Un stage bien agréable - histoire érotique

Après notre première expérience de candaulisme avec Marc, ils nous tardait de recommencer. Il nous avait fallu 20 ans pour sauter le pas, mais maintenant nous étions décidé. C'est en fait grâce à Marc que nous avons vécu notre deuxième expérience. A la suite de son départ, Corinne assurait l'intérim pour la gestion de la petite agence bancaire depuis quelques semaines. Son directeur lui proposa alors le poste en tant que titulaire, avec promotion et augmentation à la clef. Une aubaine qu'il ne fallait pas manquer. Pour parfaire sa formation on lui demanda d'effectuer un stage de trois jours au siège à Paris.
Aussitôt je vis l'opportunité pour ma chérie de tenter une deuxième expérience candauliste pour mon plus grand plaisir ... et le sien, car elle avait bien pris son pied avec Marc, et moi aussi quand elle m'a tout raconté.

Les jours qui ont précédé son départ j'étais très excité et quand nous faisions l'amour je lui montais des scénarios coquins pour agrémenter ce stage. La veille du départ quand elle a fait sa valise, j'ai vu qu'elle prenait sa petite robe sexy qu'elle portait le jour du départ de Marc. c'était bon signe. J'ai moi-même rajouté dans cette valise deux petites culottes très sexy que j'aimais bien, et qui ne cachait pas grand chose de son minou poilu tant elles étaient transparentes. Un baiser appuyé me remercia de cette attention.

A la gare, je l'ai accompagné sur le quai et au moment du départ je lui ai glissé dans la main, une petite boite de six préservatifs en lui disant : "ça pourrait te servir".

Elle devait passer trois nuits à l'hôtel, la première en arrivant le mardi soir, puis les mercredi et jeudi soir et rentrer le vendredi.
Chaque soir je m'étais copieusement branlé seul dans mon lit, en imaginant une belle bite dans la chatte de ma Corinne .Le vendredi elle devait rentrer au train de 19 h 15, mais elle m'appela pour me prévenir qu'elle prendrait le prochain train pour arriver à 20 h30. Je lui préparai un bon petit repas avec une demie bouteille de champagne. Elle est arrivée rayonnante, tout sourire, comme je l'aime.

Nous avons discuté de choses et d'autres jusqu'au coucher et là je n'y tins plus, je voulais qu'elle me raconte:

- Alors ce stage, c'était bien,
- Oui j'ai appris pleine choses...
- D'accord, mais le soir tu ne t'es pas ennuyée ,
- Hum! les deux premiers soirs oui un peu. Jeudi soir c'était mieux!
- Ah oui raconte-moi ma chérie, j'ai hâte .
- Le premier jour rien des spécial. J'ai sympathisé avec Patrick un stagiaire. Nous avons beaucoup discuté aux pauses, et au déjeuner il s'est arrangé pour être à côté de moi.
- Et après que s'est-il passé?
- Le premier soir rien, tous les stagiaires ont mangé ensemble , puis on est rentré direct à l'hôtel. Le lendemain, Patrick s'est fait plus pressant. Au déjeuner, il a carrément appuyé sa cuisse contre la mienne. Je l'ai laissé faire, car je sentais que je l'intéressais. A la pause de l'après-midi, il ma suggéré de quitter le groupe le soir pour aller manger tous les deux dans un petit resto qu'il connaissait. J'ai accepté. Nous nous sommes donné rendez-vous à 19 h dans le hall de l'hôtel. J'avais mis la petite robe que tu aimes tant, une petite culotte que tu avais glissé dans ma valise. Pendant le repas il s'est fait plus tendre et a risqué sa main sur ma cuisse. J'ai frissonné et bien sûr laissé faire, mais sans le laisser monter plus haut. Il m'a alors demandé si je voulais rentrer à l'hôtel:
- Non il est trop tôt, ai-je répondu sans trop savoir pourquoi
- Alors on fait un tour en vile ?
- D'accord
Près du resto il y avait un cinéma permanent, ces cinéma qui passaient des films en boucle, autrefois.
- Si nous allions voir un film
- OK

Dans la salle il y avait tout au plus une quinzaine de personnes. Patrick m'a entraine vers le fon de la salle obscure. A peine assis il m'a embrassé et a commencé à me crasser la poitrine. Je commençais à être très excité. Puis sa main est descendu sur ma cuisse et a remonté lentement jusqu'à la culotte. Il a commencé à me caresser puis a écarté le tissu pour mettre un doigt puis deux et il s'est carrément mis à me branler. C'était bon!!! J'ai commencé à passer ma main sur sa braguette. Au bout d'un moment j'ai glissé la fermeture et l'ai à nouveau caressé sur le slip. Puis j'ai passé ma main à l'intérieur. Sa queue était très raide et très chaude, j'ai commencé à bien la branler, j'avais très envie de la prendre dans ma bouche. Patrick a dû le sentir car il a appuyé sur ma tête pour que descende le sucer. J'ai résisté et lui ai glissé à l'oreille:
-Non pas ici on pourrait nous voir.
- On rentre à l'hôtel si tu veux
- Oui, oui, je veux bien
Nous nous sommes rajusté et avons filé vers l'hôtel main dans la main.

Arrivés à l'hôtel nous avons récupéré nos clefs. Nous étions tous les deux au 3e. Dans l'ascenseur il m'a encore embrassé, puis m'a suivi dans ma chambre. J'étais heureuse, j'avais une belle queue qui allait bien me baiser, et je pensais à toi qui devait te branler tout seul dans ton lit. A peine entré il m'a poussé sur le lit, s'est mis a genoux devant moi et a relevé ma robe pour me lécher la chatte sans même enlever ma culotte. Il m'a bouffé longtemps le minou jusqu'à ce que je jouisse. Il s'est alors relevé, il a baissé son pantalon après voir fouillé dans sa poche où il a récupéré une capote, il l'a enfilées, avant d'enfiler ma chatte bien profond. Je sentais sa bite qui allait et venait, pendant plusieurs minutes et tout à coup il s'est raidi a accéléré et a rempli sa capote. Il a continué encore quelques minutes à me limer tout doucement puis il s'est retiré.

Je me suis redressé à mon tour, j'étais assise devant lui, j'ai délicatement ôté la capote, et aussitôt, j'ai gobé sa queue qui avait légèrement ramolli; je l'ai sucé un grand moment jusqu'à ce quelle raidisse à nouveau. Nous nous sommes alors allongé sur le lit, nus tous les deux et je l'ai enfourché pour faire un 69. Après quelques minutes j'ai voulu m'empaler sur sa bite:
- Aïe, je n'avais qu'une capote me prévint il
- J'ai vu dans le tiroir de la table de nuit, une boite de poréservatifs qu'un client a certainement oublié
- Super!
J'ai moi-même récupéré un préservatif et après l'avoir ajusté j'ai enfourché Patrick pour le baiser à mon tour.
Nous avons baisé longtemps et finalement , mon bel étalon m'a remis sur le dos s'est glissé entre mes jambes grandes ouvertes et s'est mis à me baiser à grands coups de bites auxquels je répondais en soulevant le bassin en cadence, et en lui enserrant la taille avec mes jambes. A ce rythme il ne lui fallut pas longtemps pour décharger à nouveau. C'était divin, sauf que je ne pouvais pas sentir sa giclée de sperme au fond de ma chatte. Mais bon...!

Nous étions assis au bord du lit, en dégustant une boisson récupérée dans le minibar, quand Patrick me dit:
-Quand même cet hôtel, laisser traîner des boites de préservatifs...!
- Enfin, elle ne traînait pas.
-Comment ça?
Et là je lui ai raconté nos tendances candaulistes. Il n'en revenait pas, mais celui lui fit un effet immédiat car il se remit à bander, et cette fois il me mit devant le lit les deux bras posés sur les drap et après avoir enfilé une nouvelle capote, il m'a longuement pris en levrette.

Quand il a rejoint sa chambre, il était presque minuit Nous avions baisé pendant presque 3 heures.

Le lendemain, avant de partir il a voulu que je le suive dans sa chambre, pour "un dernier coup" me dit-il. Je lui objectai que j'allais manquer le premier train, c'est pourquoi je t'ai appelé pour t'avertir de mon retard.
Avant de partir il m'a demandé si je pouvais lui donner la petite culotte que je portais:
- Je pourrais ainsi me branler en pensant à toi.
Je ne pouvais pas lui refuser après tout le plaisir qu'il m'avait donné
laver. Tu es content ?
- Oui donne vite
- Oui mais tu vas bien m'inonder la chatte, car elle en a bien besoin mon chéri.
- Ne t'inquiète pas pour ça, mes couilles sont bien pleines. Hier sir je me suis un peu caressé mais sans décharger alors ..

J'attrapais la culotte odorante que Corinne me tendait et nous nous sommes branlé l'un à côté de l'autre un grand moment avant de baiser une grande partie de la nuit.

C'était la deuxième expérience de candaulisme, mais pas la dernière
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