Un samedi après-midi - Chapitre 3/3 (fin) - histoire érotique

Je rappelle que nos histoires sont authentiques et non des fantasmes, nous racontons notre vécu dans le monde libertin.

Suite et fin de la soirée chez S.

Après le départ de N, nous nous restaurons au peu, histoire de reprendre des forces, moi j’ai gardé le sperme de N sur mon torse qui a commencé à sécher.
Puis S commence à embrasser ma femme et commence à la doigter. Elle, pendant ce temps, elle commence à le branler. Moi, je bande toujours et ça se voit, S se lève et va chercher une boite de préservatifs qu’il pose sur la table basse. Une boite de douze, et il me dit ironiquement :
- J’espère que ce sera suffisant.
Je constate qu’il aime bien chambrer.
- Je viens de la doigter et elle mouille à merveille. Tu vas la prendre tout de suite devant moi et c’est moi qui vais avoir le rôle du candauliste. Pas besoin de préliminaire, tu la tamponnes directement. Mets un préservatif également.
Pas besoin de me le dire deux fois, j’enfile le préservatif. Ma femme demande à S :
- Comment veux-tu que je sois prise ?
S répond :
-En levrette sur la table, devant moi en me regardant dans les yeux, et essaie de ne pas me montrer que tu prends du plaisir, tu me vexerai.
Elle me présente alors sa croupe et pose ses mains sur la table basse du salon en regardant S. Installé en face d’elle dans le canapé, il retire sa serviette libérant son sexe bien tendu et se caresse doucement.

Je caresse un peu sa chatte, elle est trempée et ruisselle de plaisir, je remonte vers son anus qui est lui aussi trempé.
Je l’empale directement, elle retient ses cris à chaque coup de butoir, mais quelques-uns lui échappent. S se lève et lui met sa bite dans sa bouche et lui dit :
- Suce comme ça, tu crieras moins.
Elle a du mal à le sucer car les coups sont violents, après quelques minutes, j’éjacule dans sa chatte. Je me retire, le préservatif est bien rempli de mon sperme. S me dit :
- Attends une minute avant de le retirer.
Il retire sa bite de la bouche de ma coquine et part dans la salle de bain. Il revient et pose sur la table basse une cage de chasteté model métal en forme fusée. C’est un modèle qui s’adapte à plusieurs tailles de bites. Les couilles et le sexe qui est relevé sont enfermés à l’intérieur.
S me dit :
- C’est une autre surprise et j’espère que tu vas l’apprécier, et vu que tu viens d’éjaculer, elle va être plus facile à mettre.
Je lui dis :
- C’est une première pour moi, je n’en ai jamais mise.
Ma femme regarde l’objet posé sur la table, elle n’en avait jamais vu ni trop entendu parler et elle me dit :
- Faisons l’essai, et si cela ne va pas, nous arrêterons.
S propose à ma femme de la poser, tout en la guidant. Elle est d’accord. C’est une cage qui est fermée par 4 vis avec des têtes particulières.
S me dit :
-Retire ton préservatif et enduis ta bite de ton sperme, ce sera plus facile.
Je m’exécute, je recouvre ma bite de mon sperme, pendant ce temps ma femme défait les 4 vis et vient prendre mes couilles et ma bite pour les enfermer. Elle positionne l’engin à merveille en suivant les instructions de S. Puis elle met les 4 vis, je commence à rebander, il est temps de la fermer. Elle prend la clé et scelle la cage. Ma bite est enfermée et ne peut plus se développer complètement. C’est une cage confortable, ma bite et mes couilles sont enfermées sans pour autant les compresser. S dit à mon épouse :
- Va cacher la clé, tu seras la seule à savoir où elle se trouve.
Pendant qu’elle trouve une cachette, S me dit :
- Comme ça tu ne seras pas tenté de te toucher pendant que je m’occupe de madame.

Cette expérience donnera des idées à ma femme pour plus tard.

Je suis assis dans le fauteuil, mon sexe encagé, pour regarder ma femme qui va se faire prendre par un autre mec.
Ma femme revient. S prend son visage dans ses mains et commence à l’embrasser. Elle dirige ses mains vers sa bite et commence à le branler. S fini de l’embrasser et la dirige sur sa bite. Cette garce se met à genoux, le regarde, me regarde et commence à le sucer.
Elle suce sa bite, ses couilles, fait des gorges profondes et me regarde de temps en temps.
Elle sait que j’adore la voir sucer un autre mec, c’est vraiment un truc jouissif pour moi, alors forcément ma bite ne demande qu’à bander. Elle commence un peu, puis est vite retenue par sa prison. Je ressens une certaine douleur au début, une douleur physique qui se transforme en douleur jouissive tellement l’excitation est présente.
S prend un préservatif et me le tend :
- Peux tu me l’ouvrir, je suis occupé.
Une petite humiliation supplémentaire, c’est moi qui prépare cette capote qui va recouvrir la bite de cet homme qui va déboîter ma belle devant moi.
Je l’ouvre, lui redonne et il la tend à ma moitié pour qu’elle l’installe sur sa bite. Cette cochonne la déroule doucement le long de cette verge bien tendue tout en me lançant des regards. Elle se relève et dit à S
- C’est bon, elle est bien en place.
S se pose dans le canapé et lui dit :
- Viens sur ma bite.
Elle lui dit :
- Déjà la pénétration, pas de petit préliminaire.
S lui répond :
- La soirée n’est pas finie, ma belle.
Elle vient se positionner sur lui et l’embrasse tout en s’empalant sur cette queue, les va-et-vient commencent, de plus en plus rapides et violents. S s’arrête et l’allonge sur le canapé et lui fait un cuni. Elle jouit en peu de temps qu’il ne faut pour le dire. Ensuite il la doigte jusqu’à la faire gicler une première fois, puis une seconde fois. Cette petite garce aime ça et mes tympans en prennent un coup. Puis de nouveau position cuni, madame met un peu plus de temps mais re-craque de nouveau.
Il remonte sur elle et son sexe rentre direct dans sa chatte, coups de butoirs non stop, elle se tient à ses fesses. Changement de position, levrette, il se retire, enlève le préservatif et finit sur ses seins en se branlant. Durant son éjaculation, elle lui masse doucement les testicules afin d’en tirer le maximum.
Moi, pendant ce temps, je les regarde faire, sans pouvoir participer. La cage n’empêche pas mon sexe de suinter. J’ai l’impression que la douleur provoquée par la cage multiplie ce dernier. Mon sexe et la cage sont trempés par cette semence que je ne peux contrôler.

Nous faisons une petite pause clope sur la terrasse, nous sommes tous les 3 à poil et moi toujours avec ma cage. Mon érection est toujours présente due à cette dernière. S regarde ma bite et me dit :
- Je pense que dans quelque temps, tu vas vivre une expérience exceptionnelle.
S en profite pour aller se rafraîchir la bite. La pose clope finie, je suis toujours en semi-érection. Nous repartons vers le canapé, S s’arrête vers la table de la salle à manger puis il l’allonge sur la table et repart pour un cuni, doigts, la totale. Jouissance de nouveau, elle descend de la table et va directement le sucer, sa bite en érection, rentre de plus en plus profond dans sa bouche.
Elle se retourne et pose son buste sur la table, elle écarte les jambes en offrant sa chatte, mais S n’a pas de préservatif, il me demande d’aller lui en chercher un. J’y vais, je vais de nouveau le ravitailler en capote pour qu’il prenne son pied avec mon épouse.
Je vais jusqu’à lui ouvrir, il le déroule sur sa queue, 2 ou 3 mouvements de va-et-vient pour bien vérifier qu’il est en place, puis il l’empale. Pour ma part, je suis excité comme un fou, ma bite est emprisonnée, mais devant cette scène, j’arrive à l’extase suprême, à une éjaculation cérébrale. Pour ceux qui l’ont vécu, cela reste un moment inoubliable. C’est la deuxième de ma vie. Cette éjaculation est exceptionnelle, forte, puissante, mais impossible de la finir manuellement. Cette queue s’écrasant contre la cage et ne pouvant se tendre provoque une excitation supplémentaire. J’avoue avoir vécu une éjaculation inexplicable. Je souhaite à tout homme de connaître ce genre de jouissance.
Ma femme, en me voyant prendre un pied pareil, jouit également lorsque S la prend en position du missionnaire sur la table. Peu de temps après, c’est à lui d’éjaculer dans sa chatte.

Au vu des dégâts causés par mon éjaculation sur le sol et sur la cage, S décide de me libérer. Ma bourgeoise va chercher la clé et elle me la retire. Ma bite est à fleur de peau. À l’ouverture de la cage, elle se détend et impossible de la toucher.
Le sol, une fois nettoyé, je vois S revenir au garde à vous et une nouvelle capote en place. Il semble insatiable comme son amante d’un soir et il lui dit :
- Un dernier petit round.
Elle :
- Bien sûr.
S la plaque alors que le mur de la salle à manger et la prend sauvagement. Elle est un peu surprise, mais se laisse faire. Puis, toujours plaquée contre le mur, il lui introduit des doigts pour la faire fister. Elle jouit de nouveau et inonde le sol.
Avec bien du mal, je rebande. Elle demande alors si on veut bien faire une double péné vaginale.
Je l’attendais en fait, car un trio sans double, ce n’est pas vraiment un trio pour elle. S n’en a jamais fait mais est d’accord. Je lui explique la position de chacun et nous la prenons en double sur le canapé. Moi en dessous et lui par derrière.
J’ai pris soin d’enfiler un préservatif pour ce dernier round. Cette garce encaisse sans souci les deux bites dans sa chatte. Moi, je jouis de nouveau suivi de peu par S.

Il est très tard, la soirée se termine, nous discutons encore une heure devant un verre et puis S nous ramène dans notre location.
Nous débriefons de cet après-midi et de cette soirée durant le retour à la maison dans la voiture. Il en ressortira que l’après-midi avait été un peu trop exhib, ma petite chienne m’avoue qu’elle s’était un peu forcée pensant me faire plaisir. Par contre, la soirée lui avait plu et la petite frustration de la cage l’avait bien excitée.