Un soir dans un bar avec plus de liquides que je pensais - histoire érotique

A cette époque j’étais célibataire depuis plusieurs mois, à cette époque internet n’était pas encore développé comme aujourd’hui surtout pour les rencontres. Un vendredi soir ne voulant pas encore passer une soirée mais aussi une nuit seul j’ai décidé de faire un tour dans un bar où je sais qu’il passe de la bonne musique. Je fais un message à un pote qui me propose un pub qu’il fréquente régulièrement en ce moment, le rendez vous est fixé pour 21H00.

J’arrive le premier et je commande une bière, j’en profite pour scruter la foule, mes yeux s’arrête sur une blonde qui n’est pas du tout mon style de femme mais ses formes me font frétiller dans le caleçon. Sa tenue et sa gestuelle m’excitent encore plus, alors que j’étais déjà en train de l’imaginer nue et à tout ce que nous pourrions faire ensemble quand mon pote Vincent débarque enfin. Nous discutons de banalités mais mes yeux ne se détachent pas de la blonde.

Vincent le remarque et me demande si je veux qu’il me présente. Je lui pose quelques questions sur elle mais il n’a pas beaucoup d’informations, ils se sont juste rencontrés dans ce bar mais rien de plus, par contre il me précise que ce n’est pas une lumière mais que vu son corps elle quitte rarement le bar seule.
C’est exactement ce qu’il me faut en ce moment du coup j’accepte sa proposition. Nous attrapons nos verres et nous nous dirigeons vers sa table ou elle discute avec deux copines très différentes d’elle! Vincent me présente à Nathalie qui nous présente à ses copines. Je m’assoies à côté de Nathalie et nous parlons.

Vincent a raison, elle ne parle que de série télé et de fringues, malgré plusieurs tentatives je n’arrive pas à changer la conversation, par contre mon pote enchaine avec elle sur les séries de merde. Ce n’est pas avec moi qu’elle va repartir ce soir alors, du coup je m’intéresse à ses 2 copines. La première, Sophie, est aussi blonde mais est loin d’avoir les formes de Nathalie par contre elle semble partagé les mêmes centres d’intérêts que sa copine puisqu’elle aussi rentre dans la conversation, donc ce n’est pas avec non plus que je vais rentrer. La troisième, Johanna, à l’air de s’emmerder elle ne participe pas à la conversation. Elle est brune très ronde, je préfère de loin une femme ronde à une rachitique mais Johanna est quand même bien ronde. C’est réellement la bonne copine sympa et joviale qui ne fait pas beaucoup d’ombres aux autres filles, du coup je me concentre.
Je n’arrête pas de la regarder et je sens qu’elle le remarque, elle en rougit. Après l’avoir longuement dévisagé, je me lève et je vais au bar commander une nouvelle tournée. Je distribue les verre et cette fois je m’assoies à côté de Johanna en la collant un peu, elle rougit encore plus. Je ne la regarde plus mais je fais des petits mouvements pour frotter mon bras contre le sien ou nos cuisses…
Au bout de quelques minutes je me tourne vers elle et lui dit « Tu ne regardes pas de series? »Elle me répond juste « Non ».
« Tu occupes comment tes moments de libres? » Elle rougit à nouveau et me dit qu’après le boulot elle aime bien rentré chez elle écoute un bon disque en se décontractant et que sinon elle aime lire. Comme moi aussi j’aime bouquiner nous parlons littérature, je sens les regards condescendants de ses deux « copines » sur nous mais je m’en fous.
Le bar va fermer et Nathalie veut continuer la soirée en boite. Vincent et l’autre blonde sont motivés pour l’accompagner mais Johanna annonce qu’elle va rentrer du coup je dis que je suis assez fatigué et que je préfère finir la soirée tranquillement chez moi avec un bon livre, ce qui fait sourire Johanna.

Devant le bar les 3 autres nous quittent immédiatement, je propose à Johanna de la ramener chez elle en voiture. Elle décline ma proposition elle vit juste à côté, du coup je propose de la ramener à pied parce que vu l’heure je réfère pas qu’elle rentre seule. Elle rougit à nouveau et accepte cette fois ma proposition.

Nous arrivons devant son immeuble et continuons à discuter car j’espère qu’elle va me proposer de monter chez elle. Elle n’en fait rien alors je lui demande si je peux utiliser ses toilettes avant de rentrer chez moi. Elle rougit encore une fois et accepte bien qu’elle est tout à fait compris mon manège. Nous montons dans son appartement qui est bien arrangé, elle m’indique la salle de bain. J’y vais et comme je n’ai pas envie de pisser je fais un petit tour et tombe sur son linge sale. J’en tire une culotte, je crois que j’en ai jamais vu d’aussi grande, elle est humide au niveau de l’entre jambe alors je la porte à mon nez et prend une grande inspiration. Son odeur me fait immédiatement bander.
Ca fait un moment que je suis dans la salle de bain alors je repose la culotte, je tire la chasse et je me lave les mains. En sortant de la salle de bain Johanna est dans la cuisine en train de préparer un thé, elle ne porte plus qu’un petit top qui dévoile une grande partie de sa poitrine très volumineuse. Elle me propose une tasse de thé avant de rentrer chez moi que j’accepte avec plaisir même si je n’aime pas le thé.

Je m’installe dans le salon et elle revient avec les deux mugs qu’elle pose sur la table et vient s’assoir sur le canapé et se colle à moi. Il y a un grand blanc, elle se lève et me propose des gâteaux. Je me lève et tente le tout pour le tout en lui disant: « C’est pas tes gâteaux que j’ai envie de dévorer », je ne lui laisse pas le temps de répondre que je la prend dans mes bras, elle ne me rejette pas alors je dépose un baiser dans son cou, elle m’entoure de ses gros bras du coup je colle mes lèvres contre les siennes et nous nous embrassons langoureusement. Mes mains parcourent son corps et ses formes.
Je caresse ses cuisses d’abord à travers sa jupe puis je glisse ma main sous le tissu pour remonter jusqu’à son mont de venus. Sa culotte est encore plus trempée que celle de la salle de bain, j’ai l’impression qu’elle s’est pissée dessus, ce qui me fait encore plus bander.
Je remonte mes mains pour lui enlever son top mais elle m’arrête là, j’insiste un peu mais pas trop car je la sens très gênée.

Comme pour détourner mon attention elle se met à genoux devant moi et déboutonne mon jean, elle fait tomber mon pantalon et mon caleçon et caresse mes couilles et mon sexe comme avec adoration. Puis elle ouvre la bouche et me suce, je ne m’attendais pas à ce que ses lèvres et sa langue soient aussi expertes. Elle se met à me sucer de plus en plus frénétiquement ce qui me fait m’écrouler sur le canapé derrière moi. Johanna se repositionne entre mes jambes et reprend immédiatement ma bite, fièrement tendue, dans sa bouche.
D’une main elle me caresse les couilles et avec l’autre elle se caresse la chatte. Voir et imaginer tout ça m’a tellement excité que j’attrape sa tête je la fait lâcher ma bite et je l’allonge sur le tapis entre le canapé et la table basse. Je m’installe entre ses jambes pour lui enlever sa jupe, encore une fois elle m’empêche mais cette fois je ne la laisse pas faire. Ensuite je retire sa petite culotte en tissant blanc qui est complètement mouillée, alors qu’elle me regarde je porte sa culotte jusqu’à mon nez et la hume, Johanna mais sa main sur sa moule et se caresse à nouveau.

Je mets sa culotte dans ma bouche et aspire alors que ma main vient remplacer la sienne, mes doigts sont rapidement trempés. Je ne peux plus me retenir alors je plonge entre ses cuisses et colle ma bouche contre ses lèvres intimes. Son excitation monte immédiatement d’un niveau, j’en profite pour la caresser aussi avec ma main qui se mouille à son tour. Rapidement j’ai déjà 3 doigts en elle, son corps tressaille elle gémit de plus en plus fort et ses mains viennent encore plus plaquer mon visage contre son sexe.
Son vagin se contracte autour de mes doigts et là elle m’éjacule carrément sur le visage et dans la bouche. J’en avale une partie tout en continuant à la sucer et la doigter mais la source ne se tarit pas, j’ai eu l’impression que ça a duré plusieurs minutes.
Une fois que son corps se calme je retire mes doigts et pose un dernier bisou sur son clito. Elle me remonte et me colle à elle tout en s’excusant, pour moi aucun problème surtout que j’ai envie d’une suite. Bien que nos corps soient collés j’empoigne ma bite et je lui caresse la vulve avec. J’ai l’impression de patauger dans une marre mais je la pénètre quand même.
Elle est tellement ouverte et mouillé que je glisse littéralement du coup je lui soulève les fesses et caresse mon gland complètement trempé contre son petit trou. La région est tellement humide que je n’ai aucun problème à faire glisser mon sexe dans ses entrailles elle pose sa main sur mon torse et me demande d’arrêter parce qu’elle n’a encore jamais pratiquer la sodomie. Je lui dit de ne pas s’inquiéter que je serai tendre, un peu retissante elle me laisse quand même faire.
Je rentre tellement facilement entre ses fesses que j’ai du mal à croire qu’elle n’ait jamais été sodomisée. Une fois au fond de son cul je m’immobilise un moment avant de la ramoner vigoureusement. Elle prend beaucoup de plaisir car elle gémit de plus en plus fort surtout qu’en même temps que je déflore sa rosette je lui caresse le sexe et le clito. Elle ne se contrôle plus et au bout de quelques minutes elle m’inonde encore une fois. Une fois que son orgasme commence à redescendre je me retire de son oeillet, je m’assoies sur son ventre et je me branle entre ses deux énormes mamelles jusqu’à ce que je lui inonder le visage et les seins.

Une fois que je me relève Johanna court sous la douche, j’essaye de la rejoindre mais elle a fermé la porte à clef. Elle en ressort plusieurs minutes plus tard dans un peignoir rose, elle me propose de me doucher ce qui tombe bien parce que j’en ai bien besoin. Une fois propre elle me rejoint dans la salle de bain et me suce jusqu’a encore une fois me vider les couilles. En me rhabillant je lui vole sa culotte toujours humide.
Ensuite elle me donne son numéro de téléphone et me demande de rentrer chez moi.
Je suis un peu sur le cul mais je rentre. Une fois dans mon lit je sors la culotte que je lui ai volé dans la salle de bain et la met sur mon visage pour me branler.

Nous nous sommes vus quelques mois avec Johanna mais elle ne m’a jamais laissé passer la nuit chez elle.