Un simple Oui et la vie s'ouvre à de nouveaux horizons
Récit érotique écrit par Philibert69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Un simple Oui et la vie s'ouvre à de nouveaux horizons
Il y a quelques années, nous avons vécus une aventure inoubliable, principalement pour Maude. Quels progrès n’a-t-elle pas fait, sans parler des jeux polissons imposés … oui mais lesquels me direz-vous petits coquin !
Nous avions pris l'habitude de faire un tour dans des saunas mixtes, de temps en temps, une dizaine de fois par an, pour le plus grand plaisir de Madame.
Un soir, un Monsieur très comme il faut, « bon chic bon genre », m'avait demandé s'il pouvait l'espace de ce soir-là, partager mon épouse avec quelques messieurs. La marque de son alliance laissait présager qu'il pensait qu'en ne la portant pas il ne trompait pas sa petite femme. Je lui montrais le sillon blanc sur son doigt et je me permis cette saillie, peut-être que votre épouse ne partage pas vos fantasmes ?
Il sourit et me dit : « malheureusement non, mais elle a d'autres qualités », je n'en doutais pas. Il me propose « nous pourrions nous retrouver au bar d'ici un petit quart d'heure », ainsi fût fait.
Maude mon épouse revenant de la douche, je lui propose de prendre un verre au bar, elle accepte avec plaisir et ajoute espiègle « cela me fera du bien, ils m'ont fait jouir comme ce n'est pas permis ».
Nous nous dirigeons vers le bar et nous y prenons un tabouret. La serviette de Madame s'ouvre un peu, en effet comme elle est timide je veille toujours à ce qu'on ne lui donne pas de peignoir. La voici mutine, heureuse, souriante qui me conte que pendant que je prenais ma douche trois messieurs l'on conduite dans une petite loge, celle qui ferme à clef et n'a pas de fenestron pour les voyeurs; je le savais dis-je « nous t'avons tous entendu jouir avec puissance et moult clameurs, beaucoup on essayer de rentrer mais la porte était close ».
Le Monsieur arrive, nous salue bien poliment et engage la conversation avec ma femme tout en posant sa main sur le haut de sa cuisse, ses doigts glissent sur ses lèvres, il félicite pour ce « si beau récital ».
Il se permet même de lui reprocher gentiment de l’avoir donné à huit clos. Elle se défend la coquine en lui expliquant qu’elle n’a rien pu faire que se sont ces messieurs qui l’ont conduite dans cette loge et en ont fermé la porte à clef.
Une fois la porte fermée le plus grand s’est exclamé « ta jolie chatte est pour nous, cela fait longtemps qu’on veut de te baiser surtout depuis que nos copains, le cordonnier et le bourrelier, t’on reconnus un jour que nous avions passé l’après-midi ici, ils se sont faufilés pour que vous ne les voyez pas mais quand on leur a demandés ils se sont fait un plaisir de nous dire qui tu étais ».
« Tu vas déguster car cela fait longtemps que l’on t’attend, vous ne venez pas assez souvent mais on savait bien qu’on te verrait, d’ailleurs c’est Jacques qui ta vue, il nous a tout de suite appelé tu vas voir on va te baiser comme des bêtes et tu ne pourras rien nous refuser, tu seras notre chienne ce soir … si tu tiens à notre discrétion, évidement nous préviendrons Claude (le cordonnier) que tu es une bonne salope. Dorénavant si tu tiens à notre discrétion quand tu viendras nous voir tu seras toujours nue sous ta robe ou sous ton manteau. Tu iras porter tes chaussures pour de petits travaux mardi, Claude est fermé le lundi, tu passeras mardi en début d’après-midi et tu viendras les récupérer à la fermeture, il ne pouvait pas venir ce soir on s’est entendu avec lui. Pas question de rentrer chez toi mettre des sous-vêtement tu resteras à poils sous ta robe ou ton manteau toute la journée ».
Elle est un peu gênée mais sans plus, qui sont ces hommes qui nous connaissent …. Bah il sera toujours temps de savoir.
Le gentil et aimable Monsieur lui dit « vous n’avez pas le choix, vous irez chez votre cordonnier mardi et vous ferez des concessions si nécessaires pour vous assurer de leur discrétion, quand pensez-vous me dit –il ? » Je pensais qu’il n’avait pas tort et à regarder les yeux de Madame pétiller de joie je comprenais que l’idée que des personnes de notre entourage la connaissent l’ennuyait un peu mais la réjouissait beaucoup, elle prenait conscience que ces gens allaient la baiser quand ils en auraient envie et ça l’excitait la bougresse.
Maintenant que nous avons fait un peu connaissance nous dit le monsieur « bien comme il faut », « je vous propose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient ni l’in ni l’autre, de prendre madame sous mon aile pour la soirée et de la partager avec qui bon me semblera, un peu comme une sorte de jeu pour parfaire celui que ces messieurs, qui ont déjà disparus, vous ont fait vivre ma belle ».
Je la vois toute excitée, hésitante, attendant ma réponse en me regardant avec ses yeux langoureux qui me disent « oui acceptes, s’il te plaît acceptes ! » Je donne mon accord, elle vient se coller à moi, le monsieur « si bien » a retenu la serviette et elle est toute nue au bar devant tout le monde. Elle m’embrasse, me remercie et me glisse tout bas à l’oreille : « quand je l’ai entendu te dire ça, j’ai eu honte mais j’ai tout de suite eu envie que tu acceptes, merci ».
L’homme me remercie et lui prenant le bras l’emmène dans une autre pièce; toute la soirée jusqu’à la fermeture à six heures du matin il l’a faite baiser et baiser.
Nous nous retrouvons ensemble à la fermeture et Monsieur « bon chic bon genre » me rend ma femme et nous invite à venir prendre le café dans sa maison de campagne le dimanche suivant, je vous appellerai pour confirmer nous dit –il, pourquoi pas, nous acceptons. Chacun prend son véhicule.
En voiture, je le vois elle est heureuse et fatiguée. Elle me dit, je suis désolée je t’ai laissé tout seul toute la soirée mais grâce à ta gentillesse j’ai passé une soirée formidable, c’est la première fois que je fais autant l’amour avec autant d’hommes.
Le dimanche, comme convenu au téléphone, à 13h, nous arrivons chez notre nouvel « ami ». Le samedi quand il avait téléphoné pour nous inviter il avait dit: « Évidement par ces temps de canicule je comprendrai si Madame ne portait qu'une robe sur son sourire ». Ainsi fût fait.
Le dimanche nous arrivons un peu en retard mais sans plus. À peine étions nous sortis de voiture que son jeune chien, un épagneul, ce précipite sur elle, il glisse immédiatement sa truffe dans l'entrebâillement de la robe. Elle avait choisi une robe légère, un peu courte, se fermant par des boutons devant. L'œil coquin et le sourire entendu du monsieur au moment de l'invitation avait laissé supposer que Madame, nue sous sa robe ne la garderait pas longtemps.
Elle est littéralement assaillie par le chien, sur le parking devant la maison, truffe sous la robe. Le maître arrive s'excuse et emmène l'animal dans le garage. Il réitère ses excuses platement, en effet la voiture du voisin montrait le bout de son nez, celui-ci est passé sans rien voir.
Nous entrons il nous invite à passer dans la cuisine, le chien pleure derrière la porte de communication avec le garage, son maitre lui intime le silence et ma femme dit:« Oh, le pauvre ... » L’autre continuait de geindre et mon épouse intercède en sa faveur : « Allez faite le entrer il a compris maintenant ».
Le Monsieur toujours « bien comme il faut, bon chic bon genre » lui répond avec un indicible sourire « il a surtout compris qu'il y avait une femme ... ».
Il ouvre, le chien se précipite sous la robe, elle lui lance un non tonitruant et le bougre continu.
L'ami explique « Il n'arrêtera pas, une de mes amies l'a initiée et maintenant il sait que les femmes sont bonnes ! passons au salon ! ».
Le monstre était toujours entre nos jambes surtout entre celle de Maude.
Une fois parvenu au salon le maître de maison attrape Maude, ma gentille petite femme, par la taille, lui dit qu'elle a une jolie robe, glisse une main dans son décolleté, empaume un sein, en pince le téton, elle réagit de suite … respire plus profondément, d’autant plus profondément que ce salaud de chien lui lèche la chatte avec entrain. Le Maître tout aussi salaud que son chien ajoute « avec cette chaleur tu seras mieux sans, et, sans vergogne il l'ouvre, empaume derechef le nichon, écarte le museau du chien, râle un peu après lui, puis d'une claque sur le cul de ma belle il lui dit :- « allez file sur le lit ! on ne sera pas tranquille tant qu'il ne t'aura pas baisé, après tout c'est de ta faute, c'est toi qui m'a dit de le faire entrer ».
L’ordre calque : - quatre pattes ! à peine à quatre pattes que le monstre la chevauche, quelques problèmes apparaissent car il est un peu court sur pattes, mais le dépravé avait tout prévu il prend un coussin du canapé et l'étalon est à la bonne hauteur.
- dès qu’il la voit ainsi il saute sur le lit la saute sans la moindre hésitation, un petit cri de surprise et bientôt un râle de plaisir. Les deux jouissent, ils restent collés.
Elle nous annonce qu'il continu de se répandre et elle continue à jouir.
Ah ! femme ! femme ! que de choses ne somme nous pas obligées de supporter pour ton bonheur, me voilà de nouveau cocu et par un chien !
Une fois sorti il lui lèche la chatte elle jouit de nouveau. Nous retournons au salon le chien sur les talons, la truffe sur la chatte. Une petite pause et retour sur le lit de « notre salope et de son chien ».
Cette fois-ci il lui dit qu’elle est une salope, qu'il n'aurait jamais pensé que ma petite femme soit si chienne et il lui ordonne de sucer le chien. Obéissante, vaincue sans combat, elle suce le dard de l'animal.
À la fin de la journée il me dit : - « Permettez que j’invite votre femme un jour de cette semaine à l’appartement, en ville, je suis certain qu’elle a encore envie de profiter de Clark (le chien) ».
Elle est là tout près de nous, elle en rosit de plaisir.
- « J’inviterai quelques amis poursuit-il à profiter de l’aubaine, j’espère que vous n’y voyez pas d’inconvénient » - Ainsi nous profiterons tous du spectacle et de la femelle, j’ai décelé chez celle-ci une belle aptitude et un réel plaisir à donner du bonheur aux messieurs ».
La morale de cette aventure la voici et elle est longue.
Madame est allée heureuse à son invitation, en entrant il lui a mis un bandeau sur les yeux, conduite au salon et lui a ôté sa robe. Il l’a présentée nue, au milieu de la pièce … à ces amis.
Ils l’ont caressée, baisée avec beaucoup de commentaires grivois qu’elle n’a pas osée tous me répéter. Ils l’ont prise à qui mieux mieux à deux à trois, tous ses orifices ont été comblés et gâtés.
Tout le monde a bu le champagne puis le Maître de maison a demandé :- « Hé si maintenant on passait aux choses sérieuses ? » des cris de joie ont acclamés cette proposition. Un collier est venu tenir compagnie au bandeau sur les yeux.
L’ordre claqua : Allez salope ! à quatre patte maintenant tu es une vraie chienne !
Ma petite femme surprise de l’injonction mais excitée d’être mal menée et humiliée devant ces inconnus, obéit. Un petit coup de laisse sur les fesses et un « avance tout droit » suit le coup sur le cul.
Obéissante Maude avance elle se sent guidée par la laisse, elle a honte les commentaires vont bon train, ça discute on parle de son cul qui balance, ses nichons qui eux ballottes que la chienne est trempée « n’est-ce pas Jean » on penserai pas en la voyant dans la rue.
Cette petite réflexion la fige, elle est connue de ces messieurs, reconnus même.
Un nouvel ordre tonne : - Je ne t’ai pas demandé de t’arrêter chienne avance !
- « Stop ! »- « Jean veux-tu nous dire si la chienne est prête ? » - « Jean glisse un doigt dans la chatte et s’écrie deux fois plutôt qu’une, elle est trempée la garce »Maude se sent remorquée au milieu de la pièce, de travers, elle essaie de suivre mais ce n’est pas facile, les quolibets pleuvent, une claque sur le cul lui redonne l’axe et lui fait monter les larmes aux yeux … Rires, la pauvre se fait vanner à outrance les railleries pleuvent et les invités se marrent et en rajoute.
- « Ah la salope, ça lui fait du bien à cette mijaurée, tu croyais ça, toi, en la voyant qu’elle était aussi salope, tu pensais qu’elle aimait autant la bite, et la bite de chien aussi m’a-t-on dit … »Maintenant elle est au centre de la pièce entourée de ces messieurs qui la traite de salope, de chienne et lui disent qu’ils vont faire d’elle une belle et bonne putain.
L’hôte ouvre la porte le chien se rue sur la pauvrette, lui saute sur le râble l’a fourre incontinent, la coquine jouit rapidement, encore et encore. Mais ce n’est pas tout son mentor a décidé de lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Il l’oblige à raconter ce qui se passe, ses sensations et ça ne l’en excite qu’encore plus. Maintenant elle sait que non seulement les invités la connaissent bien, qu’ils la voient passer souvent, peut-être les salue-elle aussi mais en plus ils la savent salope et qu’elle aime ça.
Maintenant cela ne sera plus jamais comme avant pour elle, sa petite vie sexuelle coquine sera connue de plusieurs, elle sait déjà qu’ils voudront en profiter.
La séance se termine, Maude est harassée, on la conduit à la table pour prendre un dernier verre et à ce moment-là le meneur de jeu de la maison lui ôte son bandeau afin qu’elle découvre les messieurs qui maintenant pourront passer un peu de temps avec elle.
Il ajoute, comme tu peux le voir nous ne sommes plus aussi nombreux, quatre de nos amis sont partis, ils se découvriront au fil du temps, quand ils le souhaiteront ils te diront simplement : « souvient toi de Clark », tu sauras que tu as devant toi un homme qui t’a baisé et qui t’a offerte au chien car tous ces messieurs ont signé un document dans lequel il est stipulé l’organisation de cette soirée et son déroulement.
Cela a été fait afin que tu sois préservée, ces messieurs devront garder le silence sur tes folies sexuelles si non ils seront punis, leurs femmes recevrons un aperçu de cette soirée avec leur mari baisant une chienne masquée ».
Maude est rentrée, elle était honteuse mais en même temps si heureuse de me dire que le boucher, le cordonnier, un ouvrier du garage en face de chez nous, l’architecte du passage l’avaient baisé et que les autres présents la connaissaient tous, ils la voyaient passer faire ses courses et maintenant de temps en temps ils la baiseraient, et plus souvent à plusieurs que seul. Elle ajoute faussement outrée « il y en a quatre qui sont partis avant, quand bon leur semblera ils me feront signe et je devrai obéir ».
Il en fut ainsi, elle eut de nouveaux amants et petit à petit elle baisa avec les quatre disparus. Elle découvrit que l‘un d’eux était son médecin, l’autre son masseur, le troisième le premier adjoint au maire, le quatrième un caissier du super marché à cent mètre de chez nous, et le Monsieur « Bien comme il Faut » était le chef d’entreprise qui avait racheté la société du bel Homme Noir, qui un temps, fût l’amant de Maude.
Elle apprécie tout particulièrement les hommes de couleur, les Blacks et les Arabes, là aussi des découvertes faites au sauna.
Tous ces messieurs en profitèrent. La coquine aussi et encore aujourd’hui elle a un ou deux commerçants qui pallient en sa compagnie les carences et le manque de spontanéité de leurs épouses respectives et légitimes.
Cette soirée au sauna a été pleine de rebondissement, de temps en temps nous continuons de jouer avec des amis de rencontre.
Par exemple, pour la nouvelle année, Maude doit présenter ses vœux chez plusieurs de nos amis seulement vêtue de son manteau. Comme ils sont pressés et que la fin du mois arrive à grand pas elle va peut-être devoir présenter ses vœux au bureau pour certains, des esthètes à n’en point douter.
Nous avions pris l'habitude de faire un tour dans des saunas mixtes, de temps en temps, une dizaine de fois par an, pour le plus grand plaisir de Madame.
Un soir, un Monsieur très comme il faut, « bon chic bon genre », m'avait demandé s'il pouvait l'espace de ce soir-là, partager mon épouse avec quelques messieurs. La marque de son alliance laissait présager qu'il pensait qu'en ne la portant pas il ne trompait pas sa petite femme. Je lui montrais le sillon blanc sur son doigt et je me permis cette saillie, peut-être que votre épouse ne partage pas vos fantasmes ?
Il sourit et me dit : « malheureusement non, mais elle a d'autres qualités », je n'en doutais pas. Il me propose « nous pourrions nous retrouver au bar d'ici un petit quart d'heure », ainsi fût fait.
Maude mon épouse revenant de la douche, je lui propose de prendre un verre au bar, elle accepte avec plaisir et ajoute espiègle « cela me fera du bien, ils m'ont fait jouir comme ce n'est pas permis ».
Nous nous dirigeons vers le bar et nous y prenons un tabouret. La serviette de Madame s'ouvre un peu, en effet comme elle est timide je veille toujours à ce qu'on ne lui donne pas de peignoir. La voici mutine, heureuse, souriante qui me conte que pendant que je prenais ma douche trois messieurs l'on conduite dans une petite loge, celle qui ferme à clef et n'a pas de fenestron pour les voyeurs; je le savais dis-je « nous t'avons tous entendu jouir avec puissance et moult clameurs, beaucoup on essayer de rentrer mais la porte était close ».
Le Monsieur arrive, nous salue bien poliment et engage la conversation avec ma femme tout en posant sa main sur le haut de sa cuisse, ses doigts glissent sur ses lèvres, il félicite pour ce « si beau récital ».
Il se permet même de lui reprocher gentiment de l’avoir donné à huit clos. Elle se défend la coquine en lui expliquant qu’elle n’a rien pu faire que se sont ces messieurs qui l’ont conduite dans cette loge et en ont fermé la porte à clef.
Une fois la porte fermée le plus grand s’est exclamé « ta jolie chatte est pour nous, cela fait longtemps qu’on veut de te baiser surtout depuis que nos copains, le cordonnier et le bourrelier, t’on reconnus un jour que nous avions passé l’après-midi ici, ils se sont faufilés pour que vous ne les voyez pas mais quand on leur a demandés ils se sont fait un plaisir de nous dire qui tu étais ».
« Tu vas déguster car cela fait longtemps que l’on t’attend, vous ne venez pas assez souvent mais on savait bien qu’on te verrait, d’ailleurs c’est Jacques qui ta vue, il nous a tout de suite appelé tu vas voir on va te baiser comme des bêtes et tu ne pourras rien nous refuser, tu seras notre chienne ce soir … si tu tiens à notre discrétion, évidement nous préviendrons Claude (le cordonnier) que tu es une bonne salope. Dorénavant si tu tiens à notre discrétion quand tu viendras nous voir tu seras toujours nue sous ta robe ou sous ton manteau. Tu iras porter tes chaussures pour de petits travaux mardi, Claude est fermé le lundi, tu passeras mardi en début d’après-midi et tu viendras les récupérer à la fermeture, il ne pouvait pas venir ce soir on s’est entendu avec lui. Pas question de rentrer chez toi mettre des sous-vêtement tu resteras à poils sous ta robe ou ton manteau toute la journée ».
Elle est un peu gênée mais sans plus, qui sont ces hommes qui nous connaissent …. Bah il sera toujours temps de savoir.
Le gentil et aimable Monsieur lui dit « vous n’avez pas le choix, vous irez chez votre cordonnier mardi et vous ferez des concessions si nécessaires pour vous assurer de leur discrétion, quand pensez-vous me dit –il ? » Je pensais qu’il n’avait pas tort et à regarder les yeux de Madame pétiller de joie je comprenais que l’idée que des personnes de notre entourage la connaissent l’ennuyait un peu mais la réjouissait beaucoup, elle prenait conscience que ces gens allaient la baiser quand ils en auraient envie et ça l’excitait la bougresse.
Maintenant que nous avons fait un peu connaissance nous dit le monsieur « bien comme il faut », « je vous propose, si vous n’y voyez pas d’inconvénient ni l’in ni l’autre, de prendre madame sous mon aile pour la soirée et de la partager avec qui bon me semblera, un peu comme une sorte de jeu pour parfaire celui que ces messieurs, qui ont déjà disparus, vous ont fait vivre ma belle ».
Je la vois toute excitée, hésitante, attendant ma réponse en me regardant avec ses yeux langoureux qui me disent « oui acceptes, s’il te plaît acceptes ! » Je donne mon accord, elle vient se coller à moi, le monsieur « si bien » a retenu la serviette et elle est toute nue au bar devant tout le monde. Elle m’embrasse, me remercie et me glisse tout bas à l’oreille : « quand je l’ai entendu te dire ça, j’ai eu honte mais j’ai tout de suite eu envie que tu acceptes, merci ».
L’homme me remercie et lui prenant le bras l’emmène dans une autre pièce; toute la soirée jusqu’à la fermeture à six heures du matin il l’a faite baiser et baiser.
Nous nous retrouvons ensemble à la fermeture et Monsieur « bon chic bon genre » me rend ma femme et nous invite à venir prendre le café dans sa maison de campagne le dimanche suivant, je vous appellerai pour confirmer nous dit –il, pourquoi pas, nous acceptons. Chacun prend son véhicule.
En voiture, je le vois elle est heureuse et fatiguée. Elle me dit, je suis désolée je t’ai laissé tout seul toute la soirée mais grâce à ta gentillesse j’ai passé une soirée formidable, c’est la première fois que je fais autant l’amour avec autant d’hommes.
Le dimanche, comme convenu au téléphone, à 13h, nous arrivons chez notre nouvel « ami ». Le samedi quand il avait téléphoné pour nous inviter il avait dit: « Évidement par ces temps de canicule je comprendrai si Madame ne portait qu'une robe sur son sourire ». Ainsi fût fait.
Le dimanche nous arrivons un peu en retard mais sans plus. À peine étions nous sortis de voiture que son jeune chien, un épagneul, ce précipite sur elle, il glisse immédiatement sa truffe dans l'entrebâillement de la robe. Elle avait choisi une robe légère, un peu courte, se fermant par des boutons devant. L'œil coquin et le sourire entendu du monsieur au moment de l'invitation avait laissé supposer que Madame, nue sous sa robe ne la garderait pas longtemps.
Elle est littéralement assaillie par le chien, sur le parking devant la maison, truffe sous la robe. Le maître arrive s'excuse et emmène l'animal dans le garage. Il réitère ses excuses platement, en effet la voiture du voisin montrait le bout de son nez, celui-ci est passé sans rien voir.
Nous entrons il nous invite à passer dans la cuisine, le chien pleure derrière la porte de communication avec le garage, son maitre lui intime le silence et ma femme dit:« Oh, le pauvre ... » L’autre continuait de geindre et mon épouse intercède en sa faveur : « Allez faite le entrer il a compris maintenant ».
Le Monsieur toujours « bien comme il faut, bon chic bon genre » lui répond avec un indicible sourire « il a surtout compris qu'il y avait une femme ... ».
Il ouvre, le chien se précipite sous la robe, elle lui lance un non tonitruant et le bougre continu.
L'ami explique « Il n'arrêtera pas, une de mes amies l'a initiée et maintenant il sait que les femmes sont bonnes ! passons au salon ! ».
Le monstre était toujours entre nos jambes surtout entre celle de Maude.
Une fois parvenu au salon le maître de maison attrape Maude, ma gentille petite femme, par la taille, lui dit qu'elle a une jolie robe, glisse une main dans son décolleté, empaume un sein, en pince le téton, elle réagit de suite … respire plus profondément, d’autant plus profondément que ce salaud de chien lui lèche la chatte avec entrain. Le Maître tout aussi salaud que son chien ajoute « avec cette chaleur tu seras mieux sans, et, sans vergogne il l'ouvre, empaume derechef le nichon, écarte le museau du chien, râle un peu après lui, puis d'une claque sur le cul de ma belle il lui dit :- « allez file sur le lit ! on ne sera pas tranquille tant qu'il ne t'aura pas baisé, après tout c'est de ta faute, c'est toi qui m'a dit de le faire entrer ».
L’ordre calque : - quatre pattes ! à peine à quatre pattes que le monstre la chevauche, quelques problèmes apparaissent car il est un peu court sur pattes, mais le dépravé avait tout prévu il prend un coussin du canapé et l'étalon est à la bonne hauteur.
- dès qu’il la voit ainsi il saute sur le lit la saute sans la moindre hésitation, un petit cri de surprise et bientôt un râle de plaisir. Les deux jouissent, ils restent collés.
Elle nous annonce qu'il continu de se répandre et elle continue à jouir.
Ah ! femme ! femme ! que de choses ne somme nous pas obligées de supporter pour ton bonheur, me voilà de nouveau cocu et par un chien !
Une fois sorti il lui lèche la chatte elle jouit de nouveau. Nous retournons au salon le chien sur les talons, la truffe sur la chatte. Une petite pause et retour sur le lit de « notre salope et de son chien ».
Cette fois-ci il lui dit qu’elle est une salope, qu'il n'aurait jamais pensé que ma petite femme soit si chienne et il lui ordonne de sucer le chien. Obéissante, vaincue sans combat, elle suce le dard de l'animal.
À la fin de la journée il me dit : - « Permettez que j’invite votre femme un jour de cette semaine à l’appartement, en ville, je suis certain qu’elle a encore envie de profiter de Clark (le chien) ».
Elle est là tout près de nous, elle en rosit de plaisir.
- « J’inviterai quelques amis poursuit-il à profiter de l’aubaine, j’espère que vous n’y voyez pas d’inconvénient » - Ainsi nous profiterons tous du spectacle et de la femelle, j’ai décelé chez celle-ci une belle aptitude et un réel plaisir à donner du bonheur aux messieurs ».
La morale de cette aventure la voici et elle est longue.
Madame est allée heureuse à son invitation, en entrant il lui a mis un bandeau sur les yeux, conduite au salon et lui a ôté sa robe. Il l’a présentée nue, au milieu de la pièce … à ces amis.
Ils l’ont caressée, baisée avec beaucoup de commentaires grivois qu’elle n’a pas osée tous me répéter. Ils l’ont prise à qui mieux mieux à deux à trois, tous ses orifices ont été comblés et gâtés.
Tout le monde a bu le champagne puis le Maître de maison a demandé :- « Hé si maintenant on passait aux choses sérieuses ? » des cris de joie ont acclamés cette proposition. Un collier est venu tenir compagnie au bandeau sur les yeux.
L’ordre claqua : Allez salope ! à quatre patte maintenant tu es une vraie chienne !
Ma petite femme surprise de l’injonction mais excitée d’être mal menée et humiliée devant ces inconnus, obéit. Un petit coup de laisse sur les fesses et un « avance tout droit » suit le coup sur le cul.
Obéissante Maude avance elle se sent guidée par la laisse, elle a honte les commentaires vont bon train, ça discute on parle de son cul qui balance, ses nichons qui eux ballottes que la chienne est trempée « n’est-ce pas Jean » on penserai pas en la voyant dans la rue.
Cette petite réflexion la fige, elle est connue de ces messieurs, reconnus même.
Un nouvel ordre tonne : - Je ne t’ai pas demandé de t’arrêter chienne avance !
- « Stop ! »- « Jean veux-tu nous dire si la chienne est prête ? » - « Jean glisse un doigt dans la chatte et s’écrie deux fois plutôt qu’une, elle est trempée la garce »Maude se sent remorquée au milieu de la pièce, de travers, elle essaie de suivre mais ce n’est pas facile, les quolibets pleuvent, une claque sur le cul lui redonne l’axe et lui fait monter les larmes aux yeux … Rires, la pauvre se fait vanner à outrance les railleries pleuvent et les invités se marrent et en rajoute.
- « Ah la salope, ça lui fait du bien à cette mijaurée, tu croyais ça, toi, en la voyant qu’elle était aussi salope, tu pensais qu’elle aimait autant la bite, et la bite de chien aussi m’a-t-on dit … »Maintenant elle est au centre de la pièce entourée de ces messieurs qui la traite de salope, de chienne et lui disent qu’ils vont faire d’elle une belle et bonne putain.
L’hôte ouvre la porte le chien se rue sur la pauvrette, lui saute sur le râble l’a fourre incontinent, la coquine jouit rapidement, encore et encore. Mais ce n’est pas tout son mentor a décidé de lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Il l’oblige à raconter ce qui se passe, ses sensations et ça ne l’en excite qu’encore plus. Maintenant elle sait que non seulement les invités la connaissent bien, qu’ils la voient passer souvent, peut-être les salue-elle aussi mais en plus ils la savent salope et qu’elle aime ça.
Maintenant cela ne sera plus jamais comme avant pour elle, sa petite vie sexuelle coquine sera connue de plusieurs, elle sait déjà qu’ils voudront en profiter.
La séance se termine, Maude est harassée, on la conduit à la table pour prendre un dernier verre et à ce moment-là le meneur de jeu de la maison lui ôte son bandeau afin qu’elle découvre les messieurs qui maintenant pourront passer un peu de temps avec elle.
Il ajoute, comme tu peux le voir nous ne sommes plus aussi nombreux, quatre de nos amis sont partis, ils se découvriront au fil du temps, quand ils le souhaiteront ils te diront simplement : « souvient toi de Clark », tu sauras que tu as devant toi un homme qui t’a baisé et qui t’a offerte au chien car tous ces messieurs ont signé un document dans lequel il est stipulé l’organisation de cette soirée et son déroulement.
Cela a été fait afin que tu sois préservée, ces messieurs devront garder le silence sur tes folies sexuelles si non ils seront punis, leurs femmes recevrons un aperçu de cette soirée avec leur mari baisant une chienne masquée ».
Maude est rentrée, elle était honteuse mais en même temps si heureuse de me dire que le boucher, le cordonnier, un ouvrier du garage en face de chez nous, l’architecte du passage l’avaient baisé et que les autres présents la connaissaient tous, ils la voyaient passer faire ses courses et maintenant de temps en temps ils la baiseraient, et plus souvent à plusieurs que seul. Elle ajoute faussement outrée « il y en a quatre qui sont partis avant, quand bon leur semblera ils me feront signe et je devrai obéir ».
Il en fut ainsi, elle eut de nouveaux amants et petit à petit elle baisa avec les quatre disparus. Elle découvrit que l‘un d’eux était son médecin, l’autre son masseur, le troisième le premier adjoint au maire, le quatrième un caissier du super marché à cent mètre de chez nous, et le Monsieur « Bien comme il Faut » était le chef d’entreprise qui avait racheté la société du bel Homme Noir, qui un temps, fût l’amant de Maude.
Elle apprécie tout particulièrement les hommes de couleur, les Blacks et les Arabes, là aussi des découvertes faites au sauna.
Tous ces messieurs en profitèrent. La coquine aussi et encore aujourd’hui elle a un ou deux commerçants qui pallient en sa compagnie les carences et le manque de spontanéité de leurs épouses respectives et légitimes.
Cette soirée au sauna a été pleine de rebondissement, de temps en temps nous continuons de jouer avec des amis de rencontre.
Par exemple, pour la nouvelle année, Maude doit présenter ses vœux chez plusieurs de nos amis seulement vêtue de son manteau. Comme ils sont pressés et que la fin du mois arrive à grand pas elle va peut-être devoir présenter ses vœux au bureau pour certains, des esthètes à n’en point douter.
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