un soir avec un couple (la suite)

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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un soir avec un couple (la suite)
J’abandonne le couple composé de ma femme et d’Anthony à leur plaisir pour rejoindre la chambre d’ami. Où j’y trouve bien sûr Nathalie. Que grâce à l’éclat de la pleine lune, je la vois parfaitement allongée sur le flanc gauche, sur le lit. Je n’ai même pas à user de stratagème pour m’allonger près d’elle. Et par la même occasion me coller à elle.
-Bonne nuit chérie ! Fait la voix de Nathalie.
Pour toute réponse, je pose mon bras droit sur le sien. Elle prend ma main. J’applique contre elle, d’abord légèrement. Elle a gardé son collant et soutien-gorge. C’est dès plus excitant. Je bouge juste un peu, frotte ma queue contre sa raie.
-Qu’est-ce que tu fais Anthony ?
Je ne réponds pas pour ne pas être démasqué. De ma main, je repousse sa jambe supérieure tout en lui caressant l’intérieur de la cuisse de ma main. Je touche maintenant l’intérieur et son autre cuisse, tout en m’appuyant contre elle. Je fais remonter ma main sur son entrejambe. Le bout de mes doigts s’approche de sa fente.
-Anthony… ce n’est pas le moment. T'oublies qu’on n’est pas chez nous !
Pourtant, elle bouge d’une manière curieuse. Accentuant la cambrure de ses reins un peu, ce qui a pour effet de faire rentrer deux de mes doigts en elle. Pas profondément, à cause du nylon, mais une pénétration tout de même. Alors j’exerce à ma main un mouvement de branle.
Nous restons de la sorte plusieurs minutes dans le silence de la pièce.
Elle se presse contre moi, collant son corps contre le sien. Dans un premier temps, elle ne bouge pas. Je l’entends gémir. Puis d’elle-même, elle se libère et avance son corps doucement. Me laissant dans l’inquiétude de croiser son regard. Le bonheur extrême se présente à moi lorsqu’elle se retourne, dessinant un large sourire sur son visage, prenant le mien entre ses deux mains et m’embrassant sur la bouche.
-J’en étais sûr que c’était toi ! Me lâche-t-elle.
Je me colle de nouveau à elle, et glisse une main sur sa cuisse.
-Que fait Anthony ? Ma questionne-t-elle.
-On s’en fou ! Laisse-toi aller !
J’avance mes doigts en les écartant en fourchette, et je sépare les grandes lèvres de son sexe.
Elle dit :
-Mais… Alain, tu ne vas oser ?
Au fur et à mesure, mes doigts s’enfoncent, sa respiration s’accélère.
- Laisse-moi faire. Tu vas voir comme tu seras bien après.
J’écarte ses grandes lèvres et la pénètre sans effort. Elle a la chatte toute trempée par mes caresses. J’ai une main dans sa chatte et l’autre sur le bout de ses seins que je roule entre les doigts.
-Et si Anthony arrive ?
-On avisera ! Tais-toi. Je sais ce que je fais…
Elle se laisse aller dans mes bras. Au creux de ses cuisses, mes doigts n’arrêtent pas. Mon majeur passe et repasse sur son bouton.
Elle reprend une respiration. Je passe le doigt autour de son clitoris qui est tout raide. Elle hoche la tête pour approuver. À chaque orgasme que déclenchent mes doigts, elle murmure à Alain comme si elle en redemandait.
Je réplique aussitôt :
-Tu en veux encore ?
-Bien sûr. Au point où nous en sommes !
Je lui titille le clito et elle jouit presque immédiatement. Sans lui laisser le temps de cuvé, j’enfonce deux doigts au fond du vagin. Elle soupire d’aise.
-A ce que j’entends, tu aimes mon doigt dans ta chatte ?
-Oui, branle-moi comme ça, ça me plaît…
-Ah, que j’aime les chattes. C’est juteux, ça s’ouvre, ça mouille et ça veut toujours se faire cajoler !
Je me laisse glisser jusqu’à la sienne et j’enfonce ma langue dans sa fente. J’aspire sa mouille avec des bruits de succion. J’introduis par la suite, mon pouce dans le vagin. Mes yeux tout près de sa fente, j’observe ses réactions intimes. Puis je me mets à lui baratter le vagin à toute vitesse. Cela produit des chuintements mouillés. Je sens qu’elle va jouir de nouveau d’un instant à l’autre.
-Oh, Alain, continue, oui encore ! Oui…oui, encore…
Ses paroles sont là comme pour l’attester. Alors tout en continuant mon mouvement de va-et-vient, je passe l’autre main sous ses fesses, la forçant à soulever ses reins. Puis, je glisse un doigt dans sa raie. Prends contact avec la muqueuse de son anus. Un second doigt la pénètre par derrière, débridant l’ouverture.
-Ton cul est serré. Tu n’as pas l’habitude de te faire enculer par Anthony ?
-C’est trop sale ! C’est ses mots ! Lâche-t-elle en faisant bouger ses reins.
-Je vois !
Encouragé, je me penche, humant le parfum musqué de son cul. Cela m’excite davantage. Je passe la langue dans la raie. Repoussant les poils en les enduisant de bave avant d’agacer l’anus. Le piquant du bout de la langue.
De nouveau elle se contracte, me refusant l’accès de son cul. Resserrant pour ça, ses fessiers sur ma bouche. Je suis trop échauffé pour accepter qu’elle me dise non maintenant.
-Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas ça ?
Je me saisis de ma queue et je la braque sur son anus. Que je surprends se rétracter d’appréhension. Elle essaye de m’échapper en se tortillant. Mais c’est trop tard. Mon sexe se loge entre ses fesses. Je pousse pour le faire entrer en elle. Elle pousse un petit cri de douleur, mais j’insiste.
-Aïe ! Non, pas comme ça, ça fait mal !
Elle lance la main derrière elle et saisit mon poignet.
-Laisse faire la nature !
Je la fais ramener les genoux sous elle en remontant son bassin, et je glisse les deux oreillers sous son ventre pour maintenir ses hanches surélevées. Je me place devant sa croupe arrondie. La raie est entrouverte sur le cratère de l’anus que mes essais maladroits ont rougie.
-Là, comme ça, tu vois ?
Elle me prend la queue de sa main droite et la dirige elle-même vers l’ouverture que je vise. Elle cale le gland sur les fronces et pousse en expirant bruyamment, comme si elle est en train de faire un effort violent.
Le sphincter n’oppose aucune résistance et mon gland glisse dans le rectum sur toute sa moitié de sa longueur. Elle marque une pause avant d’expirer de nouveau pour m’enfoncer avec une lenteur calculée. Soufflant comme une sportive alors que ma verge disparaît peu à peu dans son fondement.
C’est tellement bon de sentir cet anneau comprimer ma queue !
Ses mouvements circulaires font osciller sa croupe. Agitant ainsi ma queue, qui y reste logée. Ses fesses ondulent sur les oreillers. Ma queue glisse peu à peu. Chassée par les contractions du rectum. Avant qu’elle ne sorte tout à fait. Je la renfourne dans son cul, poursuivant ce qu’elle avait commencé. À grand coup de reins.
Je ne sais pas si elle a joui, ou pas. D’ailleurs, je ne m’en suis guère préoccupé. Seul emplir son cul de mon sperme m’intéresse.
Elle attend que je termine de faire gicler me dernières gouttes de jouissance pour me faire ressortir de son cul et ainsi masser son orifice quelques instants, tout en me regardant avec un air provocant.
Elle continue à s’exhiber, prenant son temps pour remettre son collant en m’observant du coin de l’œil.
-Qu’est-ce que tu fais ?
- Je dois me rendre aux toilettes pour m’essuyer !
Puis elle sort de la chambre, d’une démarche déhanchée. Je profite de son absence pour rejoindre ma chambre. Quand je rentre, je trouve ma femme. Une de ses jambes traîne à terre. Sa jupe retroussée, montre la chair nue des cuisses au-dessus des bas fripés. Elle a un escarpin à un pied. Je la déchausse. Je lui retire le bas. J’embrasse un à un ses orteils aux ongles vernis, dont l’odeur un peu forte ne m’incommode pas.
Puis, prudemment, je soulève sa jambe pour la déposer sur le lit et la recouvre avec le drap. J’ai la gorge serrée. Je bande de nouveau. J’ai honte de mes pensées. C’est un sentiment très étrange chez moi. Je finis de lui dénuder la poitrine. Je me réjouis à l’avance du plaisir que je vais prendre. Or le ventre qui m’apparaît est nu. Rien ne cache le triangle sombre de ses poils sexuels.
Puis je la roule sur elle-même pour la mettre sur le ventre.
-Qu’est-ce que tu fous ?
Emerveillé, je me mets à genoux pour mieux l’admirer. Ses cuisses ne se touchent pas. Je peux voir l’ombre des poils au creux de la raie fessière. Et de là s’échappe l’odeur musquée. J’approche mes narines pour la flairer à la source. Je prends une jambe et la soulève avec une prudente lenteur, tout en l’écartant.
Le sillon fessier achève de s’ouvrir et je peux voir s’étoiler la tache sombre de l’anus dont je cerne un bourrelet velu. Le sang me brûle les joues. Je repose la jambe. Fasciné, je me couche à plat ventre entre ses cuisses, avance ma tête, le nez au ras du drap, buvant l’odeur qui s’en échappe. Je m’efforce de tout voir par-dessous. Je suis comme ivre. Cela va causer ma perte.
Avec joie, je me jette sur le sexe, agitant ma langue dans son con juteux.
-Attention, je ne me suis pas lavé. L’autre con a joui dedans.
Mon excitation aggravée par le vice, je claque son fessier.
-Et tu la laissais faire ?
Elle hurle de douleur quand ma main s’abat en travers de ses fesses. Je lui claque le cul sans ménagement. Elle sanglote pour la forme, en se trémoussant sous mes coups secs. Sa peau vire à l’écarlate. Partagée entre la douleur et une volupté indéniable, elle sursaute à chaque brûlure que lui procure ma fessée.
Au bord de la pâmoison, elle se saisit d’un énorme godemiché à double tête qui traîne dans sa table de nuit.
-Cela te dit de jouer avec moi ?
Elle enfonce le gode dans sa chatte alors que je me l’enfonce dans le cul.
-Bonne nuit chérie ! Fait la voix de Nathalie.
Pour toute réponse, je pose mon bras droit sur le sien. Elle prend ma main. J’applique contre elle, d’abord légèrement. Elle a gardé son collant et soutien-gorge. C’est dès plus excitant. Je bouge juste un peu, frotte ma queue contre sa raie.
-Qu’est-ce que tu fais Anthony ?
Je ne réponds pas pour ne pas être démasqué. De ma main, je repousse sa jambe supérieure tout en lui caressant l’intérieur de la cuisse de ma main. Je touche maintenant l’intérieur et son autre cuisse, tout en m’appuyant contre elle. Je fais remonter ma main sur son entrejambe. Le bout de mes doigts s’approche de sa fente.
-Anthony… ce n’est pas le moment. T'oublies qu’on n’est pas chez nous !
Pourtant, elle bouge d’une manière curieuse. Accentuant la cambrure de ses reins un peu, ce qui a pour effet de faire rentrer deux de mes doigts en elle. Pas profondément, à cause du nylon, mais une pénétration tout de même. Alors j’exerce à ma main un mouvement de branle.
Nous restons de la sorte plusieurs minutes dans le silence de la pièce.
Elle se presse contre moi, collant son corps contre le sien. Dans un premier temps, elle ne bouge pas. Je l’entends gémir. Puis d’elle-même, elle se libère et avance son corps doucement. Me laissant dans l’inquiétude de croiser son regard. Le bonheur extrême se présente à moi lorsqu’elle se retourne, dessinant un large sourire sur son visage, prenant le mien entre ses deux mains et m’embrassant sur la bouche.
-J’en étais sûr que c’était toi ! Me lâche-t-elle.
Je me colle de nouveau à elle, et glisse une main sur sa cuisse.
-Que fait Anthony ? Ma questionne-t-elle.
-On s’en fou ! Laisse-toi aller !
J’avance mes doigts en les écartant en fourchette, et je sépare les grandes lèvres de son sexe.
Elle dit :
-Mais… Alain, tu ne vas oser ?
Au fur et à mesure, mes doigts s’enfoncent, sa respiration s’accélère.
- Laisse-moi faire. Tu vas voir comme tu seras bien après.
J’écarte ses grandes lèvres et la pénètre sans effort. Elle a la chatte toute trempée par mes caresses. J’ai une main dans sa chatte et l’autre sur le bout de ses seins que je roule entre les doigts.
-Et si Anthony arrive ?
-On avisera ! Tais-toi. Je sais ce que je fais…
Elle se laisse aller dans mes bras. Au creux de ses cuisses, mes doigts n’arrêtent pas. Mon majeur passe et repasse sur son bouton.
Elle reprend une respiration. Je passe le doigt autour de son clitoris qui est tout raide. Elle hoche la tête pour approuver. À chaque orgasme que déclenchent mes doigts, elle murmure à Alain comme si elle en redemandait.
Je réplique aussitôt :
-Tu en veux encore ?
-Bien sûr. Au point où nous en sommes !
Je lui titille le clito et elle jouit presque immédiatement. Sans lui laisser le temps de cuvé, j’enfonce deux doigts au fond du vagin. Elle soupire d’aise.
-A ce que j’entends, tu aimes mon doigt dans ta chatte ?
-Oui, branle-moi comme ça, ça me plaît…
-Ah, que j’aime les chattes. C’est juteux, ça s’ouvre, ça mouille et ça veut toujours se faire cajoler !
Je me laisse glisser jusqu’à la sienne et j’enfonce ma langue dans sa fente. J’aspire sa mouille avec des bruits de succion. J’introduis par la suite, mon pouce dans le vagin. Mes yeux tout près de sa fente, j’observe ses réactions intimes. Puis je me mets à lui baratter le vagin à toute vitesse. Cela produit des chuintements mouillés. Je sens qu’elle va jouir de nouveau d’un instant à l’autre.
-Oh, Alain, continue, oui encore ! Oui…oui, encore…
Ses paroles sont là comme pour l’attester. Alors tout en continuant mon mouvement de va-et-vient, je passe l’autre main sous ses fesses, la forçant à soulever ses reins. Puis, je glisse un doigt dans sa raie. Prends contact avec la muqueuse de son anus. Un second doigt la pénètre par derrière, débridant l’ouverture.
-Ton cul est serré. Tu n’as pas l’habitude de te faire enculer par Anthony ?
-C’est trop sale ! C’est ses mots ! Lâche-t-elle en faisant bouger ses reins.
-Je vois !
Encouragé, je me penche, humant le parfum musqué de son cul. Cela m’excite davantage. Je passe la langue dans la raie. Repoussant les poils en les enduisant de bave avant d’agacer l’anus. Le piquant du bout de la langue.
De nouveau elle se contracte, me refusant l’accès de son cul. Resserrant pour ça, ses fessiers sur ma bouche. Je suis trop échauffé pour accepter qu’elle me dise non maintenant.
-Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’aimes pas ça ?
Je me saisis de ma queue et je la braque sur son anus. Que je surprends se rétracter d’appréhension. Elle essaye de m’échapper en se tortillant. Mais c’est trop tard. Mon sexe se loge entre ses fesses. Je pousse pour le faire entrer en elle. Elle pousse un petit cri de douleur, mais j’insiste.
-Aïe ! Non, pas comme ça, ça fait mal !
Elle lance la main derrière elle et saisit mon poignet.
-Laisse faire la nature !
Je la fais ramener les genoux sous elle en remontant son bassin, et je glisse les deux oreillers sous son ventre pour maintenir ses hanches surélevées. Je me place devant sa croupe arrondie. La raie est entrouverte sur le cratère de l’anus que mes essais maladroits ont rougie.
-Là, comme ça, tu vois ?
Elle me prend la queue de sa main droite et la dirige elle-même vers l’ouverture que je vise. Elle cale le gland sur les fronces et pousse en expirant bruyamment, comme si elle est en train de faire un effort violent.
Le sphincter n’oppose aucune résistance et mon gland glisse dans le rectum sur toute sa moitié de sa longueur. Elle marque une pause avant d’expirer de nouveau pour m’enfoncer avec une lenteur calculée. Soufflant comme une sportive alors que ma verge disparaît peu à peu dans son fondement.
C’est tellement bon de sentir cet anneau comprimer ma queue !
Ses mouvements circulaires font osciller sa croupe. Agitant ainsi ma queue, qui y reste logée. Ses fesses ondulent sur les oreillers. Ma queue glisse peu à peu. Chassée par les contractions du rectum. Avant qu’elle ne sorte tout à fait. Je la renfourne dans son cul, poursuivant ce qu’elle avait commencé. À grand coup de reins.
Je ne sais pas si elle a joui, ou pas. D’ailleurs, je ne m’en suis guère préoccupé. Seul emplir son cul de mon sperme m’intéresse.
Elle attend que je termine de faire gicler me dernières gouttes de jouissance pour me faire ressortir de son cul et ainsi masser son orifice quelques instants, tout en me regardant avec un air provocant.
Elle continue à s’exhiber, prenant son temps pour remettre son collant en m’observant du coin de l’œil.
-Qu’est-ce que tu fais ?
- Je dois me rendre aux toilettes pour m’essuyer !
Puis elle sort de la chambre, d’une démarche déhanchée. Je profite de son absence pour rejoindre ma chambre. Quand je rentre, je trouve ma femme. Une de ses jambes traîne à terre. Sa jupe retroussée, montre la chair nue des cuisses au-dessus des bas fripés. Elle a un escarpin à un pied. Je la déchausse. Je lui retire le bas. J’embrasse un à un ses orteils aux ongles vernis, dont l’odeur un peu forte ne m’incommode pas.
Puis, prudemment, je soulève sa jambe pour la déposer sur le lit et la recouvre avec le drap. J’ai la gorge serrée. Je bande de nouveau. J’ai honte de mes pensées. C’est un sentiment très étrange chez moi. Je finis de lui dénuder la poitrine. Je me réjouis à l’avance du plaisir que je vais prendre. Or le ventre qui m’apparaît est nu. Rien ne cache le triangle sombre de ses poils sexuels.
Puis je la roule sur elle-même pour la mettre sur le ventre.
-Qu’est-ce que tu fous ?
Emerveillé, je me mets à genoux pour mieux l’admirer. Ses cuisses ne se touchent pas. Je peux voir l’ombre des poils au creux de la raie fessière. Et de là s’échappe l’odeur musquée. J’approche mes narines pour la flairer à la source. Je prends une jambe et la soulève avec une prudente lenteur, tout en l’écartant.
Le sillon fessier achève de s’ouvrir et je peux voir s’étoiler la tache sombre de l’anus dont je cerne un bourrelet velu. Le sang me brûle les joues. Je repose la jambe. Fasciné, je me couche à plat ventre entre ses cuisses, avance ma tête, le nez au ras du drap, buvant l’odeur qui s’en échappe. Je m’efforce de tout voir par-dessous. Je suis comme ivre. Cela va causer ma perte.
Avec joie, je me jette sur le sexe, agitant ma langue dans son con juteux.
-Attention, je ne me suis pas lavé. L’autre con a joui dedans.
Mon excitation aggravée par le vice, je claque son fessier.
-Et tu la laissais faire ?
Elle hurle de douleur quand ma main s’abat en travers de ses fesses. Je lui claque le cul sans ménagement. Elle sanglote pour la forme, en se trémoussant sous mes coups secs. Sa peau vire à l’écarlate. Partagée entre la douleur et une volupté indéniable, elle sursaute à chaque brûlure que lui procure ma fessée.
Au bord de la pâmoison, elle se saisit d’un énorme godemiché à double tête qui traîne dans sa table de nuit.
-Cela te dit de jouer avec moi ?
Elle enfonce le gode dans sa chatte alors que je me l’enfonce dans le cul.
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