Un si joli petit cul 2/2 - histoire érotique

Il lève alors à nouveau sa main dans les airs, perdant à regret le contact avec cette peau si parfaite et constate que bien qu’il a tenté de frapper doucement, les petites miches sont comme marquées au fer rouge de ses cinq grands doigts et de sa large paume. Il arrête net son mouvement, comprenant qu’il est allé trop loin, il pose Jason qui tombe à quatre pattes dans le sable, exposant à nouveau ses petites fesses, son slip étant toujours accroché à ses chevilles. Sanglotant de douleur et d’humiliation, il se lève alors aussi vite qu’il le peut, remonte son maillot et court en pleurant jusqu’au camping où la bande réside. La bande d’amis que la gêne face à ce jeu qui a dégénéré rend muette, ramasse ses affaires et rejoint Jason, pendant que Kevin est figé, les pieds dans le sable, regardant la frêle silhouette de sa victime s’éloigner en titubant d’ivresse et de chagrin. Il se demande si ce qui vient de se passer est réel.


Il a été victime d’une telle avalanche de pensées contradictoires qu’il est totalement ébranlé et finit par s’asseoir dans le sable face à la lune qui se lève.



Il essaie de faire le point, refusant d’admettre ses pulsions, et abattu par le traitement si humiliant qu’il a fait subir à son ami, dont le petit corps provoque en lui tant de désir, et surtout ses petites fesses dont l’image de la trace de bronzage est imprimée profondément dans son esprit, et lui déclenche immédiatement une érection triomphante. Il resta ainsi de longues minutes. Il n’était pas du genre à laisser traîner les choses et il décide de faire le point avec sa victime involontaire dès ce soir.



Il entre à pas de loup dans la pièce du bungalow qu’il occupe avec Jason. Il allume une lampe de chevet qui diffuse une lumière douce dans la pièce et tombe sur le magnifique spectacle du petit corps nu du gringalet qui dort à poings fermés. Sûrement que ses fesses encore rouges sont si meurtries qu’il ne supporte pas le contact d’un slip. Il est à moitié emmêlé dans ses draps, une de ses fines jambes repliée et l’autre étendue. On distingue ses petits testicules et son mini-pénis, eux aussi totalement imberbes. Ses mains sont superposées sous sa tête et à chacune de ses inspirations, ses frêles omoplates bougent gracieusement. Kevin a à nouveau le tournis face à ce déluge d’émotions qu’il ne connaissait pas. Jamais il n’avait trouvé une femme aussi belle et délicate que Jason. Ses anciennes conquêtes lui paraissent grosses et vulgaires face à la finesse de ce corps d’éphèbe. Réveillé par la lumière, Jason ouvre un œil et voit le géant qui dévore des yeux ses fesses nues.


Une réaction réflexe le fait s’asseoir et tirer le drap contre lui pour masquer sa nudité face au colosse qui le dévisage, lui qui n’est pas aussi pudique d’habitude. Ses yeux sont encore un peu gonflés des larmes que la douleur et l’humiliation lui ont fait verser. Voyant la réaction apeurée de son ami chétif, Kevin lui montre le plat de ses immenses mains qui lui ont fait si mal, et lui chuchote:

— Ne t’inquiète pas, je ne te veux pas de mal. Je suis vraiment désolé, je ne comprends pas ce qui s’est passé. Je peux m’asseoir ?



Tout en gardant précautionneusement son petit corps imberbe sous le drap à l’abri du regard du géant, Jason se déplace de côté et se recroqueville dans le coin du lit. C’est comme si le géant voyait son ami pour la première fois, ses bras et ses mains si fins, son cou de cygne, son visage si bien dessiné, sa peau de pêche, ses grands yeux noirs et pétillants entourés de longs cils, ses lèvres fines et roses. Il lui paraît à la fois si fragile et si sensuel, assis sur le lit, les genoux ramenés contre son torse. Kevin pose délicatement ses 180 kilos sur le lit qui grince sous sa masse et ne pourrait en supporter plus. Le petit bonhomme fixe d’un regard craintif et interrogatif le colosse, et finit par s’adresser à lui d’une voix étranglée.


— Qu’est-ce qui t’a pris ? Ce n’était qu’un jeu. Tu m’as mis cul nu et fessé comme si j’étais un gosse pas sage ? Tu t’attendais à ce que je me défende avec mes 55 kilos face à une brute comme toi ?



Kevin tourne sa langue dans sa bouche, cherchant à formuler ce qu’il n’arrivait même pas à concevoir.


— Je ne comprends pas. Je peux juste t’expliquer ce que j’ai ressenti. Ça a commencé quand je t’ai soulevé. Tu es si léger que c’est à peine si j’ai senti ton poids. Quand j’ai regardé ton petit corps qui gigotait contre moi, je t’ai trouvé si beau avec ta taille si fine, avec tes jambes de gazelle et surtout tes petites fesses ! C’est comme si je découvrais ton corps pour la première fois. J’ai été si chamboulé que je n’ai pas su comment réagir et me suis laissé entraîner par les autres.



Les pupilles de Jason se dilatent de surprises. Il regarde immobile le géant lui déclarer son attirance, la bouche à demi ouverte.


— Mais tu as baissé mon maillot jusqu’à mes chevilles ? Rien ne t’y obligeait ?

— Je brûlais d’envie de voir tes petites fesses, de les toucher, et je n’ai pas osé m’ opposer au groupe. Et puis comme j’avais une érection visible, je préférai que l’on croit que j’étais un peu sadique, plutôt que j’avais du désir pour toi.

— Tu as eu une érection ?

— Oui, je bandais comme jamais je n’ai bandé !



Jason n’en revient pas. Jamais il n’aurait pensé que son petit corps puisse susciter autant de désir chez son géant d’ami. Baissant les yeux sur l’entrejambe de Kevin, il constate que celui-ci a fait une nouvelle fois un chapiteau de son caleçon.


— Mais tu bandes encore ?

— Je ne peux me contrôler. Quand j’ai allumé la lampe, je t’ai vu à moitié nu, dormant comme un ange, et maintenant tu caches ton magnifique petit corps nu sous ce drap à quelques centimètres de moi, et ça me donne très envie de toi... je crois !



Jason a les larmes aux yeux. Il est à la fois si flatté et si terrifié des désirs de cet être titanesque, ne sachant comment il souhaite les assouvir.


— Mais que veux-tu me faire ?

— Laisse-moi t’embrasser déjà.



Le géant se penche alors pour déposer un baiser sur les lèvres du petit homme qui sont si douces. Il en profite pour saisir le drap et le tirer tout doucement à lui pour laisser apparaître le corps mince et délicat de son ami, dont il veut faire son amant. Jason ne bouge pas. Il a, à sa grande surprise, aussi envie de sentir les lèvres du géant sur les siennes. Le contact de sa barbe de trois jours sur sa peau glabre le fait vibrer. Kevin jette le drap à l’autre bout de la pièce et maintenant qu’il a ses lèvres sur celles de Jason, il saisit la mâchoire du minet entre ses gros doigts et fait entrer doucement sa langue dans sa bouche, qui s’ouvre sans rechigner. Son autre main se pose sur la petite cuisse de Jason, qu’il se met à caresser et pétrir. Jason ne montre aucune réaction de rejet et au contraire, place ses petits bras autour du cou musculeux du colosse.


Satisfait et presque grisé de la réaction positive de l’objet de ses désirs, Kevin se lève et dresse son immense silhouette face au petit corps assis de Jason. Il quitte alors son caleçon et libère sa monstrueuse bite. Jason n’en revient pas de la taille de l’engin.


— Mon Dieu ! C’est vraiment énorme ! Que veux tu que je fasse avec ça !



Kevin s’approche de Jason, place l’arrière de sa tête dans sa paume immense, et guide sa bouche vers son gland. Jason est ébahi par ce pénis qui est plus long que sa tête et plus gros que ses bras rachitiques. Il attrape alors l’énorme queue de ses deux mains et engouffre le titanesque chibre. S’inspirant des films pornos qu’il a matés en cachette, il donne de la tête comme les blondes vulgaires, auxquelles il s’identifie maintenant. Cette situation l’excite finalement terriblement et sa petite bite se dresse fièrement vers le ciel.


— Je vois que ça te plaît beaucoup ! J’avais perçu que tu allais aimer ça.



Jason redouble d’efforts avalant et recrachant l’énorme dard du géant musclé, ouvrant sa mâchoire aussi grande que possible pour satisfaire le colosse qui soumis à ce désir depuis trop longtemps, éjacule dans la bouche de son petit amant. De grosses giclées d’un sperme épais saturent la bouche du mignon qui manque de s’étouffer et crache la semence de Kevin qui s’écoule à la commissure de ses lèvres. Satisfait, le géant pose deux de ses gros doigts sous le menton du minet et le force à le regarder.


— Tu sais quoi ? Tu ressembles vraiment à l’actrice du dernier film porno que l’on a vu, après qu’elle ait satisfait ses partenaires, sauf que ton cul est encore plus petit et plus mignon.



Jason regarde médusé son ami s’esclaffer et tente de nettoyer le sperme qui coule sur son menton.


— Tu te souviens de ce qui se passe après ?

— Elle se fait prendre par-derrière... Tu n’y penses pas ! Avec le sexe que tu as ?

— Je serai doux comme un agneau. S’il te plaît ? Je l’ai déjà fait avec mes copines et elles ont beaucoup apprécié, mais c’est vrai que ton cul est vraiment minuscule.

— Je ne sais pas...



Kevin se penche, passe ses mains sous les aisselles de Jason et le soulève à bout de bras pour aller le poser sur la commode. Assis de cette manière, les fesses du mignon sont à hauteur du sexe du géant. Ce dernier saisit l’arrière d’une cuisse du petit homme et le force à se mettre sur le dos en la poussant. De l’index de sa main libre, il caresse le petit anus vierge de Jason qui jette sa tête en arrière et cambre son dos de plaisir. Le colosse augmente de plus en plus la pression et Jason n’en finit pas de grimper vers le paradis jusqu’à ce que le gros index pénètre l’anus délicat et s’enfonce de quelques centimètres. Jason est au septième ciel et jouit comme jamais il n’a joui. Il regarde le géant qui agite toujours son gros doigt dans son petit cul et halète de plaisir.


— Tu vois. Le plus dur est fait. Je vais juste y mettre quelque chose d’un peu plus gros.

— Ta bite est quand même beaucoup plus grosse que ton doigt ! Je ne sais pas si je vais pouvoir...



Jason ne peut finir sa phrase quand il sent le gland dur et rouge de Jason pousser sur son petit trou. La sensation de cette chose énorme sur son anus lui provoque des vibrations dans tout le corps et il sait maintenant qu’il veut être possédé par cette chose !


— Vas-y mon géant. Fais-moi l’amour.



Kevin, conscient qu’il pourrait déchirer Jason, laisse son dard entrer en douceur dans le fondement du freluquet. Quand 15 des 30 centimètres de son sexe ont pénétré, il commence à s‘activer en douceur. Jason gémit de plaisir de sentir cette bête en lui. A chaque coup de piston, Kevin pousse un peu plus loin et au bout de quelques minutes, Jason sent les énormes testicules de la brute sur ses petites fesses et il sait que son amant est totalement en lui.


— Je suis à toi. Fais-moi jouir à nouveau.



Kevin s’active progressivement, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Il prend plaisir à voir le petit corps de son amant rebondir à chacun de ses coups de boutoir. Il prend de plus en plus de plaisir à faire claquer ses cuisses poilues et musclées sur celles fines et imberbes de Jason. Pour éviter que le poids plume ne tombe de la commode, le géant attrape ses minces avant-bras dans ses immenses battoirs. Jason ne ressent rien d’autre que le pénis monstrueux qui lui laboure si agréablement les entrailles. Excité comme jamais, le géant libère les bras de Jason pour passer une main sous ses petites fesses, et une autre sous son dos, tout en le maintenant empalé. Il le soulève alors pour le plaquer contre son torse musclé. Le minet rachitique passe ses jambes maigrichonnes autour de la taille du colosse et ses petits bras autour de son cou de taureau. Par la simple force de ses bras, Kevin se met à faire coulisser son petit amant sur son chibre.


Jason est agité de haut en bas par le géant qui profite autant qu’il le peut de ce corps minuscule qui lui a provoqué tant d’émois. Le corps de Jason n’est plus qu’une petite masse passive dont le géant abuse agréablement. Jason va d’orgasme en orgasme, hyperstimulé par ce dard divin. Kevin sent le sien arrivé et ralentit le mouvement pour l’apprécier davantage. Jason sent alors les jets nombreux et abondants de sperme du géant qui inonde son intérieur, et qui finissent par suinter abondamment autour de son anus. C’est ce moment que leur bande d’amis choisit pour aller voir si tout va bien, inquiet du brouhaha provoqué par leurs ébats. Il tombe sur la scène imprévue du géant qui tient empalé sur son chibre, le petit corps nu de Jason, par la simple force de ses bras musclés, alors qu’une flaque de sperme est en train de se former à l’aplomb des petites fesses du petit homme.


— Tout va bien ? ... Oups, je crois que l’on dérange...



Au moins, les deux amants n’auraient pas à se cacher. Alors que la porte se referme, Kevin soulève délicatement Jason pour que ses lèvres atteignent les siennes et l’embrasser tendrement...


— Tu as aimé ça ?

— oh oui ! Je crois que je ne pourrai plus m’en passer !

— ça tombe bien, moi non plus.



Fin