Un réveil surprenant...
Récit érotique écrit par Lucyen [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2017 dans la catégorie A dormir debout
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Un réveil surprenant...
Samedi matin, je me réveille un peu nauséeux. La tête dans le cul. Il y a de quoi… La veille, ma femme et moi, après avoir déposé les filles chez leurs grands-parents, nous avons été à une fête donnée en l’honneur du départ d’un ami d’origine haïtienne qui retourne, peut-être pour toujours, dans sa famille. La soirée fut longue et l’alcool a coulé à flot, notre ami nous faisant l’honneur de quelques spécialités locales.
Bref… Je suis réveillé ce matin mais pas en grande forme. J’entends une lourde respiration dans mon dos. Je me retourne et je manque de pousser un cri qui s’étouffe dans ma gorge. Il y a un homme à côté de moi, et non ma femme comme je m’y attendais. La vision me dégrise instantanément, vous vous en doutez…
Muet de stupeur, je regarde cet inconnu et constate, stupéfait, que cet homme n’est autre que moi-même. Je ne comprends pas ce que je vois, mais c’est moi que je vois dormir à poings fermés, ronflant, à mes côtés.
Je me redresse et manque de perdre mon équilibre. Mon corps ne réagit pas comme il le devrait. Même l’alcool ne devrait pas me procurer ce genre de sensations… Je baisse les yeux et découvre, à l’emplacement de ma poitrine, une paire de seins, nus. Je me retourne vers un miroir. Au lieu de voir mon reflet, je contemple celui de ma femme.
Je touche mon visage, regarde mes mains… Pas de doutes possibles, je suis dans le corps de ma femme… Je ne sais pas comment cela est possible mais j’y suis bien.
Alors que je me tâte pour éprouver ce nouveau corps, mes mains passent sur mes seins. Le choc est incroyable ! Non seulement mes mains perçoivent ces seins fermes et rebondis que je connais si bien et qui m’excitent toujours… Mais en plus je perçois mes mains par l’intermédiaire de mes seins. Ma femme m’a toujours dit que ses seins étaient comme reliées à sa chatte. Je me constate immédiatement… Je sens comme une chaleur dans l’entre-jambes. Une chaleur humide : je me pisse dessus ! Je porte la main sur mon sexe par réflexe et découvre la toison bien taillée de ma femme. Je réalise que ce n’est pas de l’urine qui coule entre mes jambes… Je mouille.
La main posée sur mon sexe, je commence d’instinct à me caresser. Je reproduis les mouvements que ma femme m’a appris et je comprends pourquoi elle tenait à ce que je fasse ceux-ci et pas autre chose. Rapidement, excité par la situation, je prends mon plaisir en gémissant légèrement…
Par réaction l’homme qui dort à côté de moi (ma femme ? moi-même ?) gémit lui aussi mais ne se réveille pas encore… Curieux, je retire la couette, le découvrant, nu lui aussi… Son sexe, mon sexe, n’est pas raide mais déjà gonflé. Je tends la main vers lui, l’effleure, le caresse doucement. Il gonfle encore, se raidit… Il bande enfin.
Excité par ce chibre, ma chatte continue de couler et de chauffer. J’ai envie de cette queue, de ma queue… Sans même y penser, je me penche en avant pour lécher ce chibre bien raide… Mais je m’arrête. Je ne veux pas courir le risque de le réveiller. Pas comme ça. Ma priorité, à ce moment, c’est de me mettre cette queue dans la chatte.
Doucement, en bougeant le moins possible, j’enjambe ce corps inerte. Je prends cette bite raide dans la main, la guide jusqu’à ma fente et m’empale dessus, submergé par des vague de plaisir.
Il se réveille. Je lis dans son regard de la stupéfaction, de la peur, de l’incompréhension… J’y décèle l’étincelle qui se trouve habituellement dans les yeux de ma femme. Il va parler, crier peut-être. Je pose la main sur sa bouche pour l’en empêcher, le suppliant du regard de ce taire. « Pas maintenant ! »
Il accepte. Je le vois s’abandonner au plaisir alors que je commence à aller et à venir le long de son vit. Cette sensation est si nouvelle, si puissante… Je sens le plaisir monter lentement en moi… Quand je sens d’un coup un flot de sperme m’envahir. Le jet chaud et puissant me remplit alors qu’il gémit en poussant un râle de plaisir.
Je suis furieuse. Furieux je veux dire. Je n’ai pas joui. J’attendais un orgasme, je n’ai eu qu’un vague petit plaisir. Même pas ce que j’avais ressenti en me caressant quelques minutes auparavant.
Lui continue à jouir. Je reçois d’autres jets de foutres qui frappent mon vagin. Je sens sa queue vibrer en moi. Rien que de penser à cela, je suis excité(e). Je profite de ces sensations et, finalement, je jouis. Doucement mais je jouis tout de même.
Je m’effondre sur sa poitrine, gêné par mes nouveaux seins que je ne sais pas encore bien « placer ». Je m’effondre et manque de me rendormir ainsi.
_ Qu’est-ce qui nous arrive ? me dit-il.
_ Je ne sais pas… Je me suis réveillé comme ça se matin. Je ne me souviens pas de ce qui a pu nous arriver hier soir…
_ Moi non plus. Il faut faire quelque chose.
_ Quoi ? Tu veux expliquer au docteur qu’on a changé de corps ? Tu crois qu’il y a un médicament contre ça ?
_ Que veux-tu faire alors ? Rien ? On attend que ça passe ?
_ Oui. Et, au cas où ça passerait vraiment, on en profite !
_ C’est-à-dire ?
_ Il n’y a pas d’urgence. On est seul pour le week-end, si ça se trouve ce sera fini ce soir ou demain… Tu n’as pas envie… de tout essayer ? Tu ne t’es jamais demandé ce que l’autre ressentait ? C’est une chance inouïe, non ?
_ Oui… Tu as peut-être raison. Tu proposes quoi exactement ?
_ Ca.
Je me suis alors relevé. Je sentais la queue gluante de sperme et de mouille glisser entre mes lèvres. Me mettant à côté de « mon homme », je me mis à lui lécher le sexe. Je connaissais déjà le goût de mon sperme et, bien sûr, celui de la mouille de ma femme. Mais y goûter sur une bite, c’est autre chose. Je la pris en bouche et commença à la sucer. Il se remit bien vite à bander. Je sentais ses mains sur ma nuque et sur ma tête pour me guider, régler le rythme de mes allers et venues le long de sa tige… Jusqu’à ce qu’il éjacule de nouveau. Encore une fois bien plus tôt que prévu. Je levais vers lui un regard plein de reproches.
_ Désolé, j’arrive pas à me contrôler, c’est trop bon…
_ Ben va falloir apprendre, je veux jouir moi aussi.
Ne lui laissant pas le choix, je l’enjambais de nouveau mais dans l’autre sens cette fois, présentant ma vulve à sa bouche…
_ Tu sais que je n’aime pas mon odeur ! protesta-t-il.
_ Ce n’est plus « ton » odeur. C’est la mienne maintenant. Et si tu veux que je te suce encore, il va falloir y mettre du tiens.
Je m’assis sur sa figure et sentis bientôt sa langue fouiller ma chatte. Ce n’était pas mauvais mais il n’y mettait pas beaucoup de bonne volonté… Du moins au début. Visiblement, la situation, la vue ou, peut-être, les hormones devaient l’exciter. Il commença alors à me bouffer sauvagement la chatte.
Voyant sa queue reprendre du volume, je commençai à le sucer pour un 69 comme nous n’en pratiquions plus depuis bien trop longtemps…
Cette fois, enfin, je jouis en premier. Poussant un cri de plaisir, je sentis de long jets de cyprine couler de ma chatte, manquant d’étouffer mon amant qui dut se redresser, surpris par l’abondance du jet (nous savions pourtant tous deux qu’elle était fontaine…)
« Baise-moi » lui dis-je en m’allongeant sur le dos. Il vint alors sur moi et me pénétra immédiatement pour me besogner rapidement, avec fougue. Folle de plaisir, je hurlais des mots salaces… « Défonce-moi la chatte ! », « baise-moi de ta queue ! », « fais-moi mouiller, salaud ! » Je prenais vraiment mon pieds et jouis de nouveau en l’enserrant entre mes jambe.
_ Tu as vu ? Je me suis bien retenu, hein ?
_ Facile après avoir joui deux fois… Mais ce n’est pas fini, j’en veux plus moi…
_ Pfff… Moi je suis déjà crevé.
_ Tu veux changer de position ? Je vais me mettre en levrette…
Ainsi mise à quatre pattes, il vint derrière moi, m’embrochant de son sexe raide brutalement et commençant à me baiser comme j’en rêvais. Il me caressait les fesses, les écartait…
_ Quelle vue ! Quel cul ! Je comprends pourquoi tu aimais tant cette position !
Je le sentis sortir de ma chatte et poser son gland sur mon anus. Sans rien dire, il commença à pousser pour y entrer…
_ Hé ! Que fais-tu !?
_ Tu as bien dit que tu voulais tout essayer, non ? Et puis c’est bien toi qui voulais sans arrêt m’enculer, non ?
_ Oui mais…
_ Alors pas un mot !
Ne voulant pas le contredire sur ce point, j’essayai de me détendre. De « pousser » pour qu’il entre plus facilement… Son gland entra rapidement en moi, me faisant pousser un petit cri. Il continua à s’introduire… Que cela faisait mal ! Je le sentis bientôt au fond de mon cul. Je sentais « ma » bite au fond de « son » cul. De « mon » cul. Je perdais la tête. Prise par l’excitation provoquée par cette situation, la douleur laissa alors place à un plaisir sans nom…
Il commença à m’enculer doucement. Ce n’était pas assez pour moi. Je hurlais alors : « Encule-moi ! Défonce-moi le cul, sodomise-moi ! Plus vite ! Plus fort ! » Il ne se fit pas prié. Je sentais maintenant son chibre aller et venir dans mes entrailles. Parfois sortir de mon cul pour mieux y replonger par la suite.
Passant une main entre mes jambes, je me branlais alors le clito, décuplant ainsi mon plaisir… Je sentais sa queue gonfler, se raidir. Il hurlait dans mon dos : « tu aimes te faire enculer, salope !? » Jamais elle n’avait été aussi vulgaire au lit… Cela m’excitait encore plus !
Il finit par décharger tout son foutre au fond de mon anus, provoquant chez moi une jouissance comme je n’en avais jamais connu…
S’effondrant sur mon dos, il murmura alors :
_ Je comprends pourquoi tu voulais m’enculer avant… Si nous échangeons nos corps, je te promets que tu pourras m’enculer bien plus souvent !
_ Si nous devons garder ces corps, je te promets que tu pourras m’enculer tous les jours mon amour…
Et c’est ainsi que nous nous rendormîmes, épuisés…
.
.
.
Certains éléments de ce récit sont tout à fait fictifs. Cependant, si vous connaissez une boisson Haïtienne ou tout autre moyen de provoquer ces effets, je compte sur vous pour m’en faire part… ;)
Bref… Je suis réveillé ce matin mais pas en grande forme. J’entends une lourde respiration dans mon dos. Je me retourne et je manque de pousser un cri qui s’étouffe dans ma gorge. Il y a un homme à côté de moi, et non ma femme comme je m’y attendais. La vision me dégrise instantanément, vous vous en doutez…
Muet de stupeur, je regarde cet inconnu et constate, stupéfait, que cet homme n’est autre que moi-même. Je ne comprends pas ce que je vois, mais c’est moi que je vois dormir à poings fermés, ronflant, à mes côtés.
Je me redresse et manque de perdre mon équilibre. Mon corps ne réagit pas comme il le devrait. Même l’alcool ne devrait pas me procurer ce genre de sensations… Je baisse les yeux et découvre, à l’emplacement de ma poitrine, une paire de seins, nus. Je me retourne vers un miroir. Au lieu de voir mon reflet, je contemple celui de ma femme.
Je touche mon visage, regarde mes mains… Pas de doutes possibles, je suis dans le corps de ma femme… Je ne sais pas comment cela est possible mais j’y suis bien.
Alors que je me tâte pour éprouver ce nouveau corps, mes mains passent sur mes seins. Le choc est incroyable ! Non seulement mes mains perçoivent ces seins fermes et rebondis que je connais si bien et qui m’excitent toujours… Mais en plus je perçois mes mains par l’intermédiaire de mes seins. Ma femme m’a toujours dit que ses seins étaient comme reliées à sa chatte. Je me constate immédiatement… Je sens comme une chaleur dans l’entre-jambes. Une chaleur humide : je me pisse dessus ! Je porte la main sur mon sexe par réflexe et découvre la toison bien taillée de ma femme. Je réalise que ce n’est pas de l’urine qui coule entre mes jambes… Je mouille.
La main posée sur mon sexe, je commence d’instinct à me caresser. Je reproduis les mouvements que ma femme m’a appris et je comprends pourquoi elle tenait à ce que je fasse ceux-ci et pas autre chose. Rapidement, excité par la situation, je prends mon plaisir en gémissant légèrement…
Par réaction l’homme qui dort à côté de moi (ma femme ? moi-même ?) gémit lui aussi mais ne se réveille pas encore… Curieux, je retire la couette, le découvrant, nu lui aussi… Son sexe, mon sexe, n’est pas raide mais déjà gonflé. Je tends la main vers lui, l’effleure, le caresse doucement. Il gonfle encore, se raidit… Il bande enfin.
Excité par ce chibre, ma chatte continue de couler et de chauffer. J’ai envie de cette queue, de ma queue… Sans même y penser, je me penche en avant pour lécher ce chibre bien raide… Mais je m’arrête. Je ne veux pas courir le risque de le réveiller. Pas comme ça. Ma priorité, à ce moment, c’est de me mettre cette queue dans la chatte.
Doucement, en bougeant le moins possible, j’enjambe ce corps inerte. Je prends cette bite raide dans la main, la guide jusqu’à ma fente et m’empale dessus, submergé par des vague de plaisir.
Il se réveille. Je lis dans son regard de la stupéfaction, de la peur, de l’incompréhension… J’y décèle l’étincelle qui se trouve habituellement dans les yeux de ma femme. Il va parler, crier peut-être. Je pose la main sur sa bouche pour l’en empêcher, le suppliant du regard de ce taire. « Pas maintenant ! »
Il accepte. Je le vois s’abandonner au plaisir alors que je commence à aller et à venir le long de son vit. Cette sensation est si nouvelle, si puissante… Je sens le plaisir monter lentement en moi… Quand je sens d’un coup un flot de sperme m’envahir. Le jet chaud et puissant me remplit alors qu’il gémit en poussant un râle de plaisir.
Je suis furieuse. Furieux je veux dire. Je n’ai pas joui. J’attendais un orgasme, je n’ai eu qu’un vague petit plaisir. Même pas ce que j’avais ressenti en me caressant quelques minutes auparavant.
Lui continue à jouir. Je reçois d’autres jets de foutres qui frappent mon vagin. Je sens sa queue vibrer en moi. Rien que de penser à cela, je suis excité(e). Je profite de ces sensations et, finalement, je jouis. Doucement mais je jouis tout de même.
Je m’effondre sur sa poitrine, gêné par mes nouveaux seins que je ne sais pas encore bien « placer ». Je m’effondre et manque de me rendormir ainsi.
_ Qu’est-ce qui nous arrive ? me dit-il.
_ Je ne sais pas… Je me suis réveillé comme ça se matin. Je ne me souviens pas de ce qui a pu nous arriver hier soir…
_ Moi non plus. Il faut faire quelque chose.
_ Quoi ? Tu veux expliquer au docteur qu’on a changé de corps ? Tu crois qu’il y a un médicament contre ça ?
_ Que veux-tu faire alors ? Rien ? On attend que ça passe ?
_ Oui. Et, au cas où ça passerait vraiment, on en profite !
_ C’est-à-dire ?
_ Il n’y a pas d’urgence. On est seul pour le week-end, si ça se trouve ce sera fini ce soir ou demain… Tu n’as pas envie… de tout essayer ? Tu ne t’es jamais demandé ce que l’autre ressentait ? C’est une chance inouïe, non ?
_ Oui… Tu as peut-être raison. Tu proposes quoi exactement ?
_ Ca.
Je me suis alors relevé. Je sentais la queue gluante de sperme et de mouille glisser entre mes lèvres. Me mettant à côté de « mon homme », je me mis à lui lécher le sexe. Je connaissais déjà le goût de mon sperme et, bien sûr, celui de la mouille de ma femme. Mais y goûter sur une bite, c’est autre chose. Je la pris en bouche et commença à la sucer. Il se remit bien vite à bander. Je sentais ses mains sur ma nuque et sur ma tête pour me guider, régler le rythme de mes allers et venues le long de sa tige… Jusqu’à ce qu’il éjacule de nouveau. Encore une fois bien plus tôt que prévu. Je levais vers lui un regard plein de reproches.
_ Désolé, j’arrive pas à me contrôler, c’est trop bon…
_ Ben va falloir apprendre, je veux jouir moi aussi.
Ne lui laissant pas le choix, je l’enjambais de nouveau mais dans l’autre sens cette fois, présentant ma vulve à sa bouche…
_ Tu sais que je n’aime pas mon odeur ! protesta-t-il.
_ Ce n’est plus « ton » odeur. C’est la mienne maintenant. Et si tu veux que je te suce encore, il va falloir y mettre du tiens.
Je m’assis sur sa figure et sentis bientôt sa langue fouiller ma chatte. Ce n’était pas mauvais mais il n’y mettait pas beaucoup de bonne volonté… Du moins au début. Visiblement, la situation, la vue ou, peut-être, les hormones devaient l’exciter. Il commença alors à me bouffer sauvagement la chatte.
Voyant sa queue reprendre du volume, je commençai à le sucer pour un 69 comme nous n’en pratiquions plus depuis bien trop longtemps…
Cette fois, enfin, je jouis en premier. Poussant un cri de plaisir, je sentis de long jets de cyprine couler de ma chatte, manquant d’étouffer mon amant qui dut se redresser, surpris par l’abondance du jet (nous savions pourtant tous deux qu’elle était fontaine…)
« Baise-moi » lui dis-je en m’allongeant sur le dos. Il vint alors sur moi et me pénétra immédiatement pour me besogner rapidement, avec fougue. Folle de plaisir, je hurlais des mots salaces… « Défonce-moi la chatte ! », « baise-moi de ta queue ! », « fais-moi mouiller, salaud ! » Je prenais vraiment mon pieds et jouis de nouveau en l’enserrant entre mes jambe.
_ Tu as vu ? Je me suis bien retenu, hein ?
_ Facile après avoir joui deux fois… Mais ce n’est pas fini, j’en veux plus moi…
_ Pfff… Moi je suis déjà crevé.
_ Tu veux changer de position ? Je vais me mettre en levrette…
Ainsi mise à quatre pattes, il vint derrière moi, m’embrochant de son sexe raide brutalement et commençant à me baiser comme j’en rêvais. Il me caressait les fesses, les écartait…
_ Quelle vue ! Quel cul ! Je comprends pourquoi tu aimais tant cette position !
Je le sentis sortir de ma chatte et poser son gland sur mon anus. Sans rien dire, il commença à pousser pour y entrer…
_ Hé ! Que fais-tu !?
_ Tu as bien dit que tu voulais tout essayer, non ? Et puis c’est bien toi qui voulais sans arrêt m’enculer, non ?
_ Oui mais…
_ Alors pas un mot !
Ne voulant pas le contredire sur ce point, j’essayai de me détendre. De « pousser » pour qu’il entre plus facilement… Son gland entra rapidement en moi, me faisant pousser un petit cri. Il continua à s’introduire… Que cela faisait mal ! Je le sentis bientôt au fond de mon cul. Je sentais « ma » bite au fond de « son » cul. De « mon » cul. Je perdais la tête. Prise par l’excitation provoquée par cette situation, la douleur laissa alors place à un plaisir sans nom…
Il commença à m’enculer doucement. Ce n’était pas assez pour moi. Je hurlais alors : « Encule-moi ! Défonce-moi le cul, sodomise-moi ! Plus vite ! Plus fort ! » Il ne se fit pas prié. Je sentais maintenant son chibre aller et venir dans mes entrailles. Parfois sortir de mon cul pour mieux y replonger par la suite.
Passant une main entre mes jambes, je me branlais alors le clito, décuplant ainsi mon plaisir… Je sentais sa queue gonfler, se raidir. Il hurlait dans mon dos : « tu aimes te faire enculer, salope !? » Jamais elle n’avait été aussi vulgaire au lit… Cela m’excitait encore plus !
Il finit par décharger tout son foutre au fond de mon anus, provoquant chez moi une jouissance comme je n’en avais jamais connu…
S’effondrant sur mon dos, il murmura alors :
_ Je comprends pourquoi tu voulais m’enculer avant… Si nous échangeons nos corps, je te promets que tu pourras m’enculer bien plus souvent !
_ Si nous devons garder ces corps, je te promets que tu pourras m’enculer tous les jours mon amour…
Et c’est ainsi que nous nous rendormîmes, épuisés…
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Certains éléments de ce récit sont tout à fait fictifs. Cependant, si vous connaissez une boisson Haïtienne ou tout autre moyen de provoquer ces effets, je compte sur vous pour m’en faire part… ;)
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