Un si bel été et ses suites-3
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Un si bel été et ses suites-3
Un si bel été et ses suites-3
Les jours qui suivirent, très excité par ce qui s’était produit, je me pensais autorisé à espérer pouvoir baiser Cécile. Je cherchai discrètement son numéro de téléphone dans le répertoire de ma mère et je finis par me décider à l’appeler :« Allo, Cécile, c’est moi. J’aimerais bien… (je bafouille un peu) …tu voudrais… j’ai envie de te revoir. »Après un silence elle répond :« Demain après-midi, vers 3 heures, ça te convient ? Bon, voici mon adresse exacte. Je suppose que tu n’as pas envie de la demander à ta mère, » ajoute-t-elle en riant.
Ce samedi, je me trouve dons devant son immeuble à 3 heures précises. L’interphone grésille. « Monte, c’est au premier, à droite. » Quand j’arrive sur le palier, la porte s’ouvre, elle me fait entrer, me pose un rapide baiser sur les lèvres, me prend par le bras et m’entraine directement dans sa chambre.
« Alors, tu avais envie de me revoir » dit-elle avec un peu d’ironie. Rlle passe son pull par-dessus la tête, se débarrasse de sa jupe. Elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge, juste des bas qui rendent sa nudité encore plus érotique. La décoration de sa chambre est très dépouillée, baignée d’une lumière tamisée, et le lit me semble immense. Elle s’y couche, genoux pliés, cuisses largement écartées. Je retrouve sa motte impeccablement épilée, ses lèvres proéminentes et le vagin profond déjà ouvert.
« Allez, viens vite me brouter, petit cochon. »Je me retrouve rapidement nu, allongé entre ses jambes, la bouche collée à sa vulve déjà bien humide. Elle me tient fermement la tête entre ses cuisses tandis que ma langue s’active pour s’introduire au plus profond de son vagin. Je n’oublie pas non plus son clitoris. Elle mouille abondamment, cambre les reins pour mieux m’offrir sa chatte, respire bruyamment. Brusquement elle tire ma tête en arrière : « Branle-toi. Je veux te voir te branler devant moi. » Agenouillé entre ses jambes, je lui obéis, un peu gêné. Fasciné, je la vois mettre un puis deux doigts dans sa chatte. Elle se masturbe aussi, introduit presque toute sa main qu’elle agite énergiquement. Je me sens déjà proche de l’éjaculation quand elle m’attire sur elle : « Baise-moi, mon petit salaud, met-moi ta bite. » Couché sur elle, je présente ma bite et d’un coup de rein elle l’introduit dans sa vulve béante. Je suis surpris de sentir aussitôt ses muscles étreindre étroitement mon membre. Elle ondule des hanches et je glisse entre les parois de son vagin. Je voudrais retarder mon éjaculation, profiter de ce moment. Elle me fait rouler sur le dos, c’est elle à présent qui me chevauche, alternant rythme rapide puis plus lent. Ne pouvant me retenir plus longtemps, j’explose en elle en gémissant. Elle me rejoint rapidement dans l’orgasme et s’affale sur moi en soupirant : « Ah, mon petit cochon, tu es bon… »Nous restons ainsi un moment, immobiles et silencieux. Puis elle se lève : « Ne bouge pas, je reviens. » Pour la première fois je la vois de dos, ses fesses rondes ondulent quand elle sort de la pièce.
Elle revient bientôt avec deux verres ! « Tiens, faisons une pose. Ce n’est pas fini, j’espère. » Je n’ai pas tellement l’habitude de l’alcool, mais je trouve ce whisky bienvenu.
Assise en tailleur sur le lit, m’offrant ainsi la vue sur sa chatte luisante de foutre, elle me pose des questions sur mes « conquêtes ». Je lui avoue mon unique aventure avec Agnès.
« Alors comme ça, tu préfères les vieilles » me dit-elle en riant.
Je me sens rougir en lui avouant que je rêvais d’elle depuis longtemps.
« Tu crois que je ne m’en étais pas aperçue ! Je m’amusais à faire en sorte que tu puisses mater mon entrejambe, petit vicieux. Je te voyais rougir ! Cette Agnès a eu de la chance ; j’aurais aimé te dépuceler. Mais je ne voulais pas être accusée de détournement de mineur, j’ai raté le coche ! dit-elle en riant. Mais on va se rattraper ! » Elle prend ma bite et commence à me masturber doucement. Je reprends vite de la vigueur et caresse ses seins que je sens se tendre sous ma main. Cécile se penche et prend mon gland entre ses lèvres, elle le tète, passe le bout de la langue sur l’orifice. Je me laisse faire, conscient de ma chance de profiter de son expérience en la matière. Elle me fait ensuite allonger pour un 69. Je suis sous elle, sa vulve encore pleine de mon sperme s’applique se pose sur ma bouche Après une courte hésitation, je lèche sa vulve. L’odeur de mon foutre se mêle à celui de sa chatte, mer et N°5. Elle me suce méthodiquement, ses lèvres allant et venant tout le long de ma queue. Elle doit avoir senti que je n’allais pas tarder à venir. Elle me dit : « Continue comme ça, je vais jouir… » En effet, j’ai senti son jus affluer dans ma bouche. Comme elle a repris ma bite je n’y tiens plus et j’éjacule. Presqu’au même instant elle se cabre dans un nouvel orgasme, sans lâcher ma bite jusqu’à ce qu’elle se rétracte. Elle se laisse ensuite rouler sur le dos, haletante. « He bien, mon petit cochon, tu ne t’en tires pas mal du tout !
Bon, je crois qu’on va s’arrêter là…pour aujourd’hui. »Venant d’elle, j’apprécie le compliment. Et ce « pour aujourd’hui » est de bon augure pour l’avenir.
Les jours qui suivirent, très excité par ce qui s’était produit, je me pensais autorisé à espérer pouvoir baiser Cécile. Je cherchai discrètement son numéro de téléphone dans le répertoire de ma mère et je finis par me décider à l’appeler :« Allo, Cécile, c’est moi. J’aimerais bien… (je bafouille un peu) …tu voudrais… j’ai envie de te revoir. »Après un silence elle répond :« Demain après-midi, vers 3 heures, ça te convient ? Bon, voici mon adresse exacte. Je suppose que tu n’as pas envie de la demander à ta mère, » ajoute-t-elle en riant.
Ce samedi, je me trouve dons devant son immeuble à 3 heures précises. L’interphone grésille. « Monte, c’est au premier, à droite. » Quand j’arrive sur le palier, la porte s’ouvre, elle me fait entrer, me pose un rapide baiser sur les lèvres, me prend par le bras et m’entraine directement dans sa chambre.
« Alors, tu avais envie de me revoir » dit-elle avec un peu d’ironie. Rlle passe son pull par-dessus la tête, se débarrasse de sa jupe. Elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge, juste des bas qui rendent sa nudité encore plus érotique. La décoration de sa chambre est très dépouillée, baignée d’une lumière tamisée, et le lit me semble immense. Elle s’y couche, genoux pliés, cuisses largement écartées. Je retrouve sa motte impeccablement épilée, ses lèvres proéminentes et le vagin profond déjà ouvert.
« Allez, viens vite me brouter, petit cochon. »Je me retrouve rapidement nu, allongé entre ses jambes, la bouche collée à sa vulve déjà bien humide. Elle me tient fermement la tête entre ses cuisses tandis que ma langue s’active pour s’introduire au plus profond de son vagin. Je n’oublie pas non plus son clitoris. Elle mouille abondamment, cambre les reins pour mieux m’offrir sa chatte, respire bruyamment. Brusquement elle tire ma tête en arrière : « Branle-toi. Je veux te voir te branler devant moi. » Agenouillé entre ses jambes, je lui obéis, un peu gêné. Fasciné, je la vois mettre un puis deux doigts dans sa chatte. Elle se masturbe aussi, introduit presque toute sa main qu’elle agite énergiquement. Je me sens déjà proche de l’éjaculation quand elle m’attire sur elle : « Baise-moi, mon petit salaud, met-moi ta bite. » Couché sur elle, je présente ma bite et d’un coup de rein elle l’introduit dans sa vulve béante. Je suis surpris de sentir aussitôt ses muscles étreindre étroitement mon membre. Elle ondule des hanches et je glisse entre les parois de son vagin. Je voudrais retarder mon éjaculation, profiter de ce moment. Elle me fait rouler sur le dos, c’est elle à présent qui me chevauche, alternant rythme rapide puis plus lent. Ne pouvant me retenir plus longtemps, j’explose en elle en gémissant. Elle me rejoint rapidement dans l’orgasme et s’affale sur moi en soupirant : « Ah, mon petit cochon, tu es bon… »Nous restons ainsi un moment, immobiles et silencieux. Puis elle se lève : « Ne bouge pas, je reviens. » Pour la première fois je la vois de dos, ses fesses rondes ondulent quand elle sort de la pièce.
Elle revient bientôt avec deux verres ! « Tiens, faisons une pose. Ce n’est pas fini, j’espère. » Je n’ai pas tellement l’habitude de l’alcool, mais je trouve ce whisky bienvenu.
Assise en tailleur sur le lit, m’offrant ainsi la vue sur sa chatte luisante de foutre, elle me pose des questions sur mes « conquêtes ». Je lui avoue mon unique aventure avec Agnès.
« Alors comme ça, tu préfères les vieilles » me dit-elle en riant.
Je me sens rougir en lui avouant que je rêvais d’elle depuis longtemps.
« Tu crois que je ne m’en étais pas aperçue ! Je m’amusais à faire en sorte que tu puisses mater mon entrejambe, petit vicieux. Je te voyais rougir ! Cette Agnès a eu de la chance ; j’aurais aimé te dépuceler. Mais je ne voulais pas être accusée de détournement de mineur, j’ai raté le coche ! dit-elle en riant. Mais on va se rattraper ! » Elle prend ma bite et commence à me masturber doucement. Je reprends vite de la vigueur et caresse ses seins que je sens se tendre sous ma main. Cécile se penche et prend mon gland entre ses lèvres, elle le tète, passe le bout de la langue sur l’orifice. Je me laisse faire, conscient de ma chance de profiter de son expérience en la matière. Elle me fait ensuite allonger pour un 69. Je suis sous elle, sa vulve encore pleine de mon sperme s’applique se pose sur ma bouche Après une courte hésitation, je lèche sa vulve. L’odeur de mon foutre se mêle à celui de sa chatte, mer et N°5. Elle me suce méthodiquement, ses lèvres allant et venant tout le long de ma queue. Elle doit avoir senti que je n’allais pas tarder à venir. Elle me dit : « Continue comme ça, je vais jouir… » En effet, j’ai senti son jus affluer dans ma bouche. Comme elle a repris ma bite je n’y tiens plus et j’éjacule. Presqu’au même instant elle se cabre dans un nouvel orgasme, sans lâcher ma bite jusqu’à ce qu’elle se rétracte. Elle se laisse ensuite rouler sur le dos, haletante. « He bien, mon petit cochon, tu ne t’en tires pas mal du tout !
Bon, je crois qu’on va s’arrêter là…pour aujourd’hui. »Venant d’elle, j’apprécie le compliment. Et ce « pour aujourd’hui » est de bon augure pour l’avenir.
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