Un samedi dans un sex-shop avec Joëlle
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Un samedi dans un sex-shop avec Joëlle
On est tous les deux enchantés de ce début de journée qui s’annonce très bien. Elle se réjouit d’avoir retrouvé sa copine. Elle a succombé à son charme pour la deuxième fois, et elles se sont promis de se revoir très vite. Elle me raconte la cabine, et m’avoue qu’elle embrasse et lèche mieux que moi qui suis pourtant très efficace :
- Et est-ce qu’elle suce aussi bien ?
- Vous allez être déçu mais elle n’aime que les filles.
- Tu n’aimais que les mecs et t’es offertes à deux femmes. Elle peut aussi changer d’avis.
Elle me promet de lui en parler à l’occasion.
On est chez elle et on prend un puis deux apéritifs. Je sens qu’elle est sera plus coquine si elle a un peu bu. On mange, prépare nos affaires et on s’en va.
On est au sex-shop à 13h30, le patron nous ouvre et referme derrière nous. En principe il n’ouvre qu’à 14h. Je l’ai appelé dans la semaine car je tenais à être le premier pour que ma petite pute ne se fasse pas prendre la place de suceuse. Il est d’accord, nous fait même l’entrée gratuite, contre une bonne pipe.
On est dans a salle, grandement éclairée, et on revisite rapidement. C’est propre, y compris le recoin, noir en temps normal, et comprenant une chaise face au trou dans la cloison, des mouchoirs et une poubelle.
On se change. Je suis en tee-shirt et short avec la braguette ouverte. Joëlle a un mini short inviolable et un chemisier transparent sans soutien gorge. Le patron ouvre une porte, un petit local où il stocke des produits de nettoyage, balais et autres, et on y dépose nos affaires. Il me laisse la clé. Il lui reste un quart d’heure pour la turlutte promise, et il présente son bel engin à la petite qui règle ses dettes avec application. Il me félicite pour ses talents et me dit qu’il faudra se rappeler pour un plan baise. L’heure approche, il ne se retient pas et décharge avec bonheur, pour lui et pour elle. Elle avale son premier mec.
Il part ouvrir la boutique, et nous prévient de l’extinction des lumières. Les écrans s’allument, quelques très faibles spots au plafond, et on se retrouve dans la pénombre. La porte s’ouvre, et elle s’installe sur la chaise du box noir. Je suis au bout du couloir pour éviter que quelqu’un ne la rejoigne. J’ai la queue sortie, je bande.
Le premier mec entre. Il fait le tour, me passe deux fois devant, me touche au passage, puis sort sa queue. Il ne perd pas de temps :
- Tu suces ?
- Pas aujourd’hui, mais j’ai ma copine qui est là pour çà.
Il regarde par l’ouverture. On s’habitue à la pénombre, et il distingue ses traits fin, ses cheveux blonds, et sa bouche pulpeuse. Il se plaque contre le mur, son manche disparaît entre les lèvres gourmandes.
- Elle suce bien ta copine, elle pompe à fond ?
- A fonds, jusqu’à la dernière goutte, et elle avale tout.
Il ne parle plus et se concentre sur sa fellation.
Un deuxième type entre fait un tour, et s’approche du premier :
- Il suce bien ?
- Elle suce super bien, mais ce n’est pas un mec, c’est une gonzesse.
- Oui, tu veux dire une salope de tapette.
J’interviens et lui confirme que c’est une vraie femme, ma femme. Une putain de suceuse, qui ne pense qu’à bouffer du sperme. Je lui propose d’attendre son tour, il déballe sa pine et se branle doucement pour patienter.
C’est la bonne heure et la porte s’ouvre régulièrement. Ils sont maintenant trois à attendre, et autant sur les fauteuils du grand écran. Il y a plusieurs catégories de mecs dans ces salles. Ceux du couloir, comme moi, sont bi. Ils préfèrent les femmes, mais les salopes sont souvent pour les autres, et faute de grives mangent des merles. Mais là ils sont trop excités d’avoir une merlesse, pour céder leur place. Ceux des fauteuils sont des hétéros, et ignorent la présence d’une femelle dans ce coin réservé aux pédés.
Un nouveau entre et fait partie de la catégorie homo soumis. Il s’arrête devant moi, me caresse quelques secondes, puis part dans la salle télé. Il ressort rapidement, chemise ouverte, en string et bas résille avec jarretelles.
Le premier mec a joui, se retire aussitôt, pressé par les autres. Ils se croisent dans le couloir, il lui donne sa queue à nettoyer et s’en va. Le deuxième est aussitôt en place, et notre homo offre ses services à ceux qui attendent, quatre maintenant suite à de nouveaux venus, mais ils refusent tous. C’est à mon tour :
- Tu es nouveau je ne t’ai jamais vu. Si tu veux te faire sucer par la reine des pipeuses, tu l’as devant toi.
- Je veux bien mais je dois veiller sur ma copine, alors tu me pompes ici, devant les autres.
- Sans problème, j’aime qu’on me regarde gober de gros manches, ça m’excite.
Il s’agenouille et entame sa gâterie. Le salaud, il a raison de se vanter d’être reine des pipeuses. C’est peu être l’ambiance très chaude, mais il me taille le pipeau mieux que les filles que j’ai connues. Joëlle m’a dit que Marie lèche mieux que moi, et je la crois. Il n’y a pas mieux qu’une personne du même sexe pour l’amour buccal, peut-être parce qu’on fantasme sur son propre sexe.
Les arrivées continuent, un sur les fauteuils, puis deux qui vont dans la salle avec le lit. Un gars que je pensais hétéro se lève et les rejoins pour une partie à trois. Ma blonde pute gratuite satisfait ses clients dans un délai maxi d’un quart d’heure, certains trop excités en deux minutes. Elle en est maintenant au quatrième, et ils repartent tous enchantés en me demandant quand je reviens, avec elle bien sûr.
Mon suceur a compris qu’il n’aurait pas beaucoup d’amateurs pour sa bouche, et n’est pas pressé de me faire jouir. Il est très doué, et sais me faire durer.
Encore un, dans la catégorie homo dominateur très actif. Il s’adresse à moi :
- Elle suce bien ma pute, non ?
- Excuse-moi, je ne savais pas.
- Ne t’excuses pas, des putes pareilles ça se partage.
Puis il s’adresse à l’autre.
- Relève toi salope, et continue à bouffer.
Il baisse son froc et exhibe une matraque à faire pâlir un black. Il écarte la ficelle du string et retire un plug :
- C’est bien ma pute, tu as obéis à ton homme.
Il s’enfonce et le défonce d’un rythme lent et régulier :
- Oh que c’est bon de t’enculer, de savoir que ta rondelle est toujours prête. Tu es la seule pute que je peux mettre aussi facilement. Tu n’es qu’un trou à bites………………..
Il ne cesse de le matraquer, de l’insulter, et sa chienne soumise râle de plaisir tout en continuant sa délicieuse turlutte.
Les bites se succèdent dans la bouche de Joëlle. Il ne reste plus qu’un mec à attendre, le septième. C’est son tour et à l’entendre elle est aussi active et gourmande que pour sa première queue. Je dois jouir avant qu’elle n’ait plus rien à se mettre sous la dent, prend la tête de mon enculé suceur à deux mains, et je lui baise la bouche, profondément.
Son dominant m’encourage pour le bourrer brutalement par les deux trous :
- Vas y, n’aies pas peur. Plus tu lui mets, plus il en veut. Jamais vu une pute pareille.
Il l’agrippe par les cheveux pour le tirer en arrière, et je retire ma queue :
- Il hésite à te défoncer la gueule, dis lui que tu en as envie.
- Oui prends moi profonds, entre dans ma gorge, je suis une salope qui aime me faire remplir les trous, baise moi, jouis dans ma bouche, je suis un vide-couilles, une pompe à sperme, un sac à foutre.
Il est complètement disjoncté mais sincère, et je le reprends pour enfin me soulager. Il avale et me nettoie, je me retire, et il me remercie pour mon offrande généreuse.
Ma compagne a terminé sa turlutte, il n’y a plus de marchandise à engloutir, et elle sort de sa cache.
- C’était bien, je n’aurais jamais imaginé faire jouir autant de bites.
- Mais tu n’as pas fini putain, regarde la grande salle, il y a plein de mecs qui vont être ravis de ta présence.
A suivre……………………
- Et est-ce qu’elle suce aussi bien ?
- Vous allez être déçu mais elle n’aime que les filles.
- Tu n’aimais que les mecs et t’es offertes à deux femmes. Elle peut aussi changer d’avis.
Elle me promet de lui en parler à l’occasion.
On est chez elle et on prend un puis deux apéritifs. Je sens qu’elle est sera plus coquine si elle a un peu bu. On mange, prépare nos affaires et on s’en va.
On est au sex-shop à 13h30, le patron nous ouvre et referme derrière nous. En principe il n’ouvre qu’à 14h. Je l’ai appelé dans la semaine car je tenais à être le premier pour que ma petite pute ne se fasse pas prendre la place de suceuse. Il est d’accord, nous fait même l’entrée gratuite, contre une bonne pipe.
On est dans a salle, grandement éclairée, et on revisite rapidement. C’est propre, y compris le recoin, noir en temps normal, et comprenant une chaise face au trou dans la cloison, des mouchoirs et une poubelle.
On se change. Je suis en tee-shirt et short avec la braguette ouverte. Joëlle a un mini short inviolable et un chemisier transparent sans soutien gorge. Le patron ouvre une porte, un petit local où il stocke des produits de nettoyage, balais et autres, et on y dépose nos affaires. Il me laisse la clé. Il lui reste un quart d’heure pour la turlutte promise, et il présente son bel engin à la petite qui règle ses dettes avec application. Il me félicite pour ses talents et me dit qu’il faudra se rappeler pour un plan baise. L’heure approche, il ne se retient pas et décharge avec bonheur, pour lui et pour elle. Elle avale son premier mec.
Il part ouvrir la boutique, et nous prévient de l’extinction des lumières. Les écrans s’allument, quelques très faibles spots au plafond, et on se retrouve dans la pénombre. La porte s’ouvre, et elle s’installe sur la chaise du box noir. Je suis au bout du couloir pour éviter que quelqu’un ne la rejoigne. J’ai la queue sortie, je bande.
Le premier mec entre. Il fait le tour, me passe deux fois devant, me touche au passage, puis sort sa queue. Il ne perd pas de temps :
- Tu suces ?
- Pas aujourd’hui, mais j’ai ma copine qui est là pour çà.
Il regarde par l’ouverture. On s’habitue à la pénombre, et il distingue ses traits fin, ses cheveux blonds, et sa bouche pulpeuse. Il se plaque contre le mur, son manche disparaît entre les lèvres gourmandes.
- Elle suce bien ta copine, elle pompe à fond ?
- A fonds, jusqu’à la dernière goutte, et elle avale tout.
Il ne parle plus et se concentre sur sa fellation.
Un deuxième type entre fait un tour, et s’approche du premier :
- Il suce bien ?
- Elle suce super bien, mais ce n’est pas un mec, c’est une gonzesse.
- Oui, tu veux dire une salope de tapette.
J’interviens et lui confirme que c’est une vraie femme, ma femme. Une putain de suceuse, qui ne pense qu’à bouffer du sperme. Je lui propose d’attendre son tour, il déballe sa pine et se branle doucement pour patienter.
C’est la bonne heure et la porte s’ouvre régulièrement. Ils sont maintenant trois à attendre, et autant sur les fauteuils du grand écran. Il y a plusieurs catégories de mecs dans ces salles. Ceux du couloir, comme moi, sont bi. Ils préfèrent les femmes, mais les salopes sont souvent pour les autres, et faute de grives mangent des merles. Mais là ils sont trop excités d’avoir une merlesse, pour céder leur place. Ceux des fauteuils sont des hétéros, et ignorent la présence d’une femelle dans ce coin réservé aux pédés.
Un nouveau entre et fait partie de la catégorie homo soumis. Il s’arrête devant moi, me caresse quelques secondes, puis part dans la salle télé. Il ressort rapidement, chemise ouverte, en string et bas résille avec jarretelles.
Le premier mec a joui, se retire aussitôt, pressé par les autres. Ils se croisent dans le couloir, il lui donne sa queue à nettoyer et s’en va. Le deuxième est aussitôt en place, et notre homo offre ses services à ceux qui attendent, quatre maintenant suite à de nouveaux venus, mais ils refusent tous. C’est à mon tour :
- Tu es nouveau je ne t’ai jamais vu. Si tu veux te faire sucer par la reine des pipeuses, tu l’as devant toi.
- Je veux bien mais je dois veiller sur ma copine, alors tu me pompes ici, devant les autres.
- Sans problème, j’aime qu’on me regarde gober de gros manches, ça m’excite.
Il s’agenouille et entame sa gâterie. Le salaud, il a raison de se vanter d’être reine des pipeuses. C’est peu être l’ambiance très chaude, mais il me taille le pipeau mieux que les filles que j’ai connues. Joëlle m’a dit que Marie lèche mieux que moi, et je la crois. Il n’y a pas mieux qu’une personne du même sexe pour l’amour buccal, peut-être parce qu’on fantasme sur son propre sexe.
Les arrivées continuent, un sur les fauteuils, puis deux qui vont dans la salle avec le lit. Un gars que je pensais hétéro se lève et les rejoins pour une partie à trois. Ma blonde pute gratuite satisfait ses clients dans un délai maxi d’un quart d’heure, certains trop excités en deux minutes. Elle en est maintenant au quatrième, et ils repartent tous enchantés en me demandant quand je reviens, avec elle bien sûr.
Mon suceur a compris qu’il n’aurait pas beaucoup d’amateurs pour sa bouche, et n’est pas pressé de me faire jouir. Il est très doué, et sais me faire durer.
Encore un, dans la catégorie homo dominateur très actif. Il s’adresse à moi :
- Elle suce bien ma pute, non ?
- Excuse-moi, je ne savais pas.
- Ne t’excuses pas, des putes pareilles ça se partage.
Puis il s’adresse à l’autre.
- Relève toi salope, et continue à bouffer.
Il baisse son froc et exhibe une matraque à faire pâlir un black. Il écarte la ficelle du string et retire un plug :
- C’est bien ma pute, tu as obéis à ton homme.
Il s’enfonce et le défonce d’un rythme lent et régulier :
- Oh que c’est bon de t’enculer, de savoir que ta rondelle est toujours prête. Tu es la seule pute que je peux mettre aussi facilement. Tu n’es qu’un trou à bites………………..
Il ne cesse de le matraquer, de l’insulter, et sa chienne soumise râle de plaisir tout en continuant sa délicieuse turlutte.
Les bites se succèdent dans la bouche de Joëlle. Il ne reste plus qu’un mec à attendre, le septième. C’est son tour et à l’entendre elle est aussi active et gourmande que pour sa première queue. Je dois jouir avant qu’elle n’ait plus rien à se mettre sous la dent, prend la tête de mon enculé suceur à deux mains, et je lui baise la bouche, profondément.
Son dominant m’encourage pour le bourrer brutalement par les deux trous :
- Vas y, n’aies pas peur. Plus tu lui mets, plus il en veut. Jamais vu une pute pareille.
Il l’agrippe par les cheveux pour le tirer en arrière, et je retire ma queue :
- Il hésite à te défoncer la gueule, dis lui que tu en as envie.
- Oui prends moi profonds, entre dans ma gorge, je suis une salope qui aime me faire remplir les trous, baise moi, jouis dans ma bouche, je suis un vide-couilles, une pompe à sperme, un sac à foutre.
Il est complètement disjoncté mais sincère, et je le reprends pour enfin me soulager. Il avale et me nettoie, je me retire, et il me remercie pour mon offrande généreuse.
Ma compagne a terminé sa turlutte, il n’y a plus de marchandise à engloutir, et elle sort de sa cache.
- C’était bien, je n’aurais jamais imaginé faire jouir autant de bites.
- Mais tu n’as pas fini putain, regarde la grande salle, il y a plein de mecs qui vont être ravis de ta présence.
A suivre……………………
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