se lever et m’embrasserSa robe légère s’ouvre me laissant constater qu’elle ne porte pas de culotte. A son tour, elle me présente sa belle fille clara de 25a, ainsi que son beau fils thomas. Chez eux, le sexe, le vice et la perversion sont des priorités. Jonathan a commencé à découvrir sa sexualité en matant sa belle mère à poil en train de se masturber sur le lit. Elle se caressait, lui passait devant la chambre, s'était arrêté, et naturellement; sa main a eu envie de toucher sa petite bite toute recroquevillée qui commençait à s'allonger. Pendant qu’elle se titillait le clitoris,il ne pouvait pas s'empêcher de laisser sa main caresser sa minuscule queue et cela lui procurait un plaisir incroyable.
Sa belle mère, s’apercevant de sa présence, lui avait fait signe de venir et lui avait appris le sexe sans tabous en gobant son petit sexe et en avalant sa semence. Ensuite, elle lui avait demandé de se placer entre ses cuisses toutes ouvertes, et en appuyant sur ta tête, lui ordonna de la lécher. Depuis, la belle mère et le beau fils s’envoyaient en l’air ensemble quand ils en avaient envie.
Elle voulait tenir cette relation secrète par principe mais elle se réconfortait en se persuadant qu’elle ne faisait rien de mal, elle n’était pas sa génitrice. Mais un après midi, sa belle fille aperçut les ébats fougueux de son frère avec sa belle mère dans la chambre attenante à la sienne.
Sa surprise fut des plus explosives. Mais elle ne dit mot, déterminée quand même à en toucher un mot à son cher papa. Le soir venu, elle attendit d’être seule avec son père pour lui parler.
Elle attendait sa colère, une réaction totalement logique vu la situation. Au lieu de cela, il prit un verre de whisky et sermonna sa fille :-Tu n’as pas à jouer la curieuse. Tu n’aurais jamais dû voir cela. Nous sommes un couple libre ta belle mère et moi. Elle m’avait fait part de son attirance pour Thomas, et aussi pour toi…Je lui ai permis, si elle en avait l’occasion et à partir du moment où le consentement était partagé de satisfaire ses désirs. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Les enfants ont leur jeu. Pourquoi donc les adultes n’auraient pas leur propre jeu. File dans ta chambre. Et arrête de faire ta curieuse !
Elle courut vers sa chambre, se jeta en larmes sur le lit puis se calma. Elle pensait à son fantasme de découvrir l’amour lesbien. Elle s’était aperçue devant des vidéos lesbiennes qu’elle était tout excitée, que son entre jambe était tout humide. Pourquoi ne pas tenter une relation plus rapprochée avec sa belle-mère ? En y réfléchissant, elle se sentie submergée d’un désir puissant. Elle écarta ses jambes et se caressa.
Le jour suivant, elle s’était habillée sexy, une jupe courte à raz des fesses, un décolleté plongeant et transparent qui dévoilait ses petits seins au téton pointant. Lors du petit déjeuner, elle était seule avec sa belle-mère, elle lui confia qu’elle savait pour elle et son frère. La belle mère lui exhiba un large sourire. En nuisette transparente, elle se leva pour venir auprès d’elle.
- Et qu’en as-tu pensé ?
- Ben…surprise au début. Par la suite, un peu excitée. Tu es belle.
- Hum, mais toi aussi tu es belle.
Elle s’approcha de ses lèvres, et passa sa main sur la poitrine.
- Je reconnais qu’il n’y a pas que ton frère qui me plaît !
- Ah oui ? Je n’ai jamais fait avec une femme mais…j’aimerai bien !
- Suffisait de demander.
Elle lui prit sa main et l’emmena dans la chambre.
Après un peu d’appréhension, Clara se laissa mener par ses pulsions. Sur le lit sa belle mère ne cessait de lui manger la chatte comme une gourmande avale des pâtisseries. Les gémissements succédaient à des soupirs plus timides, le plaisir de l’une et de l’autre était certain.
Puis, Clara commença à lécher sa belle mère. Elle passa sa langue sur ses seins lourds, affolant les tétons qui durcissaient. Sa main contre la chatte de sa belle mère était toute mouillée. Impatiente de goûter à ce fruit humide, elle mit sa tête entre les jambes et savoura la chatte de Nathalie. Elle trouvait cela délicieux.
C’est de cette manière que la belle mère et les deux enfants du père continuèrent à s’aimer d’une autre façon.
J’étais donc en train de manger quand je m’aperçus que Clara posait les mains sur les cuisses de Nathalie. Rolant se contentait de boire son pastis. Nathalie avait remonté sa robe, elle ne portait pas de culotte. Thomas, sous la table , avait sa tête entre les jambes de sabelle-mère.
Le père me fit remarquer que le sexe aidait à digérer et que si je voulais, je pouvais participer.
Nathalie jouta avec un vice insoupçonné que je n’avais qu’à me mettre sous la table, il y avait de quoi faire. C’est ce que je fis. Je léchais la chatte de Nathalie, puis suça son beau fils.
Je n’avais jamais été autant excité de ma vie. Je passais ensuite au père qui m’honorait d’une tige de 20 cm. Je le voyais en train de glisser deux doigts dans la chatte de son amie.
Je lui palpais les bourses aussi. Enfin, je poursuivis avec un plaisir encore plus grand avec clara que je léchais sans compter, lui enfilant deux de mes doigts.
Nous étions tous dans un état d’excitation intense. Je crois bien que Nathalie aimait diriger les opérations. Elle me tendit sous la table une bouteille qu’elle me demanda d’enfoncer dans toutes les chattes que je voyais…Mais avant je devais sucer un peu le goulot.
C’est ce que je fis. Puis, je faisais visiter à la bouteille les paysages hautement magnifiques des chattes en chaleur. Roland avait une solide trique que j’apercevais toute rouge, et je voyais de temps à autre la bouche de Nathalie descendre et remonter le long d’elle. Les gémissements se mêlaient aux soupirs étouffés. En même temps que je glissais la bouteille dans chacune des foufounes, je me touchais la queue toute raide, j’avais l’impression qu’elle allait exploser tant mon excitation était grande. Je raffolais de me noyer dans cette ambiance incestueuse, coquine et perverse. Pour rien au monde je n’aurai donné ma place.
J’entendis Nathalie demander à tous son monde de se regrouper dans la chambre. Je sortis de dessous de la table, en passant devant elle, elle m’embrassa à pleine bouche, sa langue était douce et chaude et m’ordonna de faire le tour de la table et de lier ma langue avec chacune des autres membres de la famille et elle me tapota les fesses. Roland repartit au travail et me laissa le soin de m’occuper de sa grande famille.
Sa belle mère, s’apercevant de sa présence, lui avait fait signe de venir et lui avait appris le sexe sans tabous en gobant son petit sexe et en avalant sa semence. Ensuite, elle lui avait demandé de se placer entre ses cuisses toutes ouvertes, et en appuyant sur ta tête, lui ordonna de la lécher. Depuis, la belle mère et le beau fils s’envoyaient en l’air ensemble quand ils en avaient envie.
Elle voulait tenir cette relation secrète par principe mais elle se réconfortait en se persuadant qu’elle ne faisait rien de mal, elle n’était pas sa génitrice. Mais un après midi, sa belle fille aperçut les ébats fougueux de son frère avec sa belle mère dans la chambre attenante à la sienne.
Sa surprise fut des plus explosives. Mais elle ne dit mot, déterminée quand même à en toucher un mot à son cher papa. Le soir venu, elle attendit d’être seule avec son père pour lui parler.
Elle attendait sa colère, une réaction totalement logique vu la situation. Au lieu de cela, il prit un verre de whisky et sermonna sa fille :-Tu n’as pas à jouer la curieuse. Tu n’aurais jamais dû voir cela. Nous sommes un couple libre ta belle mère et moi. Elle m’avait fait part de son attirance pour Thomas, et aussi pour toi…Je lui ai permis, si elle en avait l’occasion et à partir du moment où le consentement était partagé de satisfaire ses désirs. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Les enfants ont leur jeu. Pourquoi donc les adultes n’auraient pas leur propre jeu. File dans ta chambre. Et arrête de faire ta curieuse !
Elle courut vers sa chambre, se jeta en larmes sur le lit puis se calma. Elle pensait à son fantasme de découvrir l’amour lesbien. Elle s’était aperçue devant des vidéos lesbiennes qu’elle était tout excitée, que son entre jambe était tout humide. Pourquoi ne pas tenter une relation plus rapprochée avec sa belle-mère ? En y réfléchissant, elle se sentie submergée d’un désir puissant. Elle écarta ses jambes et se caressa.
Le jour suivant, elle s’était habillée sexy, une jupe courte à raz des fesses, un décolleté plongeant et transparent qui dévoilait ses petits seins au téton pointant. Lors du petit déjeuner, elle était seule avec sa belle-mère, elle lui confia qu’elle savait pour elle et son frère. La belle mère lui exhiba un large sourire. En nuisette transparente, elle se leva pour venir auprès d’elle.
- Et qu’en as-tu pensé ?
- Ben…surprise au début. Par la suite, un peu excitée. Tu es belle.
- Hum, mais toi aussi tu es belle.
Elle s’approcha de ses lèvres, et passa sa main sur la poitrine.
- Je reconnais qu’il n’y a pas que ton frère qui me plaît !
- Ah oui ? Je n’ai jamais fait avec une femme mais…j’aimerai bien !
- Suffisait de demander.
Elle lui prit sa main et l’emmena dans la chambre.
Après un peu d’appréhension, Clara se laissa mener par ses pulsions. Sur le lit sa belle mère ne cessait de lui manger la chatte comme une gourmande avale des pâtisseries. Les gémissements succédaient à des soupirs plus timides, le plaisir de l’une et de l’autre était certain.
Puis, Clara commença à lécher sa belle mère. Elle passa sa langue sur ses seins lourds, affolant les tétons qui durcissaient. Sa main contre la chatte de sa belle mère était toute mouillée. Impatiente de goûter à ce fruit humide, elle mit sa tête entre les jambes et savoura la chatte de Nathalie. Elle trouvait cela délicieux.
C’est de cette manière que la belle mère et les deux enfants du père continuèrent à s’aimer d’une autre façon.
J’étais donc en train de manger quand je m’aperçus que Clara posait les mains sur les cuisses de Nathalie. Rolant se contentait de boire son pastis. Nathalie avait remonté sa robe, elle ne portait pas de culotte. Thomas, sous la table , avait sa tête entre les jambes de sabelle-mère.
Le père me fit remarquer que le sexe aidait à digérer et que si je voulais, je pouvais participer.
Nathalie jouta avec un vice insoupçonné que je n’avais qu’à me mettre sous la table, il y avait de quoi faire. C’est ce que je fis. Je léchais la chatte de Nathalie, puis suça son beau fils.
Je n’avais jamais été autant excité de ma vie. Je passais ensuite au père qui m’honorait d’une tige de 20 cm. Je le voyais en train de glisser deux doigts dans la chatte de son amie.
Je lui palpais les bourses aussi. Enfin, je poursuivis avec un plaisir encore plus grand avec clara que je léchais sans compter, lui enfilant deux de mes doigts.
Nous étions tous dans un état d’excitation intense. Je crois bien que Nathalie aimait diriger les opérations. Elle me tendit sous la table une bouteille qu’elle me demanda d’enfoncer dans toutes les chattes que je voyais…Mais avant je devais sucer un peu le goulot.
C’est ce que je fis. Puis, je faisais visiter à la bouteille les paysages hautement magnifiques des chattes en chaleur. Roland avait une solide trique que j’apercevais toute rouge, et je voyais de temps à autre la bouche de Nathalie descendre et remonter le long d’elle. Les gémissements se mêlaient aux soupirs étouffés. En même temps que je glissais la bouteille dans chacune des foufounes, je me touchais la queue toute raide, j’avais l’impression qu’elle allait exploser tant mon excitation était grande. Je raffolais de me noyer dans cette ambiance incestueuse, coquine et perverse. Pour rien au monde je n’aurai donné ma place.
J’entendis Nathalie demander à tous son monde de se regrouper dans la chambre. Je sortis de dessous de la table, en passant devant elle, elle m’embrassa à pleine bouche, sa langue était douce et chaude et m’ordonna de faire le tour de la table et de lier ma langue avec chacune des autres membres de la famille et elle me tapota les fesses. Roland repartit au travail et me laissa le soin de m’occuper de sa grande famille.
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