Un réveillon pervers (3)
Récit érotique écrit par Flore [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2018 dans la catégorie Plus on est
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Un réveillon pervers (3)
Je retournais à ma table avec des sentiments mitigés entre honte d'avoir flirter et tromper mon compagnon et cette dose d'excitation de ces caresses et baisers échangées sous les regards de nos voisins. "Alors où t'étais passée ?" me demande Pierre tout en me servant d'autorité une vodka orange. Je répondis en riant que je me faisais baiser, ce qui déclencha l'hilarité générale et une étincelle jaillit dans les yeux d'Eric. Une fois la tablée calmée, je leur dis que j'avais juste était invitée par un gentil jeune homme à boire une coupe de champagne. Julia et son copain allèrent danser, Alex m'invitait, ses pas étaient bien moins assurés, les verres avalés en était la cause. De retour à table je buvais tranquillement ma boisson quand Julia et son copain nous annoncèrent qu'ils rentraient car ils avaient de la route à faire pour aller manger le midi chez la famille de Julia et c'était déjà 2h30, d'ailleurs pas mal de personnes avaient déjà quitté la salle. Les trois copains se resservaient à boire, me demandant si je voulais un autre verre, je refusais, mais Pierre me rajouta une dose de vodka dans mon verre à moitié plein et Alex et Eric qui enchainent en chantant "allez cul sec" ! "Vous voulez me saouler ou quoi !" mais devant leur insistance et Pierre qui menaçait de rajouter de l'alcool, j'avalais le breuvage corsé en quatre gorgées, une vague de chaleur montait au fur et à mesure que le liquide descendait dans mon buste.
Je laissais les garçons à leur bouteille, et partait d'une démarche moins assurée vers la piste de danse noyée sous des airs antillais. À peine que je mettais un pied sur le dance-floor, j'étais enlacée par un cavalier de mon âge qui me fit danser collé serré, je le sentais durcir contre mon ventre, l'esprit certainement embrumé par l'alcool, j'en rajoutais en me frottant effrontément contre lui. Là du coup il était carrément raide surtout que sa main avait glissé sur ma croupe. À la fin du morceau, sa compagne est venue me l'arracher en le tirant par le bras tout en lui lançant "elle t'excite cette salope" la suite m'échappa couvert par la musique, mais je ne restais pas longtemps seule, Tony venait de me rejoindre pour danser sur un zouk très lassif. Je laissais sa main glisser sur mes fesses et l'autre empaumer un sein, moi, j'avais noué mes bras derrière sa nuque. Les ondulations de nos corps ajoutées à la sensualité de la danse je sentais bien le sexe de Tony dur et gonfler contre mon bas ventre, mes tétons pointaient fièrement ce qui ne laissait aucun doute sur mon excitation. Je voulais rester discrète, mais je n'ai pas pu ou su refuser le baiser que Tony demandait, nos langues se sont longuement entremêlées, je sentais parfois les mains de Tony se crisper sur mes rondeurs, comme réponse je serrai encore plus mon bas ventre sur sa queue raide, j'ondulais pour mieux me frotter à lui. Nous dansâmes ainsi quatre ou cinq morceaux. Il fallait que je regagne ma table, et à regret je quittais Tony en lui promettant de revenir dans quelques minutes.
Je trouvais mon homme et ses deux copains passablement éméchés, mon qualificatif est même en deçà de la réalité, Eric se lève et d'une voix pâteuse me demande d'aller danser, coup de bol pour lui, le DJ vient d'entamer une série de slow. Nous nous enlaçons et je lui demande si ça va, il répond qu'il est un peu bourré mais que ça ira, il ajoute, alors avec ta petite robe sexy as tu ému quelques cavaliers ? Je lui réponds que oui et il me demande de raconter.
- tu sais cette robe je l'ais choisie pour toi, puisque je sais que tu adores quand je fais baver les mecs.
- je le sais bien mais les autres aussi en profite, bon alors raconte.
Pendant que je lui raconte, je sens sa virilité grossir et ses mains parcourir mes formes, à la fin du récit il me demande :- et quand Tony a glissé un doigt entre tes cuisses, tu as aimé ?
- oui, et j'ai même écarté un peu les cuisses pour lui facilité le passage, bon ça n'a pas duré longtemps mais bien agréable.
- tu aurais voulu que ça aille plus loin ?
- oh oui, la situation ajoutée aux caresses sur ma chatte et mes seins, il a dû remarquer que j'étais bien humide.
Eric, venait de glisser sa main sous la robe au niveau de ma hanche et avançait sur la fesse tout en la dévoilant. En plus j'étais de dos à la salle et un bon tiers de ma fesse s'offrait à leurs regards.
- Tony, c'est le mec qui a une chemise bleu pâle et un jean noir qui est au milieu de ses copains ?
- oui c'est lui, tu le trouves comment ? Mais dis, tu montres ma fesse à tout le monde !
- c'est pour le rendre jaloux, physiquement pas mal, mais il semble faire le fier.
- il a le style Hidalgo un peu toréro mais il me plait bien. Tu sais, je te sens bien raide ça t'excite ce que je t'ai raconté !
- ben oui que ça m'excite, et tu le sais bien que c'est mon plus gros fantasme. Moi ce soir je veux que tu ailles jusqu'au bout, que tu te donnes à ce Tony, alors moi je vais raccompagner Alex et Pierrot et je resterai chez Pierre, toutes façons une fois chez lui il va vouloir qu'on boive un coup, ainsi, ça te laisse toutes libertés.
- heu, Eric, je le connais très bien ton fantasme, mais voilà, là t'es euphorique et excité, mais demain quand tu auras retrouvé tes esprits ne vas tu pas le prendre mal de m'avoir laissée seule, car comme tu l'as vu, Tony a des copains.
J'essayais encore pendant un petit instant d'argumenter sur le fait que cela pouvait détériorer notre relation, mais il n'en démordait pas.
- Ouai, suis peut être un peu bourré, mais c'est bien clair dans ma tête, je ne te ferai aucun reproche sur tout ce que tu auras fait, et au contraire suis certain que ça va m'exciter un max et qu'on en profitera tous les deux.
- si c'est ce que tu veux ... j'espère qu'on ne le regrettera pas.
- tu sais que je t'aime comme un fou et si toi aussi tu m'aimes alors lâche toi, sois bien salope, je vais être raide comme pas possible en t'imaginant et demain quand tu vas me raconter ça va être hyper chaud !
La série de slow finissait et on retournait auprès des deux compères qui avaient ramassé les bouteilles de champagne non finies des tables environnantes, du coup je me servais une coupe pour me donner du courage, je faisais la bise aux deux duettistes et roulais un gros patin à mon chéri qui m'envoyait dans les bras d'un autre. Tout en récupérant mon sac à main, des pensées contradictoires se heurtaient en moi. Je n'aurai pas dû accepter ce que me demandait Eric. Comment pouvait-il parler de preuve d'amour, n'allions nous pas faire exploser notre couple dans cette relation extraconjugale, là, le jeu prenait toute une autre ampleur, il n'était plus question de petits flirts aiguisant la jalousie pour mieux nous retrouver ensuite. Mais les petits picotements au creux de mon ventre me signifiaient que la situation m'excitait et de mon côté n'avais je pas aussi initié cette situation en choisissant cette robe courte et sexy que je portais sans rien dessous si ce n'est le voile du collant et quelles en seraient les conséquences une fois cette folie passée. Je n'avais pas de réponse à tout ça et de toutes façons je n'avais plus le temps de me poser des questions j'étais à deux pas de Tony.
Un léger coup d'œil sur ma poitrine me confirma ce que je ressentais, mes tétons pointaient fièrement et ce n'était pas dû au froid, fallait que je me rende à l'évidence, moi aussi cette situation m'excitait. Tony me voyant avec mon sac en main, me sourit tristement, tout en me demandant si je partais. Tout en me jetant à son cou, je répondais que je restais et ma bouche se collait à la sienne. A la fin de notre baiser il me demandait comment c'était possible et j'inventai à moitié la raison de ma présence, que mon homme un peu éméché avait raccompagné ses deux copains bourrés et qu'il ne reviendrait pas et que moi j'avais retrouvé une copine et comme je voulais encore profiter de la soirée elle s'était proposée de me ramener.
- Et il t'a cru ? Me demanda Tony en riant.
- Ma foi, oui puisque je suis là.
- Viens ça s'arrose, suis super content.
Il demanda à un de ses copains de lui trouver deux coupes et du champagne. Je lui disais que ce n'était pas la peine, que j'allais être pompette. Sa réponse me surpris un petit peu elle était pleine de sous entendu.
- Mais c'est bien une fille avec un coup dans le nez.
- Pourquoi ?
- Parce que elle se lâche et elle ose.
- Et toi tu kiffe les meufs qui osent, c'est ça ?
- Quel mec n'aimerait pas.
Il me tendit une coupe et on trinqua à la bonne année. Je me dis que j'allais être plus que pompette si je continuais ainsi, mais pour le moment je me trouvais dans une douce euphorie, grisée par l'alcool. Je me laissais porter par les événements. Je dansais avec Tony deux ou trois rock, puis sur du reggae en compagnie de deux de ses copains qu'il m'avait présenté auparavant Hugo et Alban. J'avais remarqué que les femmes (épouses ou petites amies) faisant partie du groupe de Tony me regardaient avec des yeux acérés et j'en faisais part à Tony.
- C'est qu'elles te voient comme un danger pour elles, belle et sexy comme tu es leur mari ou compagnon sont sur le point de succomber à tes charmes.
- Donc ne vaut mieux pas que je m'approche alors.
- Et pour éviter la moindre embrouille c'est pour ça que nous restons de ce coté de la table et Hugo, Alban et moi sommes célibataires donc tu n'as avoir aucune crainte de ce coté là.
Durant le temps de nos échanges, sa main droite n'avait pas cessé de me caresser les fesses, faisant parfois légèrement remonter l'ourlet de ma courte robe et dévoiler aux regards la base de mes rondeurs. Par deux fois, ses doigts avaient même glissé brièvement entre mes cuisses et avaient pu constater la moiteur de ma fente. Je ne l'avais même pas sermonné pour ce geste plus que déplacé en public. La musique Antillaise avait retrouvé la piste en même temps que nous. Le DJ avait du mal à inviter les danseurs, entre fatigue et les nombreux de convives qui étaient partis, nous n'étions que cinq couples sur la piste et par delà l'attraction de la petite assemblée restante. Ce qui n'empêcha pas Tony de me caresser seins et fesses et de nous embrasser passionnément. Cela ne me gênait pas le moins du monde, toutes façons ma réputation devait être faite depuis le début de se réveillon et cela m'était bien égal n'y connaissant personne.
Je dansais aussi avec Hugo et Alban de façon bien plus conventionnelle mais tout de même assez collé l'un à l'autre. L'ambiance tombait à mesure que l'heure avançait et Tony demanda à Hugo s'il connaissait un "after" et Alban dit qu'il en connaissait mais ce n'était pas à côté, facilement une demi-heure en voiture.
- T'es d'accord ? Me demanda Tony.
- Moi, je vous suis, de toute façon je suis à pieds.
Et Tony tendit les clés de sa voiture en demandant à Hugo d'aller la démarrer pour chauffer l'habitacle. Cinq grosses minutes après, nous récupérions nos manteaux au vestiaire et on retrouvait Hugo appuyé sur la voiture fumant une cigarette, faut dire que la nuit n'était pas glaciale ce que me confirma l'affichage au tableau de bord de la température extérieure 9 ° pour une nuit de la Saint Sylvestre on peut parler de relative douceur. Tony ouvra la portière arrière et une bouffée de chaleur m'enveloppa, du coup j'ôtais mon manteau que je jetais sur la plage arrière et en entrant dans la voiture j'offrais à Tony et à Alban un coup d'œil imprenable sur mon intimité tout de même dissimulée par la pénombre. Une fois tous installés, Tony recommanda à Hugo de conduire à la "pépère", et Hugo nous parla de cette boite un brin déjantée essentiellement musique techno et rap, ce n'était pas ce que j'appréciais le plus, mais je m'adapterai, il continua en nous disant que la fréquentation était hétérogène faite de gay, trans, hétéro ces derniers étant les plus nombreux, précisa t il comme pour nous rassurer, mais que de toutes façons que c'était hyper chaud.
Tony n'avait pas tardé à poser sa main sur ma cuisse et la faisait aller délicatement de bas en haut remontant toujours plus vers ma fourche venant frôler mon intimité. Aussi j'écartais mes cuisses pour lui faciliter le passage et ses doigts vinrent naturellement agacer mon clito déjà bien gonfler et à la sensibilité exacerbée. Il put aussi constater la moiteur (le mot est faible) de ma fente. Après deux ou trois baisers échangés, n'y tenant plus, je me penchais vers ses cuisses, défaisais sa ceinture faisais sauter l'attache du pantalon descendais la fermeture à glissière et enfin je glissais mes doigts par dessus son boxer tout en appréciant la raideur qui se trouvait sous le tissu. M'adressant à Tony :- Tu vois j'ose !
Ayant trop envie de la tenir dans ma main, je baissais le boxer et elle se dressa sous mes yeux à quelques centimètres de mon visage. Mes doigts montaient et descendaient le long de cette belle tige palpitante, je décalottais le gland, j'y faisais glisser le pouce dessus et ne pouvant plus tenir, mes lèvres vinrent l'entourer pour l'enfourner aussitôt au fond de ma gorge presque à m'en étouffer ! Ensuite ma langue vint se mêler à la danse, de la pointe je lui titillais son méat faisais le tour de sa couronne je le léchais avant de l'enfourner à nouveau et d'enchainer des aller retour sur sa respectueuse bite (le garçon avait été gâté par la nature).
La situation m’excitait fortement, tailler une pipe sur le siège arrière de cette voiture alors que juste devant les deux copains entendaient et le passager pouvait nous regarder juste en tournant la tête était pour moi exceptionnel. En rajoutant que ma position avait permis à Tony de retrousser ma courte robe pour me caresser les fesses, ma chatte ou mon petit œillet, tout cela me faisait mouiller comme rarement, je n’avais pas besoin de le vérifier de mes doigts pour m’en persuader, j’étais pour le moins poisseuse. Mes petits râles étaient la confirmation de mon état de surexcitation. Mes fesses au centre de la banquette ne devaient plus avoir de secret pour les passagers avant, d’ailleurs une autre main venait de rejoindre celle de Tony sur mes fesses, le petit coup d’œil me permit de voir Alban de biais sur son siège et son bras gauche dirigé vers la banquette arrière. Mon état empira, je sentais des frissons de plaisirs courir sous ma peau, mon ventre rempli de délicieux picotements, mes seins gonflés aux tétons tendus à m’en faire mal. Dans un souffle rauque j’ai dit à Tony :- Prends-moi !
Sur un ton de voix ferme il me répondit :- Tu as envie de bites, hein, salope.
- Oui très envie.
- En plus de la mienne tu veux celles d’Alban et d’Hugo ?
- Humm oui !
- Et où tu les veux nos trois bites ?
- Je veux que vous me baisiez la bouche, la chatte, le cul !
- De quelle façon tu veux qu’on te baise ?
- Je veux que vous me preniez comme une salope, une chienne, je suis votre pute !
- Mais tu es vraiment une salope qui laisse tomber son mec pour venir se faire sauter, dis-le nous ce que tu es réellement.
- Je suis qu’une salope qui trompe son mari, et qui aime se faire prendre comme une chienne !
Là, il me claqua les fesses, et à l’intention d’Hugo il lança trouve nous un coin tranquille on va la baiser cette pute. Cet échange et les mots crus à mon égard ont eu pour effet d'augmenter mon état d'excitation se traduisant par un flux de cyprine supplémentaire, les doigts des deux garçons en furent recouverts et leurs attouchements se faisaient dans un léger clapotis sonore.
- Cette salope mouille comme ce n'est pas possible, elle a vraiment envie de se faire démonter ! Lança Alban. Tony porta à ma bouche ses doigts gluants de ma mouille, alors que je suçais toujours sa pine bien raide.
- Goûte ta mouille petite pisseuse.
Je léchais ses doigts sous son injonction. La voiture ralentissait, et finit par s'arrêter, Hugo laissant le moteur tourner. En un éclair, je me retrouvais à genoux sur la terre battue entourée des trois garçons bites dressées en main. J'en branlais un tout en suçant l'autre, tandis que le troisième avait glissé sa main entre mes cuisses titillant mon clito et me doigtant parfois entrainant les mailles du collant à l'intérieur de mon vagin dégoulinant, mes seins n'étaient pas oubliés, caressés, malaxés, triturés, me pinçant et étirant les tétons, j'avais des mains partout sur mon corps. Tout ça n'allait pas faire baisser mon état, mes seins et mes tétons en étaient devenus douloureux tant ils étaient gonflés et tendus. Sans compter la situation sur ce terrain vague entre deux entrepôts et seulement séparé de la route par une haie. Tout en suçant les queues que me donnaient mes partenaires je soupirais de plaisir des caresses sur ma chatte et ma rosette parfois pénétrée par un doigt. Je lançais un :- Baisez-moi ! D'un ton suppliant.
Ils me positionnèrent à genoux sur le bord de la banquette arrière, les fesses tendues vers l'extérieur, robe retroussée sur les reins, le collant baissé aux genoux, Tony m'empoigna d'une main la hanche et de l'autre guida sa bite contre ma fente, il entra en moi comme je reculais vers lui, ma chatte l'avala en entier, m'écartant mes chairs délicieusement j'en râlais de plaisir. Hugo s'était glissé par l'autre portière et me donna sa bite à sucer. C'est à cet instant que je réalisais que Tony me prenait sans préservatif, il se voulu rassurant en m'assurant qu'ils étaient clean qu'il n'y avait aucun risque. Il me limait comme un damné, ses va et viens accompagnés par les clapotis de ma chatte trempée. Chacun d'eux me pénétra, puis Tony très excité me dit :- Je vais t'enculer petite pute !
Il cracha plusieurs fois sur ma rondelle, fit coulisser quatre ou cinq fois sa bite dans ma chatte avant d'appuyer son gland sur ma rosette et la forcer sans douceur aucune, elle céda et il entra d'un coup dans mes reins et m'arrachant un cri mêlé de douleur et de plaisir.
- Oh putain, salope, t'es serrée c'est super bon de t'enculer !
La douleur s'est estompée rapidement laissant les sensations jouissives m'envahir, je couinais tout en suçant et reprenant ma respiration je le suppliais de me défoncer.
- T'inquiète, sale chienne, je vais te le démonter ton cul.
- Oui vas y plus fort casse moi le cul, je veux que tu m'inondes, crache tout au fond.
Deux minutes plus tard, Tony balançait tout ce qu'il avait de sperme dans mes entrailles. Sans me laisser le temps de me remettre du plaisir que je venais de prendre, Hugo et Alban m'entrainaient à l'avant de la voiture, je me retrouvais seins plaqués sur le capot tiède et l'un après l'autre visitèrent ma chatte puis mon cul. Ensuite ils me redressèrent je me retrouvais avec Hugo face à moi et Alban dans mon dos. Tant bien que mal Hugo arriva à pénétrer ma chatte, puis Alban s'inséra entre mes fesses malmenant à nouveau mon œillet, ils me prirent ainsi en sandwiche arrivant à s'accorder sur le rythme, je criais mon plaisir je jouissais sans aller jusqu'à l'orgasme, mais c'était tout de même très bon. Ils finirent par jouir quasiment simultanément dans une bordée de jurons. Ils me soutenaient le temps que je réajuste mon collant, et on regagnait la douceur de l'habitacle. Tony m'embrassa tout en me caressant la poitrine, et me remercia, puis il ajouta que j'étais une sacrée salope quand même. Je lui répondis que ce n'était pas pour leur déplaire, et qu'eux m'avait bien fait jouir. Hugo nous indiqua que dans dix petites minutes on serait à la boite.
Je laissais les garçons à leur bouteille, et partait d'une démarche moins assurée vers la piste de danse noyée sous des airs antillais. À peine que je mettais un pied sur le dance-floor, j'étais enlacée par un cavalier de mon âge qui me fit danser collé serré, je le sentais durcir contre mon ventre, l'esprit certainement embrumé par l'alcool, j'en rajoutais en me frottant effrontément contre lui. Là du coup il était carrément raide surtout que sa main avait glissé sur ma croupe. À la fin du morceau, sa compagne est venue me l'arracher en le tirant par le bras tout en lui lançant "elle t'excite cette salope" la suite m'échappa couvert par la musique, mais je ne restais pas longtemps seule, Tony venait de me rejoindre pour danser sur un zouk très lassif. Je laissais sa main glisser sur mes fesses et l'autre empaumer un sein, moi, j'avais noué mes bras derrière sa nuque. Les ondulations de nos corps ajoutées à la sensualité de la danse je sentais bien le sexe de Tony dur et gonfler contre mon bas ventre, mes tétons pointaient fièrement ce qui ne laissait aucun doute sur mon excitation. Je voulais rester discrète, mais je n'ai pas pu ou su refuser le baiser que Tony demandait, nos langues se sont longuement entremêlées, je sentais parfois les mains de Tony se crisper sur mes rondeurs, comme réponse je serrai encore plus mon bas ventre sur sa queue raide, j'ondulais pour mieux me frotter à lui. Nous dansâmes ainsi quatre ou cinq morceaux. Il fallait que je regagne ma table, et à regret je quittais Tony en lui promettant de revenir dans quelques minutes.
Je trouvais mon homme et ses deux copains passablement éméchés, mon qualificatif est même en deçà de la réalité, Eric se lève et d'une voix pâteuse me demande d'aller danser, coup de bol pour lui, le DJ vient d'entamer une série de slow. Nous nous enlaçons et je lui demande si ça va, il répond qu'il est un peu bourré mais que ça ira, il ajoute, alors avec ta petite robe sexy as tu ému quelques cavaliers ? Je lui réponds que oui et il me demande de raconter.
- tu sais cette robe je l'ais choisie pour toi, puisque je sais que tu adores quand je fais baver les mecs.
- je le sais bien mais les autres aussi en profite, bon alors raconte.
Pendant que je lui raconte, je sens sa virilité grossir et ses mains parcourir mes formes, à la fin du récit il me demande :- et quand Tony a glissé un doigt entre tes cuisses, tu as aimé ?
- oui, et j'ai même écarté un peu les cuisses pour lui facilité le passage, bon ça n'a pas duré longtemps mais bien agréable.
- tu aurais voulu que ça aille plus loin ?
- oh oui, la situation ajoutée aux caresses sur ma chatte et mes seins, il a dû remarquer que j'étais bien humide.
Eric, venait de glisser sa main sous la robe au niveau de ma hanche et avançait sur la fesse tout en la dévoilant. En plus j'étais de dos à la salle et un bon tiers de ma fesse s'offrait à leurs regards.
- Tony, c'est le mec qui a une chemise bleu pâle et un jean noir qui est au milieu de ses copains ?
- oui c'est lui, tu le trouves comment ? Mais dis, tu montres ma fesse à tout le monde !
- c'est pour le rendre jaloux, physiquement pas mal, mais il semble faire le fier.
- il a le style Hidalgo un peu toréro mais il me plait bien. Tu sais, je te sens bien raide ça t'excite ce que je t'ai raconté !
- ben oui que ça m'excite, et tu le sais bien que c'est mon plus gros fantasme. Moi ce soir je veux que tu ailles jusqu'au bout, que tu te donnes à ce Tony, alors moi je vais raccompagner Alex et Pierrot et je resterai chez Pierre, toutes façons une fois chez lui il va vouloir qu'on boive un coup, ainsi, ça te laisse toutes libertés.
- heu, Eric, je le connais très bien ton fantasme, mais voilà, là t'es euphorique et excité, mais demain quand tu auras retrouvé tes esprits ne vas tu pas le prendre mal de m'avoir laissée seule, car comme tu l'as vu, Tony a des copains.
J'essayais encore pendant un petit instant d'argumenter sur le fait que cela pouvait détériorer notre relation, mais il n'en démordait pas.
- Ouai, suis peut être un peu bourré, mais c'est bien clair dans ma tête, je ne te ferai aucun reproche sur tout ce que tu auras fait, et au contraire suis certain que ça va m'exciter un max et qu'on en profitera tous les deux.
- si c'est ce que tu veux ... j'espère qu'on ne le regrettera pas.
- tu sais que je t'aime comme un fou et si toi aussi tu m'aimes alors lâche toi, sois bien salope, je vais être raide comme pas possible en t'imaginant et demain quand tu vas me raconter ça va être hyper chaud !
La série de slow finissait et on retournait auprès des deux compères qui avaient ramassé les bouteilles de champagne non finies des tables environnantes, du coup je me servais une coupe pour me donner du courage, je faisais la bise aux deux duettistes et roulais un gros patin à mon chéri qui m'envoyait dans les bras d'un autre. Tout en récupérant mon sac à main, des pensées contradictoires se heurtaient en moi. Je n'aurai pas dû accepter ce que me demandait Eric. Comment pouvait-il parler de preuve d'amour, n'allions nous pas faire exploser notre couple dans cette relation extraconjugale, là, le jeu prenait toute une autre ampleur, il n'était plus question de petits flirts aiguisant la jalousie pour mieux nous retrouver ensuite. Mais les petits picotements au creux de mon ventre me signifiaient que la situation m'excitait et de mon côté n'avais je pas aussi initié cette situation en choisissant cette robe courte et sexy que je portais sans rien dessous si ce n'est le voile du collant et quelles en seraient les conséquences une fois cette folie passée. Je n'avais pas de réponse à tout ça et de toutes façons je n'avais plus le temps de me poser des questions j'étais à deux pas de Tony.
Un léger coup d'œil sur ma poitrine me confirma ce que je ressentais, mes tétons pointaient fièrement et ce n'était pas dû au froid, fallait que je me rende à l'évidence, moi aussi cette situation m'excitait. Tony me voyant avec mon sac en main, me sourit tristement, tout en me demandant si je partais. Tout en me jetant à son cou, je répondais que je restais et ma bouche se collait à la sienne. A la fin de notre baiser il me demandait comment c'était possible et j'inventai à moitié la raison de ma présence, que mon homme un peu éméché avait raccompagné ses deux copains bourrés et qu'il ne reviendrait pas et que moi j'avais retrouvé une copine et comme je voulais encore profiter de la soirée elle s'était proposée de me ramener.
- Et il t'a cru ? Me demanda Tony en riant.
- Ma foi, oui puisque je suis là.
- Viens ça s'arrose, suis super content.
Il demanda à un de ses copains de lui trouver deux coupes et du champagne. Je lui disais que ce n'était pas la peine, que j'allais être pompette. Sa réponse me surpris un petit peu elle était pleine de sous entendu.
- Mais c'est bien une fille avec un coup dans le nez.
- Pourquoi ?
- Parce que elle se lâche et elle ose.
- Et toi tu kiffe les meufs qui osent, c'est ça ?
- Quel mec n'aimerait pas.
Il me tendit une coupe et on trinqua à la bonne année. Je me dis que j'allais être plus que pompette si je continuais ainsi, mais pour le moment je me trouvais dans une douce euphorie, grisée par l'alcool. Je me laissais porter par les événements. Je dansais avec Tony deux ou trois rock, puis sur du reggae en compagnie de deux de ses copains qu'il m'avait présenté auparavant Hugo et Alban. J'avais remarqué que les femmes (épouses ou petites amies) faisant partie du groupe de Tony me regardaient avec des yeux acérés et j'en faisais part à Tony.
- C'est qu'elles te voient comme un danger pour elles, belle et sexy comme tu es leur mari ou compagnon sont sur le point de succomber à tes charmes.
- Donc ne vaut mieux pas que je m'approche alors.
- Et pour éviter la moindre embrouille c'est pour ça que nous restons de ce coté de la table et Hugo, Alban et moi sommes célibataires donc tu n'as avoir aucune crainte de ce coté là.
Durant le temps de nos échanges, sa main droite n'avait pas cessé de me caresser les fesses, faisant parfois légèrement remonter l'ourlet de ma courte robe et dévoiler aux regards la base de mes rondeurs. Par deux fois, ses doigts avaient même glissé brièvement entre mes cuisses et avaient pu constater la moiteur de ma fente. Je ne l'avais même pas sermonné pour ce geste plus que déplacé en public. La musique Antillaise avait retrouvé la piste en même temps que nous. Le DJ avait du mal à inviter les danseurs, entre fatigue et les nombreux de convives qui étaient partis, nous n'étions que cinq couples sur la piste et par delà l'attraction de la petite assemblée restante. Ce qui n'empêcha pas Tony de me caresser seins et fesses et de nous embrasser passionnément. Cela ne me gênait pas le moins du monde, toutes façons ma réputation devait être faite depuis le début de se réveillon et cela m'était bien égal n'y connaissant personne.
Je dansais aussi avec Hugo et Alban de façon bien plus conventionnelle mais tout de même assez collé l'un à l'autre. L'ambiance tombait à mesure que l'heure avançait et Tony demanda à Hugo s'il connaissait un "after" et Alban dit qu'il en connaissait mais ce n'était pas à côté, facilement une demi-heure en voiture.
- T'es d'accord ? Me demanda Tony.
- Moi, je vous suis, de toute façon je suis à pieds.
Et Tony tendit les clés de sa voiture en demandant à Hugo d'aller la démarrer pour chauffer l'habitacle. Cinq grosses minutes après, nous récupérions nos manteaux au vestiaire et on retrouvait Hugo appuyé sur la voiture fumant une cigarette, faut dire que la nuit n'était pas glaciale ce que me confirma l'affichage au tableau de bord de la température extérieure 9 ° pour une nuit de la Saint Sylvestre on peut parler de relative douceur. Tony ouvra la portière arrière et une bouffée de chaleur m'enveloppa, du coup j'ôtais mon manteau que je jetais sur la plage arrière et en entrant dans la voiture j'offrais à Tony et à Alban un coup d'œil imprenable sur mon intimité tout de même dissimulée par la pénombre. Une fois tous installés, Tony recommanda à Hugo de conduire à la "pépère", et Hugo nous parla de cette boite un brin déjantée essentiellement musique techno et rap, ce n'était pas ce que j'appréciais le plus, mais je m'adapterai, il continua en nous disant que la fréquentation était hétérogène faite de gay, trans, hétéro ces derniers étant les plus nombreux, précisa t il comme pour nous rassurer, mais que de toutes façons que c'était hyper chaud.
Tony n'avait pas tardé à poser sa main sur ma cuisse et la faisait aller délicatement de bas en haut remontant toujours plus vers ma fourche venant frôler mon intimité. Aussi j'écartais mes cuisses pour lui faciliter le passage et ses doigts vinrent naturellement agacer mon clito déjà bien gonfler et à la sensibilité exacerbée. Il put aussi constater la moiteur (le mot est faible) de ma fente. Après deux ou trois baisers échangés, n'y tenant plus, je me penchais vers ses cuisses, défaisais sa ceinture faisais sauter l'attache du pantalon descendais la fermeture à glissière et enfin je glissais mes doigts par dessus son boxer tout en appréciant la raideur qui se trouvait sous le tissu. M'adressant à Tony :- Tu vois j'ose !
Ayant trop envie de la tenir dans ma main, je baissais le boxer et elle se dressa sous mes yeux à quelques centimètres de mon visage. Mes doigts montaient et descendaient le long de cette belle tige palpitante, je décalottais le gland, j'y faisais glisser le pouce dessus et ne pouvant plus tenir, mes lèvres vinrent l'entourer pour l'enfourner aussitôt au fond de ma gorge presque à m'en étouffer ! Ensuite ma langue vint se mêler à la danse, de la pointe je lui titillais son méat faisais le tour de sa couronne je le léchais avant de l'enfourner à nouveau et d'enchainer des aller retour sur sa respectueuse bite (le garçon avait été gâté par la nature).
La situation m’excitait fortement, tailler une pipe sur le siège arrière de cette voiture alors que juste devant les deux copains entendaient et le passager pouvait nous regarder juste en tournant la tête était pour moi exceptionnel. En rajoutant que ma position avait permis à Tony de retrousser ma courte robe pour me caresser les fesses, ma chatte ou mon petit œillet, tout cela me faisait mouiller comme rarement, je n’avais pas besoin de le vérifier de mes doigts pour m’en persuader, j’étais pour le moins poisseuse. Mes petits râles étaient la confirmation de mon état de surexcitation. Mes fesses au centre de la banquette ne devaient plus avoir de secret pour les passagers avant, d’ailleurs une autre main venait de rejoindre celle de Tony sur mes fesses, le petit coup d’œil me permit de voir Alban de biais sur son siège et son bras gauche dirigé vers la banquette arrière. Mon état empira, je sentais des frissons de plaisirs courir sous ma peau, mon ventre rempli de délicieux picotements, mes seins gonflés aux tétons tendus à m’en faire mal. Dans un souffle rauque j’ai dit à Tony :- Prends-moi !
Sur un ton de voix ferme il me répondit :- Tu as envie de bites, hein, salope.
- Oui très envie.
- En plus de la mienne tu veux celles d’Alban et d’Hugo ?
- Humm oui !
- Et où tu les veux nos trois bites ?
- Je veux que vous me baisiez la bouche, la chatte, le cul !
- De quelle façon tu veux qu’on te baise ?
- Je veux que vous me preniez comme une salope, une chienne, je suis votre pute !
- Mais tu es vraiment une salope qui laisse tomber son mec pour venir se faire sauter, dis-le nous ce que tu es réellement.
- Je suis qu’une salope qui trompe son mari, et qui aime se faire prendre comme une chienne !
Là, il me claqua les fesses, et à l’intention d’Hugo il lança trouve nous un coin tranquille on va la baiser cette pute. Cet échange et les mots crus à mon égard ont eu pour effet d'augmenter mon état d'excitation se traduisant par un flux de cyprine supplémentaire, les doigts des deux garçons en furent recouverts et leurs attouchements se faisaient dans un léger clapotis sonore.
- Cette salope mouille comme ce n'est pas possible, elle a vraiment envie de se faire démonter ! Lança Alban. Tony porta à ma bouche ses doigts gluants de ma mouille, alors que je suçais toujours sa pine bien raide.
- Goûte ta mouille petite pisseuse.
Je léchais ses doigts sous son injonction. La voiture ralentissait, et finit par s'arrêter, Hugo laissant le moteur tourner. En un éclair, je me retrouvais à genoux sur la terre battue entourée des trois garçons bites dressées en main. J'en branlais un tout en suçant l'autre, tandis que le troisième avait glissé sa main entre mes cuisses titillant mon clito et me doigtant parfois entrainant les mailles du collant à l'intérieur de mon vagin dégoulinant, mes seins n'étaient pas oubliés, caressés, malaxés, triturés, me pinçant et étirant les tétons, j'avais des mains partout sur mon corps. Tout ça n'allait pas faire baisser mon état, mes seins et mes tétons en étaient devenus douloureux tant ils étaient gonflés et tendus. Sans compter la situation sur ce terrain vague entre deux entrepôts et seulement séparé de la route par une haie. Tout en suçant les queues que me donnaient mes partenaires je soupirais de plaisir des caresses sur ma chatte et ma rosette parfois pénétrée par un doigt. Je lançais un :- Baisez-moi ! D'un ton suppliant.
Ils me positionnèrent à genoux sur le bord de la banquette arrière, les fesses tendues vers l'extérieur, robe retroussée sur les reins, le collant baissé aux genoux, Tony m'empoigna d'une main la hanche et de l'autre guida sa bite contre ma fente, il entra en moi comme je reculais vers lui, ma chatte l'avala en entier, m'écartant mes chairs délicieusement j'en râlais de plaisir. Hugo s'était glissé par l'autre portière et me donna sa bite à sucer. C'est à cet instant que je réalisais que Tony me prenait sans préservatif, il se voulu rassurant en m'assurant qu'ils étaient clean qu'il n'y avait aucun risque. Il me limait comme un damné, ses va et viens accompagnés par les clapotis de ma chatte trempée. Chacun d'eux me pénétra, puis Tony très excité me dit :- Je vais t'enculer petite pute !
Il cracha plusieurs fois sur ma rondelle, fit coulisser quatre ou cinq fois sa bite dans ma chatte avant d'appuyer son gland sur ma rosette et la forcer sans douceur aucune, elle céda et il entra d'un coup dans mes reins et m'arrachant un cri mêlé de douleur et de plaisir.
- Oh putain, salope, t'es serrée c'est super bon de t'enculer !
La douleur s'est estompée rapidement laissant les sensations jouissives m'envahir, je couinais tout en suçant et reprenant ma respiration je le suppliais de me défoncer.
- T'inquiète, sale chienne, je vais te le démonter ton cul.
- Oui vas y plus fort casse moi le cul, je veux que tu m'inondes, crache tout au fond.
Deux minutes plus tard, Tony balançait tout ce qu'il avait de sperme dans mes entrailles. Sans me laisser le temps de me remettre du plaisir que je venais de prendre, Hugo et Alban m'entrainaient à l'avant de la voiture, je me retrouvais seins plaqués sur le capot tiède et l'un après l'autre visitèrent ma chatte puis mon cul. Ensuite ils me redressèrent je me retrouvais avec Hugo face à moi et Alban dans mon dos. Tant bien que mal Hugo arriva à pénétrer ma chatte, puis Alban s'inséra entre mes fesses malmenant à nouveau mon œillet, ils me prirent ainsi en sandwiche arrivant à s'accorder sur le rythme, je criais mon plaisir je jouissais sans aller jusqu'à l'orgasme, mais c'était tout de même très bon. Ils finirent par jouir quasiment simultanément dans une bordée de jurons. Ils me soutenaient le temps que je réajuste mon collant, et on regagnait la douceur de l'habitacle. Tony m'embrassa tout en me caressant la poitrine, et me remercia, puis il ajouta que j'étais une sacrée salope quand même. Je lui répondis que ce n'était pas pour leur déplaire, et qu'eux m'avait bien fait jouir. Hugo nous indiqua que dans dix petites minutes on serait à la boite.
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