Un sacré mariage
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2016 dans la catégorie Plus on est
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Un sacré mariage
Ce mariage, Rosy s’y préparait depuis des mois. Pas pour elle (non, elle avait déjà donné et vivait désormais en célibataire endurcie) mais pour sa fille. Comme quoi l’exemple parental ne sert pas toujours. Et même au contraire. Le mariage aurait donc lieu dans un village de la Creuse, département réputé pour le nombre de ses vaches et pour la minceur de ses infrastructures ferroviaires. Rosy avait invité son amie Carine, avec laquelle elle avait accompli naguère quelques frasques sexuelles, ce qui crée toujours quelques complicités. Là, il n’en était plus question. On ne plaisante pas avec le mariage, surtout quand il est religieux.
Avant le grand jour, Rosy avait procédé à quelques formalités indispensables. Elle s’était d’abord acheté une robe d’été au ton vaguement léopard dont elle supposait qu’elle mettrait son corps mince en valeur. Après tout, pourquoi ne pas séduire dans un jour comme celui-là ? Elle serait « quinquagéniale » avec ça. On se défend comme on peut quand on a l’âge de marier sa fille.
Puis elle avait contacté le curé de la paroisse pour réserver l’église. Une voix chaude et amicale lui avait répondu au téléphone. Rosy en avait été favorablement impressionnée car elle s’attendait à une voix chevrotante de vieil abbé proche du paradis. Rendez-vous fut pris avec le curé pour régler les détails, notamment financiers, car un mariage à l’église, c’est tout sauf gratuit.
Le jour venu, Rosy sonna au portail du presbytère de ce village de la Creuse perdu au milieu des bois et des prés. Un type en sortit en bras de chemises, barbu et décoiffé, le poitrail velu bien en évidence, tout à fait le genre ouvrier agricole très sexué. Tiens, se dit Rosy, le curé a un copain.
- C’est à quel sujet ? demanda l’homme.
- Euh, pour un mariage, répondit Rosy en se présentant.
- Mais entrez donc, je vous attendais !
Rosy bredouilla. Ainsi donc, ce type rural aux bras velus et puissants était le curé. Quelle surprise ! Il la fit asseoir à la table de la cuisine après avoir écarté quelques paperasses, car le curé avait été surpris en plein travail bureaucratique (le denier du culte ?). Après avoir repris ses esprits, Rosy exposa ses desiderata que le barbu écouta avec attention. Puis il annonça ses conditions, que Rosy accepta sans sourciller. La Creuse n’était vraiment pas chère en comparaison avec Bandol, sa terre d’immigration. Rosy appelait son interlocuteur « monsieur le curé » mais celui-ci l’arrêta :
- Appelez-moi Alphonse, c’est mon prénom. Oui, je sais, c’est un peu démodé mais je n’y peux rien, j’ai été baptisé ainsi et je m’y suis fait.
Bien qu’agnostique, pour ne pas dire athée, Rosy était assez séduite par cet homme d’église d’allure virile et à la voix chaude. Elle y repensa sur la route du retour et fit part de ses commentaires à Carine par téléphone, tout en roulant :
- Hep là, ne t’emballe pas, un curé reste un curé, lui répondit son amie, qui se vantait d’être très pieuse et pratiquante, sans pour autant être une oie blanche, mais c’est un autre sujet.
Le jour J arriva enfin. Rosy ne savait plus où donner de la tête, les sollicitations arrivaient de partout en même temps. Les problèmes à régler n’en finissaient pas. A commencer par la nervosité de sa fille, vraiment insupportable. Carine était venue, comme promis, vêtue d’un ensemble blouse-pantalon très seyant mettant la profonde vallée de ses seins en évidence.
- Tu es sûre que c’est convenable d’aller à l’église avec ça ? demanda Rosy.
- Et toi, avec ta robe de cougar fendue à la cuisse ? J’espère que tu vas mettre un slip, contrairement à tes habitudes.
- Pas sûr, je m’interroge, répliqua Rosy, toujours adepte de la provocation.
Avant la cérémonie, les deux filles se rendirent au presbytère pour régler les derniers détails. Sans le dire ouvertement, Carine avait hâte de découvrir ce fameux curé. Quand elles le virent, elles ressentirent un petit choc. Il les accueillit en soutane ! Oui, à l’ancienne, avec ses pieds nus dans des sandales ! Mais si les deux filles furent impressionnées, le curé ne se montra pas indifférent pour autant envers ses interlocutrices. Son regard s’attardait sur les cuisses de Rosy et les seins de Carine plus que la décence chrétienne ne l’exigeât. Elles en furent infiniment troublées. Carine faillit lui demander s’il portait quelque chose sous sa soutane et la même pensée attrapa le bulbe de Rosy, pourtant surmené par les préparatifs du mariage. Et c’est donc passablement énervées qu’elles rejoignirent les invités pour le vin d’honneur précédant la cérémonie ecclésiastique.
Celle-ci se déroula de la manière la plus classique, mais Carine et Rosy n’avaient d’yeux que pour le curé Alphonse, majestueux dans sa tenue chamarrée, très éloquent dans son sermon. Si bien qu’une idée vint à l’esprit de Rosy : l’inviter pour le repas du soir. Ce n’était pas prévu mais une assiette de plus ou de moins ne changerait rien. Elle le chuchota à l’oreille de Carine, sa voisine d’église, qui désapprouva mezzo voce :
- Tu es folle ! C’est un rite paien indigne d’un curé.
- On verra bien.
En définitive, le curé ne marqua pas la moindre hésitation pour répondre favorablement à l’invitation, arguant qu’un représentant de Dieu à une aussi belle fête serait placer cette union sous un bon présage. Carine eut l’air sceptique mais Rosy rayonnait. A se demander si, des deux, ce n’était pas elle la chrétienne…
Le repas avait lieu dans une salle des fêtes réservée pour l’occasion. Il y faisait une chaleur d’étuve et les dames n’en finissaient plus de se découvrir. Rosy se félicita d’avoir opté pour le fourreau léger léopard. Elle se demandait comment faisait le curé, assis juste devant elles, pour supporter sa soutane tout en mangeant comme quatre.
- Je te dis qu’il est à poil dessous, murmura Carine.
- Tu fantasmes, répondit Rosy.
Elle avait à peine formulé ces propos qu’elle laissa tomber sa serviette par terre. Carine s’écarta pour la laisser la ramasser mais Rosy s’attarda plus qu’il n’est convenable la tête sous la table. Quand elle se releva, elle était rouge. Elle murmura à l’oreille de son amie :
- Tu avais raison…
Carine pouffa dans sa serviette. Le curé surprit leur complicité.
- Qu’est-ce donc qui vous fait rire, mesdames ?
- Euh, rien, une histoire entre nous, bredouilla Rosy, infiniment troublée par ce qu’elle avait vu : une solide paire de cuisses velues encadrant un magnifique braquemard au repos. Le curé Alphonse riait dans sa barbe :
- Vous pratiquez la spéléo ? C’est un sport où on fait de belles découvertes, n’est-ce pas ?
Carine pouffa encore. Rosy prit le curé au mot :
- En principe, ce sont plutôt les hommes qui font de la spéléo mais il est vrai qu’un curé est un homme à part.
- Comment à part ? Moi aussi, j’aime les explorations souterraines.
Et sur ces paroles, il laissa tomber sa serviette par terre et s’attarda pour la ramasser. Rosy, mue par un réflexe, écarta légèrement les cuisses, regrettant de ne pas avoir pris Carine au mot en se débarrassant de son slip comme elle aimait à le faire par temps chaud.
- On voit de jolies couleurs dans certaines grottes, répliqua-t-il en se relevant, nullement troublé. A l’évidence, l’alcool avait désinhibé non seulement les dames, mais aussi le prêtre.
Le repas s’acheva tard dans la nuit. On dansa, on chanta, mais le curé Alphonse s’éclipsa, ne voulant pas choquer les âmes pieuses.
Rosy dormit mal. Dans son sommeil troublé, elle voyait les deux grosses boules balançant entre les cuisses du curé. « Il m’a mis le feu » admit-elle in petto. Et dire qu’il fallait qu’elle aille le payer dans quelques heures…
Quand elle se rendit au presbytère, elle sonna mais personne ne répondit. Puis elle gagna l’église voisine, vide d’occupant. Elle aborda une porte derrière l’autel dont elle supposa qu’elle menait à la sacristie. Elle l’ouvrit et aperçu le dos large du curé dissimulé en partie par un meuble. Décidée à le surprendre, elle s’avança et ce qu’elle vit la cloua sur place. Assis sur une chaise, la soutane retroussée jusqu’au ventre, le curé Alphonse recevait l’hommage buccal de Carine, très concentrée sur son pompage de gland, lequel emplissait copieusement ses joues, à en juger par le gonflement de celles-ci. Carine complétait son jeu de langue par une activité manuelle soutenue le long de la hampe du curé, visiblement aux anges, c’était le cas de le dire. Rosy remarqua que son amie avait libéré ses seins lourds et que le curé les pétrissait avec une satisfaction évidente.
- Hem hem, fit Rosy, décidée à ne pas espionner plus longtemps le couple, car c’en était un, fût-il incongru.
- Ah vous voilà, vous, répliqua l’homme d’église sans se démonter, au sens propre comme au figuré. Approchez un peu je vous prie, que je vois de plus près la jolie grotte aperçue hier soir.
Rosy avait troqué la robe cougar pour une jupette largement au-dessus du genou, car elle comptait bien séduire le prêtre pour sa visite. Mais une fois de plus, cette garce de Carine l’avait devancée. La main puissante lui attrapa le genou, l’attira vers la chaise et se glissa entre les cuisses de Rosy. Celle-ci frémit de tout son corps. Une main de curé était en train de se frayer un passage vers son slip. Il fallait vraiment être dans la Creuse pour voir ça. C’est alors que Carine se releva et commença à se mettre à poil :
- Bon, monsieur le curé, va falloir assumer maintenant. Je ne suis pas venue pour entendre la messe et ma copine non plus. Et gardez votre soutane s’il vous plaît, ça me donne des idées.
Carine se positionna cul en l’air, prête à se faire prendre en levrette. Le formidable pénis du curé n’eut aucun mal à se frayer un passage devant l’étroite minette de Carine, que la situation avait parfaitement lubrifiée. Rosy avait glissé sa tête sous la soutane arrière et laissait courir sa langue sur les bourses bien remplies du prêtre, lequel en fut tellement stimulé que Carine cria de plaisir. Le petit jeu dura un bon moment jusqu’à ce que Rosy interpelle son amie :
- Bon, tu as eu ta part, à moi maintenant, nom de Dieu !
En un clin d’œil, elle se débarrassa de sa jupette, de son slip, de son chemisier et de son soutien-gorge pour s’asseoir sur la table de la sacristie, coudes posés et cuisses ouvertes :
- Allez curé, fais-moi ton offrande avant que je te paye le mariage.
Nullement désarçonné par la verdeur du langage de la mère de la mariée, le prêtre releva sa soutane et s’enfonça résolument en Rosy :
- Hou, vous êtes fondante, ma sœur, je vois que je vous fais de l’effet, dit-il en la percutant virilement, arrachant à sa partenaire des cris de gorge témoignant de son plaisir intense. Le curé y allait de bon cœur, d’autant que Carine lui mettait en même temps le doigt dans l’anus, de quoi l’envoyer en enfer pour un bout de temps. Puis ce fut autour de Carine de recevoir sur le sol de la sacristie l’hommage dans la position du missionnaire, expression qui prenait tout son sens vu la position de la soutane, relevée jusqu’à la taille du curé. Le petit jeu à trois dura un bon moment car l’homme d’église était d’une endurance rare et ce furent finalement les deux amies qui demandèrent grâce, laminées par les coups de boutoir du chibre béni. Lequel les arrosa copieusement à tour de rôle de son sperme sacerdotal.
- Eh bien, monsieur le curé, vous voilà soulagé pour un moment ! s’exclama Carine, qui persistait à vouvoyer son partenaire, comme une marque de respect très chrétienne.
- Merci mes sœurs pour avoir offert vos faveurs à une pauvre âme solitaire, Dieu vous le rendra, répliqua le prêtre en se rajustant. On se quitta respectueusement, Rosy n’ayant pas oublié de remettre à l’officiant le chèque du mariage religieux.
Sur le chemin du retour, Carine et Rosy échangèrent leurs impressions :
- Celle-là, on ne l’avait encore pas fait, je me demande comment on va le prendre là-haut, murmura Carine.
- T’inquiète, il regardait ailleurs. Et quand on sera vieilles, ça nous fera un sacré souvenir. Finalement, je crois que je vais me mettre à fréquenter l’église sur mes vieux jours, conclut Rosy.
Avant le grand jour, Rosy avait procédé à quelques formalités indispensables. Elle s’était d’abord acheté une robe d’été au ton vaguement léopard dont elle supposait qu’elle mettrait son corps mince en valeur. Après tout, pourquoi ne pas séduire dans un jour comme celui-là ? Elle serait « quinquagéniale » avec ça. On se défend comme on peut quand on a l’âge de marier sa fille.
Puis elle avait contacté le curé de la paroisse pour réserver l’église. Une voix chaude et amicale lui avait répondu au téléphone. Rosy en avait été favorablement impressionnée car elle s’attendait à une voix chevrotante de vieil abbé proche du paradis. Rendez-vous fut pris avec le curé pour régler les détails, notamment financiers, car un mariage à l’église, c’est tout sauf gratuit.
Le jour venu, Rosy sonna au portail du presbytère de ce village de la Creuse perdu au milieu des bois et des prés. Un type en sortit en bras de chemises, barbu et décoiffé, le poitrail velu bien en évidence, tout à fait le genre ouvrier agricole très sexué. Tiens, se dit Rosy, le curé a un copain.
- C’est à quel sujet ? demanda l’homme.
- Euh, pour un mariage, répondit Rosy en se présentant.
- Mais entrez donc, je vous attendais !
Rosy bredouilla. Ainsi donc, ce type rural aux bras velus et puissants était le curé. Quelle surprise ! Il la fit asseoir à la table de la cuisine après avoir écarté quelques paperasses, car le curé avait été surpris en plein travail bureaucratique (le denier du culte ?). Après avoir repris ses esprits, Rosy exposa ses desiderata que le barbu écouta avec attention. Puis il annonça ses conditions, que Rosy accepta sans sourciller. La Creuse n’était vraiment pas chère en comparaison avec Bandol, sa terre d’immigration. Rosy appelait son interlocuteur « monsieur le curé » mais celui-ci l’arrêta :
- Appelez-moi Alphonse, c’est mon prénom. Oui, je sais, c’est un peu démodé mais je n’y peux rien, j’ai été baptisé ainsi et je m’y suis fait.
Bien qu’agnostique, pour ne pas dire athée, Rosy était assez séduite par cet homme d’église d’allure virile et à la voix chaude. Elle y repensa sur la route du retour et fit part de ses commentaires à Carine par téléphone, tout en roulant :
- Hep là, ne t’emballe pas, un curé reste un curé, lui répondit son amie, qui se vantait d’être très pieuse et pratiquante, sans pour autant être une oie blanche, mais c’est un autre sujet.
Le jour J arriva enfin. Rosy ne savait plus où donner de la tête, les sollicitations arrivaient de partout en même temps. Les problèmes à régler n’en finissaient pas. A commencer par la nervosité de sa fille, vraiment insupportable. Carine était venue, comme promis, vêtue d’un ensemble blouse-pantalon très seyant mettant la profonde vallée de ses seins en évidence.
- Tu es sûre que c’est convenable d’aller à l’église avec ça ? demanda Rosy.
- Et toi, avec ta robe de cougar fendue à la cuisse ? J’espère que tu vas mettre un slip, contrairement à tes habitudes.
- Pas sûr, je m’interroge, répliqua Rosy, toujours adepte de la provocation.
Avant la cérémonie, les deux filles se rendirent au presbytère pour régler les derniers détails. Sans le dire ouvertement, Carine avait hâte de découvrir ce fameux curé. Quand elles le virent, elles ressentirent un petit choc. Il les accueillit en soutane ! Oui, à l’ancienne, avec ses pieds nus dans des sandales ! Mais si les deux filles furent impressionnées, le curé ne se montra pas indifférent pour autant envers ses interlocutrices. Son regard s’attardait sur les cuisses de Rosy et les seins de Carine plus que la décence chrétienne ne l’exigeât. Elles en furent infiniment troublées. Carine faillit lui demander s’il portait quelque chose sous sa soutane et la même pensée attrapa le bulbe de Rosy, pourtant surmené par les préparatifs du mariage. Et c’est donc passablement énervées qu’elles rejoignirent les invités pour le vin d’honneur précédant la cérémonie ecclésiastique.
Celle-ci se déroula de la manière la plus classique, mais Carine et Rosy n’avaient d’yeux que pour le curé Alphonse, majestueux dans sa tenue chamarrée, très éloquent dans son sermon. Si bien qu’une idée vint à l’esprit de Rosy : l’inviter pour le repas du soir. Ce n’était pas prévu mais une assiette de plus ou de moins ne changerait rien. Elle le chuchota à l’oreille de Carine, sa voisine d’église, qui désapprouva mezzo voce :
- Tu es folle ! C’est un rite paien indigne d’un curé.
- On verra bien.
En définitive, le curé ne marqua pas la moindre hésitation pour répondre favorablement à l’invitation, arguant qu’un représentant de Dieu à une aussi belle fête serait placer cette union sous un bon présage. Carine eut l’air sceptique mais Rosy rayonnait. A se demander si, des deux, ce n’était pas elle la chrétienne…
Le repas avait lieu dans une salle des fêtes réservée pour l’occasion. Il y faisait une chaleur d’étuve et les dames n’en finissaient plus de se découvrir. Rosy se félicita d’avoir opté pour le fourreau léger léopard. Elle se demandait comment faisait le curé, assis juste devant elles, pour supporter sa soutane tout en mangeant comme quatre.
- Je te dis qu’il est à poil dessous, murmura Carine.
- Tu fantasmes, répondit Rosy.
Elle avait à peine formulé ces propos qu’elle laissa tomber sa serviette par terre. Carine s’écarta pour la laisser la ramasser mais Rosy s’attarda plus qu’il n’est convenable la tête sous la table. Quand elle se releva, elle était rouge. Elle murmura à l’oreille de son amie :
- Tu avais raison…
Carine pouffa dans sa serviette. Le curé surprit leur complicité.
- Qu’est-ce donc qui vous fait rire, mesdames ?
- Euh, rien, une histoire entre nous, bredouilla Rosy, infiniment troublée par ce qu’elle avait vu : une solide paire de cuisses velues encadrant un magnifique braquemard au repos. Le curé Alphonse riait dans sa barbe :
- Vous pratiquez la spéléo ? C’est un sport où on fait de belles découvertes, n’est-ce pas ?
Carine pouffa encore. Rosy prit le curé au mot :
- En principe, ce sont plutôt les hommes qui font de la spéléo mais il est vrai qu’un curé est un homme à part.
- Comment à part ? Moi aussi, j’aime les explorations souterraines.
Et sur ces paroles, il laissa tomber sa serviette par terre et s’attarda pour la ramasser. Rosy, mue par un réflexe, écarta légèrement les cuisses, regrettant de ne pas avoir pris Carine au mot en se débarrassant de son slip comme elle aimait à le faire par temps chaud.
- On voit de jolies couleurs dans certaines grottes, répliqua-t-il en se relevant, nullement troublé. A l’évidence, l’alcool avait désinhibé non seulement les dames, mais aussi le prêtre.
Le repas s’acheva tard dans la nuit. On dansa, on chanta, mais le curé Alphonse s’éclipsa, ne voulant pas choquer les âmes pieuses.
Rosy dormit mal. Dans son sommeil troublé, elle voyait les deux grosses boules balançant entre les cuisses du curé. « Il m’a mis le feu » admit-elle in petto. Et dire qu’il fallait qu’elle aille le payer dans quelques heures…
Quand elle se rendit au presbytère, elle sonna mais personne ne répondit. Puis elle gagna l’église voisine, vide d’occupant. Elle aborda une porte derrière l’autel dont elle supposa qu’elle menait à la sacristie. Elle l’ouvrit et aperçu le dos large du curé dissimulé en partie par un meuble. Décidée à le surprendre, elle s’avança et ce qu’elle vit la cloua sur place. Assis sur une chaise, la soutane retroussée jusqu’au ventre, le curé Alphonse recevait l’hommage buccal de Carine, très concentrée sur son pompage de gland, lequel emplissait copieusement ses joues, à en juger par le gonflement de celles-ci. Carine complétait son jeu de langue par une activité manuelle soutenue le long de la hampe du curé, visiblement aux anges, c’était le cas de le dire. Rosy remarqua que son amie avait libéré ses seins lourds et que le curé les pétrissait avec une satisfaction évidente.
- Hem hem, fit Rosy, décidée à ne pas espionner plus longtemps le couple, car c’en était un, fût-il incongru.
- Ah vous voilà, vous, répliqua l’homme d’église sans se démonter, au sens propre comme au figuré. Approchez un peu je vous prie, que je vois de plus près la jolie grotte aperçue hier soir.
Rosy avait troqué la robe cougar pour une jupette largement au-dessus du genou, car elle comptait bien séduire le prêtre pour sa visite. Mais une fois de plus, cette garce de Carine l’avait devancée. La main puissante lui attrapa le genou, l’attira vers la chaise et se glissa entre les cuisses de Rosy. Celle-ci frémit de tout son corps. Une main de curé était en train de se frayer un passage vers son slip. Il fallait vraiment être dans la Creuse pour voir ça. C’est alors que Carine se releva et commença à se mettre à poil :
- Bon, monsieur le curé, va falloir assumer maintenant. Je ne suis pas venue pour entendre la messe et ma copine non plus. Et gardez votre soutane s’il vous plaît, ça me donne des idées.
Carine se positionna cul en l’air, prête à se faire prendre en levrette. Le formidable pénis du curé n’eut aucun mal à se frayer un passage devant l’étroite minette de Carine, que la situation avait parfaitement lubrifiée. Rosy avait glissé sa tête sous la soutane arrière et laissait courir sa langue sur les bourses bien remplies du prêtre, lequel en fut tellement stimulé que Carine cria de plaisir. Le petit jeu dura un bon moment jusqu’à ce que Rosy interpelle son amie :
- Bon, tu as eu ta part, à moi maintenant, nom de Dieu !
En un clin d’œil, elle se débarrassa de sa jupette, de son slip, de son chemisier et de son soutien-gorge pour s’asseoir sur la table de la sacristie, coudes posés et cuisses ouvertes :
- Allez curé, fais-moi ton offrande avant que je te paye le mariage.
Nullement désarçonné par la verdeur du langage de la mère de la mariée, le prêtre releva sa soutane et s’enfonça résolument en Rosy :
- Hou, vous êtes fondante, ma sœur, je vois que je vous fais de l’effet, dit-il en la percutant virilement, arrachant à sa partenaire des cris de gorge témoignant de son plaisir intense. Le curé y allait de bon cœur, d’autant que Carine lui mettait en même temps le doigt dans l’anus, de quoi l’envoyer en enfer pour un bout de temps. Puis ce fut autour de Carine de recevoir sur le sol de la sacristie l’hommage dans la position du missionnaire, expression qui prenait tout son sens vu la position de la soutane, relevée jusqu’à la taille du curé. Le petit jeu à trois dura un bon moment car l’homme d’église était d’une endurance rare et ce furent finalement les deux amies qui demandèrent grâce, laminées par les coups de boutoir du chibre béni. Lequel les arrosa copieusement à tour de rôle de son sperme sacerdotal.
- Eh bien, monsieur le curé, vous voilà soulagé pour un moment ! s’exclama Carine, qui persistait à vouvoyer son partenaire, comme une marque de respect très chrétienne.
- Merci mes sœurs pour avoir offert vos faveurs à une pauvre âme solitaire, Dieu vous le rendra, répliqua le prêtre en se rajustant. On se quitta respectueusement, Rosy n’ayant pas oublié de remettre à l’officiant le chèque du mariage religieux.
Sur le chemin du retour, Carine et Rosy échangèrent leurs impressions :
- Celle-là, on ne l’avait encore pas fait, je me demande comment on va le prendre là-haut, murmura Carine.
- T’inquiète, il regardait ailleurs. Et quand on sera vieilles, ça nous fera un sacré souvenir. Finalement, je crois que je vais me mettre à fréquenter l’église sur mes vieux jours, conclut Rosy.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel mariage de style, j'en suis tout retourné.
Mille merci pour ce divertissement rédigé de main de maître.
Bravo !
Mille merci pour ce divertissement rédigé de main de maître.
Bravo !
Superbe histoire ,très bien racontée .
Tu nous prends à contre-pied par cette histoire.
Mais quel régal à lire.
Mais quel régal à lire.
Délicieux récit qui prouve que les hommes d'église ne sont que des hommes, (idem pour les femmes) et démontre que pour des histoires de gros sous l'Eglise a imposé un célibat absurde à ses membres. L'actualité récente le démontre bien. Bravo Micky qui nous donne la preuve que les "cougars" sont aussi salopes que les jeunes et peut être même plus.....?
Ah sublime cette histoire de curé. Bien racontée et bravo pour cette imagination qui rejoint souvent la réalité car ces mecs ont la couille bien gaie et se tapent plus souvent qu'on y croie leurs bonnes paroissiennes et leur progéniture qu'elles viennent faire bénir avant leur mariage.
Ah, si tous les curés de campagne pouvaient être à son image. Très beau récit de Micky qui sent le vécu, même si la présence de son amie n'est qu'un prétexte.
Mieux que le curé de Cucugnan !