Un réveillon extraordinaire 2 - histoire érotique

Trop pressés de s'éclater, les deux inconnus donnent le rendez-vous, pour le jour suivant, quinze heures. Laureen stresse toute la journée, s'agite nerveusement. Elle se douche plusieurs fois. Entièrement nue, elle fait la navette, de la salle de bain à la coiffeuse qu'elle squatte pendant de longues minutes. Elle coiffe sa longue chevelure, se contorsionne pour regarder ses formes, souvent, elle fait la moue, elle ne se trouve pas belle. Elle regarde son mari et lui dit :

-Tu ne crois pas que j'ai de grosses fesses, mon Dieu, comme je suis laide, oh non, je n'y vais pas, je reste ici !


Luc la regarde en souriant et lui répond :

- Tu es magnifique, tu as un corps de rêve, il n'y a rien à jeter, arrête de te diminuer ma chérie, tu plais tellement que l'on te donne des rencards, et qu'on te branle dans la toilette !

Laureen hausse les épaules en poussant un gros soupir, elle dit un peu agacée :

-D'abords, je n'ai rien à me mettre, je vais péter la honte !

L'heure tourne, Luc presse sa femme :

-Je vais choisir pour toi ma chérie !

Il décroche de la penderie une jupe courte et un croc-top. Du tiroir, il sort un string rouge avec un soutien-gorge de même couleur et dit en riant :

-Voilà madame est servie, enfile ça, tu vas faire un malheur ma chérie !

En se pinçant les lèvres, Laureen passe les vêtements que son mari a choisi pour elle. Il est vrai que ses formes sont mises en valeur. Elle se contemple dans le miroir et dit :

-Bon, si tu trouves que je suis désirable, je te crois mon chéri !

Ils enfilent un manteau, car la journée est fraiche. Ils prennent la route, et font quelques kilomètres, avant d'arriver arrivent à destination. C'est une maison entourée d'une haie genre manoir, planté au centre d'une pelouse. Sur le pas de la porte, L'homme du réveillon, les reçoit. Il se prénomme Charles. Il débarrasse les deux invités de leurs manteaux. Il les fait entrer au salon. Il sert un verre et papote pour mettre Luc et Laureen à l'aise. La femme au nom de Rose se fait attendre, les verres se suivent. La maison semble spacieuse, Charles prend le temps de faire visiter le rez-de-chaussée.

Il ouvre la porte d'une pièce et dit :

-Elle s'appelle la salle de Rose, c'est là, qu'elle prend ses plaisirs, la coquine, avec les personnes très initiées à ses jeux diaboliques, que je lui offre !

Les deux font de grands yeux, sur une petite table, des godes de tous diamètres, aussi redoutables les uns que les autres. Au centre, un large banc matelassé sans dossier. Plus loin une croix de saint André, juste à côté un cheval d'arçon muni de deux godes monstrueux. Posé sur une chaise une lanière de cuir.

Il fait visiter la salle à manger, et plusieurs pièces bien agencées. Les deux propriétaires paraissent être aisés. Charles ouvre une dernière pièce, c'est la salle de bain. Là, se trouve Rose, elle est en peignoir, salue les invités et dit en souriant :

-Je suis prête mes chéris, allons nous rincer la glotte, j'ai soif !

Elle fait ouvrir une bouteille de champagne à Charles, qui est rapidement vidée, une seconde suit. Rose se lève et s'approche de Luc en disant :

-Je vais m'occuper de toi, je veux que ta femme soit excitée comme une bête en rut, je vais la brouter, avant que Charles ne la défonce, le programme vous plait mes cochons !

Laureen, ravale sa salive sans dire un mot. Quant à Luc, il est souriant, et opine de la tête pour approuver Rose. Avec habileté, elle déshabille Luc, elle donne une tape sur la verge qui pend lamentablement en disant :

-Beau morceau, je sens que je vais me régaler !

Elle regarde Laureen et lui dit :

-Retire lentement tes vêtements ma chérie !

Laureen avale son verre avant de commencer à s'effeuiller comme une
stripteaseuse. Un à un ses vêtements tombent sur le sol, sur les recommandations de Rose, elle garde son string et son soutien-gorge. Elle la fait tourner sur elle-même en disant :

-Putain ce que tu es belle ma salope, je ne mouille rien quand, contemplant tes formes, tu as un cul d'enfer et des nichons qui ne demandent qu'à être dévorés !

Elle l'invite à s'assoir, et à reprendre un verre. Rose s'assied sur le canapé à côte de Luc, lui saisit la verge et commence un branlage dont elle a le secret. Au fur et à mesure que sa bite se dresse, il geint de plaisir. Laureen regarde la main de Rose agiter la queue de son mari, ses yeux brillent d'envie, elle se pince les lèvres. Mais lorsque Rose décalotte le gland et le gobe, Laureen sursaute, elle se sent comme cocufiée.

La bouche de la suceuse est très active, elle suce, tête, puis lèche la hampe gorgée de sang. Sa langue descend sur les couilles pleines de semence, la bouche vorace gobe à tour de rôle les testicules et les suce. Luc se cabre, Laureen écarquille les yeux, elle comprend que Rose est une experte. La langue remonte sur le mât épais, fait plusieurs fois le tour du gland, lape les perles que le méat rejette, puis reprend en bouche le cèpe volumineux.

Luc est au bord de la syncope, cambré comme un pont, il gémit comme un animal blessé. D'une main Rose, saisit ses couilles, elle les presse fortement. Luc se cabre et en poussant un cri terrible, remplit de son sperme, la bouche de Rose qui ne recrache pas le gland. Elle déglutit difficilement, mais avale la totalité de la décharge.

Sur sa chaise, Laureen serre les cuisses, sa chatte ne peut retenir sa cyprine, son string est trempé. Rose se tourne vers Laureen et, en s'essuyant d'un revers de la main les lèvres, dit :

-À toi ma chérie, aller approche !

Timidement, Laureen s'avance, on voit un petit filet de cyprine couler sur ses cuisses. Rose sourit et ajoute :

-Je vois que le spectacle t'a plu, tu mouilles comme une fontaine hein salope !

Elle l'enlace, la serre contre elle fortement, et d'un geste habile lui dégrafe le soutien-gorge. Les seins jaillissent comme deux obus, Rose est impressionnée par la grosseur des mamelons, elle ne peut s'empêcher de les gober à tour de rôle. Les succions sont si puissantes, que Laureen gémit en serrant les dents. Les bouts durcissent, se raidissent, et prennent encore du volume.


Enfin, Rose délaisse les mamelons, et s'agenouille devant Laureen. Elle lui descend très doucement le string imbibé de cyprine. Une fois retiré, elle donne plusieurs baisers bruyants sur le temple ruisselant. Laureen souffle comme un dragon, elle appuie sur la tête de Rose qui commence à lécher la fente aux lèvres bien dessinées.


Rose bascule sa proie sur le canapé, et lui ouvre les jambes. Elle avance sa tête entre le compas ouvert et hume fortement les effluves odorantes que la vulve rejette.
Charles s'approche, et commence, sous les recommandations de sa femme, à malaxer, et pétrir les seins de Laureen. Le bougre enfonce ses doigts dans la chair tendre et travaille les lobes, en faisant grimacer Laureen.

Elle se cabre en poussant un long gémissement. Rose vient de lui aspirer le clito, la bougresse suce avidement la boule de chair, qui comme par miracle immédiatement double de volume. Rose dévore le fruit devenu aussi gros qu'une noix. Les gémissements de Laureen sont ceux d'une agonisante. Longuement, la femme avide suce et tète la boule devenue très sensible. Laureen se cabre et en poussant un gémissement terrible jouit.

Rose rapidement enfonce sa langue dans le conduit brûlant, le fouille en faisant gémir encore plus fort la jouisseuse. Une seconde jouissance lui fait grincer les dents. Rose se redresse et en regardant son mari qui ne cesse de travailler les seins, lui dit :

-Elle est à toi mon chéri, fait d'elle une machine à jouir !

Charles retire son pantalon, lorsqu'il ôte son slip, sa queue jaillit, et oscille comme un métronome. Laureen regarde le membre fortement veiné planté fièrement sur le bas-ventre de l'homme en rut. Il retire aussi son t-shirt et se présente nu entre les cuisses ouvertes de la soumise.

Il regarde un moment la vulve aux poils trempés, en souriant, il dit :

-Oh putain ce qu'elle mouille la cochonne !

Il commence à frotter sa bite contre les lèvres finement dessinées. Il la place contre et pousse. Laureen s'accroche à lui en poussant un long râle. La bite s'enfonce lentement dans le conduit en feu. Une fois que ses couilles frappent la chatte, le bougre entame un va-et-vient qui au fur et à mesure prend de la vitesse. Le ramonage est intense, les coups de reins vigoureux. Laureen s'agrippe à son amant en geignant comme une bête blessée.


Elle reçoit dans le ventre un flot de sperme, avant de jouir à son tour. Charles la pilonne encore un moment avant de retirer sa queue gluante du temple de l'amour. Rose en maitresse femme demande à Laureen de la sucer. Elle décalotte le gland et gobe l'engin visqueux. Elle suce et tète, après quelques succions, elle délaisse la queue, la regarde la branle énergiquement, avant de la reprendre en bouche. Laureen est très efficace pour la fellation, elle fait jouit Charles rapidement. La coquine avale sa semence en déglutissant bruyamment.

Rose fait tomber son peignoir, elle se laisse tomber dans un profond fauteuil. Elle ouvre largement et commence un branlage vigoureux, son clito est à l'origine très développé, mais la coquine le fait encore grossir, enfin elle dit en soufflant comme un taureau :

-Luc je suis à toi, baise-moi fort !

L'amant s'agenouille entre les cuisses écartées, il gobe les lèvres pendantes et les suce en faisant gémir Rose. Elle agite son bassin, se cambre le plus possible, pour offrir à la bouche vorace, sa chatte qui suinte comme un fruit trop mûr. Luc bouffe la vulve, il se gave de cyprine, dévore comme un affamé le clito épais. Une jouissance secoue Rose, très expressive, elle pousse un hurlement terrible, qui fait sursauter Laureen.

Enfin, elle le supplie de la prendre. Il saisit les hanches larges de la bougresse, et lui enfonce brutalement sa queue dans le ventre. Rose se cramponne à lui comme une pieuvre sur son rocher, ses gémissements sont ceux d'une bête tombée dans un piège. Luc lui travaille la chatte comme un forcené, la brutalité, la cochonne adore ça, elle hurle :

-Plus fort Luc plus fort oh putain je vais jouir oui, oui !

Elle se cabre et explose de jouissance, en couinant comme un animal. Luc continue de lui ramoner les entrailles, soudain Rose dit fortement :

-Prenez-moi à deux, vite, vite je veux deux bites en moi !

Charles s'étend sur le sol, Luc libère sa proie et l'aide à enjamber Charles. Elle saisit la verge tendue de son mari et s'empale en se laissant tomber de tout son poids dessus. Elle se plaque contre le torse de son mari et insiste :

-Viens, viens, Luc prends moi le cul dépêche-toi !

Sans se poser de question, il lui enfonce sa bite profondément dans le rectum. Rose se cabre en poussant un ouah de bonheur. Les deux hommes en se synchronisant parfaitement, lui labourent les entrailles. Laureen reste bouche bée devant ce qu'elle voit, ses yeux ne quittent pas les deux verges qui ramonent le ventre et le cul de son hôte.


Instinctivement, elle écarte les cuisses et se masturbe, sans louper une image. Son clito devient douloureux, tellement elle le malmène, elle serre les dents grimace, en soufflant fortement par le nez. sa respiration s'accélère, la vitesse de branlage aussi. Elle se tend comme un arc et en gémissant jouit. Rose est défoncée Royalement, les queues qui voyagent en elle, la font geindre de plaisir. Elle demande à Laureen de lui bouffer les nichons.

L'invitée, s'exécute elle malaxe le lobes charnus et gobe à tour de rôle les mamelons larges et épais. Les mats de chairs plantés au centre d'aréoles grenelées se dressent fièrement. Laureen les étire avec ses dents, les roule entre ses doigts et les presse fortement pour faire gémir la demandeuse.

Rose est au summum du bonheur, elle jouit plusieurs fois avant que les deux hommes, lui remplissent les orifices de semence. Enfin ils se retirent, Laureen voit le surplus de sperme s'échapper des orifices malmenés. Rose récupère doucement, elle demande aux deux amants de faire subir à Laureen une double pénétration, dès qu'ils seront en mesure de le faire.

Après une pose bien mérité et un encas réparateur. Comme c'est sa première double, Laureen se demande si elle pourra résister aux assauts des deux males en ruts. Son mari s'assied sur une chaise et invite sa femme à venir s'empaler sur sa queue qui est redevenue opérationnelle. Elle monte à califourchon sur ses jambes et doucement s'embroche sur sa queue.
Rose se place derrière, salive abondamment l'anus, donne de nombreux coups de langue sur le muscle qui comme prit d'hystérie, ne cesse de s'ouvrir et de se refermer.

Lorsque la langue force le passage, Laureen se cabre en poussant un long râle. Le peu de centimètres que la langue fouille font gémir Laureen comme une bête blessée. Rose laisse son mari achever le travail. Il s'accroche aux hanche de la soumise et pousse. Laureen grogne. Son anneau cède et avale lentement la totalité de la bite.

Laureen pour sa première double, halète fortement en couinant a chaque aller et retour des queues dans son corps. Rapidement elle atteint la jouissance, elle se cambre en poussant un cri de délivrance. Les deux hommes la démontent comme des beaux diables, les bites voyagent dans son corps avec de plus en plus de brutalité. Une seconde jouissance la fait hurler. Rose s'approche, elle demande que Laureen soit prise que par le cul.

Le trio se dessoude. Laureen prend appuie sur le bord de la petite table du salon, et se cambre en offrant bien sa croupe. Charles lui ré-enfonce sa bite dans les cul et le pilonne sauvagement. Laureen ne peut retenir des gémissements bruyants. Rose lui saisit le clito le triture, Luc offre aux lèvres de sa femme sa bite tendue, Laureen doit faire un effort pour la gober. Elle suce, tète, entre deux souffles la bite de son mari.

Soudain elle recrache la bite, se cabre en hurlant. Une jouissance phénoménale du cul la fait délirer. Rose en experte, lui écrase le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance fait gémir Laureen. Son mari lui force la bouche, Laureen fait ce qu'elle peut pour lui sucer le gland. Charles se déchaine, il défonce sa proie comme un malade. Une nouvelle et violente jouissance, fait cabrer Laureen. Charles jouit en même temps que Luc, l'un dans la bouche, l'autre dans les cul.

Il est temps de faire une pose. Une toilette rapide est nécessaire, avant de passer à table. Rose prévoit d'initier ses invités dans la pièce spécialement aménagée.