Un si bel été, et ses suites (2)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Un si bel été, et ses suites (2)
Après des vacances, j’étais bien décidé à ne pas rester sur cette unique expérience. Agnès m’avait fait prendre conscience que des femmes matures pouvaient être sensibles à ma jeunesse et comme c’était vers elles qu’allait mon attirance, tout aurait dû être pour le mieux. Restait un problème de taille : comment les aborder ? En effet, cet été c’était Agnès qui avait pris l’initiative. Les semaines passaient, j’évoquais les femmes de mon entourage susceptibles d’accepter mes avances et je n’arrivais pas à trancher.
Je pensais à mes deux tantes, qui alimentaient depuis longtemps mes fantasmes. Elles avaient l’une et l’autre l’avantage (mais en était-ce vraiment un ?) d’être proches. Aline, de trois ans plus âgée que ma mère, belle femme élégante mais à l’allure assez stricte, professeur de maths, m’impressionnait un peu. Mariée, deux fils plus vieux que moi, il était peu probable qu’elle trompe mon oncle, et qui plus est avec son neveu plus jeune que ses propres enfants. En revanche Julie, la cadette, était célibataire, ou plutôt divorcée. C’était une petite brune très sexy, rieuse et pétillante. Quand j’étais petit, elle avait souvent eu l’occasion de venir me garder les soirs où ma mère devait sortir. J’aimais particulièrement qu’elle me donne mon bain. Elle jouait parfois en toute innocence ( ? ) avec mon zizi et elle avait d’ailleurs été à l’origine de mes premières érections. Mais j’avais grandi et cela avait pris fin. Alors elle, peut-être ? Je n’arrivais pas me décider.
C’est alors que survint ce qui allait mettre fin à ces tergiversations. Un samedi d’octobre, ma mère étant à la librairie où elle travaillait avec sa sœur, j’étais seul quand on sonna avec insistance. C’est Cécile, l’amie de maman, qui entre en trombe, jette ses sacs sur le canapé et se précipite vers la salle de bain : « Vite ! J’ai une terrible envie de faire pipi ! »Quand elle en ressort, elle ôte son élégant blouson, se laisse tomber dans un fauteuil et me demande : « Tu ne veux pas me faire un thé, tu seras un ange. » L’ange s’exécute puis vient s’assoir sur le canapé d’où il a une vue privilégiée : Cécile a laissé tomber ses escarpins et écarte légèrement les jambes. Sa courte jupe me permet de voir ses cuisses, et, plus haut, une petite culotte blanche qui me procure une solide érection.
Elle bavarde, m’explique qu’elle faisait les magasins dans le quartier quand elle avait eu cette envie pressante. Elle me parle de ses emplettes, se lève à mon grand regret, mais elle sort de ses sacs divers articles de lingerie, soutien-gorge, culottes et strings dont elle me vante les mérites. « Les hommes adorent ça, me dit-elle, et il faut toujours être prête ! »Elle s’assoit près de moi.
« A ton âge, bien-sûr, on n’est pas sensible à tout ça, et je suppose que tes copines portent des petites culottes toutes simples, mais tu verras… »Ce disant, elle a négligemment posé sa main sur ma cuisse, à proximité immédiate de la bosse que fait mon sexe en érection. Elle me parle toujours mais à présent ses doigts se posent comme par inadvertance sur ma bite raidie, puis exercent de légères pressions, comme pour en éprouver la fermeté. Je reste d’abord immobile, ne sachant que faire, mais la pression se faisant plus appuyée et sans ambiguïté, Je rassemble tout mon courage et pose à mon tour la main sur un de ses seins moulés par le fin pullover.
« Ah, tout-de-même ! » me dit-elle en riant.
Elle colle sa bouche à la mienne, nos langues se trouvent et se mêlent, je plote son sein. Pour me faciliter la tâche, elle se débarrasse de son pull et je peux glisser la main sous le soutien-gorge. Je sens son téton durci dans le creux de ma paume. D’une main experte et sans quitter ma bouche, elle a défait le bouton de mon pantalon, fait glisser le zip et sorti ma bite qu’elle branle lentement. Elle baisse la tête et prend mon gland entre ses lèvres, le suce en continuant à me branler. Je ressens des contractions incontrôlables dans le bas-ventre, je crois que je gémis de plaisir et enfin je jouis. Sans cesser de me branler, elle avale mon sperme à chaque giclée. Brusquement elle se redresse, retrousse sa jupe et écarte le bord de sa culotte.
« A ton tour de me faire jouir, mon petit salaud » me dit-elle en guidant ma tête vers ses cuisses écartées. Sa chatte largement ouverte m’est offerte, parfaitement épilée, les lèvres formant deux épais festons de chair d’un rose brun de part et d’autre du vagin béant aux parois humides allant du rose au rouge vif. Son clitoris proéminant se dresse comme un petit doigt pointé vers moi, presqu’une bite miniature. Au comble de l’excitation, je colle ma bouche à cette vulve ouverte, ma langue s’introduit le plus profond possible. Cécile respire bruyamment, gémit, prononce des mots crus : « Vas-y, mon salaud, bouffe-moi… Fais-moi jouir… Oui…oui… » Je suce son clitoris comme pour le téter. Elle s’agite, à plusieurs soubresauts et pousse un cri « Ouiiii. » tandis que je sens de petits jets poisseux me gicler par à-coups dans la bouche. Elle se détend, se laisse aller. « Ah, petit salaud… petit salaud… »Nous restons quelques minutes silencieux côte à côte, puis elle regarde sa montre :« Déjà six heures et demi ! Il faut que je file ! »Elle se rajuste prestement, tire sur sa jupe, rassemble sacs et blouson. Au moment de franchir la porte elle se retourne : « C’était pas mal du tout, tu sais. »Elle ajoute en riant : « Ne parle pas de ça à ta mère ; je ne suis pas certaine qu’elle apprécie » et disparaît, me laissant tout étourdi, le visage poisseux et en mémoire l’odeur de sa chatte, une odeur un peu marine subtilement mêlée à un parfum que j’identifierai plus tard comme étant le mythique N°5 de Chanel.
Au retour de ma mère, je lui dis simplement : « Cécile est passée. » Elle me regarde d’un air soupçonneux, me semble-t-il :« Tiens ! Et qu’est-ce qu’elle voulait ?
-Elle avait envie de faire pipi.
-Cette Cécile, quel numéro ! » dit ma mère en riant.
Je pensais à mes deux tantes, qui alimentaient depuis longtemps mes fantasmes. Elles avaient l’une et l’autre l’avantage (mais en était-ce vraiment un ?) d’être proches. Aline, de trois ans plus âgée que ma mère, belle femme élégante mais à l’allure assez stricte, professeur de maths, m’impressionnait un peu. Mariée, deux fils plus vieux que moi, il était peu probable qu’elle trompe mon oncle, et qui plus est avec son neveu plus jeune que ses propres enfants. En revanche Julie, la cadette, était célibataire, ou plutôt divorcée. C’était une petite brune très sexy, rieuse et pétillante. Quand j’étais petit, elle avait souvent eu l’occasion de venir me garder les soirs où ma mère devait sortir. J’aimais particulièrement qu’elle me donne mon bain. Elle jouait parfois en toute innocence ( ? ) avec mon zizi et elle avait d’ailleurs été à l’origine de mes premières érections. Mais j’avais grandi et cela avait pris fin. Alors elle, peut-être ? Je n’arrivais pas me décider.
C’est alors que survint ce qui allait mettre fin à ces tergiversations. Un samedi d’octobre, ma mère étant à la librairie où elle travaillait avec sa sœur, j’étais seul quand on sonna avec insistance. C’est Cécile, l’amie de maman, qui entre en trombe, jette ses sacs sur le canapé et se précipite vers la salle de bain : « Vite ! J’ai une terrible envie de faire pipi ! »Quand elle en ressort, elle ôte son élégant blouson, se laisse tomber dans un fauteuil et me demande : « Tu ne veux pas me faire un thé, tu seras un ange. » L’ange s’exécute puis vient s’assoir sur le canapé d’où il a une vue privilégiée : Cécile a laissé tomber ses escarpins et écarte légèrement les jambes. Sa courte jupe me permet de voir ses cuisses, et, plus haut, une petite culotte blanche qui me procure une solide érection.
Elle bavarde, m’explique qu’elle faisait les magasins dans le quartier quand elle avait eu cette envie pressante. Elle me parle de ses emplettes, se lève à mon grand regret, mais elle sort de ses sacs divers articles de lingerie, soutien-gorge, culottes et strings dont elle me vante les mérites. « Les hommes adorent ça, me dit-elle, et il faut toujours être prête ! »Elle s’assoit près de moi.
« A ton âge, bien-sûr, on n’est pas sensible à tout ça, et je suppose que tes copines portent des petites culottes toutes simples, mais tu verras… »Ce disant, elle a négligemment posé sa main sur ma cuisse, à proximité immédiate de la bosse que fait mon sexe en érection. Elle me parle toujours mais à présent ses doigts se posent comme par inadvertance sur ma bite raidie, puis exercent de légères pressions, comme pour en éprouver la fermeté. Je reste d’abord immobile, ne sachant que faire, mais la pression se faisant plus appuyée et sans ambiguïté, Je rassemble tout mon courage et pose à mon tour la main sur un de ses seins moulés par le fin pullover.
« Ah, tout-de-même ! » me dit-elle en riant.
Elle colle sa bouche à la mienne, nos langues se trouvent et se mêlent, je plote son sein. Pour me faciliter la tâche, elle se débarrasse de son pull et je peux glisser la main sous le soutien-gorge. Je sens son téton durci dans le creux de ma paume. D’une main experte et sans quitter ma bouche, elle a défait le bouton de mon pantalon, fait glisser le zip et sorti ma bite qu’elle branle lentement. Elle baisse la tête et prend mon gland entre ses lèvres, le suce en continuant à me branler. Je ressens des contractions incontrôlables dans le bas-ventre, je crois que je gémis de plaisir et enfin je jouis. Sans cesser de me branler, elle avale mon sperme à chaque giclée. Brusquement elle se redresse, retrousse sa jupe et écarte le bord de sa culotte.
« A ton tour de me faire jouir, mon petit salaud » me dit-elle en guidant ma tête vers ses cuisses écartées. Sa chatte largement ouverte m’est offerte, parfaitement épilée, les lèvres formant deux épais festons de chair d’un rose brun de part et d’autre du vagin béant aux parois humides allant du rose au rouge vif. Son clitoris proéminant se dresse comme un petit doigt pointé vers moi, presqu’une bite miniature. Au comble de l’excitation, je colle ma bouche à cette vulve ouverte, ma langue s’introduit le plus profond possible. Cécile respire bruyamment, gémit, prononce des mots crus : « Vas-y, mon salaud, bouffe-moi… Fais-moi jouir… Oui…oui… » Je suce son clitoris comme pour le téter. Elle s’agite, à plusieurs soubresauts et pousse un cri « Ouiiii. » tandis que je sens de petits jets poisseux me gicler par à-coups dans la bouche. Elle se détend, se laisse aller. « Ah, petit salaud… petit salaud… »Nous restons quelques minutes silencieux côte à côte, puis elle regarde sa montre :« Déjà six heures et demi ! Il faut que je file ! »Elle se rajuste prestement, tire sur sa jupe, rassemble sacs et blouson. Au moment de franchir la porte elle se retourne : « C’était pas mal du tout, tu sais. »Elle ajoute en riant : « Ne parle pas de ça à ta mère ; je ne suis pas certaine qu’elle apprécie » et disparaît, me laissant tout étourdi, le visage poisseux et en mémoire l’odeur de sa chatte, une odeur un peu marine subtilement mêlée à un parfum que j’identifierai plus tard comme étant le mythique N°5 de Chanel.
Au retour de ma mère, je lui dis simplement : « Cécile est passée. » Elle me regarde d’un air soupçonneux, me semble-t-il :« Tiens ! Et qu’est-ce qu’elle voulait ?
-Elle avait envie de faire pipi.
-Cette Cécile, quel numéro ! » dit ma mère en riant.
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