Un samedi après-midi - Chapitre 1/2 - histoire érotique

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Nous sommes en été 2023 et j’avoue que le monde libertin permet d’assouvir quelques fantasmes.
J’avais dans un petit coin de mon cerveau un fantasme que nous pourrions réaliser ensemble, voir ma femme durant quelques heures avec un autre homme comme s’ils étaient mariés avec la complicité qui va avec. Je ne sais pas si vous visualisé bien le concept mais vous allez vite comprendre durant le début du récit.

Pour se faire nous avons besoin d’un mec conciliant, mais un peu ferme, entre 40 et 50 ans, résident à environ 200 km de chez nous et d’un endroit pour se loger. Rien de bien exceptionnel, pour le mec, il y a foule sur notre site libertin et pour le logement une location Airnb ira très bien.

Les deux étant trouvés, nous nous mettons en route pour cette nouvelle aventure. Nous nous rendons à environ 150 Km de chez nous, près d’une grande ville ou normalement, nous ne rencontrons personne de notre connaissance.
Nous arrivons pour midi sur les lieux et prenons possession de notre logement qui est situé à environ 1/4 d’heure d’une grande ville, nous nous restaurons et nous nous apprêtons, nous avons rendez-vous à 15 heures.

Il a été convenu que c’est lui qui vient nous chercher pour se rendre en ville afin de faire du shopping dans un premier temps. 15 heures pétantes, il est là, un homme de 47 ans, grand, cheveux poivre et sel, allure athlétique, habillée décontracté comme nous que nous appellerons S (comme Sexboy).

Il avait été convenu que ma femme serait habillée simplement et que le shopping servait à le satisfaire au niveau vestimentaire. La seule condition que S avait émise, c’est qu’elle porte des sous-vêtements de couleur noire.

Après avoir échangé quelques banalités, nous voilà parti pour aller faire cette virée shopping. À partir de maintenant, ma femme et lui font comme s’ils étaient en couple, et moi, un ami.
Nous prenons place dans sa voiture, ma femme devant à côté de lui et moi derrière. À partir de cet instant, je ne pourrai plus maîtriser grand-chose, je suis dans son véhicule, hors de mon camp de base, je vais devoir subir leurs caprices. Ma femme devra « subir » également, car il a été décidé qu’elle devrait assouvir ses demandes, comme toute femme bien élevées (je sais, c’est un peu misogyne).

Durant le trajet, nous mettons les choses bien en place pour éviter de ne froisser personne.

Nous arrivons dans un très grand centre commercial, nous nous stationnons et l’aventure peut réellement commencer. Je serai comme on dit « la chandelle ».

Nous sommes un samedi après-midi, en été, il y a foule dans le centre. Cela tombe bien, c’est ce que je recherchais, du monde pour mater ce nouveau couple.

Nous arrivons devant la porte du centre commercial et nous nous arrêtons pour fumer une petite clope, ma femme se sert contre lui pour qu’il la prenne dans ses bras et ils se font quelques petits bécots, puis ils se roulent une belle galoche, elle en le tenant par le coup et lui, en posant ses mains sur ses fesses.

La clope étant finie, nous rentrons dans le centre, elle s’approche et me dit, cela te va comme entrée en matière, je lui réponds par l’affirmative, car je suis déjà en érection, l’après-midi va être longue.

Nous déambulons dans le centre commercial à la recherche d’une boutique de vêtements, car S doit choisir une tenue pour elle. Il connaît les lieux et nous nous dirigeons vers un magasin qu’il connaît. Ce dernier est bondé, beaucoup de couple qui font leurs achats.
Il se dirige directement vers le rayon des robes et tend à ma femme une belle robe blanche qui se ferme sur le devant avec des boutons sur toute la hauteur. Il lui dit, j’espère qu’elle te plaît, je suis venu la repérer il y a quelques jours, mais par contre, il faut que tu l’essaies pour savoir si elle est à ta taille.
Ben voyons qu’elle beau prétexte pour mater dans la cabine d’essayage.

Mon épouse s’exécute, ils se dirigent vers les cabines, elles donnent directement sur les rayons, il y a cinq cabines et il attend que la centrale soit libre et l’accompagne à l’intérieur, bien sûr elle lui fait un petit bécot, histoire de bien montrer qu’elle est avec lui. Il ferme le rideau, mais pas tout à fait, il laisse une petite ouverture d’environ 5 cm de chaque côté de façon qu’elle puisse être vue en train de se changer.
Le magasin étant bondé, il va y avoir du monde pour profiter du spectacle.

S s’approche de moi et me dit : Je lui ai demandé d’essayer cette robe sans aucun sous-vêtement, elle doit le faire face au rideau et j’ai un peu laisser ce dernier ouvert pour voir si elle va se tenir à mes consignes.
Je lui réponds qu’il n’y pas que nous qui allons profiter du spectacle, il me dit alors que c’est sa femme et que cela ne le gêne pas que d’autres hommes la regarde. Je ne peux rien dire d’autres, effectivement, c’est sa femme durant quelques heures...
Effectivement beaucoup de paire de yeux se tournent vers la cabine, nous la regardons retirer ses chaussures, son jean, son chemisier. Elle est en string et en soutien-gorge, il me dit, elle a bien exécuté ma demande, des sous-vêtements de couleur noirs. Elle continue à se déshabiller, elle retire son soutien-gorge, libérant sa poitrine (90C), puis retire son string, offrant son intimité bien épilée. Elle est complètement nue, plusieurs mecs, venus avec leur femme pour des achats, assistent au spectacle. Ils n’en ratent pas une miette.
Elle enfile la robe, sort de la cabine et se dirige vers nous. Les paire de yeux la suivent et dit à S, alors elle me va bien chéri. Oui, tu l’as porte magnifiquement bien, il lui fait un bécot et lui fait faire un tour sur elle-même. Elle te va très bien, on la prend. Retourne te changer, bien sûr avec les même consigne que tout à l’heure. Je te raccompagne à la cabine.
Il referme le rideau et le laisse un peu plus ouvert que la première fois a telle point qu’une des serveuse vient et le referme correctement. Du coup, il y avait beaucoup moins de monde devant la cabine…

Elle sort avec la robe à son bras, il la prend et me la tend en parlant un peu fort pour que des clients entendent, c’est bien le cadeau que ta sœur t’avait demandé pour son anniversaire.

Je prends la robe, me dirige vers la caisse pendant qu’ils sortent. Devant le magasin, ils se bécotent et lui en profite pour laisser balader ses mains le long du corps de ma femme.

Nous nous dirigeons vers les toilettes pour qu’elle puisse se changer et mettre cette jolie robe. En sortant des toilettes, je comprends pourquoi il avait demandé le port de sous-vêtements noir, cette robe n’est pas transparente, mais laisse apercevoir sans que cela ne soit vulgaire, la forme de ses derniers ainsi que la couleur. Elle est boutonnée par 15 boutons sur le devant, elle est fluide et lui arrive au niveau des mollets. Les boutons sont tous mis, fermant la robe pratiquement au ras du cou, il lui dit d’en ouvrir 2 en haut et 2 en bas. Il n’y a plus que 11 boutons fermant la robe.

Nous allons nous rafraîchir dans un bar restaurant du centre commercial, nous prenons des tables différentes, moi seul et eux ensemble, assis l’un à côté de l’autre. Ils discutent, ma femme rigole, je ne peux rien entendre de ce qu’ils se disent.

Elle a les jambes croisées et il a posé sa main dessus, il caresse sa cuisse sous la table, remontant de plus en plus la robe. La robe étant relevée à mi-cuisse, il passe sa main entre ses cuisses croisées et lui fait ouvrir. Durant ce temps, ma femme discute avec lui comme si de rien n’était. Maintenant, ses cuisses sont légèrement écartées, il l’a caresse toujours, mais dans l’entrejambe.

Elle prend alors son portable et m’envoie un message, S me demande de te dire que je vais devoir retirer un bouton en haut et un bouton en bas de ma robe. Il me demande aussi de te dire que tu seras toujours prévenu par SMS de ce que je dois retirer. Tu dois également toujours me répondre par un OK pour savoir si tu as bien pris connaissance du SMS. Dès que tu auras répondu, j’exécuterai sa demande.
Je réponds donc OK. Ma femme me regarde et retire alors un bouton en haut et un bouton en bas. Il n’en reste plus que 9. Cela laisse apparaître son soutien-gorge et ses genoux.

Nous quittons le bar, visitons quelques magasins, je suis en retrait et eux, ensemble. Je reçois de nouveau un SMS, S me demande de retirer 2 boutons, un en haut et un en bas.
Je réponds OK. Ma femme se retourne vers moi et défait un bouton en haut et un bouton en bas. Il ne reste que 7 boutons. Cette fois-ci nous sommes juste en dessous du soutien-gorge et plus haut que les genoux.

Nous faisions encore quelques magasins puis SMS de nouveau : je dois aller aux toilettes pour retirer mon soutien-gorge.
OK. Nous nous rendons aux toilettes dont elle ressort sans soutien-gorge. L’ouverture de son décolleté dévoile une petite partie de ses seins.
Les regards des hommes se font de plus en plus présents.
1/4 d’heure se passe, nous sommes dans une boutique de fringues, nouveau SMS : je dois retirer mon string et c’est toi qui dois le faire. Réponse : OK. Nous rentrons dans une cabine, je l’embrasse et je lui retire son string. Sa chatte est trempée et le son string également. Je lui mets un doigt et elle me demande d’arrêter, car elle est prête à flaquer tellement elle est excitée. Elle me dit que dois aller voir S et lui remettre ce string trempé de son foutre.

Nous sortons du magasin, marchons un peu, nouveau SMS : je dois retirer 1 bouton en haut et 2 boutons en bas.
OK. Je ne peux répondre que cela, car il n’y a qu’elle qui peut dire si c'est de trop et si cela devient trop indécent pour elle.
Nous sommes dans un endroit discret du centre, elle se retourne et défait un bouton en haut, ouvrant correctement le décolleté sur sa poitrine et deux boutons sur le bas, ouvrant la robe à hauteur d’une mini-jupe.
Plus que 5 boutons jusqu’où va-t-elle aller et dire stop, car cela devient limite indécente pour moi. Elle se sent bien et se déplace sans problème les seins pratiquement à l’air.

Nous nous rendons dans un grand magasin de chaussures, nous en faisons le tour et elle choisie une paire de sandales qu’elle doit essayer. S lui dit de s’asseoir sur un des petits bancs avec une glace située devant. S se pose à côté d’elle et elle essaie les sandales. Elle se lève les admire dans la glace puis se rassoie sur la gauche de S et elle lui demande si elle lui plaise. S acquiesce d’un signe de la tête et il pose sa main sur la cuisse droite de ma femme. Il fait glisser le pan de la de robe vers lui, découvrant sa jambe. Ses cuisses sont serrées et il fait glisser sa main entre les deux. Il tire à lui la jambe droite, faisant écarter légèrement ses cuisses découvrant son entière intimité dans la glace. Il en profite pour lui rouler une pelle magistrale, les cuisses de ma femme s’écartent un peu plus, grisée par ce baiser, sa chatte est bien visible dans la glace, quelques clients en profitent pour mater. S aussi. Il se lève, me rejoint et me dit : jolie petite chatte, bien épilée, j’ai hâte de la découvrir pour de vrai et pas seulement dans la glace.

Nous sortons du magasin, l’après-midi shopping tire à sa fin et nous nous dirigeons sur le parking. Les regards des hommes sont très présents sur le chemin.

Arrivée à la voiture, S lui ouvre sa portière et lui dit : avant de monter, on va encore défaire quelques boutons. Il se tourne vers moi et me dit : il fait chaud vient défaire 4 boutons, laisse uniquement celui-ci. Il me montre celui qui est situé en dessous de son nombril. Pendant qu’il monte en voiture, je défais les 4 boutons demandés puis nous montons dans le véhicule. Ma femme met sa ceinture de sécurité et repositionne machinalement sa roche sur ses cuisses. S se tourne vers moi et me dit, tu ne trouves pas qu’il fait très chaud, vient lui découvrir ses jambes pour qu’elles les rafraîchissent.
Je quitte de la voiture et ouvre la porte passager, je prends les deux pans de la robe et les écarte légèrement découvrant partiellement ses jambes. S me dit : je pense qu’elle va encore avoir chaud. J’écarte encore les deux pans de la robe, découvrant complètement ses cuisses, limite de sa chatte.
S me dit encore un peu, je comprends bien qu’il veut faire la route avec la chatte découverte de ma petite salope.
J’écarte donc complètement les deux pans de la robe jusqu’au bouton, découvrant sa chatte... Il me dit, c’est bon, nous pouvons rentrer à la maison.

À la maison, en fait, c’est chez lui que nous nous dirigeons. Il y a une vingtaine de minutes de voiture et nous empruntons une voie express. Nous discutons un peu de l’après-midi puis il dit à ma femme de baiser un peu son siège et d’écarter un peu plus ses cuisses. Cette petite garce s’exécute sans broncher offrant encore un peu lus son intimité. Nous commençons à doubler quelques poids lourds et S en arrivant à la hauteur des cabines, ralentis. Il nous dit moi aussi, je suis chauffeur PL donc je fais profiter les collègues du spectacle. Quelques chauffeurs klaxon pour nous remercier.
Ma femme se prête au jeu et à l’air d’apprécier la situation. Pour ma part, je ne suis pas très fan, mais je n’ai pas mon mot à dire, seule ma femme peut dire stop…

Nous arrivons chez S, un pavillon des années 90. Nous nous stationnons dans la cour devant et descendons du véhicule. Ma femme n’a plus qu’un bouton sur sa robe, ses seins sont pratiquement à l’air et à chacun de ses pas la robe s’ouvre jusqu’à sa chatte. S décide de nous montrer les extérieurs, il veut « exposer » ma femme à son voisinage, je suppose.
Je n’ose même pas compter combien de paire de yeux ont pu mater ma femme cet après-midi, cette dernière qui n’aime pas les jeux d’exhibe n’a rien dit et a accepté les caprices de S.

Suite de la soirée au prochain chapitre.