Un samedi après-midi - Chapitre 2/3 - histoire érotique

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Reprenons notre récit, nous sommes en train de visiter les extérieurs de la maison. À l’arrière, il y a une terrasse avec jacuzzi gonflable, qui peut accueillir 4 ou 5 personnes. Nous rentrons dans la maison, une belle pièce à vivre où se trouve un canapé. S nous fait visiter la salle de bain et les deux chambres.

Je prends bien conscience que maintenant, nous sommes chez lui, sur son territoire, et que nous ne pouvons pas partir sans que ce ne soit lui qui nous ramène au Airbnb. En même temps, c’était le deal convenu entre nous, il avait carte blanche pour organiser l’après-midi et la soirée sans que je puisse m’y soustraire, et ma femme étant l’axe central. Pour moi, c'était pousser l’expérience à l’extrême de ce que je pouvais encaisser et ma femme jouait son rôle à la perfection. J’avoue que ça n’a pas été évident pour elle non plus.

De retour dans le salon, mon épouse lui demande si elle peut aller prendre une douche, car l’après-midi a été très chaude… S lui dit :
- Tu sais, tu es chez toi, tu trouveras tout ce qu’il te faut dans la salle de bain.
Ma femme commence à s’y rendre et il lui dit :
- Tu n’as pas oublié quelque chose, un bisou.
Elle revient vers lui et lui fait un smack.
S déclare :
- C’est bien peu.
Elle l’enlace par le cou et lui roule une belle pelle. Lui, pendant ce temps, en profite pour la caresser sous sa robe. Il lui touche ses fesses, remonte une de ses mains sur sa poitrine tandis que l’autre va prendre la température de sa chatte. Elle émet un petit cri tout en l’embrassant, je comprends qu’il est en train de la doigter. Elle se raidit de plaisir. Une fois le baisé terminé, il me regarde et me dit :
- C’est une chatte bien humide, ma main est bien trempée.
Elle se dirige vers la douche et, pendant ce temps, nous discutons un peu. S me dit :
- Je ne vais pas trop loin, car je me suis bien pris au jeu.
Je lui réponds :
- C’est ce qui a été convenu entre nous et je n’ai pas à interférer. La première à dire non, c’est elle, les règles ont été définies comme ça. Elle connaît les limites qu’elle ne doit pas dépasser.
S me dit alors :
- J’ai prévu quelques surprises durant la soirée.
- Il n’y a pas de soucis, tu as carte blanche tant que ce n’est pas de l’humiliation ou de la violence.
Ma femme revient, toujours vêtue de sa robe boutonnée d’un seul bouton. S lui dit :
- Tu sais bien que les femmes doivent porter la tenue naturiste ici, demande à ton mari de te retirer cette robe et fais-lui un baiser, car vous n’aurez plus le droit de vous bécoter de la soirée. Tu resteras dans cette tenue quelles que soient les circonstances.
Je m’approche d’elle et lui retire le dernier bouton puis sa robe. Je lui roule une belle pelle également et lui glisse dans l’oreille :
- Amuse-toi bien.
- Merci, toi aussi.

S est assis dans le canapé et lui déclare :
- Viens t’asseoir sur mes genoux pour que tu puisses commander des pizzas pour manger ce soir, et toi, prends le fauteuil en face.
Ma femme s’exécute, S la prend dans ses bras et la caresse. Ses seins, sa chatte, car, bien sûr, elle n’a pas mis longtemps à écarter les cuisses. Pendant ce temps-là, elle essaie désespérément de commander des pizzas. Quelques baisers sont également échangés. Moi, je suis en face, je les regarde faire avec une bite en érection à faire péter ma fermeture éclair.
Une fois la commande faite, S propose d’aller faire un petit jacuzzi, histoire de se détendre. Ma femme se met dedans et nous nous déshabillons. C’est la première fois que S va présenter son engin à ma gourgandine, et fort est de constater que nous bandons comme des taureaux. Sa bite est bien au garde-à-vous, une belle queue comme ma femme les aime. Les photos envoyées n’étaient pas trompeuses.
Elle le regarde se mettre à l’eau et admire cette belle bite. Il se met à côté d’elle, normal, et moi en face. Leurs mains sont sous l’eau et je constate qu’elle a commencé à caresser sa bite et lui, sa main est dirigée vers sa chatte, sans savoir exactement ce qu’il lui fait.
Je me touche un peu également et S me dit :
- Se branler devant un couple qui profite du jacuzzi, ce n’est bien, mets tes mains hors de l’eau qu’on les voie.
J’arrête donc de me toucher et pose mes mains sur le rebord. Je sens une petite frustration, lui est bien en train de se faire branler par ma femme, il n’y a pas de doutes au vu des mouvements qu’elle réalise.
Puis il me dit :
- Viens vers nous si tu veux.
Je me mets à côté de cette petite chienne et commence à lui toucher ses seins, en fait, je cherche la main de S et, en descendant, je constate qu’elle est dans la chatte, plus exactement, 4 doigts. J’ai pu les compter. Cette garce s’est pris 4 doigts sans broncher et sans rien laisser paraître. Je ne peux même pas en mettre un car elle est bien remplie.
Cette séance de jacuzzi est interrompue par la sonnette, ça doit être le livreur de pizzas. S nous regarde et dit :
- C’est une de mes surprises de la soirée.
Il sort de l’eau, sa bite est bien tendue. Il met une serviette autour de ses hanches et nous lance :
- Ne faites pas de bêtise pendant que j’ouvre.
S va à la porte d’entrée et revient accompagné d’un autre homme, environ une trentaine d’années, beau brun, il nous le présente comme un de ses amis qu’il a invité pour l’apéro. Nous l’appellerons N (le Nouveau). Il est vêtu d’un short large et d’un tee-shirt. Il l’installe au salon sur le canapé et S vient nous chercher.
Je commence à m’inquiéter, car il n’est prévu qu’un trio. S nous explique que N souhaite faire des trios également, mais qu’il n’a jamais franchi le pas. Il nous demande si cela ne nous dérange pas d’en discuter ensemble. Quelques caresses pourraient se faire sans aller plus loin.
Il sera présent juste pour l’apéro et non pour participer.
J’avoue que l’idée m’excite énormément, ma chérie entre deux inconnus, juste pour des caresses, me tente beaucoup. Je la regarde et elle voit de suite que l’idée ne me dérange pas. De mon côté, je sens qu’elle attend un regard approbateur de ma part.
Nous acceptons, je suis curieux de savoir où elle va s’arrêter au niveau des caresses.
S rappelle également sa règle :
- Tu sais que tu dois rester nue en toutes circonstances.
Nous sortons du jacuzzi, je bande, S me tend une serviette pour la mettre autour de ma taille. Mon épouse reste nue et ne semble pas gênée. Nous allons au salon et S dit à N que nous acceptons de parler libertinage avec lui.
Il lui tend également une serviette et lui propose de se mettre dans la même tenue que nous. Il va dans la salle de bain pour se changer. Pendant ce temps, nous nous installons, ma femme et S l’un à côté de l’autre sur le canapé et moi dans un fauteuil en face.
N revient et S lui propose de venir s’installer à côté de ma femme. Cette petite garce est installée nue entre deux hommes parés d’une petite serviette comme cache-sexe.
J’ai bien du mal à masquer mon plaisir.
Nous entamons notre discussion sur le libertinage. S va nous chercher l’apéro puis il se rassoit.
Ma femme lui caresse la cuisse, remontant jusqu’au niveau de son sexe. Je vois bien qu’il a du mal, lui aussi, à dissimuler son érection.
N est dans son questionnement et moi, j’avoue qu’en lui répondant, je zappe un peu leurs agissements. Je commence à y prêter attention lorsque je vois la bite de S être branlée avec douceur. Sa main effectuant des va-et-vient de bas en haut, délicatement sur cette verge bien tendue. Des petits filets de sperme en sortent à chaque montée. Il doit être au bord de l’explosion. S l’embrasse et N les regarde faire. S glisse un mot à l’oreille de ma femme, elle arrête de le branler, gardant sa main sur sa bite. S dit à N :
— -Tu sais, tu peux la coller et, si tu veux, un peu la caresser, il n’y a pas de problème.
N se colle et commence à caresser l’entrejambe. Un des pans de sa serviette s’ouvre, laissant apparaître sa queue bien tendue.
La sonnette retentit de nouveau, S dit :
- Ça doit être le livreur de pizzas, on va pouvoir enfin manger.
Il se lève et passe devant moi et me glisse :
- Je vais le faire rentrer, il faut bien qu’il profite du spectacle et je te rappelle que tu dois garder tes mains loin de ta bite.
J’avoue que l’idée ne me plaît pas du tout, mais je n’ai pas le temps d’émettre une objection, S est déjà parti enfiler un peignoir afin de masquer son érection.

Il va ouvrir au livreur et lui dit de rentrer, mais fait attention quand même à ce que ce dernier ne voit ma femme que de dos.
Obsédé par ce que m’avait dit S, je n’ai pas remarqué que ma petite cochonne est en train de caresser la cuisse de N au plus près de sa bite et que ce dernier a une main sur sa poitrine.
S revient et leur dit :
- Eh bien, vous deux, vous n’avez pas perdu de temps.
Il se rassoit et commence à lui caresser également la poitrine. Il prend ses seins à pleine bouche et déplace la main de N vers sa chatte. La gourgandine se met au fond du canapé, tient la tête de S avec sa main droite et dirige sa main gauche sous la serviette de N. Elle écarte les cuisses pour que N puisse la caresser.
Elle prend en main le sexe de N et commence à le branler. N lui caresse sa chatte, elle lâche son sexe et prend sa main pour diriger un de ses doigts dans sa chatte. Elle l’accompagne dans un doigtage puis vient remettre sa main sur son et continue à le branler.
N la doigte délicatement, elle s’enfonce dans le canapé pour offrir un peu plus sa chatte. S quitte son sein et dirige également sa main vers sa chatte. Il y met également un doigt. Ils la doigtent tous les deux. Les mouvements s’accélèrent, S commence à l’embrasser fougueusement, elle écarte de plus en plus les cuisses et explose de plaisir. Cette petite salope vient de jouir en quelques secondes. S et N continuent de la doigter de plus en plus fort jusqu’à la faire fister très abondamment. Le canapé est trempé.
Ils arrêtent de la doigter. S continue de l’embrasser, ma femme reprend la masturbation de N qui semble vraiment apprécier.
S arrête de l’embrasser et dit à N :
- Tu vois, c’est ça un couple candauliste, tu peux t’amuser et faire jouir la femme comme une petite salope devant son mari sans qu’il ait son mot à dire.
Après cette leçon bien ordonnée, il commence à congédier poliment N. Moi, je bande comme un malade, j’ai écouté les consignes de S et je n’ai pas touché à ma bite. J'avoue que cela a été très difficile. En plus, voir cette petite chienne jouir avec deux hommes autour d’elle sans que je ne sois convié.
Je sors alors de ma réserve et dis à ma femme :
- Tu ne vas pas le laisser partir comme ça, remercie-le de t’avoir donné autant de plaisir.
Elle sait très bien ce que je veux dire, car elle suce extrêmement bien et j’adore la voir faire. Elle prend donc la bite de N en pleine bouche et lui offre une pipe magistrale. Elle le fait éjaculer en quelques minutes en le finissant à la main jusqu’à la dernière goutte. Sa main est recouverte de son sperme et il y en a plein sur le canapé.
Elle se lève et vient vers moi, puis elle essuie sa main sur mon buste et elle me dit :
- Petit cadeau, je sais que tu aimes bien sentir le sperme qui m’a été offert.
C’est vrai que j’aime bien sentir le sperme des hommes qui ont baisé ma femme.
N semble soulagé, nous remercie puis nous quitte. Nous nous retrouvons tous les trois. La soirée est loin d’être finie. Ma femme a déjà vidé les couilles d’un mec.

Suite de la soirée au prochain chapitre.