un soir avec un couple

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : un soir avec un couple Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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un soir avec un couple
Pas plus tard que le lendemain, Amélia me fait part de son envie de me revoir. Elle devient pour moi une obsession. L’objet d’une passion violente. Et je crois que c’est réciproque.
Nous ne mettons pas longtemps pour nous convenir d’un rendez-vous. Ce sera dans son bureau, pendant l’heure du déjeuner. Comme prévu, elle se tient debout derrière la porte de son bureau. Sitôt mon passage elle s’empresse à verrouiller l’accès.
-C’étant jamais ! Me lâche-t-elle.
Tout de suite je l’embrasse à perdre haleine, fouillant sa bouche de ma langue survoltée. Puis je m’accroupir, soulève sa jupe. Sous laquelle elle est nue. J’introduis sans réfléchir deux doigts dans sa vulve. C’est chaud et humide dans les poils. Je la ramène. Elle jouit la main sur ma nuque, et en pressant l’autre main contre sa bouche pour retenir ses cris de plaisir. Presque immédiatement, elle m’inonde le visage d’un flot de pisse. Son urine a un goût salé.
-Oh excuse-moi ! Je suis excitée comme une pute, ce midi, j'ai vraiment envie de ta bite en moi. Allez, viens, viens sur moi !
Je m’exécute en prenant le chemin qui me mène jusqu’au fauteuil de son bureau. Me penchant à son oreille, je lui demande si elle ne préfère pas venir sur moi. Elle s’esclaffe.
- Oh, mais tu es un sacré vicieux, toi… tu m'avais caché ça depuis toutes ses années ! Avec mon mari, ajoute-t-elle, enfin, tu ne sais pas vraiment... mais, les derniers temps... Me fait-elle dans un rire léger, en m’enjambant.
Quand elle retombe à cheval sur mon ventre, je sens sa chatte gluante adhérer à ma peau comme une ventouse. Les mains posées sur mes épaules, les cuisses très écartées, Amélia fait monter et descendre son bassin.
- J’ai envie d’être cochonne avec toi ! Je me sens de plus en plus enjouée.
- Toi, ma chère Amélia, tu n’y vas pas par quatre chemins !
- Je ne vois pas pourquoi je me gênerais ! Me fait-elle en chevauchant ma queue.
Sa respiration est comme celle d’un petit chiot, toute folle, toute agitée. Lentement, elle dégrafe les boutons de son corsage et écarte les pans de son décolleté jusqu’à dévoiler ses seins lourds aux auréoles larges. Elle se cambre en arrière, les offrant à mes regards brillants.
Le plus touchant chez elle est sans doute sa volonté farouche de me prouver qu’elle peut être vraiment vicieuse. Pas une vicieuse habituelle, mais une vicieuse jusqu’à maintenant, cachée. Elle conçoit froidement les choses les plus sales, et jouit dans sa tête avant d’éprouver physiquement du plaisir.
- Promets-moi Alain, de remettre ça et je te promets, en échange, d’être une maîtresse inoubliable…
Le rendez-vous est pris !
C’est alors devenu un moment merveilleux pour elle et pour moi, celui de la pause déjeuner. Je renonce à rentrer chez moi. Elle décode d’en faire autant. Nous attendons avec impatience que midi et demi sonne. Cinq jours par semaine, nous restons seuls. Les autres du service rentrent chez eux ou vont déjeuner en ville. Nous disposons alors d’une heure trois quarts de tête à tête. C’est à peine si nous touchons aux vivres que nous apportons. Nous avons tout deux surtout de l’appétit de nous donner du bien. On attend que la dernière secrétaire quitte les lieux pour se verrouiller. Dévorée par l’impatience, la coquine se débêtit, se laisse tomber sur son fauteuil, bras écartés cuisses grandes ouvertes.
Je pose ma bouche sur sa fourche pour fouiller sa chatte emplie de bonne odeur que seule la vie peut donner. Elle gémit à fondre l’âme.
Et puis un jour, elle me fait LA proposition.
-Tu revois Yves
-Non, la dernière fois c’était juste une passade.
-Tu ne sais peut-être pas, mais mon mari ne serait pas contre une relation homo. Mais voilà, il est très difficile de trouvé un bon partenaire. Même sur petites annonces.
-Je te vois venir, là !
-Oh c’est juste pour en parler.
-Oui c’est ça ! Alors pourquoi m’en parler.
-C’est vrai, je l’avoue, j’ai pensé à toi.
-Pourquoi pas, mais seulement si tu participes.
-Tu veux que mon mari sache que j’ai des aventures avec toi ?
-Je n’irais pas jusqu’à là, mais tu sais, dans l’excitation du moment, il serait capable de tout accepter.
-Tu crois réellement ? S’étonne-t-elle.
-Je te parle en état de cause.
-Ce que tu veux m’avouer, c’est qu’avec ta femme…
-Tu ne peux pas savoir comme tout cela est excitant dans l’action, un peu moins quand la jouissance est retombée. Mais tu t’y fais ! Au point de remettre cela.
-Bon, si tu le dis. Je vais, dans un premier temps, le sonder, savoir ce qui désire réellement.
Comme prévisible, le rendez-vous ne s’est pas fait attendre. Pour le besoin, le couple a fait faire garder les enfants.
Nous avons pris place dans le salon. Le couple sur le divan, moi sur un fauteuil. Il a fallu pas moins de deux bouteilles de champagne avant d’ouvrir les hostilités. Et parce que j’ai pris l’initiative, en m’approchant du mari.
-Tu permets ? Lui fais-je.
-Heu… oui…oui…
Je commence par défaire sa ceinture. Puis déboutonne son jean sous les yeux brillants de sa femme. Eric, son prénom est spectateur. Il se trouve que dessous j’ai la surprise de voir qu’il porte un collant, gris fumé. Il porte aussi un anneau pubien. Je pose mes lèvres sur son pénis sous le nylon. Je lèche du bout de ma langue son gland.
Il est circonscrit. Au moment où mes lèvres glissent sur son pénis et commencent un mouvement de va-et-vient, le voilà qui jouit. Sa jouissance est de très courte durée.
J’enroule son collant souillé de sa jouissance, le long de ses jambes. Mes deux mains viennent se poser sur ses fesses, je l’attire contre moi pour que ma bouche s’empale le plus profondément sur sa verge. Les poils de son pubis me chatouillent le nez. Je me saoule de son odeur. Je suis en transe. Je sens mon sexe devenir de plus en plus raide.
Je pose mes lèvres sur la queue, éprouvant une sensation de peau granuleuse mais souple, avant de me risquer à la gober. Sur ma langue, je sens le goût de son plaisir. Je l’entends gémir. Je le tiens à ma merci. Il me suffit de refermer ma bouche dessus pour qu’il jouisse de nouveau. Je me recule après lui avoir léché et gobé les couilles, en prenant soin de ne pas le faire jouir.
J’ai l’impression, à sentir sa queue contre ma joue, que celle-ci a pris du volume. Et très vite j’éprouve une sorte de satisfaction espiègle à constater qu’elle n’est plus simplement distendue mais engraissée à l’extrême.
Je fais entrer et sortir son sexe de ma bouche de plus en plus vite. Son souffle s’accélère, il commence à gémir sous le regard amusé de sa femme. Mais je veux que son plaisir soit différent, ma bouche se referme d’un coup sur sa queue et s’immobilise. Je sens les pulsations sanguines à travers son sexe. Mes dents prennent sa bite dans leur étau et je commence à serrer.
Je profite de l’instant pour envoyer ma main sous la jupe d’Amélia. Je sais déjà ce que je vais y rencontrer. Un clitoris dur, gonflé. Je touche les replis des petites lèvres crénelées d’où sue une mouille abondante. Alors que je sens qu’Eric est sur le point de conclure, je le recrache, pour me placer une jambe de chaque côté de son corps. À hauteur de sa poitrine, sous l’œil interrogateur d’Amélia. J’écarte des deux mains mes globes fessiers. Je force Eric à me lécher la raie des fesses.
- Fait ce que je te dis, t'inquiète, je suis propre ! Surtout, n’aie pas peur de le saliver !
Au bout d’un inoubliable léchage, je peux sans peine y fourrer deux doigts. Alors je place sa queue entre mes fesses, tâtonnant l’entrée de mon intimité. Je guide son outil à plaisir à trouver sa cible. Son gland chatouille ma rondelle. Je l’appuie contre mon entrée et finalement, la porte s’ouvre. Son gland pénètre très légèrement mon trou et y reste quelques secondes sans bouger. Centimètre par centimètre, je sens son membre prendre place entre mes fesses. J’avais oublié combien une sodomie était agréable.
Très vite, mon trou avale en douceur la moitié de sa queue. Je m’arrête encore quelques secondes, je recule un peu ses fesses tandis qu’il pousse tout en douceur son bassin en avant, jusqu’à ce que ses testicules cognent contre mes fesses. Nous ne bougeons plus, pendant que mon trou s’habitue à son sexe.
-Putain ! Lâche Amélia. Si je m’attendais à cela !
Je l’invite à me rejoindre. Ce qu’elle fait immédiatement, se plaçant devant moi. Sans me soucier de la présence de son mari, j’enfonce ma langue dans ses replis, accueille sa mouille.
Je sens les parois de mon anus se détendre. La sensation est comme à chaque fois merveilleuse. Je suis comme traversé par des spasmes qui me coupent le souffle. Alors doucement, je commence à bouger, son sexe coulisse délicatement entre mes fesses.
À l’aide de mes mains, je colle la chatte de sa femme contre ma bouche. Je m’active sur ses lèvres, sur son clitoris, m’insinue en elle, puis ma langue s’en va taquiner son clito, alors que le gland de son mari se branle à l’intérieur de mon cul. Je sens le bien-être m’envahir. Le plaisir est intense. Jamais je n’ai subi une telle stimulation.
Pendant ce temps-là, Amélia a joui à deux reprises. Mon anus se resserre autour de sa queue afin d’augmenter notre plaisir et je sens la queue d’Eric vibrer de désir. J’accélère le mouvement de chevauchement, alors que je pince le clito d’Amélia entre deux doigts tout en la fouillant de ma langue.
Nos gémissements se transforment en râles de plus en plus bruyants. Je veux que ce moment dure une éternité, mais je sens une chaleur me traverser tout le corps, et dans un dernier assaut, je sens son sexe se vider en de violentes saccades à l’intérieur de mon cul.
Je me retire pour me saisir d’Amélia. Alors que je guide ma queue devant l’entrée de son vagin, elle pousse un gémissement de femme excitée. Pesant sur ses épaules, je l’introduis dans son antre, et jusqu’à la racine. Son vagin se contracte autour de ma queue, mouille mes couilles. Ses yeux brouillés me font peur, une jouissance bestiale se lit sur son visage, elle me parle d’une voix méconnaissable.
- Oh Eric, mon chéri, merci… tout ça est grâce à toi !
Soulevant son bassin, pour l’instant d’après se laisser retomber, elle s’agite sur moi. De son vagin montent des chuintements mouillés. Me prenant les mains, elle se les plaque sur ses seins.
- Oui, continue, je te sens bien, tu me remplis. Oh, avec toi, je sens que je peux tout oser !
Elle délire, et cela devant son mari ! Heureusement Eric, pour sa part, a les yeux qui brillent. Je sens de l’excitation en lui. Et surtout, je sens chez lui, le bonheur ressenti, en me voyant baiser sa femme.
Je m’arrache des entrailles d’Amélia. Qui manifeste sa frustration. Je fais tourner le mari sur le canapé et m’allonge sur lui. Je fais glisser mon sexe sur ses couilles vers son anus et me présente naturellement à l’ouverture.
-Doucement, d’accord ? C’est ma première fois. Se plaint-il.
Étrangement, pour une première fois, je rentre facilement mon gland dans son anus. Je me garde bien de garder cela pour moi. Je pousse doucement, en plusieurs pénétrations lentes, pour enfin être entièrement en lui. Je peux faire ce que je veux de lui. Je commence alors à aller et venir dans son cul. Et de plus en plus amplement sous les yeux ravis de Madame sa femme. Il gémit, se mordille les lèvres.
-C’est bon, continue, c’est trop bon ! Me murmure-t-il.
Alors je me mets à le pilonner. Il continue de gémir sans discontinuer. Je me saisis de sa queue entre mes doigts. Le branle, ça le rend dingue, à ne plus savoir ce qu’il dit.
-Moi aussi je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche.
Sentant les premiers picotements monter de mes reins, je me retire et tends ma queue. Qu’il se saisit tout de suite dans la paume de sa main droite. Il me branle, me suce, et en quelques secondes je gicle.
-Oui…oui, jouis-moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.
La suite est un peu floue, je reste comme groggy par cette soirée. Ce que je sais, c’est par la bouche d’Amélia. Comme quoi il n’était pas contre ma liaison avec sa femme, à une seule condition qu’une fois par semaine on se retrouve pour un trio.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Et bien voilà une très intéressante situation pour des personnes vou lant s'ouvrir des horizons sexuels
3 partenaires consentants prennent du plaisir les uns avec les autres et la réussite de la 1ere fois les motivent à recommencer ŕegulierement



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