Un symposium érotique

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un symposium érotique Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2025 dans la catégorie Plus on est
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Un symposium érotique
‌‌Caroline et Oriane avaient été mandatées par leur conseil municipal pour participer à un grand symposium d'élus locaux ayant pour thème l'environnement. Caroline, adjointe au maire, et Oriane, conseillère environnementale, avaient sauté de joie à la nouvelle qui leur permettait en même temps une escapade à Paris. Toutes deux mariées et mères, Caroline âgée de 47 ans, Oriane de 35 ans, elles trouvaient à cette mission une forme d'exutoire à une vie somme toute très banale, à l'image de leur physique. Toutes deux de petite taille, elles se distinguaient notamment par leur chevelure. Caroline avaient laissé son épaisse tignasse grisonner, souvent liée par un catogan, alors que la brune Oriane portait fréquemment le chignon. Du côté du corps, différence notable également. Plutôt menue en apparence, Caroline était cependant remarquable par sa lourde poitrine qui tranchait avec la minceur de son torse. A l'inverse, Oriane était dotée de petits seins mais d'une croupe large et joufflue qui la complexait. Bref, nos deux protagonistes, sans être laides parce que bénéficiant d'un visage souriant et aux traits fins, passaient totalement inaperçues dans une vaste assemblée.

Dans ce genre de manifestation, il y a deux réunions : les plénières et les commissions. Caroline et Oriane participaient à une des secondes quand elles firent la connaissance de deux trentenaires dans leur genre, également élus municipaux, ni beaux ni moches, du genre costaud mais sympas et rigolards. Kévin, le chevelu barbu, et Roland, le grand maigre au crâne rasé, déjeunèrent avec elles et leur proposèrent de sortir avec eux le soir pour profiter de la vie parisienne avec en tête un night club connu. Trop heureuses d'être accompagnées, elles acceptèrent.

Après les travaux, elles rejoignirent leur hôtel où une chambre à deux lits avait été réservée à leur intention. Les échanges en commission qui leur avaient un peu chauffé le cerveau et elles avaient besoin de se détendre. Elles prirent une douche et envisagèrent la suite des événements. Oriane vit avec surprise Caroline sortir de sa valise une robe courte et un string et après s'être délestée de culotte et soutien-gorge, revêtir le tout, chausser des escarpins, libérer sa chevelure grisonnante et se passer un peu de maquillage autour de ses yeux noisette.
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu te changes ? Tu ne mets pas de soutif ? interrogea-t-elle sa collègue, un peu perplexe.
- Ben, on sort non ? Tu ne crois pas que j'allais le faire en jean et baskets comme toi ? On va en boite pour danser, pas pour bosser.
- Mais... je n'ai rien d'autre, moi.
- J'ai une autre robe. On a la même taille. Je peux te la prêter si tu veux.

Oriane, un peu confuse, accepta. La robe était vraiment courte et décolletée avec un profond dos nu. Rien à voir avec ses tenues habituelles.
- Enlève ton soutif, ça se porte sans, dit Caroline.
- Mais... on va voir une bonne partie de mes jambes et elles sont moches.
- Mais non, elles ne sont pas moches, juste un peu charnues aux cuisses mais il y en a plein qui aiment.
- Qui aiment ? Mais on ne sort pas pour séduire...
- Mais tu es godiche ou quoi ? Ces deux garçons, ils veulent nous séduire et nous emballer. On ne va pas leur faire honte.
- Nous emballer ? Tu dis qu'ils veulent coucher avec nous, c'est ça ?
- Il me semble que ça en a tout l'air. On s'est fait draguer toute la journée, ce n'est sûrement pas pour jouer à la belote après avoir dansé.
- Mais... je suis fidèle, moi. Je ne suis pas venu là pour tromper mon mari.
- Qui te parle de "tromper" ? Moi aussi je suis fidèle. Mais se faire péter les hormones, ça fait du bien parfois et ça ne remet pas en cause notre union conjugale.
- Je ne peux pas faire l'amour sans amour.
- Oriane, s'il te plait. Il ne s'agit pas de faire l'amour mais de baiser. Est-ce que tu as seulement baisé une fois dans ta vie ?
- Euh... non, je ne crois pas.
- Eh bien, c'est l'occasion ou jamais. Ces deux gars, je vois le genre. Ils ne sont pas plus que nous des canons mais ils en ont dans le slip, j'en suis sûre. Et ils veulent nous baiser, toutes les deux. Profiter de l'éloignement de leur femme comme nous de nos hommes.

- A t'entendre, ce n'est pas la première fois que tu tombes dans ce genre de truc foireux.
- Foireux, pas du tout, Jouissif, oui. J'ai douze ans de plus que toi, ça aide. J'ai appris à faire la part des choses. Quand je suis en mission, je suis open. Et quand je rentre à la maison, je suis à nouveau l'épouse modèle.
- Je ne te voyais vraiment pas comme ça.
- Eh oui, moi, je fais en sorte que mon corps exulte de temps en temps. Le temps presse. Je suis encore baisable et j'en profite. Et tu ferais bien d'en profiter aussi. Rien qu'à voir comment Kévin mate ton cul, je suis sûre qu'il te ferait ta fête. Mais bon, c'est toi qui voit. En tout cas, comme ils ne logent pas dans la même chambre, c'est ici que ça va se passer. Je vais rentrer avec Roland, laisse-moi la chambre pendant une bonne heure, va te promener, fais ce que tu veux.
- Tu as déjà tout prévu, on dirait.
- C'est ça l'expérience. Ce que tu n'as pas. Allez, finis de te préparer, on y va. Et lâche-toi un peu. Tout ça restera de toute manière entre nous, personne d'autre n'en saura rien.
*****
Oriane se sentit un peu déstabilisée par la franchise de Caroline, qui révélait un aspect de sa personnalité qu'elle n'aurait pas imaginée. Mais en même temps, la perspective de cette soirée l'excitait, comme si elle était revenue des années en arrière, au temps de son adolescence, quand elle était libre devant les garçons de son âge, et ce jusqu'à son mariage avec un de ceux-là. Sa vie avait été depuis lors très rangée, peut-être un peu trop à en croire Caroline. Sa sexualité était devenue routinière, elle en avait bien conscience. Mais de là à coucher avec un quasi inconnu, et en plus dans la même chambre qu'un autre couple, c'était beaucoup pour une femme rangée.

Elle se sentait presque nue dans cette robe si légère, sans soutif et dévoilant largement ses cuisses dodues. Mais une fois dans le night club, la magie de la musique, de la danse et aussi des cocktails fortement alcoolisés lui firent considérer la situation sous un angle ludique. Les deux hommes étaient sympas, prévenants, les faisaient danser, un peu boire aussi. Oriane se sentait sécurisée avec eux. Caroline riait pour un rien en faisant trembler les lourds nichons sous sa robe, ce que le barbu Kévin semblait particulièrement apprécier.

Pour les deux hommes, au physique aussi banal que leurs accompagnatrices, celles-ci représentaient des partenaires idéales pour un prolongement sexuel à leur symposium loin de leur routine conjugale. Les femmes ordinaires, de leur point de vue, pouvaient dissimuler des tempéraments d'autant plus ardents qu'elles avaient peu d'occasion d'exutoires. Cette Caroline à la chevelure grisonnante et aux gros seins, cette Oriane avec son petit chignon, ses fortes cuisses et sa vaste croupe, n'avaient rien de ces "canons" qui les regardaient de haut dans la boite de nuit. Pour autant, leur joli minois les rendaient agréables à accompagner et en s'y prenant bien, ils finiraient bien par les baiser, la petite brune étant toutefois un peu plus timide que l'autre plus âgée.

Au fil de la soirée cependant, Oriane finit par se décoincer. De voir Caroline se laisser peloter par le barbu lui donna l'envie d'être caressée elle aussi et elle ne protesta pas quand, sur la banquette, Roland lui mit la main sur sa cuisse découverte. Elle en était à son deuxième cocktail qui lui avait monté à la tête et donné le rose aux joues. Elle ne pensait plus du tout à son mari. L'excroissance manifeste sur le devant du pantalon de Roland lui mettait de la chaleur dans le bas-ventre. A force de l'avoir vue virevolter sur la piste de danse, sa robe remonter si haut qu'il avait identifié l'ombre sur le devant de sa culotte, le grand maigre ne pensait plus qu'à une chose : planter sa bite entre ces cuisses dodues. Il s'enhardit sur la banquette, remonta le long des jambes mais quand il atteint l'endroit stratégique, Oriane les serra, mais sans pour autant le repousser et protester. Il insista, la vit fermer les yeux en s'adossant à la banquette et le compas s'ouvrit légèrement, suffisamment pour qu'il entreprenne une caresse sur le devant de la culotte. Oriane n'avait pas ressenti une telle émotion érotique depuis des lustres. Un homme la touchait là où elle aimait être touchée. Elle s'abandonna, cuisses maintenant ouvertes, et la scène n'échappa pas à Caroline. Il y avait un moment que Kevin s'était aventuré sous sa robe et découvert le string. L'affaire des deux hommes se présentait désormais au mieux, et quand Caroline déclara "on rentre maintenant", leur conviction était établie : ils allaient baiser.
*****
Oriane suivit le mouvement dans un état second. Son ébriété légère avait levé ses inhibitions initiales et le feu dans son bas-ventre réclamait une lance à incendie. C'est pourquoi, arrivée dans la chambre double, elle se laissa docilement ôter sa robe et sa culotte pour se présenter nue sur le lit jumeau, encouragée du regard par Caroline, allongée, nue aussi, ses seins opulents étalés sur son torse menu, cuisses ouvertes et déjà objet d'un cunnilingus par le barbu dont le corps velu représentait pour Oriane le summum de l'animalité. Oriane avait elle aussi envie d'être léchée, son mari n'étant pas très enclin au cunni. Elle s'allongea également dans la longueur du lit, en parallèle à Caroline et ouvrit elle aussi ses cuisses. La langue habile du grand maigre la plongea rapidement dans une félicité propice à un rapport beaucoup plus concret. Ses gémissements rejoignirent ceux de sa collègue dont la main empoignait les cheveux du lécheur.

Puis Roland, le grand maigre à tête rasée, se releva, le museau luisant du jus d'Oriane. Mais quand elle le vit se déculotter pour poser son préservatif, elle poussa un petit cri. Sa tige fine et horizontale était d'une telle longueur qu'elle se demanda s'il n'allait pas lui faire mal. Sur le lit jumeau, on était déjà passé à la phase suivante. Caroline dansait sur la queue épaisse du barbu en se tenant les seins et en râlant de plaisir. Oriane comprit qu'elle n'avait plus le choix. Plus question de reculer. Et du reste, Roland ne lui en laissa pas le temps. Son corps nu, sec, à la formidable excroissance, se présentait au-dessus d'elle, entre ses cuisses ouvertes. Il la pénétra lentement, les yeux dans les yeux et les bras tendus, la laissant prendre la mesure de son membre viril.

Et très vite, des sensations inédites envahirent Oriane. Visitée dans des profondeurs quasiment vierges par cette raideur et cette longueur, un bien être inouï la prit par le ventre. Plus il creusait et plus elle se manifestait, tant par la voix de plus en plus stridente que par les hanches qu'elle roulait sous lui et par les pieds qui talonnaient ses reins. Le petit lit devint très chahuté, très vivant. L'homme se régalait au spectacle de cette petite femme décoiffée, charnue, active, remuant bien son gros cul, vivant pleinement son coït. Il fut vite convaincu que cette conseillère municipale a priori banale était un vrai bon coup, au moins aussi bon que la quadragénaire sur le lit voisin qui galopait littéralement sur la bite de son pote.

Les ébats étaient devenus si bruyants qu'on tapa à la cloison en signe de mécontentement et les deux couples observèrent une courte pause. Assis sur le lit, détachés, ils devisèrent brièvement sur la suite à donner à leurs accouplements.
- Quand je prends mon pied, je ne sais pas être discrète, avoua Caroline, tout en masturbant la queue de Kevin qui émergeait d'une forêt de poils.
- On s'en fout de nos voisins. Ils n'ont qu'à baiser aussi, répondit Roland, qui avait hâte de revenir dans le corps juteux d'Oriane.

Celle-ci ne disait rien mais elle se pencha pour emboucher son amant à la pine toujours tendue, donnant le signal de la reprise des ébats. Les deux autres les observèrent brièvement. Caroline était ravie de voir sa prude collègue libérer sa sexualité et montrer dans sa succion une ardeur qui en disait long sur sa frustration passée.
Puis son amant la bouscula et la posa sur sa queue pour qu'elle le chevauche comme l'autre couple auparavant. Dans cette position très envahissante pour son intimité, Oriane laissa parler son cul. Elle se mit à rouler des hanches avec allégresse, le sourire aux lèvres. Son regard tomba en même temps sur le lit voisin où le cul poilu de Kévin tournicotait entre les petites cuisses de Caroline. Cette vision transmit à l'active voyeuse un puissant aphrodisiaque supplémentaire. Elle se trouvait bien dans un autre monde érotique, si loin de ses rapports conjugaux. Caroline baisait et elle baisait aussi, c'était parfaitement clair. Et elle ne souhaitait plus qu'une chose : que ça dure encore un peu.

Et cela dura car les deux hommes retenaient leur sperme, trop heureux d'honorer ces deux femmes à la fois si banales par leur physique et si chaudes. Elles prenaient du plaisir mais en donnaient aussi. Ils les prirent en levrette, face à face, si bien qu'ils purent s'observer et les deux femmes aussi. Les réflexions fusèrent.
- C'est bon, hein ? Tu prends ton pied, hein ? lança Caroline à Oriane en continuant de rouler des hanches.
- Mmmhh mmmmh ! répondit laconiquement la brune en allant chercher la queue à coups de fesses claquantes. Cette position envoyait la bite dans des profondeurs telles que tout son être était concentré sur cette visite sans équivalent passé. Son petit corps n'était plus qu'un incendie. La chair de poule l'envahit, signe d'un puissant orgasme qui la fit crier, au risque de provoquer encore l'ire de la chambre voisine. Roland s'immobilisa, la laissant savourer le moment, puis il se retira pour caresser sa croupe joufflue, en s'adressant à Kevin, toujours en train de limer Caroline.
- Putain, quel cul elle a la mienne ! lâcha Roland. J'adore les gros culs. Je vais le fendre en deux !
- La mienne a un beau cul aussi. On va les enculer, hein ? Qu'en pensez-vous mesdames, répondit l'autre, qui s'était également retiré.

Cette réflexion très crue alerta Oriane. Jamais on ne lui avait fait ça. Mais Caroline intervint :
- Oui, faites-le mais allez-y doucement. Et mettez la langue d'abord. Soyez cochons.
Roland écarta les larges globes d'Oriane et se mit à lui lécher le petit trou. Elle frissonna devant cette caresse si intime et tellement inédite. En face, elle voyait Kevin le visage disparaissant derrière la croupe de Caroline laquelle, yeux clos, se léchait les lèvres. Puis Oriane vit le barbu se relever et se positionner pour enfiler la quadragénaire, le cul levé, en attente. Son cri rauque marqua l'effet de l'introduction et ses gros nichons balancèrent au rythme des coups de boutoir du barbu. Oriane était tellement fascinée par la vision de sa collègue sodomisée, tellement heureuse de l'être à en juger par ses exclamations d'extase, que c'est à peine si elle ressentit la pénétration anale dans son antre gorgée de la salive de Roland. Mais quand il commença à ramoner son rectum, elle se sentit électrisée des orteils à la racine des cheveux. La nuque redressée, les reins cambrés, elle s'abandonna aux coups de bite en allant la chercher face à une Caroline tout aussi participative. Positionnée chacune en travers de leur lit, face à face, elles encaissaient le choc des peaux en couinant, échevelées, baveuses, en se regardant comme le miroir de leur propre jouissance. Jamais Oriane n'aurait imaginé être aussi sensible de l'orifice anal.

- Putain, ce cul, ce cul ! clamait Roland, fendant la croupe d'Oriane avec ardeur.
Son vis à vis témoigna aussi de son plaisir d'enculer Caroline, certes moins pourvue que sa collègue mais au fessier suffisamment large et charnu pour stimuler la libido de son chevalier servant d'un soir.
- Maintenant, maintenant ! cria la quadragénaire, roulant des hanches pour faire coïncider son orgasme avec l'éjaculation du barbu.
Celui-ci s'exécuta aussitôt en grognant, le torse collé au dos de sa partenaire, les reins marqués de soubresauts.
En face, Roland décolla littéralement Oriane du lit par ses ruées anales et il gicla à son tour tandis que la brune s'affalait sur le lit, à plat ventre, à la limite de la syncope.
Les deux couples demeurèrent longtemps inertes, essorés ou laminés, dans une atmosphère de sueur et de liquide séminal. Le silence fut finalement rompu par Caroline qui dit :
- Je crois qu'on a bien baisé.
C'était un euphémisme pour Oriane, qui venait de connaitre la plus forte émotion sexuelle de son existence.
******
Elles se réveillèrent tard le lendemain. Leurs amants d'un soir les avaient gentiment mises sous la couette avant de s'échapper. Elles étaient si profondément endormies qu'elles n'avaient pas entendu les voisins taper à leur porte à leur lever en signe de mécontentement, suite à leurs bruyants ébats nocturnes. Constatant l'heure tardive, elles prirent une douche en hâte et sautèrent le petit-déjeuner pour se rendre au symposium, dont c'était l'ultime matinée de synthèse. Apercevant Roland et Kévin, elles leur firent un petit geste de loin mais ne cherchèrent pas à les rencontrer, comme si elles étaient déjà passées à autre chose, à savoir leur retour au bercail. Mais la position assise était inconfortable à Oriane, ses orifices ayant été inhabituellement chahutés et elles décidèrent d'aller marcher avant de se rendre à la gare.
- J'ai mal partout, reconnut Oriane, j'ai été complètement folle cette nuit. J'ai honte de moi.
- Et pourquoi tu aurais honte ? Arrête de te mentir à toi-même. Tu as pris ton panard autant que moi, répondit Caroline.
- Peut-être mais je n'étais pas moi-même. J'étais une autre.
- Eh bien, justement, tu as révélé en toi un aspect refoulé de ton être. Pour la première fois de ta vie, tu as baisé. Et tu as adoré ça. J'ai encore tes cris d'orgasme dans l'oreille. Tu t'es fait enculer comme une chienne en chaleur.
- Chut ! Pas si fort ! Oui, bon, d'accord, c'était une sacrée expérience. Et je te la dois. Je crois que je n'aurai plus le complexe de mes fesses désormais tellement ce garçon les a aimées. J'ai un peu mal mais qu'est-ce que c'était bon, je ne l'aurai jamais cru. Mais qu'est-ce que je vais faire maintenant ? Demander à mon mari de me... bref tu m'as comprise ?
- Et pourquoi pas ? Il n'attend peut-être que ça. La santé sexuelle est indispensable pour un couple. Au lieu de faire gentiment l'amour, baise. Fais l'expérience, mets-lui la main dans le slip, dis-lui que tu as envie de baiser. Et s'il te renvoie promener, tu sais ce qui te reste à faire. Fais-toi baiser ailleurs. Ne laisse pas ton corps dépérir. Comme dans la chanson de Brel, il a besoin d'exulter.
- Je n'ai pas envie de tomber dans l'adultère. C'était exceptionnel cette nuit.
- Ben, comme moi. Mais j'ai besoin parfois de me faire péter les hormones dans un autre cadre.
- Tu vas raconter à ton mari ce qu'on a fait cette nuit ?
- Bien sûr que non. Ce sera notre secret à toutes les deux. Mais je sais déjà que je vais lui mettre la main dans le slip en rentrant pour fêter nos retrouvailles. Je vais lui tailler une bonne pipe et on ira baiser sur notre canapé. Je t'engage à en faire autant.
Oriane ne dit mot. Au fond d'elle-même, elle sentait bien que Caroline avait raison. Elle devait en finir avec cette routine sexuelle si peu conforme à son véritable tempérament. D'être passée du rapport conjugal à un plan à quatre torride l'avait fait basculer dans un autre monde. Son corps le réclamait, bien qu'il soit un peu endolori. C'était décidé. Ce soir, dans le lit, après s'être bien crémée pour atténuer ses petites douleurs, elle glisserait une main dans le pantalon de son pyjama de son mari.
-

Les avis des lecteurs

Et bien voilà deux élues qui ont joint l'utile à l'agréable et vécu une "sacrée expérience". Certes c'est un coup de canif dans leur vie conjugale. Mais rien qui ne menace leurs couples

« Lourde poitrine sur un torse mince » ou « petits seins sûr croupe charnue », pas facile de choisir…
Caroline first !
Pour l’âge et la passion… et la poitrine bien sur !
Bravo Mickey,
Jef

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Micky c’est une histoire sublime et toujours aussi bien écrite. Très beau texte expliquant la différence entre baiser et faire l’amour. Daniel

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Micky,

Merci et bravo pour cette nouvelle histoire, comme je les aime tant et dont seule vous avez le secret, faisant une fois encore l'Eloge de la femme et du sexe.
Didier



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