Un soir au resto...
Récit érotique écrit par Mademoiselle X [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un soir au resto...
Salut, je suis nouvelle ici et je vais écrire ma première histoire… Cette histoire s’est vraiment passée, et nous nommerons le garçon Thierry… Bonne lecture...
C'était le dimanche soir et les gens ne restaient pas tard au resto puisqu'ils travaillaient le lendemain.
Il est 22 heures et il n'y a plus qu'un couple et un petit groupe de personnes.
Il fallut 20 minutes environ pour qu'ils partent.
Thierry m'avait invité pour fêter la promotion de l'étoile qu'avait reçu son resto la semaine passée.
-Si tu veux, tu peux rester encore un peu parce que dehors il pleut des cordes.
Je me suis approchée de la vitre et ma tenue n'était pas vraiment appropriée pour ce temps ; je portais une petite robe courte.
Quand je me suis retournée, Thierry était derrière moi, je ne l’avait pas entendu arriver.
-Je te trouve très belle dans ta robe.
-Merci beaucoup.
Mon souffle devint un peu plus court. L’atmosphère était tendue, lourde d’érotisme. Pendant un long moment, nous sommes restés yeux dans les yeux. Des envies de sexe commençaient à m’envahir. Il s’approcha de moi et m’embrassa. Je lui rendit son baiser. Ses mains défaisaient les boutons bas de ma robe, découvrant ainsi plus mes cuisses.
Il se pencha en avant et doucement me caressa les jambes, doucement, des genoux à la lisière des bas. Sous ses caresses, mes cuisses s’ouvraient toutes seules et mon sexe mouillait. Malgré moi, je me mis à le masturber. Je le laissais m’incliner doucement et lentement en arrière, sur une des tables. J’adorais le risque : les gens étaient partis mais le restaurant n’affichais pas fermé. Je m’offrais. Il se pencha en avant et déboutonna ma robe. ; Il saisit mes seins à pleines mains déclenchant d’autres gémissement.
Ensuite il me souleva un peu et fit glisser mon slip sur mes jambes. J’étais pratiquement nue, offerte, le sexe coulant de désir. Je ne savais plus qui j’étais, je ne pensais qu’à son sexe qui allait me prendre et que je devinais sous son pantalon, gonflé de sève.
Doucement, Thierry m’écarta les cuisses. Il trouva mon clitoris et l’aspira. Je ne pus retenir un petit cris de plaisir. J’étais prête à être prise, à jouir. Je caressais ses cheveux, appuyant doucement sur sa tête pour faire augmenter le plaisir.
Il leva la tête, se pencha, m’embrasse les seins et le torse. Il lécha les bouts qui redevinrent durs et longs. Thierry sortit son sexe, l’approcha de ma chatte et me pénétra d’un lent coup de rein, au plus profond de mon vagin. A peine avait-il commencé de faire des vas et viens que je jouis.
-On monte ?
Nous sommes montés dans son loft en haut du resto oubliant totalement nos vêtements en bas.
Je me suis mise à genou devant lui, j’étais donc à la même hauteur que sa taille. Sa queue était énorme et il était dans le besoin pour quelques temps. Je caressais doucement ses couilles avec mes doigts. Puis je le suis mise à le branler, et comme il appréciais, j’ai accéléré le rythme. Des petites goutes de sperme començaient à fuir de sa bite. Je l’ai sucé, avalé.
Je me suis levée et nous sommes allés dans la chambre ? Il s’est couché sur le lit en carressant la place à côté de lui pour me faire signe de le rejoindre. Il posa ses lèvres douces à mes pieds, et à commencer à remonter tout le long de ma jambe.
Quand il atteint ma cuisse, il s’arrêta. Il me taquina près de ma chatte, sucée légèrement, puis a reculé jusqu’à l’avant. Il a fait cela pour les deux cuisses, ma chatte devant plus humide par le second. Il ouvrit doucement mes lèvres de chatte et sifflait. Confuse, je l’ai regardé.
Il mit un doigt au cœur de ma chatte et je l’ai tout de suite senti. Ses doigts sentaient si bien quand ils étaient au fond de ma chatte. Il alla d’abord lentement, me taquina et de me devenir plus humide. Ses doigts étaient recouverts de sperme blanc. “Tu aimes ça…” Il dit, comme il glissait son doigt dans sa chatte. J’ai hoché la tête tandis que j’étais physiquement sans voix. « Tu en veux plus? »Il a demandé et je signai de la tête une fois de plus. Il a ajouté un autre doigt, ouvrant ma chatte plus large. Il a commencé à obtenir plus rapidement et plus rapide, ce qui rend mon corps bougent ensemble. Il a utilisé son pouce pour stimuler mon clitoris, qui se sentait comme si j’avais tout juste d’être électrocuté. Le plaisir était trop. J’ai commencé à crier et à gémir comme il a obtenu plus rapidement. Il a ajouté encore un autre doigt, allongeant ma petite chatte serrée encore plus large.
Après avoir baisé ma chatte avec son doigt pendant dix minutes, il m’a ouvert les jambes plus larges. Il se pencha vers le bas de mon visage magnifique et traîné sa langue à plat tout le chemin jusqu’à ma chatte, léchant tout mon sperme. Il agita sa langue partout sur mon clitoris sensible, puis il a glissé un autre doigt dans ma chatte humide. Il a commencé à sucer mon clitoris, le tirant vers lui. Il a ensuite arrêté et je me demandais ce qu’il faisait. J’ai regardé cracher dans ma chatte déjà humide. Le liquide chaud se laissa glisser jusqu’à ce qu’elle atteigne mon cul serré qui a envoyé des picotements jusqu’à moi. Il a continué à sucer, baiser et me lécher le clitoris jusqu’à ce que le sentiment de l’orgasme approché de moi. J’ai poussé la tête plus dure dans ma chatte. J’ai commencé à crier sans contrôle. Je ne pouvais plus me retenir. Soudain, sans avertissement, j’ai jeté un liquide blanc chaud à l’extérieur. Le sentiment était incroyable, il n’y a pas de mots pour le décrire. J’ai sauté comme son doigt attrapé mon point g. Il savait qu’il avait trouvé ma place et il se mit à le toucher plus difficile à l’intérieur, de me faire mouiller encore une fois.
Ma chatte était encore plus sensible qu’auparavant. Mes yeux étaient fermés avec plaisir, mais je savais qu’il était sur le point de foutre son énorme bite dans ma chatte humide. J’ai senti qu’il a glissé à fond, allant plus profond. “Baise-moi”. Je l’ai dit complètement allumé. Il obéit et me pénétrait dur à partir de derrière. J’étais donc à quatre pattes et il se mit à genoux derrière moi, et me baisait plus dure. Ses couilles claquent contre ma chatte comme il me baisait. Il m’a ouvert les joues de mon cul dans la mesure où ils iraient et se mit à chatouiller mon petit cul serré avec sa langue délicate. J’ai commencé à crier comme il m’a percutée de plus en plus difficile, ce qui m’a donné envie de pleurer de plaisir. Mais alors, il s’arracha son énorme queue de mon cul et le frotta le long de ma chatte, frottant sur mon clito, me faisant hurler de plaisir. Je ne me souciais pas de savoir si les voisins pouvaient m’entendre. Cinq minutes plus tard, je sentais le liquide chaud gicler en moi. Il gémit de satisfaction, puis se retirait. Le liquide chaud coulait hors de moi, ruisselant tout le long de ma chatte mouillée. On a fait l'amour encore pendant longtemps. Après quelques heures (et oui !) on s'est effondré, crevés, et on a dormis comme des loirs.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, j'étais seule dans le lit. Jean s'était levé tôt pour prendre le restaurant et avait pris soin de plier mes vêtement sur le coin du lit. Je commença à rigoler en imaginant Jean, nu, descendre dans le resto pour aller chercher nos vêtements... Je me suis apprêtée et je suis descendue. Il y avait une dizaine de personnes qui prenaient leurs déjeuné.
C'était le dimanche soir et les gens ne restaient pas tard au resto puisqu'ils travaillaient le lendemain.
Il est 22 heures et il n'y a plus qu'un couple et un petit groupe de personnes.
Il fallut 20 minutes environ pour qu'ils partent.
Thierry m'avait invité pour fêter la promotion de l'étoile qu'avait reçu son resto la semaine passée.
-Si tu veux, tu peux rester encore un peu parce que dehors il pleut des cordes.
Je me suis approchée de la vitre et ma tenue n'était pas vraiment appropriée pour ce temps ; je portais une petite robe courte.
Quand je me suis retournée, Thierry était derrière moi, je ne l’avait pas entendu arriver.
-Je te trouve très belle dans ta robe.
-Merci beaucoup.
Mon souffle devint un peu plus court. L’atmosphère était tendue, lourde d’érotisme. Pendant un long moment, nous sommes restés yeux dans les yeux. Des envies de sexe commençaient à m’envahir. Il s’approcha de moi et m’embrassa. Je lui rendit son baiser. Ses mains défaisaient les boutons bas de ma robe, découvrant ainsi plus mes cuisses.
Il se pencha en avant et doucement me caressa les jambes, doucement, des genoux à la lisière des bas. Sous ses caresses, mes cuisses s’ouvraient toutes seules et mon sexe mouillait. Malgré moi, je me mis à le masturber. Je le laissais m’incliner doucement et lentement en arrière, sur une des tables. J’adorais le risque : les gens étaient partis mais le restaurant n’affichais pas fermé. Je m’offrais. Il se pencha en avant et déboutonna ma robe. ; Il saisit mes seins à pleines mains déclenchant d’autres gémissement.
Ensuite il me souleva un peu et fit glisser mon slip sur mes jambes. J’étais pratiquement nue, offerte, le sexe coulant de désir. Je ne savais plus qui j’étais, je ne pensais qu’à son sexe qui allait me prendre et que je devinais sous son pantalon, gonflé de sève.
Doucement, Thierry m’écarta les cuisses. Il trouva mon clitoris et l’aspira. Je ne pus retenir un petit cris de plaisir. J’étais prête à être prise, à jouir. Je caressais ses cheveux, appuyant doucement sur sa tête pour faire augmenter le plaisir.
Il leva la tête, se pencha, m’embrasse les seins et le torse. Il lécha les bouts qui redevinrent durs et longs. Thierry sortit son sexe, l’approcha de ma chatte et me pénétra d’un lent coup de rein, au plus profond de mon vagin. A peine avait-il commencé de faire des vas et viens que je jouis.
-On monte ?
Nous sommes montés dans son loft en haut du resto oubliant totalement nos vêtements en bas.
Je me suis mise à genou devant lui, j’étais donc à la même hauteur que sa taille. Sa queue était énorme et il était dans le besoin pour quelques temps. Je caressais doucement ses couilles avec mes doigts. Puis je le suis mise à le branler, et comme il appréciais, j’ai accéléré le rythme. Des petites goutes de sperme començaient à fuir de sa bite. Je l’ai sucé, avalé.
Je me suis levée et nous sommes allés dans la chambre ? Il s’est couché sur le lit en carressant la place à côté de lui pour me faire signe de le rejoindre. Il posa ses lèvres douces à mes pieds, et à commencer à remonter tout le long de ma jambe.
Quand il atteint ma cuisse, il s’arrêta. Il me taquina près de ma chatte, sucée légèrement, puis a reculé jusqu’à l’avant. Il a fait cela pour les deux cuisses, ma chatte devant plus humide par le second. Il ouvrit doucement mes lèvres de chatte et sifflait. Confuse, je l’ai regardé.
Il mit un doigt au cœur de ma chatte et je l’ai tout de suite senti. Ses doigts sentaient si bien quand ils étaient au fond de ma chatte. Il alla d’abord lentement, me taquina et de me devenir plus humide. Ses doigts étaient recouverts de sperme blanc. “Tu aimes ça…” Il dit, comme il glissait son doigt dans sa chatte. J’ai hoché la tête tandis que j’étais physiquement sans voix. « Tu en veux plus? »Il a demandé et je signai de la tête une fois de plus. Il a ajouté un autre doigt, ouvrant ma chatte plus large. Il a commencé à obtenir plus rapidement et plus rapide, ce qui rend mon corps bougent ensemble. Il a utilisé son pouce pour stimuler mon clitoris, qui se sentait comme si j’avais tout juste d’être électrocuté. Le plaisir était trop. J’ai commencé à crier et à gémir comme il a obtenu plus rapidement. Il a ajouté encore un autre doigt, allongeant ma petite chatte serrée encore plus large.
Après avoir baisé ma chatte avec son doigt pendant dix minutes, il m’a ouvert les jambes plus larges. Il se pencha vers le bas de mon visage magnifique et traîné sa langue à plat tout le chemin jusqu’à ma chatte, léchant tout mon sperme. Il agita sa langue partout sur mon clitoris sensible, puis il a glissé un autre doigt dans ma chatte humide. Il a commencé à sucer mon clitoris, le tirant vers lui. Il a ensuite arrêté et je me demandais ce qu’il faisait. J’ai regardé cracher dans ma chatte déjà humide. Le liquide chaud se laissa glisser jusqu’à ce qu’elle atteigne mon cul serré qui a envoyé des picotements jusqu’à moi. Il a continué à sucer, baiser et me lécher le clitoris jusqu’à ce que le sentiment de l’orgasme approché de moi. J’ai poussé la tête plus dure dans ma chatte. J’ai commencé à crier sans contrôle. Je ne pouvais plus me retenir. Soudain, sans avertissement, j’ai jeté un liquide blanc chaud à l’extérieur. Le sentiment était incroyable, il n’y a pas de mots pour le décrire. J’ai sauté comme son doigt attrapé mon point g. Il savait qu’il avait trouvé ma place et il se mit à le toucher plus difficile à l’intérieur, de me faire mouiller encore une fois.
Ma chatte était encore plus sensible qu’auparavant. Mes yeux étaient fermés avec plaisir, mais je savais qu’il était sur le point de foutre son énorme bite dans ma chatte humide. J’ai senti qu’il a glissé à fond, allant plus profond. “Baise-moi”. Je l’ai dit complètement allumé. Il obéit et me pénétrait dur à partir de derrière. J’étais donc à quatre pattes et il se mit à genoux derrière moi, et me baisait plus dure. Ses couilles claquent contre ma chatte comme il me baisait. Il m’a ouvert les joues de mon cul dans la mesure où ils iraient et se mit à chatouiller mon petit cul serré avec sa langue délicate. J’ai commencé à crier comme il m’a percutée de plus en plus difficile, ce qui m’a donné envie de pleurer de plaisir. Mais alors, il s’arracha son énorme queue de mon cul et le frotta le long de ma chatte, frottant sur mon clito, me faisant hurler de plaisir. Je ne me souciais pas de savoir si les voisins pouvaient m’entendre. Cinq minutes plus tard, je sentais le liquide chaud gicler en moi. Il gémit de satisfaction, puis se retirait. Le liquide chaud coulait hors de moi, ruisselant tout le long de ma chatte mouillée. On a fait l'amour encore pendant longtemps. Après quelques heures (et oui !) on s'est effondré, crevés, et on a dormis comme des loirs.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, j'étais seule dans le lit. Jean s'était levé tôt pour prendre le restaurant et avait pris soin de plier mes vêtement sur le coin du lit. Je commença à rigoler en imaginant Jean, nu, descendre dans le resto pour aller chercher nos vêtements... Je me suis apprêtée et je suis descendue. Il y avait une dizaine de personnes qui prenaient leurs déjeuné.
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