Un safari sexuel
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Un safari sexuel
Camille en rêvait depuis longtemps, de ce safari photo en Afrique de l'Est. Grâce à de bonnes ventes dans le cadre de son métier d'agent immobilier, elle avait réuni un pactole suffisant pour envisager une semaine de vacances hors normes. Elle avait réussi à convaincre Oriane de l'accompagner car il était hors de question de partir seule. Amies depuis le lycée, et bien qu'ayant choisi deux voies différentes (Oriane était fonctionnaire des impôts), elles avaient conservé des liens étroits mais c'était pourtant la première fois qu'elles partaient ensemble en voyage. Si Camille était restée célibataire à 30 ans, Oriane sortait d'un mariage raté et se morfondait dans sa nouvelle solitude. Pour elle, cette perspective africaine tombait à pic. Et la perspective d'accompagner Camille l'enchantait. Elles n'avaient cessé de parler de ces vacances depuis plusieurs semaines et peu importait le coût. Et c'est le coeur léger qu'elles partirent un beau matin de l'aéroport pour Nairobi, capitale du Kenya, haut lieu du tourisme animalier.
Bien qu'amies de longue date, les deux jeunes femmes se différenciaient profondément par leur physique. Si Camille pouvait entrer dans la catégorie masculine des "canons" avec un corps menu mais parfait, sa chevelure blonde toujours bien lissée et son sourire craquant, Oriane avait été beaucoup moins gâtée par la nature. De petite taille comme son amie, elle ne présentait pas le même corps harmonieux : mince en haut mais forte du bas avec de grosses fesses, des cuisses épaisses et des hanches trop larges. Seul son visage, toujours éclairé, sans angles, rachetait l'ensemble. Elle avait pris parti de ses défauts et ne souffrait pas de la comparaison avec Camille, mais l'échec de son mariage, dû à l'infidélité de son mari, avait quelque peu réveillé des complexes physiques. Et ce en dépit des propos rassurants de son amie, qui insistait toujours sur son charme et son intelligence enjouée.
Arrivée à bon port, les deux jeunes femmes furent surprises par l'atmosphère. Il faisait presque frais avant l'arrivée de la chaleur tropicale, grâce à l'altitude. Après passage à l'hôtel, elles découvrirent le guide qui leur avait été réservé. Il s'appelait Samuel, était long et mince comme beaucoup d'hommes de ce pays, toujours souriant, et les deux amies le trouvèrent charmant, estimant être "bien tombées".
Dès le lendemain, elles prirent place dans le 4x4 qui devait les conduire à l'une des réserves d'animaux sauvages. Si Camille s'était habillée sobrement avec un pantacourt et un chemisier sans manches assorti, Oriane n'avait pas hésité à sortir un dos nu sans soutien-gorge et un short moulant son imposant fessier, exposant une bonne partie de son corps aux rayons du soleil africain. Et sa sexualité de manière implicite.
Le voyage fut long et le trio eut le temps de faire connaissance. L'homme était de l'âge des deux touristes, était marié, avait de nombreux enfants. Il s'étonna que ses Françaises ne furent ni mariées, ni mères.
Pour celles-ci, cette première journée fut un enchantement. Camille avait emprunté son appareil photo numérique à son frère, Oriane avait fait l'achat d'un Nikon avec téléobjectif. Et c'est la tête pleine d'images inédites qu'elles gagnèrent leur hôtel de brousse.
Cette journée avait renforcé l'intimité entre elles et leur guide. Si Camille avait conservé une certaine distance, tel n'était pas le cas d'Oriane qui draguait ouvertement Samuel. Non seulement celui-ci ne s'en offusquait pas mais il jouait délibérément le jeu. La maîtrise de l'anglais de la fonctionnaire facilitait ce jeu de séduction et au dîner, elle et l'Africain en étaient passés au stade des attouchements. Camille observait, un peu courroucée, cette progression qui ne faisait pas partie du plan. A la fin du dîner, alors que Samuel s'affairait avec le personnel de l'hôtel, la blonde prit son amie à part :- Tu cherches quoi, au juste ?
- Ben, à baiser, tiens. Tu ne crois quand même pas que je vais laisser passer une occasion pareille. Toi, tu n'as qu'à lever le petit doigt pour t'envoyer en l'air avec un mec que tu as choisi. Moi, il faut que je lève les deux mains pour dire "ohé, je suis là" et encore, faut voir de quoi j'hérite. Samuel, il est sexy et je me fiche bien qu'il soit noir. Au contraire même, ça manque à ma culture. Et lui ne va pas s'effrayer de mon gros cul. Au contraire, il est habitué avec les femmes d'ici. Et puis quoi, ça fait un sacré bail que je n'ai pas vu une bite. Et si elle est grosse comme on le dit des Noirs, tant mieux, j'ai de la place. J'aime les grands formats.
Cette dernière réflexion édifia Camille. Dissuader Oriane d'aller connaitre une expérience sexuelle nouvelle était voué à l'échec.
- Bon, tu fais ce que tu veux, mais pas dans notre chambre, hein ? Je veux dormir, moi.
- Pas de problème, j'irai dans la sienne, apparemment il ne demande que ça.
Camille ne fut donc pas étonnée de voir le guide prendre Oriane par la main et de la conduire dans sa chambrée. Elle se demanda même si sauter les touristes esseulées ne faisait pas partie de son contrat tacite, vu le peu de résistance opposée à l'appétit d'Oriane. Mais au fond d'elle-même, elle envia son amie de vivre une nuit érotique. Contrairement à ce qu'elle croyait, elle n'avait pas toutes les nuits un homme dans son lit. Elle avait plus souvent son gode entre les cuisses qu'une queue bien raide. La faute à un métier prenant qui la mettait plus souvent en présence de couples d'âge mûr que d'étalons célibataires. Tout au plus détournait-elle parfois du droit chemin des hommes mariés tombés sous le charme de son petit corps parfait. Et elle se rendit compte qu'elle-même n'avait pas fait l'amour depuis au moins deux mois. C'était beaucoup car, en toute honnêteté, elle "aimait ça".
L'hôtel de brousse était mal insonorisé. Oriane avait l'orgasme bruyant. Et répétitif. Camille avait beau se boucher les oreilles, elle ne pouvait s'empêcher de conclure que son amie était tombée sur un coup en or. Levée pour uriner, elle ne résista pas à l'envie de passer devant la chambrée du couple et d'ouvrir discrètement la porte, non verrouillée. A quatre pattes en travers du lit, Oriane, de profil face à elle, toujours avec ses lunettes de vue, subissait les assauts de Samuel debout. C'était la première fois qu'elle voyait son amie à poil, et a fortiori en train de faire l'amour. Le corps sculptural de l'Africain prit illico Camille au bas-ventre. Il retirait totalement sa queue avant de l'enfoncer ce qui donna à la voyeuse l'idée du volume spectaculaire de son pénis. Pas étonnant qu'Oriane bramait. Quand elle se retourna vers son partenaire pour lui dire "fuck, fuck hard", Camille reconnut à peine son visage déformé par la jouissance. Le claquement des peaux donnait une idée de l'intensité de ce coït et la voyeuse trouva à son amie, échevelée, seins pendants, un côté bestial qu'elle n'aurait jamais imaginé. Elle se retira les joues en feu et fut longtemps à s'endormir. C'est seulement au petit matin qu'elle découvrit qu'Oriane ronflait dans le lit voisin.
*******Au réveil, Camille faisait un peu la gueule à Oriane. Moins au fond d'elle-même parce que son amie avait fait l'amour avec leur guide que par le fait qu'elle y avait pris un plaisir évident, mettant de fait en exergue sa chasteté. Oriane le comprit et lui dit :- Samuel n'est pas mon exclusivité. Si tu veux y aller aussi, vas-y, tu ne seras pas déçue.
- Je sais, je t'ai suffisamment entendue. Tu n'es pas discrète quand tu baises.
Oriane se contenta de pouffer de rire. Et les deux jeunes femmes rejoignirent leur guide pour une nouvelle journée de safari. Surprise, Samuel n'était pas seul. Il était désormais accompagné d'un grand type un peu comme lui, sculptural, mais à la tête rasée, et prénommé Ezéchiel. Officiellement pour renforcer la protection, mais "sans augmentation de prix", précisa Samuel.
Celui-ci ne dissimulait plus sa liaison avec sa cliente et ils s'embrassèrent fréquemment, à tel point que Camille se demanda s'ils n'allait pas s'isoler pour faire à nouveau l'amour. L'autre guide lui souriait fréquemment de toutes ses dents éclatantes. Il était torse nu et ses muscles très apparents émouvaient de plus en plus sa blonde cliente.
Au dîner, elle comprit qu'il n'avait pas renforcé Samuel par hasard. Celui-ci ne voulant pas la laisser seule pendant qu'il copulait avec Oriane, il avait appelé son pote moins pour une "protection" que pour honorer l'autre cliente. Ce que confirma Oriane à l'oreille de son amie :- Maintenant, c'est à toi de savoir ce que tu veux.
- Mais je suis venue ici pour les animaux, pas pour faire l'amour avec un guide africain.
- Tu es bien bête, ma pauvre fille. Si tu n'en veux pas, laisse-le moi, je prendrais bien les deux. Et ce sera ma fête.
Cette réflexion alerta Camille. Elle passerait en effet pour bien sotte. D'autant qu'elle ne pensait plus qu'à ça depuis la nuit d'avant, ce qu'elle s'était bien gardée d'avouer à son amie. Quand, après le dîner, Oriane et Samuel partirent s'isoler, laissant les deux autres ensemble, Camille ne résista que mollement quand Ezéchiel lui caressa la joue avant de s'enhardir de plus en plus bas. Et quand il la prit par la main pour l'entrainer dans la chambre, elle ne résista pas. Elle résista encore moins quand l'homme ôta son tee shirt puis son short, exhibant un pénis comme elle n'en avait encore jamais vu. Une véritable sculpture d'ébène. Il la prit par la nuque et la guida vers son gland plantureux qu'elle emboucha sans réfléchir. C'est tout juste s'il put entrer dans sa bouche vu le volume mais ce contact d'une fermeté étonnante la fit frissonner de la tête aux pieds. Saisissant le membre, elle pouvait à peine en faire le tour main fermée. Ses couilles, elle le vérifia, étaient aussi d'une lourdeur inédite pour elle. Il lui traversa alors l'esprit que ce type avait été conçu pour procréer et, accessoirement, donner du plaisir aux femmes, africaines ou non. Dès lors, elle ne fit aucune difficulté pour se laisser déshabiller et s'allonger sur le lit, offerte, cuisses en V. Ce que Ezéchiel exploita en lui prodiguant un cunnilingus qui la fit gémir de plaisir. Et c'est avec un regard noyé qu'elle l'implora :- Come ! Come now !
Elle avait d'autant plus envie d'être pénétrée que dans la pièce voisine, Oriane manifestait son enthousiasme sexuel. Elle l'entendit distinctement dire "fuck my ass !" Elle se faisait sodomiser ! Quand Ezéchiel s'avança, dûment capoté, Camille ressentit une certaine appréhension. Jamais sa petite chatte n'avait reçu la visite d'un chibre pareil. Mais son bas-ventre réclamait tellement qu'il prit le pouvoir sur sa tête. Il eut la délicatesse de s'enfoncer lentement mais quand il fut nettement engagé, Camille ressentit un tel bien être que ses cris rejoignirent ceux d'Oriane. Son corps s'emballa et le Kenyan sourit de toutes ses dents en voyant cette petite femme manifester sous lui autant d'ardeur. Leur copulation frénétique se manifesta sous divers aspects et il la fit jouir plusieurs fois dans diverses positions. C'est lors d'une levrette que Camille vit débarquer dans la chambre Oriane et Samuel entièrement nus, la sueur de l'amour sur la peau. Elle découvrit le large pubis brun de son amie, contrastant avec le sien, soigneusement taillé.
- Poussez-vous, on va s'amuser ensemble, décréta Oriane.
De mieux en mieux. Le safari photo allait donc déboucher sur une partouze. Camille ne reconnaissait décidément plus la fonctionnaire des impôts. Et de fait, à peine le deuxième couple arriva-t-il sur le lit qu'Ezéchiel délaissa la blonde pour la brune, qui l'accueillit en croisant ses chevilles dans son dos. Le corps sculptural de Samuel faisait désormais face à Camille, qui ne manifesta aucune résistance quand elle fut pénétrée à son tour en missionnaire, perpendiculairement à l'autre couple. Elle perdit rapidement les pédales, subjuguée par la situation, fascinée par les deux grosses couilles d'Ezéchiel qui battaient à quelques millimètres de son visage contre le cul plantureux d'Oriane. La pièce s'emplit de cris de jouissances féminines, nullement interrompus lorsque les deux hommes échangèrent à nouveau leur partenaire. Camille et Oriane se retrouvèrent face à face et la buée du souffle de l'une couvrit les lunettes de l'autre. Les deux hommes semblaient en état de durer éternellement. Jamais Camille n'avait eu un rapport sexuel aussi prolongé. Jamais elle ne s'était sentie autant envahie, fouillée, comblée. C'était comme si son antre intime s'était conformée au volume du pénis des deux guides. Et elle se surprit en train de dire "encore, encore" puis "more, more" en se corrigeant, imitant Oriane à côté d'elle. Elle eut alors un flash mental surprenant : des vacances aux Baléares où elle avait fait l'amour avec un Allemand et lui avait crié "noch einmal" dans sa langue, "encore", pour l'inciter à poursuivre. De l'usage des langues vivantes dans le sexe...
C'est au terme d'un énième orgasme qu'elle vit Ezéchiel se retirer, son sceptre toujours érigé. Il venait d'échanger dans son dialecte avec Samuel. Les deux jeunes femmes comprirent leur intention. Ils voulaient prendre Oriane à deux en même temps. Elle comprit qu'elle devait chevaucher l'un et que l'autre viendrait honorer son cul joufflu par derrière. Elle n'avait jamais fait ça et tenta de le leur dire mais dès qu'elle eut escaladé la bite de Samuel, la présence dans son dos d'Ezéchiel lui taquinant l'anneau la fit basculer légèrement vers l'avant comme par automatisme. Samuel l'avait copieusement sodomisée la veille et préparé le terrain. Et Camille assista, stupéfaite, à la double pénétration de son amie par les deux guides. Les cris d'Oriane, auxquels Camille était désormais habituée, emplirent à nouveau la chambre. Camille s'approcha du visage de son amie :- Ca te fait mal ? lui dit-elle.
- Oh non ! C'est trop bon ! souffla-t-elle entre deux râles.
Ezéchiel gicla enfin dans sa capote et se retira du cul en grognant. Samuel renversa Oriane et la pilonna jusqu'à ce qu'il éjacule à son tour. Elle en avait perdu ses lunettes tellement elle gigotait et Camille les récupéra. Et c'est ainsi que les ébats du quatuor s'achevèrent. Camille et Oriane étaient littéralement rincées. Elles ne furent pas mécontentes de voir les deux guides vider les lieux car elles avaient désormais un urgent besoin de dormir.
********Dans l'organisation de leurs vacances africaines, Camille et Oriane avaient prévu une virée au Kilimandjaro, le sommet mythique de la région. Elles devaient donc quitter leurs guides après une ultime journée de safari. Pour Camille, rassasiée de sexe et le corps quelque peu mâché par la baise sauvage de ses deux amants provisoires (qu'elle avait cependant savourée), cette évolution venait à point nommé. Pour Oriane en revanche, il s'agissait de profiter des "services" des deux guides jusqu'à l'ultime minute, ce qu'elle justifiait ainsi à son amie :- Tu comprends, des mecs comme ça, je ne suis pas près d'en retrouver entre mes cuisses. Je me fiche bien qu'ils soient noirs, même si je reconnais que ça m'a procuré des sensations nouvelles. Mais tu as vu comme ils sont gaulés ? Je jouirais presque rien qu'à les regarder. Et quelles bites, mon dieu, quelles bites ! Je ne me suis jamais sentie aussi femme. Ne me dis pas qu'elles ne t'ont pas régalée aussi.
- Bien sûr que si. D'ailleurs, tu l'as assez constaté. Je ne m'attendais pas à ce que tu m'entraines dans une partouze, pour la première fois de ma vie. Qu'est-ce qui t'a pris ? Tu voulais vivre une nouvelle expérience avec moi ou quoi ?
- Euh, tu sais, je ne te l'ai jamais dit mais pour moi, ce n'était pas une première, sauf avec des hommes noirs bien sûr. Avec mon ex, on a connu une petite période libertine. J'ai compris trop tard que c'était pour lui l'occasion de baiser avec une autre femme que moi. C'est pour ça que je l'ai largué. Mais il m'est arrivé de prendre mon pied, je le reconnais, dans ces plans à plusieurs, où le physique compte moins que l'envie, la disponibilité. J'ai eu envie de recommencer et de te faire connaitre ça. Tu ne mourras pas idiote.
- Je ne sais pas si je dois te remercier. Enfin bon, c'est fait. Et je reconnais que j'ai vraiment joui. C'était la première fois que je sentais une paire de couilles battre contre mon petit trou hypersensibilisé par la sodomie. Quel pied !
- Tu vois. Et tu comprendras que je veux en profiter jusqu'au bout. Je vais encore baiser ce soir, avec Samuel ou Ezéchiel ou les deux, peu importe. Je veux me gaver de leur queue et si je ne baise plus pendant longtemps, au moins j'en aurais bien profité. Et après, on pourra voir le Kilimandjaro.
****Ainsi fut fait. Camille dormit seule cette nuit là après une nouvelle journée de safari, de girafes et d'éléphants. Mais en entendant les gémissements d'Oriane, ses "fuck fuck", ses cris d'orgasme, elle fut à deux doigts de quitter son lit pour aller la rejoindre. Mais elle avait trop mal à sa petite chatte pour s'offrir à nouveau à deux hommes en rut, car ils étaient bien deux. Et elle finit par s'endormir.
Elles s'en retournèrent au bercail après deux journées d'excursion qui leur offrirent de nouvelles images inoubliables, cette fois assorties de chasteté. Oriane se sentit néanmoins obligée de laisser un bon pourboire à ses deux amants, qui avaient largement dépassé leur mission initiale de guide. Camille fut étonnée de voir à quel point son amie paraissait fraiche, détendue, apaisée, comme si le déchainement de ses hormones femelles avaient régénéré son métabolisme. Elle-même se sentait bien aussi malgré quelques courbatures. Bref, ce furent des vacances très réussies pour les deux jeunes femmes. Mais elles ne raconteraient pas tout à leur entourage en rentrant...
Bien qu'amies de longue date, les deux jeunes femmes se différenciaient profondément par leur physique. Si Camille pouvait entrer dans la catégorie masculine des "canons" avec un corps menu mais parfait, sa chevelure blonde toujours bien lissée et son sourire craquant, Oriane avait été beaucoup moins gâtée par la nature. De petite taille comme son amie, elle ne présentait pas le même corps harmonieux : mince en haut mais forte du bas avec de grosses fesses, des cuisses épaisses et des hanches trop larges. Seul son visage, toujours éclairé, sans angles, rachetait l'ensemble. Elle avait pris parti de ses défauts et ne souffrait pas de la comparaison avec Camille, mais l'échec de son mariage, dû à l'infidélité de son mari, avait quelque peu réveillé des complexes physiques. Et ce en dépit des propos rassurants de son amie, qui insistait toujours sur son charme et son intelligence enjouée.
Arrivée à bon port, les deux jeunes femmes furent surprises par l'atmosphère. Il faisait presque frais avant l'arrivée de la chaleur tropicale, grâce à l'altitude. Après passage à l'hôtel, elles découvrirent le guide qui leur avait été réservé. Il s'appelait Samuel, était long et mince comme beaucoup d'hommes de ce pays, toujours souriant, et les deux amies le trouvèrent charmant, estimant être "bien tombées".
Dès le lendemain, elles prirent place dans le 4x4 qui devait les conduire à l'une des réserves d'animaux sauvages. Si Camille s'était habillée sobrement avec un pantacourt et un chemisier sans manches assorti, Oriane n'avait pas hésité à sortir un dos nu sans soutien-gorge et un short moulant son imposant fessier, exposant une bonne partie de son corps aux rayons du soleil africain. Et sa sexualité de manière implicite.
Le voyage fut long et le trio eut le temps de faire connaissance. L'homme était de l'âge des deux touristes, était marié, avait de nombreux enfants. Il s'étonna que ses Françaises ne furent ni mariées, ni mères.
Pour celles-ci, cette première journée fut un enchantement. Camille avait emprunté son appareil photo numérique à son frère, Oriane avait fait l'achat d'un Nikon avec téléobjectif. Et c'est la tête pleine d'images inédites qu'elles gagnèrent leur hôtel de brousse.
Cette journée avait renforcé l'intimité entre elles et leur guide. Si Camille avait conservé une certaine distance, tel n'était pas le cas d'Oriane qui draguait ouvertement Samuel. Non seulement celui-ci ne s'en offusquait pas mais il jouait délibérément le jeu. La maîtrise de l'anglais de la fonctionnaire facilitait ce jeu de séduction et au dîner, elle et l'Africain en étaient passés au stade des attouchements. Camille observait, un peu courroucée, cette progression qui ne faisait pas partie du plan. A la fin du dîner, alors que Samuel s'affairait avec le personnel de l'hôtel, la blonde prit son amie à part :- Tu cherches quoi, au juste ?
- Ben, à baiser, tiens. Tu ne crois quand même pas que je vais laisser passer une occasion pareille. Toi, tu n'as qu'à lever le petit doigt pour t'envoyer en l'air avec un mec que tu as choisi. Moi, il faut que je lève les deux mains pour dire "ohé, je suis là" et encore, faut voir de quoi j'hérite. Samuel, il est sexy et je me fiche bien qu'il soit noir. Au contraire même, ça manque à ma culture. Et lui ne va pas s'effrayer de mon gros cul. Au contraire, il est habitué avec les femmes d'ici. Et puis quoi, ça fait un sacré bail que je n'ai pas vu une bite. Et si elle est grosse comme on le dit des Noirs, tant mieux, j'ai de la place. J'aime les grands formats.
Cette dernière réflexion édifia Camille. Dissuader Oriane d'aller connaitre une expérience sexuelle nouvelle était voué à l'échec.
- Bon, tu fais ce que tu veux, mais pas dans notre chambre, hein ? Je veux dormir, moi.
- Pas de problème, j'irai dans la sienne, apparemment il ne demande que ça.
Camille ne fut donc pas étonnée de voir le guide prendre Oriane par la main et de la conduire dans sa chambrée. Elle se demanda même si sauter les touristes esseulées ne faisait pas partie de son contrat tacite, vu le peu de résistance opposée à l'appétit d'Oriane. Mais au fond d'elle-même, elle envia son amie de vivre une nuit érotique. Contrairement à ce qu'elle croyait, elle n'avait pas toutes les nuits un homme dans son lit. Elle avait plus souvent son gode entre les cuisses qu'une queue bien raide. La faute à un métier prenant qui la mettait plus souvent en présence de couples d'âge mûr que d'étalons célibataires. Tout au plus détournait-elle parfois du droit chemin des hommes mariés tombés sous le charme de son petit corps parfait. Et elle se rendit compte qu'elle-même n'avait pas fait l'amour depuis au moins deux mois. C'était beaucoup car, en toute honnêteté, elle "aimait ça".
L'hôtel de brousse était mal insonorisé. Oriane avait l'orgasme bruyant. Et répétitif. Camille avait beau se boucher les oreilles, elle ne pouvait s'empêcher de conclure que son amie était tombée sur un coup en or. Levée pour uriner, elle ne résista pas à l'envie de passer devant la chambrée du couple et d'ouvrir discrètement la porte, non verrouillée. A quatre pattes en travers du lit, Oriane, de profil face à elle, toujours avec ses lunettes de vue, subissait les assauts de Samuel debout. C'était la première fois qu'elle voyait son amie à poil, et a fortiori en train de faire l'amour. Le corps sculptural de l'Africain prit illico Camille au bas-ventre. Il retirait totalement sa queue avant de l'enfoncer ce qui donna à la voyeuse l'idée du volume spectaculaire de son pénis. Pas étonnant qu'Oriane bramait. Quand elle se retourna vers son partenaire pour lui dire "fuck, fuck hard", Camille reconnut à peine son visage déformé par la jouissance. Le claquement des peaux donnait une idée de l'intensité de ce coït et la voyeuse trouva à son amie, échevelée, seins pendants, un côté bestial qu'elle n'aurait jamais imaginé. Elle se retira les joues en feu et fut longtemps à s'endormir. C'est seulement au petit matin qu'elle découvrit qu'Oriane ronflait dans le lit voisin.
*******Au réveil, Camille faisait un peu la gueule à Oriane. Moins au fond d'elle-même parce que son amie avait fait l'amour avec leur guide que par le fait qu'elle y avait pris un plaisir évident, mettant de fait en exergue sa chasteté. Oriane le comprit et lui dit :- Samuel n'est pas mon exclusivité. Si tu veux y aller aussi, vas-y, tu ne seras pas déçue.
- Je sais, je t'ai suffisamment entendue. Tu n'es pas discrète quand tu baises.
Oriane se contenta de pouffer de rire. Et les deux jeunes femmes rejoignirent leur guide pour une nouvelle journée de safari. Surprise, Samuel n'était pas seul. Il était désormais accompagné d'un grand type un peu comme lui, sculptural, mais à la tête rasée, et prénommé Ezéchiel. Officiellement pour renforcer la protection, mais "sans augmentation de prix", précisa Samuel.
Celui-ci ne dissimulait plus sa liaison avec sa cliente et ils s'embrassèrent fréquemment, à tel point que Camille se demanda s'ils n'allait pas s'isoler pour faire à nouveau l'amour. L'autre guide lui souriait fréquemment de toutes ses dents éclatantes. Il était torse nu et ses muscles très apparents émouvaient de plus en plus sa blonde cliente.
Au dîner, elle comprit qu'il n'avait pas renforcé Samuel par hasard. Celui-ci ne voulant pas la laisser seule pendant qu'il copulait avec Oriane, il avait appelé son pote moins pour une "protection" que pour honorer l'autre cliente. Ce que confirma Oriane à l'oreille de son amie :- Maintenant, c'est à toi de savoir ce que tu veux.
- Mais je suis venue ici pour les animaux, pas pour faire l'amour avec un guide africain.
- Tu es bien bête, ma pauvre fille. Si tu n'en veux pas, laisse-le moi, je prendrais bien les deux. Et ce sera ma fête.
Cette réflexion alerta Camille. Elle passerait en effet pour bien sotte. D'autant qu'elle ne pensait plus qu'à ça depuis la nuit d'avant, ce qu'elle s'était bien gardée d'avouer à son amie. Quand, après le dîner, Oriane et Samuel partirent s'isoler, laissant les deux autres ensemble, Camille ne résista que mollement quand Ezéchiel lui caressa la joue avant de s'enhardir de plus en plus bas. Et quand il la prit par la main pour l'entrainer dans la chambre, elle ne résista pas. Elle résista encore moins quand l'homme ôta son tee shirt puis son short, exhibant un pénis comme elle n'en avait encore jamais vu. Une véritable sculpture d'ébène. Il la prit par la nuque et la guida vers son gland plantureux qu'elle emboucha sans réfléchir. C'est tout juste s'il put entrer dans sa bouche vu le volume mais ce contact d'une fermeté étonnante la fit frissonner de la tête aux pieds. Saisissant le membre, elle pouvait à peine en faire le tour main fermée. Ses couilles, elle le vérifia, étaient aussi d'une lourdeur inédite pour elle. Il lui traversa alors l'esprit que ce type avait été conçu pour procréer et, accessoirement, donner du plaisir aux femmes, africaines ou non. Dès lors, elle ne fit aucune difficulté pour se laisser déshabiller et s'allonger sur le lit, offerte, cuisses en V. Ce que Ezéchiel exploita en lui prodiguant un cunnilingus qui la fit gémir de plaisir. Et c'est avec un regard noyé qu'elle l'implora :- Come ! Come now !
Elle avait d'autant plus envie d'être pénétrée que dans la pièce voisine, Oriane manifestait son enthousiasme sexuel. Elle l'entendit distinctement dire "fuck my ass !" Elle se faisait sodomiser ! Quand Ezéchiel s'avança, dûment capoté, Camille ressentit une certaine appréhension. Jamais sa petite chatte n'avait reçu la visite d'un chibre pareil. Mais son bas-ventre réclamait tellement qu'il prit le pouvoir sur sa tête. Il eut la délicatesse de s'enfoncer lentement mais quand il fut nettement engagé, Camille ressentit un tel bien être que ses cris rejoignirent ceux d'Oriane. Son corps s'emballa et le Kenyan sourit de toutes ses dents en voyant cette petite femme manifester sous lui autant d'ardeur. Leur copulation frénétique se manifesta sous divers aspects et il la fit jouir plusieurs fois dans diverses positions. C'est lors d'une levrette que Camille vit débarquer dans la chambre Oriane et Samuel entièrement nus, la sueur de l'amour sur la peau. Elle découvrit le large pubis brun de son amie, contrastant avec le sien, soigneusement taillé.
- Poussez-vous, on va s'amuser ensemble, décréta Oriane.
De mieux en mieux. Le safari photo allait donc déboucher sur une partouze. Camille ne reconnaissait décidément plus la fonctionnaire des impôts. Et de fait, à peine le deuxième couple arriva-t-il sur le lit qu'Ezéchiel délaissa la blonde pour la brune, qui l'accueillit en croisant ses chevilles dans son dos. Le corps sculptural de Samuel faisait désormais face à Camille, qui ne manifesta aucune résistance quand elle fut pénétrée à son tour en missionnaire, perpendiculairement à l'autre couple. Elle perdit rapidement les pédales, subjuguée par la situation, fascinée par les deux grosses couilles d'Ezéchiel qui battaient à quelques millimètres de son visage contre le cul plantureux d'Oriane. La pièce s'emplit de cris de jouissances féminines, nullement interrompus lorsque les deux hommes échangèrent à nouveau leur partenaire. Camille et Oriane se retrouvèrent face à face et la buée du souffle de l'une couvrit les lunettes de l'autre. Les deux hommes semblaient en état de durer éternellement. Jamais Camille n'avait eu un rapport sexuel aussi prolongé. Jamais elle ne s'était sentie autant envahie, fouillée, comblée. C'était comme si son antre intime s'était conformée au volume du pénis des deux guides. Et elle se surprit en train de dire "encore, encore" puis "more, more" en se corrigeant, imitant Oriane à côté d'elle. Elle eut alors un flash mental surprenant : des vacances aux Baléares où elle avait fait l'amour avec un Allemand et lui avait crié "noch einmal" dans sa langue, "encore", pour l'inciter à poursuivre. De l'usage des langues vivantes dans le sexe...
C'est au terme d'un énième orgasme qu'elle vit Ezéchiel se retirer, son sceptre toujours érigé. Il venait d'échanger dans son dialecte avec Samuel. Les deux jeunes femmes comprirent leur intention. Ils voulaient prendre Oriane à deux en même temps. Elle comprit qu'elle devait chevaucher l'un et que l'autre viendrait honorer son cul joufflu par derrière. Elle n'avait jamais fait ça et tenta de le leur dire mais dès qu'elle eut escaladé la bite de Samuel, la présence dans son dos d'Ezéchiel lui taquinant l'anneau la fit basculer légèrement vers l'avant comme par automatisme. Samuel l'avait copieusement sodomisée la veille et préparé le terrain. Et Camille assista, stupéfaite, à la double pénétration de son amie par les deux guides. Les cris d'Oriane, auxquels Camille était désormais habituée, emplirent à nouveau la chambre. Camille s'approcha du visage de son amie :- Ca te fait mal ? lui dit-elle.
- Oh non ! C'est trop bon ! souffla-t-elle entre deux râles.
Ezéchiel gicla enfin dans sa capote et se retira du cul en grognant. Samuel renversa Oriane et la pilonna jusqu'à ce qu'il éjacule à son tour. Elle en avait perdu ses lunettes tellement elle gigotait et Camille les récupéra. Et c'est ainsi que les ébats du quatuor s'achevèrent. Camille et Oriane étaient littéralement rincées. Elles ne furent pas mécontentes de voir les deux guides vider les lieux car elles avaient désormais un urgent besoin de dormir.
********Dans l'organisation de leurs vacances africaines, Camille et Oriane avaient prévu une virée au Kilimandjaro, le sommet mythique de la région. Elles devaient donc quitter leurs guides après une ultime journée de safari. Pour Camille, rassasiée de sexe et le corps quelque peu mâché par la baise sauvage de ses deux amants provisoires (qu'elle avait cependant savourée), cette évolution venait à point nommé. Pour Oriane en revanche, il s'agissait de profiter des "services" des deux guides jusqu'à l'ultime minute, ce qu'elle justifiait ainsi à son amie :- Tu comprends, des mecs comme ça, je ne suis pas près d'en retrouver entre mes cuisses. Je me fiche bien qu'ils soient noirs, même si je reconnais que ça m'a procuré des sensations nouvelles. Mais tu as vu comme ils sont gaulés ? Je jouirais presque rien qu'à les regarder. Et quelles bites, mon dieu, quelles bites ! Je ne me suis jamais sentie aussi femme. Ne me dis pas qu'elles ne t'ont pas régalée aussi.
- Bien sûr que si. D'ailleurs, tu l'as assez constaté. Je ne m'attendais pas à ce que tu m'entraines dans une partouze, pour la première fois de ma vie. Qu'est-ce qui t'a pris ? Tu voulais vivre une nouvelle expérience avec moi ou quoi ?
- Euh, tu sais, je ne te l'ai jamais dit mais pour moi, ce n'était pas une première, sauf avec des hommes noirs bien sûr. Avec mon ex, on a connu une petite période libertine. J'ai compris trop tard que c'était pour lui l'occasion de baiser avec une autre femme que moi. C'est pour ça que je l'ai largué. Mais il m'est arrivé de prendre mon pied, je le reconnais, dans ces plans à plusieurs, où le physique compte moins que l'envie, la disponibilité. J'ai eu envie de recommencer et de te faire connaitre ça. Tu ne mourras pas idiote.
- Je ne sais pas si je dois te remercier. Enfin bon, c'est fait. Et je reconnais que j'ai vraiment joui. C'était la première fois que je sentais une paire de couilles battre contre mon petit trou hypersensibilisé par la sodomie. Quel pied !
- Tu vois. Et tu comprendras que je veux en profiter jusqu'au bout. Je vais encore baiser ce soir, avec Samuel ou Ezéchiel ou les deux, peu importe. Je veux me gaver de leur queue et si je ne baise plus pendant longtemps, au moins j'en aurais bien profité. Et après, on pourra voir le Kilimandjaro.
****Ainsi fut fait. Camille dormit seule cette nuit là après une nouvelle journée de safari, de girafes et d'éléphants. Mais en entendant les gémissements d'Oriane, ses "fuck fuck", ses cris d'orgasme, elle fut à deux doigts de quitter son lit pour aller la rejoindre. Mais elle avait trop mal à sa petite chatte pour s'offrir à nouveau à deux hommes en rut, car ils étaient bien deux. Et elle finit par s'endormir.
Elles s'en retournèrent au bercail après deux journées d'excursion qui leur offrirent de nouvelles images inoubliables, cette fois assorties de chasteté. Oriane se sentit néanmoins obligée de laisser un bon pourboire à ses deux amants, qui avaient largement dépassé leur mission initiale de guide. Camille fut étonnée de voir à quel point son amie paraissait fraiche, détendue, apaisée, comme si le déchainement de ses hormones femelles avaient régénéré son métabolisme. Elle-même se sentait bien aussi malgré quelques courbatures. Bref, ce furent des vacances très réussies pour les deux jeunes femmes. Mais elles ne raconteraient pas tout à leur entourage en rentrant...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours le meme discour sur la bite noir est-ce qu une grosse bite est vraiment un formidable atout qu une normalement constituee,les sexcologues sont d accord que le plaisir n est pas l appanache simplement d enormes bites .mais que tout est =experience,savoir faire, et endurence,