Un réveillon de luxure
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 43 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Effrontée ont reçu un total de 715 490 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2015 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 21 152 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un réveillon de luxure
Nous sommes 4 couples. Ce jeune couple à peine marié de 8 mois semble perdu au milieu de nous, couples déjà bien aguerris aux choses du sexe.
Elle, belle, fragile, timide, osant à peine soutenir un regard appuyé. Un peu apeurée quand on évoque amour sexe et bagatelle. Sa peau est blanche, blafarde, une finesse qui laisse voir les battements de la moindre de ses artères. Elle a des grands yeux, de la couleur du cœur des huitres, mélange de vert, de bleu, de blanc crème... coiffés de longs cils à peine soulignés d'un maquillage discret. Elle porte une jolie robe crème aux fines bretelles qui laissent nues ses épaules. Elle est courte à mi cuisses. Ses jambes sont fines mais pas maigres. Des mollets galbés qui se prolongent par des chevilles fines à en paraître fragiles. Elle les a vêtues d’un fin collant couleur chair. Non des bas Dim’up ! Elle a passé, pour déshabiller ses pieds, des escarpins à talons à bandelettes de cuir, fines qui s’arrêtent à la naissance du galbe du mollet et qui feraient le bonheur du moindre fétichiste des pieds de femme…Son allure est divine. Sa robe en fin coton flotte à chacun de ses moindres mouvements. De dos une cambrure de rein laisse préjuger des rondeurs d’une Vénus Callipyge. Elle se déhanche d’une manière innocente, sans vulgarité ni excès. Cette fille est une sorcière. 22 ans.
Sa poitrine ! Pas trop grosse, non, comme on les aime. Les pointes hautes, effrontées, qui vous collent tellement fort au regard que vous ne pouvez plus vous en détacher. Vous sentez sans le voir qu’elle a remarqué que vous la regardiez dans les seins. Alors, timidement, comme pour s’excuser d’être aussi désirable, elle baisse les yeux en signe de honte, d’humiliation. Ses parents qui ont dû lui dire de ne pas exciter les hommes, ne pouvaient imaginer qu’une femme puisse la désirer. Je la désirais passionnément dès le premier instant que je l’ai vue. La mise en garde n’était pas de mise.
Son mari, le malheureux, est ordinaire. Insignifiant. Il n’a de cesse de la regarder comme pour la maintenir à lui. Elle est tellement jolie que c’est un péché de l’avoir épousée. Cette beauté se partage, elle en devient d’autant plus belle.
Les hommes présents n’avaient d’yeux que pour elle. Moi aussi. Je suis sûre que tous, le mari excepté la voulaient séduire. Moi la première.
A table ; il faut la voir tenir sa fourchette avec délicatesse, douceur. Ses longs doigts, fins, racés aux ongles soignés à peine teintés sont en harmonie avec le reste de son corps. Elle est délicate jusqu’à ouvrir la bouche pour y introduire sa bouchée. Ses lèvres, marquées d’un rouge délicat, se referment et avec une infinie délicatesse elle broie son aliment.
Je suis déjà amoureuse d’elle et je me surprends à imaginer ses lèvres sur les miennes, n’osant pas l’entreprendre pour une baiser d’amour. Je me sens mouiller. Elle est juste assise en face de moi et je ne perds rien de sa beauté et magnificence.
Les femmes la convoitent, la jalousent mais avec cependant une admiration certaine. On n’a pas le droit d’être aussi séduisante !
Mon mari est à ses côtés et plusieurs fois je le surprends à tenter de mater dans son décolleté. C’est sûr, ses seins sont libres sous le fin tissu de sa robe et tous, on l’a enregistré dès son apparition au moment même où elle a ouvert son manteau pour s’en débarrasser au début de la soirée.
Pendant le repas, les hommes se sont donnés le mot pour la sonder sur ses aspirations côté sexe. Cela n’a fait que la déstabiliser et la faire rougir. Elle regardait son mari comme une bouée de secours. Pervers, nos amis avaient pris soin de le faire boire un peu pour se rendre compte rapidement qu’il ne tenait pas beaucoup l’alcool ! Elle allait être à notre merci !
Ces coquins, et avec ma complicité et celle des deux autres épouses, versent copieusement du bon vin dans son verre en insistant sur la qualité de ces vins exceptionnels. On lui demandait son avis, l’obligeant à boire. Petit à petit on voyait ses yeux prendre ce brillant caractéristique d’une bonne humeur dont l’alcool est responsable. La petite aimait le vin et ne s’en cachait pas. La tâche devenait facile. Mais moi je ne tenais pas à la violer en état d’inconscience. Je la voulais amoureuse et consentante.
Le repas terminé nous sommes passés au salon attendre les derniers soupirs de 2014. On a servi un excellent cognac Luis XIII. Elle y a goûté. Elle a aimé jusqu’à en reprendre un verre. Son mari somnolait et risquait de manquer le passage à l’an nouveau.
Tyffaine, c’est son prénom. L’alcool aidant on sent que sa timidité s’assoupit. Elle rit plus spontanément aux blagues plus que grasses des hommes avec leurs gros sabots. A qui peut se rendre le plus intéressant à ses yeux pour mieux la séduire. Elle est si belle, si gracieuse avec ses grands yeux encore remplis de lumière. C’est aussi cette naïveté qui m’excite, moi ! J’ai tellement envie d’elle que je range tous mes grands principes de moralité : s’il faut la faire boire pour lui baiser les lèvres et fouiller son sexe, s’il faut la violer, s’il faut l’attacher … je le ferai. Et je crois que je ne suis pas la seule dans cette soirée. Son bonhomme insignifiant assiste à la curée sans se manifester, résigné sans doutes à la voir tomber dans la toile que nous sommes en train de tisser autour de sa jeune épouse. A moins qu’émule du roi Candaule, il trouve un plaisir à voir admirer sa belle jeune femme.
De toutes les manières, il lui est attribué ce soir le rôle ingrat de second rôle de cocu, si tout se passe bien. Je suis terrible, tant cette jolie jouvencelle me fascine.
On lui a indiqué de prendre place dans un profond fauteuil de cuir. Pudeur oblige, elle garde ses jambes serrées mais repliées de côté. Elle a tiré sur sa robe, comme les convenances l’imposent. Peu importe, elle ne perd rien pour attendre.
La fin de l’année approche. Tous, on a en tête le moment des échanges de baiser pour fêter le nouvel an. Plusieurs fois chacun s’est déplacé derrière elle pour laisser plonger son regard dans son décolleté dans l’espoir de voir, de voler l’image d’un téton. Je l’ai également fait. S’en rend-t-elle compte ? J’ai même osé lui prendre les épaules, à pleines mains, et exercer une pression de massage. Elle n’a pas refusé. Au contraire j’ai senti sa peau frémir sous le contact de mes doigts. Quelle douceur sa peau ! Sur l’instant je crois ne jamais en avoir senti une si douce et délicate. Sous ma caresse, elle a basculé sa tête sur le dossier et fermé les yeux. Avec une infinie tendresse, je lui ai caressé les joues et le visage. Elle souriait, troublée. Enfin… moi je l’étais !
Quand le décompte des dernières secondes à commencé de s’égrener, nous nous sommes tous mis debout à nous regarder droit dans les yeux. Qui l’aurait le premier ?
Minuit, c’est son mari qui a gagné. Normal ! Les autres couples ont fait pareil. Puis ce fut le mélange. Elle s’est laissée prendre dans les bras de chacun, vraiment heureuse de la chaleur de nos vœux. Elle nous aimait bien. La pauvre si elle avait su pourquoi !
Quand mon tour arrive de lui donner l’accolade de bonne année, je lui prends la tête entre mes mains, une sur chaque joue, je la fixe droit dans les yeux. Un moment de silence s’installe, puis lentement, pour ne pas l’effaroucher, je l’attire vers moi, face à moi. Quelques centimètres séparent nos lèvres. Lorsque je sens son souffle chaud sur mon visage, elle tente d’esquiver, mais fermement, je la maintiens de face et nos lèvres se rencontrent, furtivement mais sensuellement. Une caresse plutôt qu’un contact. Je crois qu’elle n’a pas complètement saisi la puissance de ce baiser, mais je la sens vraiment troublée. On s’embrasse ensuite sur nos joues. Classique et sans importance.
Moi je sens que je mouille comme la chienne que je suis. Chacun l’a embrassée très chastement. Le mari a assisté, incrédule semble-t-il, devant la scène qui se déroulait malgré lui.
C’est l’hôte du logis qui donne le signal de danser en mettant une musique de circonstance. Les couples formés commencent des danses en prenant des positions de plus en plus équivoques. Je sens le sexe de mon mari contre mon ventre alors que nous nous embrassons avec fougue. Je me demande si j’en suis la cause. Pour ma part c’est la petite qui me fait mouiller.
Plusieurs slows après, le mari de la jouvencelle s’est endormi dans un fauteuil à l’écart de la pièce ! Incroyable ! C’est le moment que je choisis pour inviter ma belle prétextant qu’elle n’a plus de cavalier.
Je la serre d’emblée dans mes bras. Je la sens se raidir. Je maintiens ma pression, elle se relâche, s’abandonne. On danse. Encore un slow, puis un autre. Personne n’ose venir nous troubler. Puis lentement toujours pour ne pas l’effaroucher, je lui prends le cou et attire sa tête contre mon épaule. Elle ne résiste pas. Au contraire, elle accompagne mon geste. De même quand je lui caresse doucement la nuque alors que j’appuie ma poitrine contre la sienne, je ne sens plus aucune résistance. De mon autre main, je lui caresse le dos. Elle se laisse faire. Tout autour, les autres se sont assis et regardent ce qui se déroule devant eux. La petite a fermé ses yeux, docile, docilité qui doit beaucoup à l’alcool qu’elle a bu. Nos jambes se touchent, je glisse une cuisse, elle s’ouvre. Je la fais remonter doucement vers son ventre. Elle résiste un peu. Pas longtemps. Je la sens à ma merci, chasseur prêt à tuer. Docile elle se laisse mourir, offrande suprême de la victime de sacrifice humain. C’est l’hallali. A cet instant, une image me traverse l’esprit : Cette jeune femme est si belle, si fragile, elle semble soumise, animal gracile, proie facile des prédateurs dans la savane. J'ai cette image de la gazelle, la gorge enserrée entre les crocs de la lionne. Ses yeux hagards ne montrent que l'incompréhension. Elle va mourir elle est déjà morte. La lionne attend pour la dévorer. Elle sait que c'est une question de minutes. Minutes terribles où l'une sait que sa vie s'échappe, l'autre qu'elle va se nourrir et nourrir ses petits. La proie se résigne. Le prédateur s'en empare.
Ma Tyffaine est cette gazelle, son prédateur ce soir c'est moi, pour nourrir les perversions sexuelles de ces messieurs et celles de mes envies amoureuses.
Alors sûre de ma force, je lui prends la tête, approche ses lèvres et lui dépose un baiser. J’entrouvre ma bouche pour l’inviter à faire de même. Je la sens qui hésite. Oh charmant refus qui se prolonge mais qui finit par céder. Nos pointes de langues se frôlent, elle me serre contre elle, prenant pour la première fois une initiative. Elle devient actrice de nos contacts. Elle sent bon même si quelques effluves de Cognac émanent de notre baiser. Je l’aime. Je la sens qui cède mais en même temps j’ai peur de rompre l’enchantement. Qui est la fée, qui est la sorcière ? Tyffaine est maintenant ma proie. Ses lèvres sont chaudes, fiévreuses, d’une extrême douceur. Notre baiser est subtil, et en même temps infernal. Je tremble, je le sens et elle doit s’en rendre compte.
Visiblement c’est une première pour elle. Son dépucelage de frivolités. Je la sens gauche dans son baiser, mais avec une réelle envie de bien faire. J’alterne des mouvements de langue, des baisers chastes sur ses lèvres, passant du baiser d’amour à celui de la perversité sexuelle. Elle me suit, je n’en crois pas mes yeux. Si innocente il y a quelques minutes, si chaude en cet instant !
Je n’en peux plus, ma main se glisse entre ses jambes et dessus sa robe je presse son sexe. Le tissu fin de la robe m’offre de sentir son mont de Vénus, gonflé et sûrement surmonté de poils pubiens discrets. Un doigt s’immisce, elle se cabre. Elle est choquée mais vite se ressaisit et me laisse la toucher. Je sens son souffle chaud contre mes lèvres, sa respiration s’accélère, la mienne aussi.
Soudain, elle se redresse, me regarde et s’éloigne. Elle jette un regard vers son époux hors service. Elle nous regarde tous. Elle semble choquée, désappointée de s’être abandonnée. Je lui souris, lui tends la main. Après quelques secondes d’hésitation, elle l’a prend et vient se lover dans mes bras. Nous reprenons une danse langoureuse. Elle a perdu.
C’est le moment que choisit notre hôte pour venir se coller à elle, dans son dos et accompagner notre danse.
(à suivre, il n’est qu’une heure cette année)
Elle, belle, fragile, timide, osant à peine soutenir un regard appuyé. Un peu apeurée quand on évoque amour sexe et bagatelle. Sa peau est blanche, blafarde, une finesse qui laisse voir les battements de la moindre de ses artères. Elle a des grands yeux, de la couleur du cœur des huitres, mélange de vert, de bleu, de blanc crème... coiffés de longs cils à peine soulignés d'un maquillage discret. Elle porte une jolie robe crème aux fines bretelles qui laissent nues ses épaules. Elle est courte à mi cuisses. Ses jambes sont fines mais pas maigres. Des mollets galbés qui se prolongent par des chevilles fines à en paraître fragiles. Elle les a vêtues d’un fin collant couleur chair. Non des bas Dim’up ! Elle a passé, pour déshabiller ses pieds, des escarpins à talons à bandelettes de cuir, fines qui s’arrêtent à la naissance du galbe du mollet et qui feraient le bonheur du moindre fétichiste des pieds de femme…Son allure est divine. Sa robe en fin coton flotte à chacun de ses moindres mouvements. De dos une cambrure de rein laisse préjuger des rondeurs d’une Vénus Callipyge. Elle se déhanche d’une manière innocente, sans vulgarité ni excès. Cette fille est une sorcière. 22 ans.
Sa poitrine ! Pas trop grosse, non, comme on les aime. Les pointes hautes, effrontées, qui vous collent tellement fort au regard que vous ne pouvez plus vous en détacher. Vous sentez sans le voir qu’elle a remarqué que vous la regardiez dans les seins. Alors, timidement, comme pour s’excuser d’être aussi désirable, elle baisse les yeux en signe de honte, d’humiliation. Ses parents qui ont dû lui dire de ne pas exciter les hommes, ne pouvaient imaginer qu’une femme puisse la désirer. Je la désirais passionnément dès le premier instant que je l’ai vue. La mise en garde n’était pas de mise.
Son mari, le malheureux, est ordinaire. Insignifiant. Il n’a de cesse de la regarder comme pour la maintenir à lui. Elle est tellement jolie que c’est un péché de l’avoir épousée. Cette beauté se partage, elle en devient d’autant plus belle.
Les hommes présents n’avaient d’yeux que pour elle. Moi aussi. Je suis sûre que tous, le mari excepté la voulaient séduire. Moi la première.
A table ; il faut la voir tenir sa fourchette avec délicatesse, douceur. Ses longs doigts, fins, racés aux ongles soignés à peine teintés sont en harmonie avec le reste de son corps. Elle est délicate jusqu’à ouvrir la bouche pour y introduire sa bouchée. Ses lèvres, marquées d’un rouge délicat, se referment et avec une infinie délicatesse elle broie son aliment.
Je suis déjà amoureuse d’elle et je me surprends à imaginer ses lèvres sur les miennes, n’osant pas l’entreprendre pour une baiser d’amour. Je me sens mouiller. Elle est juste assise en face de moi et je ne perds rien de sa beauté et magnificence.
Les femmes la convoitent, la jalousent mais avec cependant une admiration certaine. On n’a pas le droit d’être aussi séduisante !
Mon mari est à ses côtés et plusieurs fois je le surprends à tenter de mater dans son décolleté. C’est sûr, ses seins sont libres sous le fin tissu de sa robe et tous, on l’a enregistré dès son apparition au moment même où elle a ouvert son manteau pour s’en débarrasser au début de la soirée.
Pendant le repas, les hommes se sont donnés le mot pour la sonder sur ses aspirations côté sexe. Cela n’a fait que la déstabiliser et la faire rougir. Elle regardait son mari comme une bouée de secours. Pervers, nos amis avaient pris soin de le faire boire un peu pour se rendre compte rapidement qu’il ne tenait pas beaucoup l’alcool ! Elle allait être à notre merci !
Ces coquins, et avec ma complicité et celle des deux autres épouses, versent copieusement du bon vin dans son verre en insistant sur la qualité de ces vins exceptionnels. On lui demandait son avis, l’obligeant à boire. Petit à petit on voyait ses yeux prendre ce brillant caractéristique d’une bonne humeur dont l’alcool est responsable. La petite aimait le vin et ne s’en cachait pas. La tâche devenait facile. Mais moi je ne tenais pas à la violer en état d’inconscience. Je la voulais amoureuse et consentante.
Le repas terminé nous sommes passés au salon attendre les derniers soupirs de 2014. On a servi un excellent cognac Luis XIII. Elle y a goûté. Elle a aimé jusqu’à en reprendre un verre. Son mari somnolait et risquait de manquer le passage à l’an nouveau.
Tyffaine, c’est son prénom. L’alcool aidant on sent que sa timidité s’assoupit. Elle rit plus spontanément aux blagues plus que grasses des hommes avec leurs gros sabots. A qui peut se rendre le plus intéressant à ses yeux pour mieux la séduire. Elle est si belle, si gracieuse avec ses grands yeux encore remplis de lumière. C’est aussi cette naïveté qui m’excite, moi ! J’ai tellement envie d’elle que je range tous mes grands principes de moralité : s’il faut la faire boire pour lui baiser les lèvres et fouiller son sexe, s’il faut la violer, s’il faut l’attacher … je le ferai. Et je crois que je ne suis pas la seule dans cette soirée. Son bonhomme insignifiant assiste à la curée sans se manifester, résigné sans doutes à la voir tomber dans la toile que nous sommes en train de tisser autour de sa jeune épouse. A moins qu’émule du roi Candaule, il trouve un plaisir à voir admirer sa belle jeune femme.
De toutes les manières, il lui est attribué ce soir le rôle ingrat de second rôle de cocu, si tout se passe bien. Je suis terrible, tant cette jolie jouvencelle me fascine.
On lui a indiqué de prendre place dans un profond fauteuil de cuir. Pudeur oblige, elle garde ses jambes serrées mais repliées de côté. Elle a tiré sur sa robe, comme les convenances l’imposent. Peu importe, elle ne perd rien pour attendre.
La fin de l’année approche. Tous, on a en tête le moment des échanges de baiser pour fêter le nouvel an. Plusieurs fois chacun s’est déplacé derrière elle pour laisser plonger son regard dans son décolleté dans l’espoir de voir, de voler l’image d’un téton. Je l’ai également fait. S’en rend-t-elle compte ? J’ai même osé lui prendre les épaules, à pleines mains, et exercer une pression de massage. Elle n’a pas refusé. Au contraire j’ai senti sa peau frémir sous le contact de mes doigts. Quelle douceur sa peau ! Sur l’instant je crois ne jamais en avoir senti une si douce et délicate. Sous ma caresse, elle a basculé sa tête sur le dossier et fermé les yeux. Avec une infinie tendresse, je lui ai caressé les joues et le visage. Elle souriait, troublée. Enfin… moi je l’étais !
Quand le décompte des dernières secondes à commencé de s’égrener, nous nous sommes tous mis debout à nous regarder droit dans les yeux. Qui l’aurait le premier ?
Minuit, c’est son mari qui a gagné. Normal ! Les autres couples ont fait pareil. Puis ce fut le mélange. Elle s’est laissée prendre dans les bras de chacun, vraiment heureuse de la chaleur de nos vœux. Elle nous aimait bien. La pauvre si elle avait su pourquoi !
Quand mon tour arrive de lui donner l’accolade de bonne année, je lui prends la tête entre mes mains, une sur chaque joue, je la fixe droit dans les yeux. Un moment de silence s’installe, puis lentement, pour ne pas l’effaroucher, je l’attire vers moi, face à moi. Quelques centimètres séparent nos lèvres. Lorsque je sens son souffle chaud sur mon visage, elle tente d’esquiver, mais fermement, je la maintiens de face et nos lèvres se rencontrent, furtivement mais sensuellement. Une caresse plutôt qu’un contact. Je crois qu’elle n’a pas complètement saisi la puissance de ce baiser, mais je la sens vraiment troublée. On s’embrasse ensuite sur nos joues. Classique et sans importance.
Moi je sens que je mouille comme la chienne que je suis. Chacun l’a embrassée très chastement. Le mari a assisté, incrédule semble-t-il, devant la scène qui se déroulait malgré lui.
C’est l’hôte du logis qui donne le signal de danser en mettant une musique de circonstance. Les couples formés commencent des danses en prenant des positions de plus en plus équivoques. Je sens le sexe de mon mari contre mon ventre alors que nous nous embrassons avec fougue. Je me demande si j’en suis la cause. Pour ma part c’est la petite qui me fait mouiller.
Plusieurs slows après, le mari de la jouvencelle s’est endormi dans un fauteuil à l’écart de la pièce ! Incroyable ! C’est le moment que je choisis pour inviter ma belle prétextant qu’elle n’a plus de cavalier.
Je la serre d’emblée dans mes bras. Je la sens se raidir. Je maintiens ma pression, elle se relâche, s’abandonne. On danse. Encore un slow, puis un autre. Personne n’ose venir nous troubler. Puis lentement toujours pour ne pas l’effaroucher, je lui prends le cou et attire sa tête contre mon épaule. Elle ne résiste pas. Au contraire, elle accompagne mon geste. De même quand je lui caresse doucement la nuque alors que j’appuie ma poitrine contre la sienne, je ne sens plus aucune résistance. De mon autre main, je lui caresse le dos. Elle se laisse faire. Tout autour, les autres se sont assis et regardent ce qui se déroule devant eux. La petite a fermé ses yeux, docile, docilité qui doit beaucoup à l’alcool qu’elle a bu. Nos jambes se touchent, je glisse une cuisse, elle s’ouvre. Je la fais remonter doucement vers son ventre. Elle résiste un peu. Pas longtemps. Je la sens à ma merci, chasseur prêt à tuer. Docile elle se laisse mourir, offrande suprême de la victime de sacrifice humain. C’est l’hallali. A cet instant, une image me traverse l’esprit : Cette jeune femme est si belle, si fragile, elle semble soumise, animal gracile, proie facile des prédateurs dans la savane. J'ai cette image de la gazelle, la gorge enserrée entre les crocs de la lionne. Ses yeux hagards ne montrent que l'incompréhension. Elle va mourir elle est déjà morte. La lionne attend pour la dévorer. Elle sait que c'est une question de minutes. Minutes terribles où l'une sait que sa vie s'échappe, l'autre qu'elle va se nourrir et nourrir ses petits. La proie se résigne. Le prédateur s'en empare.
Ma Tyffaine est cette gazelle, son prédateur ce soir c'est moi, pour nourrir les perversions sexuelles de ces messieurs et celles de mes envies amoureuses.
Alors sûre de ma force, je lui prends la tête, approche ses lèvres et lui dépose un baiser. J’entrouvre ma bouche pour l’inviter à faire de même. Je la sens qui hésite. Oh charmant refus qui se prolonge mais qui finit par céder. Nos pointes de langues se frôlent, elle me serre contre elle, prenant pour la première fois une initiative. Elle devient actrice de nos contacts. Elle sent bon même si quelques effluves de Cognac émanent de notre baiser. Je l’aime. Je la sens qui cède mais en même temps j’ai peur de rompre l’enchantement. Qui est la fée, qui est la sorcière ? Tyffaine est maintenant ma proie. Ses lèvres sont chaudes, fiévreuses, d’une extrême douceur. Notre baiser est subtil, et en même temps infernal. Je tremble, je le sens et elle doit s’en rendre compte.
Visiblement c’est une première pour elle. Son dépucelage de frivolités. Je la sens gauche dans son baiser, mais avec une réelle envie de bien faire. J’alterne des mouvements de langue, des baisers chastes sur ses lèvres, passant du baiser d’amour à celui de la perversité sexuelle. Elle me suit, je n’en crois pas mes yeux. Si innocente il y a quelques minutes, si chaude en cet instant !
Je n’en peux plus, ma main se glisse entre ses jambes et dessus sa robe je presse son sexe. Le tissu fin de la robe m’offre de sentir son mont de Vénus, gonflé et sûrement surmonté de poils pubiens discrets. Un doigt s’immisce, elle se cabre. Elle est choquée mais vite se ressaisit et me laisse la toucher. Je sens son souffle chaud contre mes lèvres, sa respiration s’accélère, la mienne aussi.
Soudain, elle se redresse, me regarde et s’éloigne. Elle jette un regard vers son époux hors service. Elle nous regarde tous. Elle semble choquée, désappointée de s’être abandonnée. Je lui souris, lui tends la main. Après quelques secondes d’hésitation, elle l’a prend et vient se lover dans mes bras. Nous reprenons une danse langoureuse. Elle a perdu.
C’est le moment que choisit notre hôte pour venir se coller à elle, dans son dos et accompagner notre danse.
(à suivre, il n’est qu’une heure cette année)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Effrontée
8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le style d'Effrontée est remarquable pour nous monter comment, par petites touches elle va s'emparer de sa proie pour la conduire vers des chemins et des délices qu'elle n'imagine pas encore mais qu'elle préssent. La suite sera certainement une petite merveille.....
VITE LA SUITE DE CE REVEILLON :)
Vivement la suite car cette aventure est très excitante !
Une danse sensuelle à la découverte du charme innocent.... vite une suite!
trés sensuel et doux contrairement à d'autres, peut être un peu long comme mise en scène, mais trés édifiant et troublant comme situation. En espérant que la suite ne se fera pas trop attendre et qu'elle sera aussi bien écrite
Avec de tels parrains j'étais certaine de découvrir un texte et une histoire qui émoustillent, et pas que les papilles...sourire.
Effrontée, nous emmène, comme à son habitude dans une sensualité et une perversité dont elle est friande. Ce réveillon va entraîner Tyffaine dans une luxure qu'elle ne soupçonne certainement pas. Vivement la suite de ce très beau réveillon…….
Ce texte est plein de douceur et de sensualité. Effrontée nous fait vivre délicieusement son approche, son autorité sur les autres avant de faire succomber cette tendre et probablement innocente Tyffaine.
Le réveillon n'est pas fini, je ne doute pas que Effrontée saura mener sa proie au bout de son audace
Bravo et merci
Le réveillon n'est pas fini, je ne doute pas que Effrontée saura mener sa proie au bout de son audace
Bravo et merci