Un serveur très gourmand.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un serveur très gourmand.
Tous les midis, mes collègues et moi avons l'habitude d'aller déjeuner dans un petit bistrot, offert par notre patron. Le plat du jour est bon, copieux et pas très cher, un resto pour les travailleurs.
Le patron du bistrot très sympa, est devenu un ami. Nous avons une table de réservée tous les jours et sa femme en cuisine nous gâte toujours dans les portions en plus, mes collègues sont ravis car c'est une jeune serveuse qui s'occupe de nous. Belle, souriante, avenante, ne se laissant pas faire avec tous ces mâles qui viennent déjeuner et elle a la répartie.
Mais depuis une semaine elle ne vient plus. Le patron reste évasif quant à son départ et c'est lui qui fait le service et reçoit les remarques des clients mais il sait aussi tenir sa place le bougre!
Mais en début de semaine, nous apercevons dans la salle un jeune mec qui fait office de serveur et le patron est venu nous le présenter.
-Il s'appelle Max, il est jeune débutant dans le métier alors les mecs vous allez être sympa avec lui et pardonner s'il fait des erreurs.
Le jeune Max nous a tous serré la main, on a dit nos prénoms. J'ai de suite remarqué le beau mec, châtain clair, cheveux courts, imberbe, yeux bleus clairs, et, quand il m'a serré la main, il m'a fixé et ses yeux étaient tendres comme s'il y avait une invit.
Mais naturellement je devais encore me faire des idées. Moi quand un mec me regarde dans les yeux, faisant les yeux doux je n'ai qu'une envie c'est le mettre à poils dans mon lit!
Le premier jour s'est bien passé, service rapide et impeccable, il n'y avait rien à dire mais je l'avais suivi du regard pour quand même me rendre compte qu'il ne regardait pas grand monde dans les yeux… sauf moi! cela m'avait fait un petit pincement dans la poitrine!
Les jours ont suivi, toujours le même mec, son sourire que j'appréciais de plus en plus, sa poignée de main chaleureuse enveloppait la mienne avec douceur tout en me fixant toujours dans les yeux.
Pour une fois je ne savais pas comment m'y prendre avec lui. Il y avait tant de monde dans ce bistrot le midi et il n'avait pas tellement d'occasion d'entretenir la conversation.
Mais je vous l'ai déjà dit, y'a un bon Dieu pour les pédés!
Le vendredi est vite arrivé, et ce jour là nous sommes arrivés plus tard pour déjeuner à cause d'un chantier que l'on voulait absolument finir et bien sûr notre repas nous attendait! Max aussi pour nous servir.
Il ne restait pas grand monde dans le bistrot. Nous avons eu Max pour pratiquement nous tout seul, lui aussi avait le sourire facile et parlait de tout et de rien… toujours en me regardant.
Arrive la fin du repas, il nous sert le café et après je me dirige vers les toilettes sans faire attention aux autres personnes.
Les toilettes sont composées de deux cabines, homme et femme et de deux urinoirs côte à côte, comme j'ai envie de pisser je m'installe devant un urinoir et soulage Popaul qui en avait bien besoin. Le plaisir de pisser quand t'as une bonne envie.
J'entends la porte s'ouvrir et en tournant la tête, je vois Max entrer et venir à côté de moi.
Là les mecs, j'aurais été surpris en train de me branler que j'aurais pas été plus gêné. Je ne savais pas ce qui me prenait, mais Popaul s'est mis à enfler d'un seul coup, s'étirer, s'allonger, durcir. Je regardais toujours Max qui s'installe à côté de moi. Je m'approche de l'urinoir pour ne pas qu'il voit ma queue bien raide.
Mais lui s'installe en retrait, sort son engin que je ne regarde pas, et se met à pisser royalement.
-ça fait du bien dit Max en riant.
Machinalement mes yeux regardent son sexe et, surprise il bande à moitié le garçon! il finit de pisser en remuant sa queue, décalottant le gland pour laisser tomber les gouttes restantes et je vois sa queue grandir, s'allonger dans sa main. Il ne fait rien pour se cacher le voyou!! au contraire, il se place de façon que je la regarde bien.
Je regarde sa queue, ses yeux… il sourit.
-eh oui quand un beau mec la regarde elle se croit tout permis dit il en riant.
Alors je me recule un peu et lui montre l'effet qu'il me fait.
Je l'entends siffler d'admiration, il tend sa main et ses doigts chauds et agiles s'en emparent. Je touche la sienne en retour et ma queue fait un bond dans sa main.
On dirait deux collégiens dans les chiottes découvrant une autre bitte que la leur.
Mais je reprends vite mes esprits.
-on ne peut rien faire ici, dis je en rangeant le matériel, à regret et je vois le même regret dans ses yeux.
Il s'approche de moi.
-je suis libre ce soir, si tu veux on peut se retrouver pour faire plus ample connaissance.
-bien sûr Max avec plaisir. On ne doit pas s'ennuyer avec toi!
-oh avec toi non plus ma queue a bandé quand je t'ai vu la première fois… c'est un signe.
Il me fait un bisou sur la joue, que je lui rends et on sort ensemble des toilettes en riant.
Il est temps de retourner au boulot mais j'avais mon rencart pour le soir!! j'ai jamais passé un après midi si long! je ne cessais de penser au beau Max!
En sortant du boulot je suis passé par le lieu de rendez vous, un autre bistrot où le patron est un pote, pédé également.
Max était au comptoir sirotant une bière et matant la clientèle. Son sourire s'est illuminé quand je suis arrivé. On s'est fait la bise comme de vieux copains. Bernard le patron est venu me faire la bise et en a profité pour en faire une à Max.
On s'est installé dans un coin au fond de la salle, pour se raconter nos vies, nos envies. Il était vraiment beau ce Max. J'avais hâte de le déshabiller et de le voir nu, caresser et aimer ce beau corps.
Une heure est vite passée.
-tu dînes avec moi ce soir ?
-si tu veux.
-c'est moi qui ferais le serveur pour une fois! mais avant il faut que je prenne une douche.
-oui alors si je comprends bien tu m'as demandé de venir pour que je te lave le dos dit Max en riant.
-pourquoi que le dos ?
-monsieur est gourmand… mais on y va ?
Un coup de voiture et nous étions chez moi. Sitôt la porte refermée, il s'est jeté dans mes bras pour me faire goûter ses lèvres tendres, chaudes et humides. Sa langue agile est venue à la rencontre de la mienne et nous avons ronronné de plaisir en se léchant et s'échangeant nos salives. Les corps s'étaient rapprochés et se frottaient, je passais ma main sur ses fesses, de belles petites fesses que je n'avais vu qu'enfermées dans son jean. Elles étaient dures, fermes!! j'aimais de suite sa salive au goût sucré, ses lèvres papillonnaient sur mon visage, son bout de langue me léchant partout. Il riait de me voir me laisser faire.
-monsieur veut peut être que je le déshabille pour qu'il prenne sa douche ?
-bien sûr.
J'étais vite déshabillé, il suffisait de tirer sur une fermeture éclair pour que ma tenue tombe à mes pieds. Ses mains m'ont parcouru le corps, des épaules, les bras, passant au torse s'approchant de moi il s'est mis à me lécher les tétons.
-attends, ça doit sentir la sueur de toute la journée dis je en voulant lui relever la tête.
-j'adore cette odeur de vrai mâle, de travailleur, si je m'écoutais je te laverais avec ma langue partout.
-chiche!
Il n'a pas dit non, j'ai enlevé ma tenue, restant en boxer et en chaussettes et je l'ai emmené dans ma grande salle de bains.
-mon corps est à toi, mais mets toi à l'aise quand même.
J'ai enlevé mes chaussettes et je l'ai aidé à se déshabiller. Il sentait bon, il devait avoir pris une douche récemment et l'odeur, la bonne odeur me venait aux narines et moi je devais sentir le chacal après une bonne journée de travail, mais il avait l'air de s'en foutre.
On était tous les deux en boxer et nos queues bandaient bien dures.
Sa tête est venue dans mon cou et immédiatement j'ai senti sa langue le parcourir, il lapait comme un jeune chat. Sa langue était douce, il a bien léché partout autour du cou puis est venu sur mon torse, léchant les tétons consciencieusement pour remonter sur les épaules et me lécher les bras. Avec sa main il soulève mon bras et sa langue vient se fourrer dans mon aisselle poilue.
Là ça doit sentir encore plus fort!
Mais sa langue reste de sortie. Il tient mon bras en l'air et je vois sa langue lécher, coller les poils sous l'aisselle et il ne faisait pas semblant. De temps en temps il fermait les yeux comme s'il appréciait et l'aisselle fut nettoyée et il passa à la seconde qui subit le même sort.
Il s'est mis à genoux devant moi me léchant mes abdos bien fermes qu'il semblait apprécier.
Puis sa langue est directement passée à une jambe, le genou, le mollet, pour prendre mon pied et le mettre à sa hauteur, l'obligeant à m'appuyer sur le mur de la douche et sa langue a léché la plante des pieds. Je sais que je ne sens pas des pieds, mais là mes pauvres petits pieds avaient été renfermés toute la journée mais cela n'avait pas l'air de le rebuter et chaque orteil fut lessivé, sa langue passe entre chaque, mon gros orteil est sucé, je sentais ma bite être à cran dans mon boxer. J'avais envie de la libérer, mais je voulais le laisser faire.
L'autre pied eut droit au même tarif et en fait j'appréciais ces caresses.
Il s'est relevé, m'a fait lui tourner le dos, et sa langue est entrée en action le long de ma colonne vertébrale. J'en avais des frissons sur tout le corps. Il a léché encore avec application tout le dos.
Il s'est mis à nouveau à genoux et d'un geste sec m'a baissé mon boxer, j'ai soulevé les pieds pour le quitter.
-penche toi en avant c'est quand même l'endroit que je préfère nettoyer.
Je souriais en me penchant en avant. Ses mains m'ont caressé les fesses avant de sentir sa langue les lécher abondamment en malaxant mes fesses, il les a écarté pour passer sa langue dans ma raie. Il n'a pas mis longtemps à trouver mon petit trou. Je l'ai aidé en tenant mes fesses bien ouvertes et sa langue est entrée en action inondant l'anus, poussant la salive dans le trou avec le bout de sa langue. Les frissons continuaient. J'ai senti ses dents me mordiller les fesses et je me suis fais bouffer le cul. Ah il y allait de bon cœur le Max! il avait l'air d'aimer ça! Car il a fait durer pour enfin mettre un doigt qu'il enfonce en tournant me faisant gémir puis deux m'ouvrant encore plus et sa langue revient, il réussi à la faire entrer un peu et lécher les lèvres. Je gémis de plus en plus.
Puis tout s'arrête, il me fait tourner face à lui.
-et voilà mon dessert!
Ma queue bandante est juste devant son nez, décalottée complètement, le méat laisse couler la mouille en abondance grâce à son jeu de langue sur mon corps. De la pointe de la langue, il touche la mouille sortant du méat et le fait entrer dans sa bouche. Il joue comme ça, sans réellement toucher mon gland avec sa langue. Sa main caresse mes couilles, sa bouche descend dessus et les avale toutes les deux comme un vrai gourmand. Il les fait rouler dans sa bouche, les inondant de salive, les recrache et sa langue part sous ma hampe remontant vers le gland, les lèvres l'épouse, la langue enlève toute la mouille, je me penche et je vois qu'il me regarde. On se fixe, et je sens sa langue entourer ma queue, la lécher, la sucer. Ses lèvres descendent sur ma queue jusqu'à ce qu'elles soient dans mes poils pubiens.
Ses mains se posent sur mes cuisses et il fait des va-et-vient sur ma queue. Elle est sucée, aspirée, avalée complètement. Je vois ses yeux qui pleurent mais il n'en a cure et continue son traitement. Je lui caresse les cheveux, je sens le plaisir monter mais il s'active de plus en plus sur ma queue et la récompense arrive plus vite que j'aurais cru.
J'ai juste le temps de commencer à dire :
-je vais…
Je jouis dans sa bouche bien fermée sur ma queue, son nez dans mes poils, les giclées chaudes et abondantes se suivent, je sens qu'il aspire tout ce que je crache et quand mes gémissements cessent et que je soupire un grand coup il libère ma queue mais continue de la lécher.
-eh bien t'avais pas joui depuis combien de temps ?
-hier dis je en riant mais c'est ta langue qui fait des miracles.
Il se relève et vient m'embrasser. Je descend son boxer, caressant ses belles fesses.
-je veux m'occuper de ta queue, gouter ton jus Max!
-tout est à toi mais je te préviens ça risque d'être rapide j'ai tellement pris de plaisir à te lécher et recevoir ton jus.
Effectivement sa belle queue était complètement décalottée et la mouille coulait au sol d'un mince filet.
Je me suis rapidement mis à genoux devant lui, regardant le bel engin de près, le caressant, enveloppant les belles couilles dans ma main qu'il gémissait déjà.
Tenant sa bite d'une main, j'ai léché le gland, enlevant la mouille qui sortait de plus en plus. Il sursautait à chaque coup de langue en poussant un petit cri, alors je jouais comme ça. Quel plaisir de l'entendre pousser ses petits cris et j'ai avalé sa queue bien au fond de ma gorge, elle arrivait juste sur la luette ce qui m'a fait tousser et pleurer mais j'ai maintenu pour m'habituer et je l'ai sucé, léché avec application.
C'est vrai qu'il n'a pas duré longtemps cette première fois et j'ai eu une belle récompense. Comme j'avais aimé sa salive, j'ai aimé le goût de son sperme et y'en avait! ça giclait dur et le bon jus coulait dans ma gorge. Je l'ai achevé en le suçant, l'aspirant encore plus, ses mains s'étaient posées sur ma tête.
Quand j'ai eu tout récupéré j'ai bien nettoyé cette belle bite qui bandait encore.
Il s'est mis à genoux devant moi, m'a pris dans ses bras et m'a embrassé. On a fermé les yeux pour se déguster longuement.
On a quand même fini par prendre une douche tous les deux, se laver, s'essuyer mutuellement pour aller boire l'apéro tous les deux, à poils les bites bien raides.
Il était doux, tendre, me faisait sans cesse des bisous et comme j'adore ça! j'aimais caresser sa peau douce, son odeur.
Il est venu s'asseoir à califourchon sur mes genoux, nos bites collées l'une à l'autre.
-tu sais ce que j'ai envie ?
-pour manger ? dis je innocemment en souriant.
-oh là je mange ce qu'il y a dit il en rigolant. J'ai envie de sentir ta queue dans mon petit cul, y'a un moment qu'il n'a pas eu de visite, faudrait pas que ça se referme!
On a ri tous les deux.
-t'en fais pas je vais tacher d'y remédier mais on va dîner d'abord et après je te ferais visiter ma chambre.
C'est exactement ce que nous avons fait. Si les bites avaient débandé un peu, quand elles ont vue le lit elles se sont redressées.
On a pris notre temps. On l'avait, ni lui ni moi ne travaillons le samedi.
Alors j'ai fait connaissance avec son corps de jeune mec! un corps chaud, souple, doux, imberbe. J'aime sucer sa belle bite et la faire jouir dans ma bouche mais quand je me suis attaqué à son petit cul…
Il a voulu se mettre à quatre pattes, le cul bien en l'air, les jambes écartées au max et c'est lui qui est venu ouvrir ses belles fesses me faisant découvrir son petit trou que j'ai touché d'un doigt, le caressant pour entendre Max pousser un long gémissement. J'ai léché chaque fesse, passant ma langue dans la raie, léchant le petit trou fermé, mais l'anneau était souple et au fur et à mesure de l'inondation de salive, il s'ouvrait devant mes yeux. Un doigt entrait facilement, j'ai caressé l'intérieur. Le moteur à gémissements étaient en route. Quand je mettais un doigt sur son trou c'est lui qui reculait dessus pour se l'enfoncer.
Alternant ma langue et mes doigts, j'ai vu l'anus rester ouvert.
Je me suis redressé pour mettre mon gland sur l'ouverture. Il a passé sa main entre ses fesses et m'a caressé les couilles tendrement. Je n'ai pas eu à pousser, j'ai vu son cul reculer sur ma bite, je l'ai laissé faire, à sa vitesse, à sa convenance. Voir son gland se faire avaler, aspirer par un sphincter qui s'ouvre et l'enveloppe. Quand le gland est passé, entré il a poussé un petit cri, s'est arrêté. Il respirait très fort et d'un seul coup son cul a avalé ma queue entièrement.
Vraiment gourmand le Max!
Il bougeait son cul comme pour faire entrer ma queue encore plus loin.
-baise moi maintenant! et ne fais pas attention si je crie trop fort! c'est normal dit il en riant!
Alors je lui ai donné ce qu'il voulait, et c'est vrai qu'il gueule le Max quand il se fait enculer. A chaque coup de reins ce sont gémissements et cris et quand les va-et-vient se font plus rapidement il n'arrête pas. Quel plaisir de l'entendre.
Ma queue coulissait en lui merveilleusement bien, elle se sentait comme chez elle comblant ce petit cul avec plaisir, chaleur et moiteur.
Il me tenait toujours les couilles et mes va-et-vient étaient de plus en plus secs! Jusqu'au moment où le plaisir est arrivé. J'ai senti le sperme passer dans mes couilles et gicler avec force dans son conduit. Les vannes étant ouvertes, j'ai giclé, giclé à n'en plus finir, le remplissant, l'inondant.
On gémissait et criait tous les deux jusqu'à ce que je m'écrase sur son dos. Il s'est allongé, j'étais toujours en lui, je lui faisais des bisous dans le cou.
-mais t'as un cul magnifique Max! j'y resterais.
Il a rigolé.
-mais ma queue veut ta bouche.
Alors je suis sorti de lui délicatement pour venir m'occuper de sa belle queue. Il s'est tourné en 69 pour me nettoyer la mienne pendant qu'il se vidait encore dans ma gorge en gémissant.
On a passé une nuit d'enfer! pas beaucoup dormi mais je crois qu'on connaissait bien chaque parcelle du corps de l'autre.
On a passé pratiquement le samedi au lit, juste se lever pour manger un peu et revenir dans les bras l'un de l'autre.
Il est resté le samedi soir et le dimanche on était vidé complètement.
-comme ça on tiendra jusqu'au week-end prochain a dit Max en riant.
-A te voir tous les jours et rien faire je ne sais pas si je vais tenir.
-oh mais alors si tu paies l'apéro un soir je peux repasser.
On se voit maintenant le plus souvent possible sans pour l'instant que personne le sache et c'est toujours un plaisir de se retrouver!
Le patron du bistrot très sympa, est devenu un ami. Nous avons une table de réservée tous les jours et sa femme en cuisine nous gâte toujours dans les portions en plus, mes collègues sont ravis car c'est une jeune serveuse qui s'occupe de nous. Belle, souriante, avenante, ne se laissant pas faire avec tous ces mâles qui viennent déjeuner et elle a la répartie.
Mais depuis une semaine elle ne vient plus. Le patron reste évasif quant à son départ et c'est lui qui fait le service et reçoit les remarques des clients mais il sait aussi tenir sa place le bougre!
Mais en début de semaine, nous apercevons dans la salle un jeune mec qui fait office de serveur et le patron est venu nous le présenter.
-Il s'appelle Max, il est jeune débutant dans le métier alors les mecs vous allez être sympa avec lui et pardonner s'il fait des erreurs.
Le jeune Max nous a tous serré la main, on a dit nos prénoms. J'ai de suite remarqué le beau mec, châtain clair, cheveux courts, imberbe, yeux bleus clairs, et, quand il m'a serré la main, il m'a fixé et ses yeux étaient tendres comme s'il y avait une invit.
Mais naturellement je devais encore me faire des idées. Moi quand un mec me regarde dans les yeux, faisant les yeux doux je n'ai qu'une envie c'est le mettre à poils dans mon lit!
Le premier jour s'est bien passé, service rapide et impeccable, il n'y avait rien à dire mais je l'avais suivi du regard pour quand même me rendre compte qu'il ne regardait pas grand monde dans les yeux… sauf moi! cela m'avait fait un petit pincement dans la poitrine!
Les jours ont suivi, toujours le même mec, son sourire que j'appréciais de plus en plus, sa poignée de main chaleureuse enveloppait la mienne avec douceur tout en me fixant toujours dans les yeux.
Pour une fois je ne savais pas comment m'y prendre avec lui. Il y avait tant de monde dans ce bistrot le midi et il n'avait pas tellement d'occasion d'entretenir la conversation.
Mais je vous l'ai déjà dit, y'a un bon Dieu pour les pédés!
Le vendredi est vite arrivé, et ce jour là nous sommes arrivés plus tard pour déjeuner à cause d'un chantier que l'on voulait absolument finir et bien sûr notre repas nous attendait! Max aussi pour nous servir.
Il ne restait pas grand monde dans le bistrot. Nous avons eu Max pour pratiquement nous tout seul, lui aussi avait le sourire facile et parlait de tout et de rien… toujours en me regardant.
Arrive la fin du repas, il nous sert le café et après je me dirige vers les toilettes sans faire attention aux autres personnes.
Les toilettes sont composées de deux cabines, homme et femme et de deux urinoirs côte à côte, comme j'ai envie de pisser je m'installe devant un urinoir et soulage Popaul qui en avait bien besoin. Le plaisir de pisser quand t'as une bonne envie.
J'entends la porte s'ouvrir et en tournant la tête, je vois Max entrer et venir à côté de moi.
Là les mecs, j'aurais été surpris en train de me branler que j'aurais pas été plus gêné. Je ne savais pas ce qui me prenait, mais Popaul s'est mis à enfler d'un seul coup, s'étirer, s'allonger, durcir. Je regardais toujours Max qui s'installe à côté de moi. Je m'approche de l'urinoir pour ne pas qu'il voit ma queue bien raide.
Mais lui s'installe en retrait, sort son engin que je ne regarde pas, et se met à pisser royalement.
-ça fait du bien dit Max en riant.
Machinalement mes yeux regardent son sexe et, surprise il bande à moitié le garçon! il finit de pisser en remuant sa queue, décalottant le gland pour laisser tomber les gouttes restantes et je vois sa queue grandir, s'allonger dans sa main. Il ne fait rien pour se cacher le voyou!! au contraire, il se place de façon que je la regarde bien.
Je regarde sa queue, ses yeux… il sourit.
-eh oui quand un beau mec la regarde elle se croit tout permis dit il en riant.
Alors je me recule un peu et lui montre l'effet qu'il me fait.
Je l'entends siffler d'admiration, il tend sa main et ses doigts chauds et agiles s'en emparent. Je touche la sienne en retour et ma queue fait un bond dans sa main.
On dirait deux collégiens dans les chiottes découvrant une autre bitte que la leur.
Mais je reprends vite mes esprits.
-on ne peut rien faire ici, dis je en rangeant le matériel, à regret et je vois le même regret dans ses yeux.
Il s'approche de moi.
-je suis libre ce soir, si tu veux on peut se retrouver pour faire plus ample connaissance.
-bien sûr Max avec plaisir. On ne doit pas s'ennuyer avec toi!
-oh avec toi non plus ma queue a bandé quand je t'ai vu la première fois… c'est un signe.
Il me fait un bisou sur la joue, que je lui rends et on sort ensemble des toilettes en riant.
Il est temps de retourner au boulot mais j'avais mon rencart pour le soir!! j'ai jamais passé un après midi si long! je ne cessais de penser au beau Max!
En sortant du boulot je suis passé par le lieu de rendez vous, un autre bistrot où le patron est un pote, pédé également.
Max était au comptoir sirotant une bière et matant la clientèle. Son sourire s'est illuminé quand je suis arrivé. On s'est fait la bise comme de vieux copains. Bernard le patron est venu me faire la bise et en a profité pour en faire une à Max.
On s'est installé dans un coin au fond de la salle, pour se raconter nos vies, nos envies. Il était vraiment beau ce Max. J'avais hâte de le déshabiller et de le voir nu, caresser et aimer ce beau corps.
Une heure est vite passée.
-tu dînes avec moi ce soir ?
-si tu veux.
-c'est moi qui ferais le serveur pour une fois! mais avant il faut que je prenne une douche.
-oui alors si je comprends bien tu m'as demandé de venir pour que je te lave le dos dit Max en riant.
-pourquoi que le dos ?
-monsieur est gourmand… mais on y va ?
Un coup de voiture et nous étions chez moi. Sitôt la porte refermée, il s'est jeté dans mes bras pour me faire goûter ses lèvres tendres, chaudes et humides. Sa langue agile est venue à la rencontre de la mienne et nous avons ronronné de plaisir en se léchant et s'échangeant nos salives. Les corps s'étaient rapprochés et se frottaient, je passais ma main sur ses fesses, de belles petites fesses que je n'avais vu qu'enfermées dans son jean. Elles étaient dures, fermes!! j'aimais de suite sa salive au goût sucré, ses lèvres papillonnaient sur mon visage, son bout de langue me léchant partout. Il riait de me voir me laisser faire.
-monsieur veut peut être que je le déshabille pour qu'il prenne sa douche ?
-bien sûr.
J'étais vite déshabillé, il suffisait de tirer sur une fermeture éclair pour que ma tenue tombe à mes pieds. Ses mains m'ont parcouru le corps, des épaules, les bras, passant au torse s'approchant de moi il s'est mis à me lécher les tétons.
-attends, ça doit sentir la sueur de toute la journée dis je en voulant lui relever la tête.
-j'adore cette odeur de vrai mâle, de travailleur, si je m'écoutais je te laverais avec ma langue partout.
-chiche!
Il n'a pas dit non, j'ai enlevé ma tenue, restant en boxer et en chaussettes et je l'ai emmené dans ma grande salle de bains.
-mon corps est à toi, mais mets toi à l'aise quand même.
J'ai enlevé mes chaussettes et je l'ai aidé à se déshabiller. Il sentait bon, il devait avoir pris une douche récemment et l'odeur, la bonne odeur me venait aux narines et moi je devais sentir le chacal après une bonne journée de travail, mais il avait l'air de s'en foutre.
On était tous les deux en boxer et nos queues bandaient bien dures.
Sa tête est venue dans mon cou et immédiatement j'ai senti sa langue le parcourir, il lapait comme un jeune chat. Sa langue était douce, il a bien léché partout autour du cou puis est venu sur mon torse, léchant les tétons consciencieusement pour remonter sur les épaules et me lécher les bras. Avec sa main il soulève mon bras et sa langue vient se fourrer dans mon aisselle poilue.
Là ça doit sentir encore plus fort!
Mais sa langue reste de sortie. Il tient mon bras en l'air et je vois sa langue lécher, coller les poils sous l'aisselle et il ne faisait pas semblant. De temps en temps il fermait les yeux comme s'il appréciait et l'aisselle fut nettoyée et il passa à la seconde qui subit le même sort.
Il s'est mis à genoux devant moi me léchant mes abdos bien fermes qu'il semblait apprécier.
Puis sa langue est directement passée à une jambe, le genou, le mollet, pour prendre mon pied et le mettre à sa hauteur, l'obligeant à m'appuyer sur le mur de la douche et sa langue a léché la plante des pieds. Je sais que je ne sens pas des pieds, mais là mes pauvres petits pieds avaient été renfermés toute la journée mais cela n'avait pas l'air de le rebuter et chaque orteil fut lessivé, sa langue passe entre chaque, mon gros orteil est sucé, je sentais ma bite être à cran dans mon boxer. J'avais envie de la libérer, mais je voulais le laisser faire.
L'autre pied eut droit au même tarif et en fait j'appréciais ces caresses.
Il s'est relevé, m'a fait lui tourner le dos, et sa langue est entrée en action le long de ma colonne vertébrale. J'en avais des frissons sur tout le corps. Il a léché encore avec application tout le dos.
Il s'est mis à nouveau à genoux et d'un geste sec m'a baissé mon boxer, j'ai soulevé les pieds pour le quitter.
-penche toi en avant c'est quand même l'endroit que je préfère nettoyer.
Je souriais en me penchant en avant. Ses mains m'ont caressé les fesses avant de sentir sa langue les lécher abondamment en malaxant mes fesses, il les a écarté pour passer sa langue dans ma raie. Il n'a pas mis longtemps à trouver mon petit trou. Je l'ai aidé en tenant mes fesses bien ouvertes et sa langue est entrée en action inondant l'anus, poussant la salive dans le trou avec le bout de sa langue. Les frissons continuaient. J'ai senti ses dents me mordiller les fesses et je me suis fais bouffer le cul. Ah il y allait de bon cœur le Max! il avait l'air d'aimer ça! Car il a fait durer pour enfin mettre un doigt qu'il enfonce en tournant me faisant gémir puis deux m'ouvrant encore plus et sa langue revient, il réussi à la faire entrer un peu et lécher les lèvres. Je gémis de plus en plus.
Puis tout s'arrête, il me fait tourner face à lui.
-et voilà mon dessert!
Ma queue bandante est juste devant son nez, décalottée complètement, le méat laisse couler la mouille en abondance grâce à son jeu de langue sur mon corps. De la pointe de la langue, il touche la mouille sortant du méat et le fait entrer dans sa bouche. Il joue comme ça, sans réellement toucher mon gland avec sa langue. Sa main caresse mes couilles, sa bouche descend dessus et les avale toutes les deux comme un vrai gourmand. Il les fait rouler dans sa bouche, les inondant de salive, les recrache et sa langue part sous ma hampe remontant vers le gland, les lèvres l'épouse, la langue enlève toute la mouille, je me penche et je vois qu'il me regarde. On se fixe, et je sens sa langue entourer ma queue, la lécher, la sucer. Ses lèvres descendent sur ma queue jusqu'à ce qu'elles soient dans mes poils pubiens.
Ses mains se posent sur mes cuisses et il fait des va-et-vient sur ma queue. Elle est sucée, aspirée, avalée complètement. Je vois ses yeux qui pleurent mais il n'en a cure et continue son traitement. Je lui caresse les cheveux, je sens le plaisir monter mais il s'active de plus en plus sur ma queue et la récompense arrive plus vite que j'aurais cru.
J'ai juste le temps de commencer à dire :
-je vais…
Je jouis dans sa bouche bien fermée sur ma queue, son nez dans mes poils, les giclées chaudes et abondantes se suivent, je sens qu'il aspire tout ce que je crache et quand mes gémissements cessent et que je soupire un grand coup il libère ma queue mais continue de la lécher.
-eh bien t'avais pas joui depuis combien de temps ?
-hier dis je en riant mais c'est ta langue qui fait des miracles.
Il se relève et vient m'embrasser. Je descend son boxer, caressant ses belles fesses.
-je veux m'occuper de ta queue, gouter ton jus Max!
-tout est à toi mais je te préviens ça risque d'être rapide j'ai tellement pris de plaisir à te lécher et recevoir ton jus.
Effectivement sa belle queue était complètement décalottée et la mouille coulait au sol d'un mince filet.
Je me suis rapidement mis à genoux devant lui, regardant le bel engin de près, le caressant, enveloppant les belles couilles dans ma main qu'il gémissait déjà.
Tenant sa bite d'une main, j'ai léché le gland, enlevant la mouille qui sortait de plus en plus. Il sursautait à chaque coup de langue en poussant un petit cri, alors je jouais comme ça. Quel plaisir de l'entendre pousser ses petits cris et j'ai avalé sa queue bien au fond de ma gorge, elle arrivait juste sur la luette ce qui m'a fait tousser et pleurer mais j'ai maintenu pour m'habituer et je l'ai sucé, léché avec application.
C'est vrai qu'il n'a pas duré longtemps cette première fois et j'ai eu une belle récompense. Comme j'avais aimé sa salive, j'ai aimé le goût de son sperme et y'en avait! ça giclait dur et le bon jus coulait dans ma gorge. Je l'ai achevé en le suçant, l'aspirant encore plus, ses mains s'étaient posées sur ma tête.
Quand j'ai eu tout récupéré j'ai bien nettoyé cette belle bite qui bandait encore.
Il s'est mis à genoux devant moi, m'a pris dans ses bras et m'a embrassé. On a fermé les yeux pour se déguster longuement.
On a quand même fini par prendre une douche tous les deux, se laver, s'essuyer mutuellement pour aller boire l'apéro tous les deux, à poils les bites bien raides.
Il était doux, tendre, me faisait sans cesse des bisous et comme j'adore ça! j'aimais caresser sa peau douce, son odeur.
Il est venu s'asseoir à califourchon sur mes genoux, nos bites collées l'une à l'autre.
-tu sais ce que j'ai envie ?
-pour manger ? dis je innocemment en souriant.
-oh là je mange ce qu'il y a dit il en rigolant. J'ai envie de sentir ta queue dans mon petit cul, y'a un moment qu'il n'a pas eu de visite, faudrait pas que ça se referme!
On a ri tous les deux.
-t'en fais pas je vais tacher d'y remédier mais on va dîner d'abord et après je te ferais visiter ma chambre.
C'est exactement ce que nous avons fait. Si les bites avaient débandé un peu, quand elles ont vue le lit elles se sont redressées.
On a pris notre temps. On l'avait, ni lui ni moi ne travaillons le samedi.
Alors j'ai fait connaissance avec son corps de jeune mec! un corps chaud, souple, doux, imberbe. J'aime sucer sa belle bite et la faire jouir dans ma bouche mais quand je me suis attaqué à son petit cul…
Il a voulu se mettre à quatre pattes, le cul bien en l'air, les jambes écartées au max et c'est lui qui est venu ouvrir ses belles fesses me faisant découvrir son petit trou que j'ai touché d'un doigt, le caressant pour entendre Max pousser un long gémissement. J'ai léché chaque fesse, passant ma langue dans la raie, léchant le petit trou fermé, mais l'anneau était souple et au fur et à mesure de l'inondation de salive, il s'ouvrait devant mes yeux. Un doigt entrait facilement, j'ai caressé l'intérieur. Le moteur à gémissements étaient en route. Quand je mettais un doigt sur son trou c'est lui qui reculait dessus pour se l'enfoncer.
Alternant ma langue et mes doigts, j'ai vu l'anus rester ouvert.
Je me suis redressé pour mettre mon gland sur l'ouverture. Il a passé sa main entre ses fesses et m'a caressé les couilles tendrement. Je n'ai pas eu à pousser, j'ai vu son cul reculer sur ma bite, je l'ai laissé faire, à sa vitesse, à sa convenance. Voir son gland se faire avaler, aspirer par un sphincter qui s'ouvre et l'enveloppe. Quand le gland est passé, entré il a poussé un petit cri, s'est arrêté. Il respirait très fort et d'un seul coup son cul a avalé ma queue entièrement.
Vraiment gourmand le Max!
Il bougeait son cul comme pour faire entrer ma queue encore plus loin.
-baise moi maintenant! et ne fais pas attention si je crie trop fort! c'est normal dit il en riant!
Alors je lui ai donné ce qu'il voulait, et c'est vrai qu'il gueule le Max quand il se fait enculer. A chaque coup de reins ce sont gémissements et cris et quand les va-et-vient se font plus rapidement il n'arrête pas. Quel plaisir de l'entendre.
Ma queue coulissait en lui merveilleusement bien, elle se sentait comme chez elle comblant ce petit cul avec plaisir, chaleur et moiteur.
Il me tenait toujours les couilles et mes va-et-vient étaient de plus en plus secs! Jusqu'au moment où le plaisir est arrivé. J'ai senti le sperme passer dans mes couilles et gicler avec force dans son conduit. Les vannes étant ouvertes, j'ai giclé, giclé à n'en plus finir, le remplissant, l'inondant.
On gémissait et criait tous les deux jusqu'à ce que je m'écrase sur son dos. Il s'est allongé, j'étais toujours en lui, je lui faisais des bisous dans le cou.
-mais t'as un cul magnifique Max! j'y resterais.
Il a rigolé.
-mais ma queue veut ta bouche.
Alors je suis sorti de lui délicatement pour venir m'occuper de sa belle queue. Il s'est tourné en 69 pour me nettoyer la mienne pendant qu'il se vidait encore dans ma gorge en gémissant.
On a passé une nuit d'enfer! pas beaucoup dormi mais je crois qu'on connaissait bien chaque parcelle du corps de l'autre.
On a passé pratiquement le samedi au lit, juste se lever pour manger un peu et revenir dans les bras l'un de l'autre.
Il est resté le samedi soir et le dimanche on était vidé complètement.
-comme ça on tiendra jusqu'au week-end prochain a dit Max en riant.
-A te voir tous les jours et rien faire je ne sais pas si je vais tenir.
-oh mais alors si tu paies l'apéro un soir je peux repasser.
On se voit maintenant le plus souvent possible sans pour l'instant que personne le sache et c'est toujours un plaisir de se retrouver!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ah ah merci cher couple
Toujours trop bandant, comme d'hab.