Un séjour dans les Caraïbes partie 1
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 44 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Cplcandaudu60 ont reçu un total de 372 325 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 217 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un séjour dans les Caraïbes partie 1
Il y a environ une quinzaine d’année, nous sommes partis Nathalie et moi une douzaine de jour dans une ile française des Caraïbes.
Nous séjournions dans un hôtel qui ne servait que le petit déjeuner, nous devions donc sortir pour nous restaurer aussi bien le midi que le soir.
L’hôtel était composé de plusieurs bâtiments sur deux étages avec quatre logements par étage, tous vu sur la mer et la piscine.
Pour accéder à ces logements il fallait traverser le bâtiment où se trouvait la réception et emprunter des allées arborées et bien entretenues qui allaient jusqu’à la piscine.
Chaque logements étaient équipé d’une salle de bain, un WC, une chambre et un balcon avec une mini cuisine extérieure sur ce dernier.
Nous pouvions ainsi, si on le désirait, manger sur le balcon.
Nous y étions au mois d’Aout, ce qui n’est pas la meilleur saison pour les Caraïbes mais cela reste quand même fort agréable.
Quand nous sommes arrivés en fin d’après-midi à l’aéroport, il pleuvait à seau.
La chaleur mêlée à l’humidité faisait que l’on suffoquait presque en sortant du terminal après plusieurs heures de clim.
Quelques minutes pour s’y habituer et nous sommes allé récupérer la voiture de location.
Une demi-heure de route et nous voilà à l’hôtel.
La pluie s’est arrêtée très vite mais l’air restait moite.
Le soleil se couchant assez tôt en cette saison, il faisait nuit lorsque nous avons investi notre logement.
La fatigue du décalage horaire et du voyage a fait que nous nous sommes endormis de bonne heure cette première journée.
Quatre heure le lendemain matin nous étions bien réveillé.
On enfile nos maillot de bain et hop à la piscine, à cette heure nous étions seul.
Il faisait jour, la piscine surplombée la mer des Caraïbes qui se trouvait à environ une vingtaine de mètres un peu en contre-bas.
Le paysage, la vue sur mer, la chaleur et le dépaysement, tout y était pour des vacances de rêves.
A cette période il n’y avait pas beaucoup de touriste de la métropole, juste quelques couples.
Il y avait principalement des gens du nord de l’ile venus passer quelques jour au sud, mais peu de monde quand même.
Nous avions décidé d’aller à la plage le matin, afin qu’il y ait moins de monde et le midi de déjeuner sur la route ou prendre des sandwichs pour pouvoir visiter l’ile un peu tous les jours l’après-midi.
Nous avions cherché sur internet avant notre départ s’il y avait des plages naturiste.
Le fait est qu’il y en avait au moins une, nous sommes donc allés voir à quoi elle ressemblait.
Il fallait prendre la voiture car c’était au moins à vingt bonne minutes de route.
Il y avait un grand parking qui permettait l’accès à une immense et magnifique plage bordées de cocotiers comme dans les cartes postales.
Il fallait prendre à droite, au bout de cette plage, un petit sentier longeant le littoral à travers la végétation pendant plusieurs minutes pour accéder à la plage naturiste.
Ce petit sentier continuait en surplombant cette plage de cinquante centimètres et courait tout du long.
Elle était immense aussi, on distinguait à peine les quelques personnes déjà installés tout au fond.
Nu ? En maillot ? Il était difficile de voir la tenue des gens sur cette plage tellement nous étions éloignés.
Étant quasiment sûr que c’était la bonne, nous nous sommes installés.
L’air était chaud, l’eau à 27°, une brise caressait nos corps nus, encore une fois nous étions comme en plein rêve.
Tous les matins nous venions ici au même endroit pendant deux bonnes heures avant de repartir visiter l’ile.
Un jour quand nous sommes arrivés, un homme nu et seul était déjà installé pas très loin d’où nous nous mettions d’habitude.
C’était un Antillais (je suppose, vu sa couleur de peau) d’une bonne cinquantaine d’année, grisonnant, d’un beau gabarit et assez svelte.
Nous nous sommes donc placés à notre endroit habituel et donc pas très loin de lui.
Nous avons remarqué seulement une fois allongés sur le ventre sur nos serviettes que l’homme se masturbait doucement en regardant ma femme.
Étant adepte des plages naturistes, ce genre de situation arrive fréquemment sur des plages ou il y a peu de monde.
« Tu as vu ? Il a un sacré morceau » me chuchota Nathalie.
« Heuuuu oui, belle bête en effet. » « J’ai envie d’aller me baigner un peu » me dit-elle.
« Dit plutôt que tu veux l’exciter un peu »Elle m’a sourie puis s’est levé pour aller dans l’eau en prenant soin de bien tortiller ses fesses nues.
Je suis resté allongé car je ne voulais pas aller me baigner tout de suite.
Je voyais l’homme qui la regardais constamment et qui de temps en temps accélérer le mouvement de sa main sur son sexe.
Quand ma femme est remontée, elle est passé à côté de moi sans s’arrêter et est allée s’installer à genou tout près de l’homme.
J’étais un peu surpris mais la connaissant bien, je n’étais pas trop étonné de son comportement.
Elle a saisi la bite du mec et a commencée à le branler.
Lui m’a regardé, cherchant sans doute mon approbation, et voyant que je ne disais rien, s’est laissé faire tout en posant une main sur un sein de ma femme pour le caresser.
La main de ma femme faisait à peine le tour de sa bite, de plus ses deux mains ne suffisaient pas à couvrir l’énorme pieu qu’il avait entre les jambes.
Elle l’a branlé pendant une bonne dizaine de minutes avant qu’il n’éjacule une grosse quantité de foutre qui est venue s’écraser sur le sable et un peu sur le corps et les cuisses de Nathalie.
Elle s’est relevée, est retournée se rincer dans l’eau et est revenu s’allonger près de moi.
L’homme s’est rhabillé puis est parti en nous faisant un petit signe de la tête en guise de merci.
Le lendemain en empruntant le sentier pour accéder à notre plage, nous avons rencontré un homme en short et torse nu accoté à un arbre.
C’était un grand black d’une trentaine d’année, une armoire à glace avec un air patibulaire.
Il nous fit un petit signe de la tête en nous disant bonjour et en entamant la conversation.
Pas si patibulaire que ça en fait.
Nous avons répondu à son bonjour puis dit quelques banalités et avons continué notre chemin.
Ce jour-là nous avions décidé de faire quelques photos de Nathalie prenant des poses sexy et érotique nu sur la plage et dans l’eau.
Le fait que l’endroit était quasiment désert le matin nous le permettait sans offusquer qui qui ce soit.
Je prenais à cœur mon job de photographe amateur mitraillant son modèle sous toutes les coutures.
Mon sexe était tendu à force de la voir dans des poses érotique, voir pornographique.
D’un coup, je me suis aperçu que l’homme que nous avions rencontré plus tôt était là sur le sentier à nous regarder avec un large sourire, il a aussitôt repris son chemin en marchant vers l’autre bout de la plage.
Un peu gêné d’avoir été surpris nous avons décidé d’arrêter momentanément la séance photo pour aller dans l’eau et calmer mon érection.
Après une bonne baignade et un séchage sur la serviette façon étoile de mer, nous avons repris notre petite séance photo.
J’avais aperçu au loin notre ami revenir vers nous mais cette fois il n’était pas seul, un autre homme d’un gabarit bien inférieur était avec lui.
Je décidais alors de ne rien dire à Nathalie et de la positionner de façon qu’elle ne puisse pas les voir arriver.
Elle pouvait continuer ainsi à prendre ses positions désinvoltes et aguichantes.
Nos deux gaillards étaient maintenant arrivés à notre hauteur, ils se sont arrêtés pour regarder.
Celui rencontré sur le sentier m’a fait un clin d’œil et a levé son pouce en signe d’approbation.
Le deuxième, du même âge que son collègue mais beaucoup plus petit et beaucoup moins large, bien qu’assez musclé, avait les yeux qui lui sortaient presque des orbites.
Je continuais à prendre des photos tout en la faisant se tourner vers nos deux admirateurs.
Surprise au début, elle a continué ses poses provocantes en leur lançant des regards aguichants.
« Ça vous dit de faire des photos avec moi ? Mais attention, on ne touche pas sans ma permission et c’est moi qui décide des poses » leur dit-elle.
Ils ont vite rejoint Nathalie sur la plage en attendant qu’elle les dirige.
Torse nu tous les deux, il me semblait voir que leurs shorts avaient pris un peu de volume.
Ma femme s’était installée entre les deux en enchainant les poses que j’immortalisais aussitôt.
Au milieu les mains sur les hanches de chaque mec, à genou face à eux une main sur leurs abdos et l’autre sur leurs fesses, collée contre une hanche la jambe relevée appuyant sur le sexe qui gonflait de plus en plus.
Au fur et à mesure elle prenait leurs mains pour les poser sur elle, ses seins, ses fesses, son ventre, son sexe.
La situation dégénérait et leurs mains se baladaient maintenant toutes seules sur le corps de ma femme.
Elle s’est agenouillée, à baisser leur short pour prendre leur sexe dans chacune de ses mains et commencé à les masturber, puis à avancer sa bouche pour les engloutir chacun leur tour.
Elle les a sucés pendant un long moment tout en les masturbant, elle promenait sa bouche tout le long de leur sexe, passant du gland aux couilles en prenant soin de bien lécher la hampe au passage, pour ensuite les reprendre en bouche.
A force de ce traitement, les deux hommes lui ont dit qu’ils allaient venir, elle a accéléré les mouvements jusqu’à les faire jouir sur elle.
Plusieurs giclées de sperme mélangé lui ont maculées le visage et les seins.
Ils ont remonté leur short en la remerciant pour cette offrande qu’elle leur avait faite puis sont repartis.
Nathalie est allée se nettoyer dans l’eau et est revenue m’embrasser à pleine bouche, sa langue avait un gout de sexe.
Une fois les deux hommes suffisamment loin, nous nous sommes allongés sur les serviettes pour faire l’amour, très excités par ce petit interlude à notre séance photo.
Un soir nous sommes allés dans un restaurant situé dans une ville à quelques kilomètres de notre hôtel.
Nous avions donc pris la voiture et Nathalie avait conduit au retour car j’avais consommé un peu plus d’alcool qu’elle.
Arrivée à quelques centaines de mètres de notre hôtel, nous sommes passés devant un bar qui avait l’air assez sympa.
Nous avons décidé de déposer la voiture au parking et revenir à pied boire un verre dans ce bar.
Nathalie comme à son habitude était habillée assez sexy, d’autant plus que nous étions en vacances au soleil donc elle se lâchait un peu plus question tenue vestimentaire.
Un mini-short en Jeans clair, façon tanga, c’est-à-dire qui lui couvrait la moitié des fesses et laissait donc les globes inférieur à l’air libre, un bustier avec une fermeture sur le devant et ouvert à mi-hauteur ce qui donnait l’impression qu’il était trop petit d’une taille et que les seins allaient jaillir d’une minute à l’autre, le tout recouvert d’un fin gilet transparent descendant jusqu’à mi-cuisse et aux pieds une paire de basket toute blanche.
En entrant dans le bar, il y avait sept ou huit personnes dispersées dans la salle qui n’était pas très grande.
Le patron est venu nous accueillir pour nous installer à une table.
C’était un homme originaire de la métropole de cinquante cinq ou soixante ans maximum, un mètre soixante-dix, trapu, costaud, bien conservé, une gueule de baroudeur et d’homme à femme.
A une table à côté il y avait deux blacks de trente-cinq, quarante ans qui buvaient un verre aussi et qui n’ont pas manqués de détailler Nathalie sous toutes les coutures surtout quand elle a ôté son gilet avant de s’assoir.
Nous avons commandé deux cocktails à base de rhum que le patron est venu nous apporter non sans plonger son regard dans le décolleté de ma femme en lui faisant un sourire mi-charmeur, mi-carnassier auquel elle a répondu avec un sourire beaucoup plus sensuel.
D’un coup je me sentais presque de trop.
Une fois le patron retourné derrière son bar je lui dit :« Bein dit donc tu attaque fort ce soir, ton sourire était quasiment provocateur »« Ne sois pas jaloux, tu sais bien que j’aime allumer les hommes. Et celui-là pour son âge il est pas mal, même s’il n’est pas grand »« Je ne suis pas jaloux mais en général tu es un peu plus discrète »« Tu veux que je sois plus soft ? »« Non, continu, je veux voir jusqu’où tu peux aller avec un vieux beau »« Fait gaffe tu pourrais être surpris »Sur ce nous avons ris et trinqué à notre soirée.
Le patron venait régulièrement voir si tout allait bien, nous lui avons commandé un deuxième cocktail et l’ambiance était détendue.
Le bar se vidait progressivement et à un moment il ne restait que le patron, les deux blacks d’à côté et nous.
Le patron était venu s’assoir avec nous pour parler un peu de l’hexagone dont il avait quand même un peu la nostalgie.
Il ramenait petit à petit différentes bouteilles de rhum qu’il me faisait gouter les unes après les autres et m’expliquant les différences entre elles.
Je crois qu’il voulait me mettre une cuite et moi comme un c.. je ne m’en suis pas rendu compte.
Il avait tellement de baratin qu’il me l’a mise en douceur.
Mon esprit commençait à être embrumé, j’avais du mal à suivre les conversations.
J’avais quand même vu qu’il avait fermé le bar, que les deux blacks s’étaient joints à nous, que le patron était très proche de ma femme et qu’ils riaient beaucoup ensemble.
D’un coup, plus de son, plus d’image jusqu’à mon réveil le lendemain matin sur le canapé de notre chambre d’hôtel.
Dans le bar, alors que je venais de sombrer dans les bras de Morphée sur ma chaise la tête sur la table, le patron avait entouré de son bras les épaules de ma femme tout en continuant à lui parler et à jouer avec la fermeture éclair de son bustier.
Il semblait clair qu’il avait envi de la sauter et qu’elle n’était pas contre.
Il lui a proposé de venir « visiter » l’autre côté de son bar.
Ils se sont levés et lui a fait un signe de la tête aux deux blacks pour qu’ils me surveillent quand même.
Nathalie est passée devant et une fois arrivée derrière le bar il lui a attraper les fesses des deux mains pour les caresser allègrement.
Elle s’est arrêtée pour se laisser faire en lui murmurant :« Pas ici, on peut nous voir »« T’inquiète, ils ne diront rien et en plus tu m’as l’air assez exhibe. Je me trompe ? »En guise de réponse elle s’est collée encore plus à lui.
Il a passé ses mains devant et a complétement ouvert son bustier pour lui prendre les seins à pleines mains.
Elle s’est laissé caresser en frottant ses fesses contre son sexe qui avait pris de l’ampleur sous son pantalon.
Elle s’est retournée pour leur permettre de s’embrasser, leurs langues se sont entremêlées pendant de longues minutes.
Il avait de nouveau plaqué ses mains sur les fesses de ma femme pour les caresser sans aucune retenue.
Tout en l’embrassant il l’a déshabillée complètement, lui laissant pour seul et unique vêtement sa paire de basket blanche.
Il l’a ensuite attrapé et soulevé par les hanches pour l’assoir sur l’évier.
Il s’est agenouillé devant elle, lui a placé les jambes sur ses épaules en les écartant bien et a enfouis sa tête dans son sexe pour commencer à la lécher.
Sa langue se faufilait partout sur le sexe de ma femme, ses lèvres, son clito puis s’est enfoncé à l’intérieur lui procurant des petits cris de plaisir.
Il lui a prodigué cette caresse buccale pendant plusieurs minutes avant qu’elle ne lui attrape la tête pour bien la plaquer sur son sexe et qu’elle explose dans sa bouche dans un grand râle de plaisir.
Il s’est ensuite relevé pour l’embrasser, sa bouche était trempée de la jouissance de ma femme.
Il a alors baissé son pantalon, libérant une bite de taille raisonnable et bien bandée, il a ouvert un tiroir pour y prendre un préservatif et se l’enfiler se le sexe, s’est approcher de ma femme pour la pénétrer jusqu’à la garde.
Elle a noué ses jambes dans son dos pour mieux le sentir, l’a entourée de ses bras et est venue coller sa bouche contre la sienne pour bien mélanger leurs langues pendant qu’il la baisait.
Il allait et venait en elle a grands coups de rein lui faisant pousser un petit cri de plaisir à chaque fois.
Quand un second orgasme l’a terrassée, elle l’a serrée encore plus fort en criant sa jouissance.
Ils étaient en sueur tous les deux, il est sorti d’elle, l’a retournée en lui posant les mains sur l’évier et en lui écartant bien les jambes afin de pouvoir de nouveau lui enfoncer sa bite et la pilonner encore plus fort.
Les deux blacks de l’autre côté du bar ne loupaient rien de la scène.
Ils regardaient ma femme se faire démonter par le patron du bar.
Ils voyaient bien ses seins balloter au rythme des coups de boutoir.
Elle les regardait sans les voir, trop occupée à prendre du plaisir.
Un troisième orgasme l’a envahie accompagné de feulements de plaisir et de mots crus.
« Oh putain ouiiiiiiiiiii… elle est bonne ta bite…. Vas-y défonce moi bien salaud ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. »A peine ma femme avait-elle fini de jouir qu’il est sorti d’elle pour enlever sa capote et lui dire :« Fini moi avec ta bouche salope »Elle s’est agenouillée devant lui, a aussitôt engloutie son sexe avec sa bouche jusqu’à ce qu’a son tour il lui plaque la tête avec ses deux mains contre son pubis pour exploser au fond sa gorge.
Elle a avalé les quatre giclées de sperme qu’il a déchargé dans sa bouche avant de lui nettoyer la bite avec sa langue et en aspirant bien les quelques gouttes restantes.
Une fois habillée elle est revenue vers la table en disant :« Je suis dans la galère, vu comme il dort je vais avoir du mal à le ramener seule à l’hôtel »Puis s’adressant aux deux blacks :« Il y en a un de vous qui peut m’aider à le ramener à notre chambre ? »« Ça dépend, on y gagne quoi en échange ? » dit l’un d’entre eux.
« Je vous offre un verre »« C’est tout ? Ma p’tite va falloir un peu plus que ça, surtout après avoir vu ce don tu es capable »« Heuuu…. Bon ok… je fais une pipe à celui qui m’aide à ramener mon mari »« On viens tous les deux avec mon collègue, il doit être lourd ton mari »« ….bon ok…. Je vous sucerais tous les deux » dit-elle d’un air fataliste.
A suivre…
Nous séjournions dans un hôtel qui ne servait que le petit déjeuner, nous devions donc sortir pour nous restaurer aussi bien le midi que le soir.
L’hôtel était composé de plusieurs bâtiments sur deux étages avec quatre logements par étage, tous vu sur la mer et la piscine.
Pour accéder à ces logements il fallait traverser le bâtiment où se trouvait la réception et emprunter des allées arborées et bien entretenues qui allaient jusqu’à la piscine.
Chaque logements étaient équipé d’une salle de bain, un WC, une chambre et un balcon avec une mini cuisine extérieure sur ce dernier.
Nous pouvions ainsi, si on le désirait, manger sur le balcon.
Nous y étions au mois d’Aout, ce qui n’est pas la meilleur saison pour les Caraïbes mais cela reste quand même fort agréable.
Quand nous sommes arrivés en fin d’après-midi à l’aéroport, il pleuvait à seau.
La chaleur mêlée à l’humidité faisait que l’on suffoquait presque en sortant du terminal après plusieurs heures de clim.
Quelques minutes pour s’y habituer et nous sommes allé récupérer la voiture de location.
Une demi-heure de route et nous voilà à l’hôtel.
La pluie s’est arrêtée très vite mais l’air restait moite.
Le soleil se couchant assez tôt en cette saison, il faisait nuit lorsque nous avons investi notre logement.
La fatigue du décalage horaire et du voyage a fait que nous nous sommes endormis de bonne heure cette première journée.
Quatre heure le lendemain matin nous étions bien réveillé.
On enfile nos maillot de bain et hop à la piscine, à cette heure nous étions seul.
Il faisait jour, la piscine surplombée la mer des Caraïbes qui se trouvait à environ une vingtaine de mètres un peu en contre-bas.
Le paysage, la vue sur mer, la chaleur et le dépaysement, tout y était pour des vacances de rêves.
A cette période il n’y avait pas beaucoup de touriste de la métropole, juste quelques couples.
Il y avait principalement des gens du nord de l’ile venus passer quelques jour au sud, mais peu de monde quand même.
Nous avions décidé d’aller à la plage le matin, afin qu’il y ait moins de monde et le midi de déjeuner sur la route ou prendre des sandwichs pour pouvoir visiter l’ile un peu tous les jours l’après-midi.
Nous avions cherché sur internet avant notre départ s’il y avait des plages naturiste.
Le fait est qu’il y en avait au moins une, nous sommes donc allés voir à quoi elle ressemblait.
Il fallait prendre la voiture car c’était au moins à vingt bonne minutes de route.
Il y avait un grand parking qui permettait l’accès à une immense et magnifique plage bordées de cocotiers comme dans les cartes postales.
Il fallait prendre à droite, au bout de cette plage, un petit sentier longeant le littoral à travers la végétation pendant plusieurs minutes pour accéder à la plage naturiste.
Ce petit sentier continuait en surplombant cette plage de cinquante centimètres et courait tout du long.
Elle était immense aussi, on distinguait à peine les quelques personnes déjà installés tout au fond.
Nu ? En maillot ? Il était difficile de voir la tenue des gens sur cette plage tellement nous étions éloignés.
Étant quasiment sûr que c’était la bonne, nous nous sommes installés.
L’air était chaud, l’eau à 27°, une brise caressait nos corps nus, encore une fois nous étions comme en plein rêve.
Tous les matins nous venions ici au même endroit pendant deux bonnes heures avant de repartir visiter l’ile.
Un jour quand nous sommes arrivés, un homme nu et seul était déjà installé pas très loin d’où nous nous mettions d’habitude.
C’était un Antillais (je suppose, vu sa couleur de peau) d’une bonne cinquantaine d’année, grisonnant, d’un beau gabarit et assez svelte.
Nous nous sommes donc placés à notre endroit habituel et donc pas très loin de lui.
Nous avons remarqué seulement une fois allongés sur le ventre sur nos serviettes que l’homme se masturbait doucement en regardant ma femme.
Étant adepte des plages naturistes, ce genre de situation arrive fréquemment sur des plages ou il y a peu de monde.
« Tu as vu ? Il a un sacré morceau » me chuchota Nathalie.
« Heuuuu oui, belle bête en effet. » « J’ai envie d’aller me baigner un peu » me dit-elle.
« Dit plutôt que tu veux l’exciter un peu »Elle m’a sourie puis s’est levé pour aller dans l’eau en prenant soin de bien tortiller ses fesses nues.
Je suis resté allongé car je ne voulais pas aller me baigner tout de suite.
Je voyais l’homme qui la regardais constamment et qui de temps en temps accélérer le mouvement de sa main sur son sexe.
Quand ma femme est remontée, elle est passé à côté de moi sans s’arrêter et est allée s’installer à genou tout près de l’homme.
J’étais un peu surpris mais la connaissant bien, je n’étais pas trop étonné de son comportement.
Elle a saisi la bite du mec et a commencée à le branler.
Lui m’a regardé, cherchant sans doute mon approbation, et voyant que je ne disais rien, s’est laissé faire tout en posant une main sur un sein de ma femme pour le caresser.
La main de ma femme faisait à peine le tour de sa bite, de plus ses deux mains ne suffisaient pas à couvrir l’énorme pieu qu’il avait entre les jambes.
Elle l’a branlé pendant une bonne dizaine de minutes avant qu’il n’éjacule une grosse quantité de foutre qui est venue s’écraser sur le sable et un peu sur le corps et les cuisses de Nathalie.
Elle s’est relevée, est retournée se rincer dans l’eau et est revenu s’allonger près de moi.
L’homme s’est rhabillé puis est parti en nous faisant un petit signe de la tête en guise de merci.
Le lendemain en empruntant le sentier pour accéder à notre plage, nous avons rencontré un homme en short et torse nu accoté à un arbre.
C’était un grand black d’une trentaine d’année, une armoire à glace avec un air patibulaire.
Il nous fit un petit signe de la tête en nous disant bonjour et en entamant la conversation.
Pas si patibulaire que ça en fait.
Nous avons répondu à son bonjour puis dit quelques banalités et avons continué notre chemin.
Ce jour-là nous avions décidé de faire quelques photos de Nathalie prenant des poses sexy et érotique nu sur la plage et dans l’eau.
Le fait que l’endroit était quasiment désert le matin nous le permettait sans offusquer qui qui ce soit.
Je prenais à cœur mon job de photographe amateur mitraillant son modèle sous toutes les coutures.
Mon sexe était tendu à force de la voir dans des poses érotique, voir pornographique.
D’un coup, je me suis aperçu que l’homme que nous avions rencontré plus tôt était là sur le sentier à nous regarder avec un large sourire, il a aussitôt repris son chemin en marchant vers l’autre bout de la plage.
Un peu gêné d’avoir été surpris nous avons décidé d’arrêter momentanément la séance photo pour aller dans l’eau et calmer mon érection.
Après une bonne baignade et un séchage sur la serviette façon étoile de mer, nous avons repris notre petite séance photo.
J’avais aperçu au loin notre ami revenir vers nous mais cette fois il n’était pas seul, un autre homme d’un gabarit bien inférieur était avec lui.
Je décidais alors de ne rien dire à Nathalie et de la positionner de façon qu’elle ne puisse pas les voir arriver.
Elle pouvait continuer ainsi à prendre ses positions désinvoltes et aguichantes.
Nos deux gaillards étaient maintenant arrivés à notre hauteur, ils se sont arrêtés pour regarder.
Celui rencontré sur le sentier m’a fait un clin d’œil et a levé son pouce en signe d’approbation.
Le deuxième, du même âge que son collègue mais beaucoup plus petit et beaucoup moins large, bien qu’assez musclé, avait les yeux qui lui sortaient presque des orbites.
Je continuais à prendre des photos tout en la faisant se tourner vers nos deux admirateurs.
Surprise au début, elle a continué ses poses provocantes en leur lançant des regards aguichants.
« Ça vous dit de faire des photos avec moi ? Mais attention, on ne touche pas sans ma permission et c’est moi qui décide des poses » leur dit-elle.
Ils ont vite rejoint Nathalie sur la plage en attendant qu’elle les dirige.
Torse nu tous les deux, il me semblait voir que leurs shorts avaient pris un peu de volume.
Ma femme s’était installée entre les deux en enchainant les poses que j’immortalisais aussitôt.
Au milieu les mains sur les hanches de chaque mec, à genou face à eux une main sur leurs abdos et l’autre sur leurs fesses, collée contre une hanche la jambe relevée appuyant sur le sexe qui gonflait de plus en plus.
Au fur et à mesure elle prenait leurs mains pour les poser sur elle, ses seins, ses fesses, son ventre, son sexe.
La situation dégénérait et leurs mains se baladaient maintenant toutes seules sur le corps de ma femme.
Elle s’est agenouillée, à baisser leur short pour prendre leur sexe dans chacune de ses mains et commencé à les masturber, puis à avancer sa bouche pour les engloutir chacun leur tour.
Elle les a sucés pendant un long moment tout en les masturbant, elle promenait sa bouche tout le long de leur sexe, passant du gland aux couilles en prenant soin de bien lécher la hampe au passage, pour ensuite les reprendre en bouche.
A force de ce traitement, les deux hommes lui ont dit qu’ils allaient venir, elle a accéléré les mouvements jusqu’à les faire jouir sur elle.
Plusieurs giclées de sperme mélangé lui ont maculées le visage et les seins.
Ils ont remonté leur short en la remerciant pour cette offrande qu’elle leur avait faite puis sont repartis.
Nathalie est allée se nettoyer dans l’eau et est revenue m’embrasser à pleine bouche, sa langue avait un gout de sexe.
Une fois les deux hommes suffisamment loin, nous nous sommes allongés sur les serviettes pour faire l’amour, très excités par ce petit interlude à notre séance photo.
Un soir nous sommes allés dans un restaurant situé dans une ville à quelques kilomètres de notre hôtel.
Nous avions donc pris la voiture et Nathalie avait conduit au retour car j’avais consommé un peu plus d’alcool qu’elle.
Arrivée à quelques centaines de mètres de notre hôtel, nous sommes passés devant un bar qui avait l’air assez sympa.
Nous avons décidé de déposer la voiture au parking et revenir à pied boire un verre dans ce bar.
Nathalie comme à son habitude était habillée assez sexy, d’autant plus que nous étions en vacances au soleil donc elle se lâchait un peu plus question tenue vestimentaire.
Un mini-short en Jeans clair, façon tanga, c’est-à-dire qui lui couvrait la moitié des fesses et laissait donc les globes inférieur à l’air libre, un bustier avec une fermeture sur le devant et ouvert à mi-hauteur ce qui donnait l’impression qu’il était trop petit d’une taille et que les seins allaient jaillir d’une minute à l’autre, le tout recouvert d’un fin gilet transparent descendant jusqu’à mi-cuisse et aux pieds une paire de basket toute blanche.
En entrant dans le bar, il y avait sept ou huit personnes dispersées dans la salle qui n’était pas très grande.
Le patron est venu nous accueillir pour nous installer à une table.
C’était un homme originaire de la métropole de cinquante cinq ou soixante ans maximum, un mètre soixante-dix, trapu, costaud, bien conservé, une gueule de baroudeur et d’homme à femme.
A une table à côté il y avait deux blacks de trente-cinq, quarante ans qui buvaient un verre aussi et qui n’ont pas manqués de détailler Nathalie sous toutes les coutures surtout quand elle a ôté son gilet avant de s’assoir.
Nous avons commandé deux cocktails à base de rhum que le patron est venu nous apporter non sans plonger son regard dans le décolleté de ma femme en lui faisant un sourire mi-charmeur, mi-carnassier auquel elle a répondu avec un sourire beaucoup plus sensuel.
D’un coup je me sentais presque de trop.
Une fois le patron retourné derrière son bar je lui dit :« Bein dit donc tu attaque fort ce soir, ton sourire était quasiment provocateur »« Ne sois pas jaloux, tu sais bien que j’aime allumer les hommes. Et celui-là pour son âge il est pas mal, même s’il n’est pas grand »« Je ne suis pas jaloux mais en général tu es un peu plus discrète »« Tu veux que je sois plus soft ? »« Non, continu, je veux voir jusqu’où tu peux aller avec un vieux beau »« Fait gaffe tu pourrais être surpris »Sur ce nous avons ris et trinqué à notre soirée.
Le patron venait régulièrement voir si tout allait bien, nous lui avons commandé un deuxième cocktail et l’ambiance était détendue.
Le bar se vidait progressivement et à un moment il ne restait que le patron, les deux blacks d’à côté et nous.
Le patron était venu s’assoir avec nous pour parler un peu de l’hexagone dont il avait quand même un peu la nostalgie.
Il ramenait petit à petit différentes bouteilles de rhum qu’il me faisait gouter les unes après les autres et m’expliquant les différences entre elles.
Je crois qu’il voulait me mettre une cuite et moi comme un c.. je ne m’en suis pas rendu compte.
Il avait tellement de baratin qu’il me l’a mise en douceur.
Mon esprit commençait à être embrumé, j’avais du mal à suivre les conversations.
J’avais quand même vu qu’il avait fermé le bar, que les deux blacks s’étaient joints à nous, que le patron était très proche de ma femme et qu’ils riaient beaucoup ensemble.
D’un coup, plus de son, plus d’image jusqu’à mon réveil le lendemain matin sur le canapé de notre chambre d’hôtel.
Dans le bar, alors que je venais de sombrer dans les bras de Morphée sur ma chaise la tête sur la table, le patron avait entouré de son bras les épaules de ma femme tout en continuant à lui parler et à jouer avec la fermeture éclair de son bustier.
Il semblait clair qu’il avait envi de la sauter et qu’elle n’était pas contre.
Il lui a proposé de venir « visiter » l’autre côté de son bar.
Ils se sont levés et lui a fait un signe de la tête aux deux blacks pour qu’ils me surveillent quand même.
Nathalie est passée devant et une fois arrivée derrière le bar il lui a attraper les fesses des deux mains pour les caresser allègrement.
Elle s’est arrêtée pour se laisser faire en lui murmurant :« Pas ici, on peut nous voir »« T’inquiète, ils ne diront rien et en plus tu m’as l’air assez exhibe. Je me trompe ? »En guise de réponse elle s’est collée encore plus à lui.
Il a passé ses mains devant et a complétement ouvert son bustier pour lui prendre les seins à pleines mains.
Elle s’est laissé caresser en frottant ses fesses contre son sexe qui avait pris de l’ampleur sous son pantalon.
Elle s’est retournée pour leur permettre de s’embrasser, leurs langues se sont entremêlées pendant de longues minutes.
Il avait de nouveau plaqué ses mains sur les fesses de ma femme pour les caresser sans aucune retenue.
Tout en l’embrassant il l’a déshabillée complètement, lui laissant pour seul et unique vêtement sa paire de basket blanche.
Il l’a ensuite attrapé et soulevé par les hanches pour l’assoir sur l’évier.
Il s’est agenouillé devant elle, lui a placé les jambes sur ses épaules en les écartant bien et a enfouis sa tête dans son sexe pour commencer à la lécher.
Sa langue se faufilait partout sur le sexe de ma femme, ses lèvres, son clito puis s’est enfoncé à l’intérieur lui procurant des petits cris de plaisir.
Il lui a prodigué cette caresse buccale pendant plusieurs minutes avant qu’elle ne lui attrape la tête pour bien la plaquer sur son sexe et qu’elle explose dans sa bouche dans un grand râle de plaisir.
Il s’est ensuite relevé pour l’embrasser, sa bouche était trempée de la jouissance de ma femme.
Il a alors baissé son pantalon, libérant une bite de taille raisonnable et bien bandée, il a ouvert un tiroir pour y prendre un préservatif et se l’enfiler se le sexe, s’est approcher de ma femme pour la pénétrer jusqu’à la garde.
Elle a noué ses jambes dans son dos pour mieux le sentir, l’a entourée de ses bras et est venue coller sa bouche contre la sienne pour bien mélanger leurs langues pendant qu’il la baisait.
Il allait et venait en elle a grands coups de rein lui faisant pousser un petit cri de plaisir à chaque fois.
Quand un second orgasme l’a terrassée, elle l’a serrée encore plus fort en criant sa jouissance.
Ils étaient en sueur tous les deux, il est sorti d’elle, l’a retournée en lui posant les mains sur l’évier et en lui écartant bien les jambes afin de pouvoir de nouveau lui enfoncer sa bite et la pilonner encore plus fort.
Les deux blacks de l’autre côté du bar ne loupaient rien de la scène.
Ils regardaient ma femme se faire démonter par le patron du bar.
Ils voyaient bien ses seins balloter au rythme des coups de boutoir.
Elle les regardait sans les voir, trop occupée à prendre du plaisir.
Un troisième orgasme l’a envahie accompagné de feulements de plaisir et de mots crus.
« Oh putain ouiiiiiiiiiii… elle est bonne ta bite…. Vas-y défonce moi bien salaud ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. »A peine ma femme avait-elle fini de jouir qu’il est sorti d’elle pour enlever sa capote et lui dire :« Fini moi avec ta bouche salope »Elle s’est agenouillée devant lui, a aussitôt engloutie son sexe avec sa bouche jusqu’à ce qu’a son tour il lui plaque la tête avec ses deux mains contre son pubis pour exploser au fond sa gorge.
Elle a avalé les quatre giclées de sperme qu’il a déchargé dans sa bouche avant de lui nettoyer la bite avec sa langue et en aspirant bien les quelques gouttes restantes.
Une fois habillée elle est revenue vers la table en disant :« Je suis dans la galère, vu comme il dort je vais avoir du mal à le ramener seule à l’hôtel »Puis s’adressant aux deux blacks :« Il y en a un de vous qui peut m’aider à le ramener à notre chambre ? »« Ça dépend, on y gagne quoi en échange ? » dit l’un d’entre eux.
« Je vous offre un verre »« C’est tout ? Ma p’tite va falloir un peu plus que ça, surtout après avoir vu ce don tu es capable »« Heuuu…. Bon ok… je fais une pipe à celui qui m’aide à ramener mon mari »« On viens tous les deux avec mon collègue, il doit être lourd ton mari »« ….bon ok…. Je vous sucerais tous les deux » dit-elle d’un air fataliste.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cplcandaudu60
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...