Un réveil atypique 1

Récit érotique écrit par Douceur25 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un réveil atypique 1
Ce soir-là, je me suis couchée bien plus tôt que d’habitude, lessivée par une journée interminable. J’avais l’impression que chaque minute s’était traînée comme une éternité. Mon mari n’a pas compris pourquoi j’étais aussi épuisée, mais comment aurait-il pu ? Il ne voit pas mes journées s’enchaîner sans pause, sans répit. Bref… ce n’est pas le sujet.
Ce que je m’apprête à vous raconter s’est bel et bien produit. Et encore aujourd’hui, rien que d’y repenser, une chaleur me parcourt l’échine.
Je dormais profondément, enveloppée dans un voile de fatigue, quand un frôlement à côté de moi m’a tirée des bras de Morphée. À demi-consciente, j’ai perçu un mouvement, discret mais répété. J’ai entrouvert les yeux, doucement, sans un geste. Mon regard s’est posé sur lui.
Il était là, allongé à mes côtés, les écouteurs vissés aux oreilles, le regard hypnotisé par son téléphone. Sa main allait et venait sur sa verge tendue. Il regardait un porno, concentré, les lèvres entrouvertes, haletant. Il pensait que je dormais, que son plaisir resterait secret. Mais je l’ai observé, muette, fascinée.
Son corps s’est tendu brusquement et un soupir grave a franchi ses lèvres. J’ai vu son sperme jaillir sur son ventre, perles brillantes dans la pénombre. Ce fut un spectacle inattendu, troublant, presque interdit. Mon sexe s’est aussitôt réveillé, palpitant, excité par la scène que je venais d’épier. J’aurais pu me glisser contre lui… mais la fatigue m’a reprise, et je suis retombée dans le sommeil.
Ce ne fut que quelques heures plus tard que je me suis à nouveau éveillée, lentement, cette fois portée par une chaleur douce mais insistante qui naissait dans le creux de mon ventre. Mon rêve était érotique, intense, presque trop réaliste. Je jouissais dans mon sommeil… ou du moins, je croyais. Mais les sensations étaient trop précises, trop profondes, trop… réelles.
J’ai ouvert les yeux brusquement. Mon premier réflexe fut de croire que ma propre main s’était glissée entre mes cuisses — ce n’aurait pas été la première fois. Mais non… Ce n’était pas moi. C’était lui.
La tête de mon mari était nichée entre mes jambes. Il me léchait, sa langue agile caressant mon clitoris avec une maîtrise exquise. Ses doigts, eux, s’enfonçaient lentement en moi. Un gémissement s’est échappé de mes lèvres. Mon bassin s’est mis à bouger de lui-même, à chercher davantage de contact. Il a compris que j’étais réveillée, et ses gestes se sont faits plus vifs, plus pressés.
— Tu crois que je ne sais pas que tu m’as vue ? a-t-il murmuré contre ma peau.
Je n’ai pu que gémir en guise de réponse.
— Tu m’as excité. J’ai joui trop vite… Il me fallait une autre dose. Et tu étais nue, là, à portée de main.
Ses mots ont fait frissonner tout mon corps. Il se masturbait à nouveau, lentement, tandis que sa bouche reprenait possession de mon sexe. Il alternait entre mon clitoris, mon vagin qu’il pénétrait avec sa langue, et mon anus qu’il explorait sans retenue. Je n’étais plus qu’un feu vibrant sous ses caresses.
Quand il a glissé deux doigts dans mon sexe trempé, mon dos s’est arqué sous l’effet d’un orgasme fulgurant. Il s’est redressé, sa hampe dressée fièrement, un sourire satisfait au coin des lèvres. Il s’est positionné à califourchon sur moi, son gland posé sur mes lèvres.
— Tire la langue.
J’ai obéi, frissonnante. Il s’est frotté doucement contre elle, puis :
— Ouvre la bouche.
Je l’ai fait, grande, aussi large que possible. Son sexe est large, épais. Chaque fois qu’il me baise la gorge, j’ai mal… mais c’est une douleur que je désire. Il a commencé à donner des coups de bassin, plus profonds, plus rapides. Son sexe a encore gonflé dans ma bouche, et je savais qu’il approchait de la jouissance.
Il s’est enfoncé profondément, au point où je ne pouvais presque plus respirer. Quelques secondes suspendues dans le silence, puis il s’est retiré. Il s’est penché vers moi pour m’embrasser avec fougue.
— J’ai envie de te remplir la bouche… mais je veux te baiser avant.
Il m’a retournée avec une assurance tranquille, presque possessive, et m’a soulevé les hanches comme on repositionne quelque chose de précieux, juste avant de me pénétrer d’un coup sec. Mon souffle s’est arraché de ma gorge dans un cri, pas de douleur véritable, mais d’une surprise mêlée à une vague brûlante de plaisir brut.
Je me suis cambrée sous lui, offerte, capturée par l’intensité de ce qu’il éveillait en moi. Il m’a tenue fermement, sa main enfoncée dans ma nuque pour me garder ancrée contre les draps, pendant que l’autre glissait lentement sur la courbe de mon fessier. Ses doigts exploraient, s'attardaient, jouaient avec cette zone interdite, jusqu’à ce qu’il crache, étale sa salive d’un geste lent, puis enfonce deux doigts dans mon intimité la plus secrète.
Un gémissement m’a échappé, rauque, incontrôlable.
Il s’est retiré un instant, juste assez pour attraper le lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. Je l’ai entendu l’ouvrir d’un geste rapide, le cliquetis familier du bouchon. Puis ses mains sont revenues sur moi, plus chaudes encore. Il s’en est enduit généreusement, ses gestes devenant presque cérémonieux. Il a posé son gland contre ma porte arrière, avec cette lenteur calculée qui donne autant envie qu’elle torture.
Il a commencé à pousser, doucement. Mon corps s’est tendu, mes mains ont agrippé les draps, un cri est remonté en moi — un mélange étrange de douleur, de surprise, et d’un plaisir qui s’insinuait lentement, comme une brûlure douce et profonde.
Il ne m’a pas brusquée. Il a bougé lentement, me laissant le temps d’ouvrir, de l’accueillir. Ma main s’est glissée entre mes cuisses, mes doigts trouvant mon clitoris, que j’ai pincé doucement, à mesure que les vagues montaient. Mes jambes tremblaient. Je ne savais plus si je voulais qu’il ralentisse ou qu’il me prenne plus fort.
Et puis il a compris.
Ses mouvements se sont accélérés, son souffle devenant plus lourd, plus rauque, presque animal. Il me possédait, sans retenue, et moi, je me laissais faire, portée par cette transe où la douleur flirtait avec le plaisir, jusqu’à se confondre.
Un second orgasme m’a prise par surprise, me traversant comme un éclair. Mon corps s’est arqué, mes gémissements se sont faits plaintes, halètements, prières silencieuses.
Il était en moi partout, autour de moi, dans chaque repli de mes sensations. Et je n’étais plus que ça : une vibration offerte, tendue vers lui, consumée.
— Je veux que tu me jouisses dans la bouche, ai-je soufflé, haletante.
il m’a retournée, encore.
— Ouvre la bouche.
Je l’ai fait, les yeux brillants d’envie. Un flot chaud a jailli sur ma langue, puis sur mon visage. Il a frotté son gland contre ma langue encore quelques secondes, frissonnant. J’ai souri, repue, comblée. J’ai tourné la tête pour attraper des mouchoirs…
Et c’est là que je l’ai vu.
L’ami qui passait le week-end chez nous… debout à l’entrée, un sourire au coin des lèvres, sa main déjà refermée sur sa verge dure.
— À mon tour.
À suivre…
Ce que je m’apprête à vous raconter s’est bel et bien produit. Et encore aujourd’hui, rien que d’y repenser, une chaleur me parcourt l’échine.
Je dormais profondément, enveloppée dans un voile de fatigue, quand un frôlement à côté de moi m’a tirée des bras de Morphée. À demi-consciente, j’ai perçu un mouvement, discret mais répété. J’ai entrouvert les yeux, doucement, sans un geste. Mon regard s’est posé sur lui.
Il était là, allongé à mes côtés, les écouteurs vissés aux oreilles, le regard hypnotisé par son téléphone. Sa main allait et venait sur sa verge tendue. Il regardait un porno, concentré, les lèvres entrouvertes, haletant. Il pensait que je dormais, que son plaisir resterait secret. Mais je l’ai observé, muette, fascinée.
Son corps s’est tendu brusquement et un soupir grave a franchi ses lèvres. J’ai vu son sperme jaillir sur son ventre, perles brillantes dans la pénombre. Ce fut un spectacle inattendu, troublant, presque interdit. Mon sexe s’est aussitôt réveillé, palpitant, excité par la scène que je venais d’épier. J’aurais pu me glisser contre lui… mais la fatigue m’a reprise, et je suis retombée dans le sommeil.
Ce ne fut que quelques heures plus tard que je me suis à nouveau éveillée, lentement, cette fois portée par une chaleur douce mais insistante qui naissait dans le creux de mon ventre. Mon rêve était érotique, intense, presque trop réaliste. Je jouissais dans mon sommeil… ou du moins, je croyais. Mais les sensations étaient trop précises, trop profondes, trop… réelles.
J’ai ouvert les yeux brusquement. Mon premier réflexe fut de croire que ma propre main s’était glissée entre mes cuisses — ce n’aurait pas été la première fois. Mais non… Ce n’était pas moi. C’était lui.
La tête de mon mari était nichée entre mes jambes. Il me léchait, sa langue agile caressant mon clitoris avec une maîtrise exquise. Ses doigts, eux, s’enfonçaient lentement en moi. Un gémissement s’est échappé de mes lèvres. Mon bassin s’est mis à bouger de lui-même, à chercher davantage de contact. Il a compris que j’étais réveillée, et ses gestes se sont faits plus vifs, plus pressés.
— Tu crois que je ne sais pas que tu m’as vue ? a-t-il murmuré contre ma peau.
Je n’ai pu que gémir en guise de réponse.
— Tu m’as excité. J’ai joui trop vite… Il me fallait une autre dose. Et tu étais nue, là, à portée de main.
Ses mots ont fait frissonner tout mon corps. Il se masturbait à nouveau, lentement, tandis que sa bouche reprenait possession de mon sexe. Il alternait entre mon clitoris, mon vagin qu’il pénétrait avec sa langue, et mon anus qu’il explorait sans retenue. Je n’étais plus qu’un feu vibrant sous ses caresses.
Quand il a glissé deux doigts dans mon sexe trempé, mon dos s’est arqué sous l’effet d’un orgasme fulgurant. Il s’est redressé, sa hampe dressée fièrement, un sourire satisfait au coin des lèvres. Il s’est positionné à califourchon sur moi, son gland posé sur mes lèvres.
— Tire la langue.
J’ai obéi, frissonnante. Il s’est frotté doucement contre elle, puis :
— Ouvre la bouche.
Je l’ai fait, grande, aussi large que possible. Son sexe est large, épais. Chaque fois qu’il me baise la gorge, j’ai mal… mais c’est une douleur que je désire. Il a commencé à donner des coups de bassin, plus profonds, plus rapides. Son sexe a encore gonflé dans ma bouche, et je savais qu’il approchait de la jouissance.
Il s’est enfoncé profondément, au point où je ne pouvais presque plus respirer. Quelques secondes suspendues dans le silence, puis il s’est retiré. Il s’est penché vers moi pour m’embrasser avec fougue.
— J’ai envie de te remplir la bouche… mais je veux te baiser avant.
Il m’a retournée avec une assurance tranquille, presque possessive, et m’a soulevé les hanches comme on repositionne quelque chose de précieux, juste avant de me pénétrer d’un coup sec. Mon souffle s’est arraché de ma gorge dans un cri, pas de douleur véritable, mais d’une surprise mêlée à une vague brûlante de plaisir brut.
Je me suis cambrée sous lui, offerte, capturée par l’intensité de ce qu’il éveillait en moi. Il m’a tenue fermement, sa main enfoncée dans ma nuque pour me garder ancrée contre les draps, pendant que l’autre glissait lentement sur la courbe de mon fessier. Ses doigts exploraient, s'attardaient, jouaient avec cette zone interdite, jusqu’à ce qu’il crache, étale sa salive d’un geste lent, puis enfonce deux doigts dans mon intimité la plus secrète.
Un gémissement m’a échappé, rauque, incontrôlable.
Il s’est retiré un instant, juste assez pour attraper le lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. Je l’ai entendu l’ouvrir d’un geste rapide, le cliquetis familier du bouchon. Puis ses mains sont revenues sur moi, plus chaudes encore. Il s’en est enduit généreusement, ses gestes devenant presque cérémonieux. Il a posé son gland contre ma porte arrière, avec cette lenteur calculée qui donne autant envie qu’elle torture.
Il a commencé à pousser, doucement. Mon corps s’est tendu, mes mains ont agrippé les draps, un cri est remonté en moi — un mélange étrange de douleur, de surprise, et d’un plaisir qui s’insinuait lentement, comme une brûlure douce et profonde.
Il ne m’a pas brusquée. Il a bougé lentement, me laissant le temps d’ouvrir, de l’accueillir. Ma main s’est glissée entre mes cuisses, mes doigts trouvant mon clitoris, que j’ai pincé doucement, à mesure que les vagues montaient. Mes jambes tremblaient. Je ne savais plus si je voulais qu’il ralentisse ou qu’il me prenne plus fort.
Et puis il a compris.
Ses mouvements se sont accélérés, son souffle devenant plus lourd, plus rauque, presque animal. Il me possédait, sans retenue, et moi, je me laissais faire, portée par cette transe où la douleur flirtait avec le plaisir, jusqu’à se confondre.
Un second orgasme m’a prise par surprise, me traversant comme un éclair. Mon corps s’est arqué, mes gémissements se sont faits plaintes, halètements, prières silencieuses.
Il était en moi partout, autour de moi, dans chaque repli de mes sensations. Et je n’étais plus que ça : une vibration offerte, tendue vers lui, consumée.
— Je veux que tu me jouisses dans la bouche, ai-je soufflé, haletante.
il m’a retournée, encore.
— Ouvre la bouche.
Je l’ai fait, les yeux brillants d’envie. Un flot chaud a jailli sur ma langue, puis sur mon visage. Il a frotté son gland contre ma langue encore quelques secondes, frissonnant. J’ai souri, repue, comblée. J’ai tourné la tête pour attraper des mouchoirs…
Et c’est là que je l’ai vu.
L’ami qui passait le week-end chez nous… debout à l’entrée, un sourire au coin des lèvres, sa main déjà refermée sur sa verge dure.
— À mon tour.
À suivre…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et bien une scène très torride et la suite elle promet...Daniel
Quel récit! Super bien écri! J’adore

